Yssingeaux, une petite ville au coeur du Velay 

Décès et succession

Jeanne Marie décède le 10 frimaire an XIV (1er décembre 1805) à La Brousse, à l’âge de 55 ans environ.
Le 27 mars 1813, plus de 10 ans avant son décès, Jean Pontvianne décide de faire son testament en l’étude de Maître Delolme, notaire.
Il le dicte en présence de son fils aîné, Pierre, qui vit et travaille avec lui au domaine de la Brousse, de Pierre-Martin, fils cadet, maçon, habitant à Pompet, et d’Antoine, dernier fils vivant, maréchal-ferrant habitant Yssingeaux également, Louis BADIOU, Jean Pierre CHEVALIER, Jean Pierre GIBERT, Pierre LIBEYRES, Jean-Pierre TARANDON.
Il donne 100 francs aux prêtres d’Yssingeaux pour ses messes. 60 décalitres de seigle, ou 24 métans, seront donnés aux pauvres sous forme de pain le jour de son enterrement. 30 décalitres de blé et seigle sont légués à l’hospice d’Yssingeaux. 80 francs sont aussi donnés pour la réparation de l’église des Pénitents d’Yssingeaux.
Son actif se compose de deux maisons situées à Pompet, dont une avec jardin, d’une terre située au lieu-dit Lallier, d’un pré au Chambonnet, d’un bois à Ceveyrac, auxquels s’ajoute « l’entier mobilier, effets, labours, bestiaux, récoltes ameubles et la terre et toutes les sommes à lui dues tant par actes notariés autres actes en forme que verbalement se portant à la somme de 13 100 francs ».
A cela il faut ajouter les 1 100 francs donnés à Pierre-Martin lors de son contrat de mariage et les 1 600 reçus par Antoine lors du sien, soit au total 2700, ce qui porte la somme globale à 15 800 francs.
A cette somme il faut déduire 1 800 francs dont Jean Pontvianne est redevable auprès de son fils Pierre, reçue en dot de Marie Titoulet, femme de Pierre.
Restent 14 000 francs. Par contrat de mariage, il a donné le cinquième par préciput à Pierre, hors part sur sa succession. Mais comme la loi le lui permet, il porte cette donation au quart de ses biens. Antoine et Pierre-Martin peuvent donc prétendre à recevoir 3500 francs chacun, en argent, déduction faite des sommes déjà perçues au moment de leur mariage, le reste revenant à Pierre. Ces sommes seront payées par Pierre à ses frères, 300 francs chacun un an après le décès de leur père, et le reste par tranche de 300 francs annuels, jusqu’à atteindre la somme promise.
Une clause est prévue au cas où Mathieu, ou ses héritiers, vivraient encore. Dans ce cas, sa part serait d’un quart également, en « détranchant » les parts de ses frères. Décédé en 1810 à Séville, on constate que la nouvelle de sa mort n’est pas encore parvenue à sa famille. Et effectivement, dans les registres d’état civil, la transcription de son acte de décès côtoie la date du 11 juillet 1813, soit près de 4 mois après la rédaction de ce testament.
Il est enfin précisé que la succession de Jeanne-Marie Métail se trouve confondue dans celle de Jean Pontvianne, dont elle avait fait son donataire.
Jean Pontvianne meurt le 10 mars 1825 à La Brousse, à l’âge de 82 ans.

Génération n°8 : Pierre-Martin Pontvianne et Marianne Chevalier

La famille de Marianne Chevalier

Marguerite Charbonnier (vers 1750 à Beaux 254 – 25 octobre 1822 au Piny Bas), la mère de Marianne, a été mariée en premières noces à Jean Berthon, le 28 janvier 1771256. Au moins deux enfants sont issus de cette union : Marie Berton (née en 1778) et Jean Antoine Berton. Jean Berthon meurt le 10 novembre 1778 à La Collange (Yssingeaux).
Son deuil observé, Marguerite Charbonnier se remarie avec Jean Chevalier (vers 1750260 – octobre 1806 à Yssingeaux261) le 3 octobre 1780 à Yssingeaux. La famille, installée au Piny-Bas (Yssingeaux) 263 264 265 266 267 268 269 270 271 compte cinq autres enfants :
• Élisabeth Chevalier, née le 16 août 1781 au Piny Bas.
• Marianne dite Marie-Anne / Marguerite Chevalier, née le 19 avril 1784 au Piny Bas
• Marguerite Chevalier, née le 7 mars 1787 au Piny Bas.
• Jean Chevalier, né le 16 janvier 1790 au Piny Bas.
• Jean Chevalier, né le 1er juillet 1791 au Piny Bas.

Mariage

Après être passés chez Maître Delolme le 18 brumaire an XIV (9 novembre 1805) pour l’établissement de leur contrat de mariage, Pierre-Martin Pontvianne et Marianne Chevalier se marient le 28 brumaire an XIV (19 novembre 1805) à Yssingeaux. Pierre-Martin a 29 ans et Marianne a 21 ans. Leur union dure 32 ans et 5 mois.
Jusqu’à son mariage, Pierre-Martin vit à la Brousse avec ses parents. Il a déjà appris le métier de menuisier puisque c’est la profession mentionnée dans le contrat de mariage. Marianne Chevalier vit au Piny Bas, avec ses parents.
Jean Pontvianne donne, pour la constitution de la dot de son fils, 2 000 francs, 400 ayant déjà été remis, 200 suite au mariage et les 1400 restants par tranches de 100 francs annuels.
Jean Chevalier donne à sa fille 1 400 francs – dont 300 immédiatement, le reste, en onze paiements, par tranche annuelle de 100 francs. S’y ajoute un ensemble de lit complet (matelas, couverture de pays, deux draps, un traversin), et d’un habit « suivant son état et condition », le tout estimé à 85 francs. Comme pour Pierre-Martin, cette dot lui tient lieu de légitime.
Pierre Martin et Marianne se marient sous le régime dotal.

Enfants

Pierre-Martin et Marianne ont 11 enfants connus :
• Jean Pontvianne, né le 7 août 1807 à Yssingeaux, faubourg de Pompet, décédé le 31 juillet 1884 dans la même localité, La Terrasse, à l’âge de 76 ans. Marié avec Marguerite SABY, il a au moins deux enfants : Antoine et Auguste.
• un enfant né sans vie le 24 juin 1809 à Yssingeaux, faubourg de Pompet.
• Pierre Pontvianne, né le 3 janvier 1812 à Yssingeaux .
• Marie Pontvianne, née le 3 décembre 1813 à Yssingeaux .
• Antoine Pontvianne, né le 14 février 1816 à Yssingeaux , décédé le 9 avril 1869 à Mezeyrolles (commune d’Yssingeaux), à l’âge de 53 ans. Il s’unit avec Marie MONMÉAT.
• Martin Pontvianne, né le 9 janvier 1818 à Yssingeaux, faubourg de Pompet, décédé le 11 mai 1827 à Darnapsat, à l’âge de 9 ans.
• Auguste dit Augustin Pontvianne, né entre 1820 et 1822 à Yssingeaux .
• Félix Pontvianne, né le 7 avril 1822 à Livinhac (Yssingeaux), dont est issu la lignée étudiée et qui sera présenté au prochain chapitre,
• Marie dite Henriette Pontvianne, née le 29 septembre 1823 à Livinhac, décédée le 11 avril 1900 à Yssingeaux rue Notre Dame, à l’âge de 76 ans.
• Magdelène dite Marianne Pontvianne, née en 1827 à Darnapsat, décédée le 21 décembre 1888 à Yssingeaux Rue Traversière, à l’âge de 61 ans. Elle a un enfant illégitime, né sans vie. Puis elle se marie avec Jacques SOULAS.
• Louis Pontvianne, né le 9 mars 1830 à Yssingeaux . Il s’unit avec Marie Anne GIBERT le 3 mars 1862.
Quatre des derniers enfants de Pierre-Martin et Marianne ne sont jamais déclarés à l’état civil sur Yssingeaux, malgré que les parents résident bien sur cette commune. On ne les connaît que via des sources tierces (en dehors des registres de baptêmes, qui ont brûlé dans les incendies des archives diocésaines).

Activités professionnelles

Si Marianne est généralement désignée en tant que ménagère, les métiers exercés par Pierre Martin Pontvianne tout au long de sa vie sont plutôt variés. Au moment de son mariage, il est à la fois désigné comme menuisier (contrat de mariage) et comme cultivateur (acte de mariage). On en déduit qu’il a appris la menuiserie mais que, vivant toujours avec ses parents à La Brousse, il participe au travail agricole fait sur ce domaine. Par la suite, on le découvre cabaretier, puis maçon, menuisier et charpentier aléatoirement. Les trois derniers métiers étant liés – ce sont des corps d’état du bâtiment – il y a comme une logique. Pour la tenue du cabaret, c’est une autre histoire… dont le mystère reste entier à ce jour.

Evènements marquants

En 1818, Pierre-Martin hérite de son oncle Jean Antoine Pontvianne, une maison située à Pompet dont sa tante a encore l’usufruit.
Jean Antoine Pontvianne est le frère cadet du père de Pierre-Martin, Jean Pontvianne. Il vit à Yssingeaux, quartier de Pompet, où il exerce la profession de maréchal-ferrant. Marié à Catherine Verdier, il est veuf, et aucun de ses enfants n’a survécu. En 1818, il est malade et sentant sa fin proche, il dicte son testament en faveur de Catherine Verdier, son épouse, à qui il lègue 400 francs ainsi que l’usufruit de la maison et de la boutique de Pompet, d’une parcelle située au Piny Bas.
A sa soeur Marianne, épouse de Régis Bernard, il lègue 100 francs, à Claudine Savel, religieuse à l’hospice d’Yssingeaux, la somme de 25 francs.
A son frère Mathieu, qui vit à Lyon, il donne 100 francs.
Une fois son épouse décédée, la maison reviendra à Pierre-Martin Pontvianne, son neveu, tandis que la terre du Piny Bas reviendra à Antoine, frère de Pierre-Martin.
Le troisième frère, Pierre, exploitant du domaine de La Brousse, est désigné comme légataire universel et reçoit le reste de ses biens. Antoine souhaite être enterré dans le cimetière de l’église paroissiale, et s’en remet à son épouse pour ses honneurs funéraires et messes.
Par ailleurs, Pierre-Martin Pontvianne est le premier de la lignée que l’on voit apparaître dans les registres des hypothèques, où il possède une case avec une seule inscription. Faute de temps, l’acte n’a pas pu être recherché à ce jour, mais on sait néanmoins que le 1er septembre 1808, une créance de 1000 francs a été inscrite dans le cadre d’une hypothèque conventionnelle.

Décès et succession

Pierre-Martin est décédé le 23 avril 1838, âgé de 62 ans, à Mezeyrolles. Il n’a pas laissé de testament. Toutefois, lors du mariage de son fils aîné Jean avec Marguerite Saby, il a pris des dispositions testamentaires, inscrites dans le contrat de mariage de ce dernier. Pierre-Martin lègue à son fils la moitié du quart de tous ses biens, soit le 8ème, par préciput et hors part sur sa succession. Peut-être avait-il prévu de léguer l’autre moitié à un autre enfant mais a priori il n’en a pas eu le temps. Il laisse neuf enfants en vie, qui se partagent le reste de ses biens.
Marianne décède bien après son mari, à 80 ans, le 28 mars 1865, rue Basse à Yssingeaux, chez son fils Louis. Au XIXe siècle, Marianne Chevalier est la seule des épouses Pontvianne à bénéficier d’une déclaration de succession suite à son décès, et à avoir fait un testament. Seuls ses six fils vivants sont cités dans sa déclaration de succession, ses filles ne sont pas mentionnées. Le 4 mars 1859, six ans auparavant, son testament avait été reçu par maître Archer, notaire à Yssingeaux. Elle ne possède pas d’immeuble mais lègue à son fils Antoine, préciputaire de ses biens, quelques meubles estimés, 10 francs, du linge de maison et son vestiaire, estimés 40 francs.

GENERATION 9 : FELIX PONTVIANNE ET MARGUERITE OUILHON : LE COUPLE PIVOT

Le terme « pivot » n’a pas été choisi par hasard. Plus qu’une articulation entre les générations de la lignée étudiée dans ce mémoire, le couple formé par Félix Pontvianne et Marguerite Ouilhon est aussi à une place d’interface entre l’Ancien régime – qu’ont connu leurs parents – et le XIXème siècle « en marche », celui de l’expansion démographique, de la révolution industrielle, de l’arrivée du chemin de fer, du progrès des sciences et notamment l’émergence de la médecine (dans sa conception actuelle), et du début de l’exode rural. Marguerite décède jeune, à 36 ans (en couche ? aucune source trouvée à ce jour ne le mentionne), sous le Second Empire. Félix connaît, lui, les premières heures de la IIIème république. Pour rappel, tous deux étaient nés sous la Restauration (1822 pour lui, 1826 pour elle). Même s’ils ne sont pas au coeur des évènements « parisiens » de par leur éloignement géographique et leur mode de vie (pas d’implication politique retrouvée à priori), il est difficile d’imaginer que ces bouleversements politiques et sociaux aient pu rester sans impact sur leur façon de voir le monde qui les entoure. Nous allons essayer, dans les lignes qui suivent, d’apporter un éclairage sur leur environnement et les évènements qui les touchent de près.

La famille de Marguerite Ouilhon

Issue d’une grande fratrie, Marguerite est née le 5 octobre 1826.
Son père, Jean dit Mathieu OUILHON est né le 12 germinal an VII (1er avril 1799) à La Roche, commune de Tence (à côté d’Yssingeaux). Sa mère, Marie Borie, également désignée Marguerite Sarda (car originaire du lieu-dit Sardat, commune de Saint-Hostien313) est née le 26 avril 1795.
Jean dit Mathieu Ouilhon a eu une première épouse : Marie DEYRAIL. Mariés le 2 février 1818, cette union ne dure que neuf mois, car Marie décède le 6 septembre de la même année. Peut-être est-elle morte en couche.
Jean épouse Marie Borie le 1er février 1820 à Yssingeaux, et au moins dix enfants voient le jour :
• Henriette Ouilhon, née le 26 décembre 1823 au Neyrial, commune d’Yssingeaux, célibataire, décédée le 1er avril 1855 au Le Neyrial, à l’âge de 31 ans.
• Marie-Anne Ouilhon, née le 7 octobre 1825 au Neyrial, épouse de Jean Dumas, à Yssingeaux.
• Marguerite dite Marie Ouilhon, dont est issue la lignée étudiée
• Marie Ouilhon, née le 13 novembre 1827 au Neyrial, religieuse dans l’ordre de Saint-Joseph.
• Jean Ouilhon, né le 31 mars 1829 au Neyrial, cultivateur à Yssingeaux .

L’armée : Félix tire un bon numéro

Né en 1822, Félix Pontvianne appartient à la classe 1842. Cette année-là, il participe au tirage au sort, comme tous les hommes de 20 ans habitant le canton. Et parmi ces hommes, on découvre l’existence d’Augustin ou Auguste, frère de Félix. Ils sont tirés au sort la même année mais rien ne permet de prouver qu’ils sont bien tous les deux nés en 1822 : aucun acte de naissance ou de baptême n’ayant pu être retrouvé pour Augustin. Toujours est-il qu’ils sont tous les deux « bons » pour le service mais Augustin, tiré dans les premiers, part, ce qui n’est pas le cas de Félix .

Etude des transcriptions hypothécaires

L’étude des transcriptions hypothécaires de Felix Pontvianne nous livre essentiellement des informations sur l’acquisition et la vente de biens immobiliers.
La première transcription est datée du 2 mai 1863 et renvoie à une vente passée les 9 et 19 avril 1863 chez maître Archer, notaire à Yssingeaux. Ce sont les enfants de Pierre-Martin Pontvianne qui vendent à Claude Chambe, terrassier à Terre Noire, commune de Saint-Jean Bonnefond (Loire), originaire de Bessamorel, une maison avec jardin, pré et terre situés dans le quartier de Pompet, contenant environ 41 ares, venant de la succession de leur père, Pierre-Martin Pontvianne. Le tout vaut, en 1863, 2750 francs
En 1863 toujours, le 25 octobre, Félix Pontvianne achète à Louis Peyrard, originaire d’Yssingeaux, boulanger à la Baraillère commune de Saint-Jean-Bonnefond, un tènement de terre et pré appelé Chatimbarbe, situé au terroir de Chatimbarbe, près d’Ardhuy, commune d’Yssingeaux, contenant 62 ares et 70 centiares, provenant de la succession d’Antoine Peyrard, père de Louis, cultivateur à Yssingeaux. Le prix de la parcelle est de 1800 francs.
La troisième transcription hypothécaire est intrinsèquement liée à la précédente. Il s’agit d’un acte notarié daté du 28 octobre 1863, par lequel Thérèse Paulin, épouse de Louis Peyrard, déclare se désister en faveur de Félix Pontvianne de tout droit d’hypothèque légale et autres relatives au tènement de terre situé à Chatimbarbe, vendu par son mari Louis Peyrard.
Enfin, le 25 juin 1867, Félix Pontvianne achète aux cohéritiers de Jean Aulagne « tènement de maison et écurie, le tout attenant, comprenant un rez-de-chausée, une cave, un 1er étage et des galetas », situé faubourg de Pompet, pour le prix de 1800 francs. Sur le cadastre, il est noté que ce bien n’entre qu’en 1869 : le nombre important des cohéritiers (sept) et les trois procurations nécessaires ont retardé la conclusion de la vente (ce que l’on comprend à la lecture de la transcription de l’acte).

Etude cadastrale

Le rôle de Félix Pontvianne dans la matrice cadastrale d’Yssingeaux ne compte que quatre lignes, dont voici la transcription.

 

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Table des matières
Consignes 
Recherche 
Restitution 
Remerciements 
Introduction : le choix du sujet 
Chapitre 1 Les premiers jalons méthodologiques 
Etat civil et archives religieuses (NMD / BMS).
Archives notariales, Contrôle des actes et Enregistrement
Recensements
Cadastre
Armée
Hypothèques
Succession
Les informations relatives aux contemporains
Chapitre 2 Yssingeaux, une petite ville au coeur du Velay 
Aux origines de la ville
Un essor important dès la fin du Moyen-Âge
Démographie
Un espace tampon entre Réformés et Ligueurs
Quelques éléments sur le cadre de vie à l’époque moderne
L’ « amphizone yssingelaise »
Chapitre 3 Générations 1 à 8 : ascendants et collatéraux de Félix Pontvianne 
Génération n°1 : Vital Pontviane 
1. Transcription de l’acte de baptême de Gabriel : la mention du grand-père
2. Enfants connus
3. Activité professionnelle et lieux habités
4. Décès
Génération n°2 : Marcelin Pontviane et Magdalène Sarda 
1. Les familles de ses épouses, Magdalène Sarda et Catherine Delaigue
2. Mariages
3. Enfants
4. Activités professionnelles
5. Lieux habités
6. Décès
Génération n°3 : Vital Pontviane et Gabrielle Vocanson 
1. La famille de Gabrielle Vocanson
2. Mariage
3. Enfants du couple
4. Activités professionnelles
5. Lieux habités
6. Décès
Génération n°4 : Tanequin Pontvianne et Clauda Abrial 
1. Le premier mariage de Tanequin Pontvianne, avec Françoise Jousserand
2. La famille de Clauda Abrial
3. Mariage
4. Enfants du couple
5. Activités professionnelles
6. Les lieux habités
7. Le second mariage de Clauda Abrial
8. Décès
Génération n°5 : Jean Pontviane et Anne Marie Mathias 
1. La famille d’Anne Marie Mathias
2. Mariage
3. Enfants du couple
4. Activités professionnelles
5. Les lieux habités
6. Décès et succession
Génération n°6 : Martin Pontvianne et Madeleine Boncompain
1. La famille de Madeleine Boncompain
2. Mariage
3. Enfants du couple
4. Activités professionnelles
5. Les lieux habités
6. Le premier propriétaire de la lignée
7. Décès et succession
Génération n°7 : Jean Pontvianne et Jeanne-Marie Metail 
1. La famille de Jeanne Marie Metail
2. Mariage
3. Enfants du couple
4. Activités professionnelles
5. Les lieux habités
6. Jean Pontvianne : prêteur, tutelle, acquéreur
7. Décès et succession
Génération n°8 : Pierre-Martin Pontvianne et Marianne Chevalier 
1. La famille de Marianne Chevalier
2. Mariage
3. Enfants
4. Activités professionnelles
5. Les lieux habités
6. Evènements marquants
7. Décès et succession
Chapitre 4 Génération 9 : Félix Pontvianne et Marguerite Ouilhon : le couple pivot 
1. La famille de Marguerite Ouilhon
2. Mariage
3. Enfants du couple
4. Activités professionnelles
5. Les lieux habités
6. L’armée : Félix tire un bon numéro
7. Etude des transcriptions hypothécaires
8. Etude cadastrale
9. Décès et succession
Chapitre 5 Générations 10 à 15 : une branche descendante agnatique 
Génération n°10 : Pierre Pontvianne et Augustine Court 
1. La famille d’Augustine Court
2. Mariage
3. Enfants du couple
4. Activités professionnelles
5. Les lieux habités
6. Evènements marquants
7. Décès et succession
Génération n°11 : Louis Pontvianne et Alexandrine Jouve 
1. La famille d’Alexandrine Jouve
2. Mariage
3. Enfants du couple
4. Activités professionnelles
5. Les lieux habités
6. Evènements marquants
7. Décès et succession
Génération n°12 : Pierre Pontvianne et Maria Boncompain 
1. La famille de Maria Boncompain
2. Mariage
3. Enfants
4. Activités professionnelles
5. Les lieux habités
6. Evènements marquants
7. Décès et succession
Génération n°13 : Louis Pontvianne et Jacqueline Vial 
1. La famille de Jacqueline Vial
2. Mariage
3. Enfants
4. Activités professionnelles
5. Les lieux habités
6. Quelques éléments du parcours de Louis Pontvianne
7. Décès de Louis Pontvianne
Génération n°14 : Pierre Pontvianne et Charlotte Oudin 
1. La famille de Charlotte Oudin
2. Mariage
3. Enfants
4. Activités professionnelles
5. Les lieux habités
CONCLUSION 
BIBLIOGRAPHIE
Usuels
Généalogie et histoire des familles
Histoire 
6. Histoire générale de la France, XVIe-XXe siècles
7. Histoire sociale de la France, XIVe-XXe siècles
8. Histoire culturelle de la France, XXIe-XXe siècles
9. Ouvrages et articles spécialisés
Le département de la Haute-Loire
10. Généralités et monographies
11. Histoire des religions
12. Yssingeaux
Sites internet 
Annexe n°1 : Carte mentale « Recherches en généalogie et histoire des familles »
Annexe n°2 – paroisse d’Yssingeaux : tableau récapitulatif des registres BMS conservés par période
Annexe n°3 : La famille Pontvianne en bref
• Anthroponymie
• En chiffres
• Alphabétisation

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