VIRUS DE L’IMMUNODEFICIENCE HUMAINE : VIH

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Entrée du virus et transport intracellulaire

Après interaction avec la membrane, le virus pénètre dans la cellule par un mécanisme d’endocytose et de fusion membranaire. En plus, un clivage des protéines de surfaces a lieu à l’intérieur de l’endosome, ce qui a pour effet de démasquer des motifs peptidiques nommés TLM (membrane translocation motif) présents dans ces protéines de surfaces.
L’exposition des TLM permet la fusion de l’enveloppe virale avec la membrane de l’endosome et donc le transfert de la nucléocapside vers le cytoplasme [124] La nucléocapside est alors transportée vers le noyau cellulaire grâce aux séquences NLS présentes en c-terminal des protéines core..
Puis, arrivée au pore nucléaire, elle est désassemblée et l’ADN viral qui passe les pores nucléaires via le système d’importation des protéines nucléaires utilisant les importines.
L’ADN viral est enfin libéré dans le noyau..

Formation de l’ADNccc

Dans le noyau, l’ADN est convertit en un ADN circulaire covalent clos superenroulé nommé ADNccc [114]. Différentes tâches sont effectuées lors de cette étape du cycle viral:
L’achèvement de la synthèse du brin (+)
La dégradation de l’oligoribonucléotide dérivé de l’ARNpg et fixé en 5’ du brin (+)
Le décrochage de la polymérase virale lié au brin (-) de façon covalente La dégradation de la partie redondante du brin (-)
La ligation des extrémités du brin (+)

Synthèse des ARN viraux et encapsidation de l’ARNpg

L’ADNccc sert de matrice à l’ARN polymérase II cellulaire pour la transcription des ARN viraux. Les ARN viraux sont ensuite transportés vers le cytoplasme ou sont traduites les diverses protéines virales. Outre son rôle de ARNm pour la synthèse du protéiné core et de la polymérase virale. L’ARNpg est aussi la matrice nucléotidique utilisée pour former une nouvelle copie d’ADN viral par transcription inverse..

Synthèse du brin d’ADN (-)

La transcription inverse débute par la création d’une liaison phosphodiester entre un résidu tyrosine de la polymérase virale et une courte amorce d’ADN complémentaire (4 bases). Le complexe polymérase/amorce est ensuite transféré à l’extrémité 3’de l’ARNpg à partir d’où a lieu l’élongation du brin d’ADN (-)..

Synthèse du brin d’ADN (+)

Un morceau de l’ARNpg de 20 nucléotides de long lié à la coiffe est épargné par l’activité RNAse Het va servir d’amorce à la synthèse du brin d’ADN(+). En effet, cet oligonucléotide est transféré vers la région 5’ du brin d’ADN(-). Il y a circularisassion du brin (-) pour aboutir, enfin, à de l’ADNrc [14].

Sécrétion des virions ou recyclage des nucléocapsides néoformées

Les nucléocapsides matures ont deux devenirs distincts. D’une part, elles peuvent interagir avec les protéines de surfaces situées au niveau de la membrane du réticulum endoplasmique pour conduire à l’exocytose de virions infectieux. D’autre part, elles peuvent être recyclées vers le noyau de la cellule afin d’amplifier le nombre de copies d’ADNccc dans le noyau..

Marqueurs viraux de l’hépatite B

 Ag HBs :
L’antigène HBs correspond à une production en excès d’enveloppe virale. Il traduit la présence du VHB alors que les antigènes préS1 ou préS2 traduisent la réplication virale mais ne sont pas recherchés en diagnostic de routine. L’Ag HBs est le premier marqueur retrouvé dans le sang environ 1 à 3 mois après la contamination. Il est détecté dans le sérum à l’aide de tests sérologiques immunoenzymatiques de type ELISA, utilisant des anticorps monoclonaux. Les anticorps anti-HBs apparaissent progressivement au cours de l’élimination virale. L’apparition de ces anticorps signe soit l’arrêt de la réplication virale avec guérison, soit une protection post-vaccinale. Ils sont recherchés dans le sérum par des techniques ELISA.
 Ag HBc :
L’antigène HBc n’étant pas excrété dans le sérum, sa détection n’est pas réalisée en pratique courante. Les anticorps anti-HBc apparaissent précocement dans le sérum, quelle que soit l’évolution de la maladie. Ce ne sont pas des anticorps protecteurs mais seulement les témoins d’une infection par le VHB. Ils sont détectés dans les primo-infections mais sont inconstamment retrouvés lors des réactivations.
 Ag HBe :
L’antigène HBe est détectable dans le sérum par ELISA mais aussi par RIA, Immunodiffusion. Il témoigne d’une réplication virale. La disparition de l’Ag HBe, mais surtout l’apparition des Ac anti-HBe sériques sont en faveur d’une rémission. Cependant, la présence d’Ac anti-HBe ne suffit pas pour affirmer la négativation de la réplication virale : dans certains cas, malgré la présence d’Ac anti-HBe, l’ADN viral reste détectable et l’infection poursuit son évolution.

Cinétique d’apparition des marqueurs

– Phase d’hépatites B aiguë : Après une incubation variant de 10 semaines à 6 mois l’infection par le VHB entraîne une hépatite aiguë. Les formes asymptomatiques de l’infection à VHB sont les plus fréquentes et représentent 70 % des hépatites B ; cependant l’absence de symptômes n’empêche pas le virus de s’attaquer au foie. La forme symptomatique de l’hépatite aiguë se caractérise par un ictère, une grande fatigue (asthénie), une perte d’appétit (anorexie), des nausées et parfois de la fièvre, ainsi que des taux très élevés de transaminases sériques [93]. La réplication virale est intense et la charge virale peut atteindre 1010 copies de génome/ml de sérum. Puis elle décroît progressivement et devient indétectable lorsque l’hépatite est spontanément résolutive. L’antigène HBs apparaît en moyenne 1 à 3 mois après la contamination et précède parfois l’élévation des transaminases et les signes cliniques. Il disparaît généralement en 1 ou 2 mois après la normalisation des transaminases. L’antigène HBe apparaît peu après l’Ag HBs et disparaît rapidement (sa persistance au-delà de trois semaines après le début des manifestations cliniques suggère une évolution vers la chronicité). Ce marqueur, témoin de la réplication du VHB, n’a pas d’intérêt diagnostique au stade aigu. En revanche la séroconversion HBe annonce un arrêt de la réplication virale. Les anticorps anti-HBe deviennent détectables dans le sérum entre 2 à 4 semaines après l’Ag HBs et persistent toute la vie. Ainsi, une évolution favorable est annoncée par la normalisation des transaminases et successivement, les séroconversions HBe et HBs. [58]
– Phase d’hépatite B chronique: Au cours des hépatites chroniques, la charge virale varie selon les phases de l’infection : elle est relativement élevée pendant la phase d’immunotolérance, puis chute lors de la phase d’équilibre jusqu’à devenir parfois indétectable (selon la sensibilité de la technique utilisée). Les réactivations virales s’accompagnent d’une réascension de l’ADN sérique à des niveaux élevés. Les antigènes HBs et HBe restent détectables pendant plus de 6 mois, parfois même durant quelques décades, et les transaminases sont retrouvées à des taux élevés. Après plusieurs années, on peut observer une séroconversion HBe (disparition de l’Ag HBe, apparition des Ac anti-HBe). Elle n’est pas toujours associée à une négativation de l’ADN viral sérique. Il arrive qu’à long terme l’Ag HBs disparaisse à son tour et que, parfois, des Ac anti-HBs émergent à des taux très faibles : cette séroconversion HBs ne survient que chez 5 à 10 % des patients. Dans ce cas, seuls les Ac anti-HBc restent détectables, quasi indéfiniment. Il faut noter que chez les patients immunodéprimés et/ou co-infectés par le VIH, les épisodes de réapparition de l’Ag HBs après la « guérison » de l’infection ne sont pas rares. Ils soulignent soit une réactivation de la souche initiale soit une réinfection par une autre souche de VHB [32].

VIRUS DE L’IMMUNODEFICIENCE HUMAINE : VIH

Epidémiologie

Répartition géographique

 Répartition dans le monde.
Depuis le début de l’épidémie, de plus de 75.7 millions de personnes ont été infectées par le virus VIH et environ 32.7 millions de personnes sont décédées des suites du VIH. À l’échelle mondiale, 38.0 millions [31.6 millions–44.5 millions] de personnes vivaient avec le VIH à la fin de 2019. Environ 36.2 millions [30.2 millions–42.5 millions] d’adultes et 1.8 millions [1.3 millions–2.2 millions] d’enfants (0-14 ans) dans le monde vivent avec le VIH.
À la fin de 2019, 25.4 millions [24.5 millions–25.6 millions] de personnes avaient accès au traitement antirétroviral, soit une augmentation de 6.4 millions [5.9 millions–6.4 millions] par rapport à 2009.
En 2019, 67% [54–79%] de toutes les personnes vivant avec le VIH avaient accès au traitement dont 68% [54–80%] des adultes de 15 ans et plus vivant avec le VIH ont eu accès au traitement, tout comme 53% [36–64%] des enfants de 0 – 14 ans et 73% [60-86%] des femmes adultes de 15 ans et plus ont eu accès au traitement, cependant seulement 61% [48-74%] des hommes adultes de 15 ans et plus y avaient accès. Aussi 85% [63–100%] des femmes enceintes vivant avec le VIH avaient accès à des médicaments antirétroviraux pour prévenir la transmission du VIH à leurs bébés en 2019.
Les nouvelles infections à VIH ont été réduites de 40% depuis le pic de 1998. – En 2019, 1,7 millions [1,2 millions – 2,2 millions] de personnes étaient nouvellement infectées par le VIH, contre 2,8 millions [2,0 millions – 3,7 millions] en 1998. Elles ont diminué d’environ 23 %, passant de 2,1 millions [1,6 millions – 2,9 millions] en 2010, à 1,7 millions [1,2 millions – 2,2 millions] en 2019. Depuis 2010, les nouvelles infections à VIH chez les enfants ont diminué de 52 %, de 310 000 [200 000 – 500 000] en 2010 à 150 000 [94 000 – 240 000] en 2019.
Les décès liés au sida ont été réduits de plus de 60 % depuis le pic de 2004. En 2019, 690 000 [500 000 – 970 000] de personnes sont décédées de maladies liées au sida dans le monde, contre 1,7 millions [1,2 millions – 2,4 millions] en 2004 et 1,1 millions [830 000 – 1.6 millions] en 2010. Ils ont été réduits de 39% depuis 2010..

Mode de transmission du VIH

Les 3 seuls modes de transmission du VIH sont :
la transmission par voie sexuelle, lors de rapports sexuels non protégés avec une personne infectée.
la transmission par voie sanguine, par exposition au sang d’une personne infectée.
la transmission de la mère à l’enfant, lors de la grossesse, de l’accouchement ou de l’allaitement au sein.
Il n’existe pas d’autres modes de transmission du VIH prouvés à ce jour.
Schématiquement, plus grande est la quantité de virus présent (charge virale) dans le produit biologique contaminant, plus le risque de transmission est grand. Inversement, la non détection de la charge virale réduit fortement sa transmission sans l’empêcher complètement
 Situations sans risque de transmission [30] Le VIH n’est pas transmissible :
par voie respiratoire.
par simple contact social, que ce soit à la maison, dans des soirées, au travail, à l’école ou même en prison.
par l’alimentation ou par l’eau.
par les insectes, comme les moustiques.
Il n’y a aucun risque :
à embrasser ou serrer la main d’une personne infectée.
à utiliser des objets ayant été en contact avec une personne infectée (couverts, verres, vêtements, téléphone…).
de se contaminer aux toilettes ou dans les piscines.
 Transmission par voie sexuelle [104]
Mode de transmission le plus fréquent
La transmission par voie sexuelle est à l’origine de plus de 80 % des nouvelles infections par le VIH dans le monde et de plus de 90 % en Afrique [119].
 Transmission par contact génital ou anal avec les sécrétions génitales de la personne infectée Lors de la transmission sexuelle du VIH, ce sont les sécrétions génitales qui transmettent le virus (sperme chez l’homme, sécrétions vaginales chez la femme).
La contamination se produit lors de rapports sexuels par voie génitale ou anale.
La contamination par voie buccale, notamment lors d’une fellation avec éjaculation, est possible mais non prouvée.
La contamination n’est pas possible par voie digestive.
 Risque de transmission hétérosexuelle plus important de l’homme vers
la femme que de la femme vers l’homme
Le risque de transmission hétérosexuelle du VIH est environ 2 fois plus élevé pour une femme ayant un rapport non protégé avec un homme VIH+ (0,05 à 0,15 %) que pour un homme ayant un rapport non protégé avec une femme VIH+ (0,03 à 0,09 %) [89]. Cette différence s’explique en partie par un temps de contact du sperme contaminé avec la muqueuse vaginale plus important que celui des sécrétions vaginales avec la muqueuse du gland (l’homme se « retirant » après éjaculation). Elle contribue à la fréquence globalement plus élevée de l’infection à VIH chez les femmes et à leur contamination à un âge plus jeune que les hommes.
 Transmission homosexuelle à ne pas négliger
Entre hommes, le risque de transmission homosexuelle du VIH lors de rapports avec pénétration anale est élevé en raison de la fragilité et de la perméabilité de la muqueuse anale :
lors d’un rapport, le risque est de 0,01 à 0,18 % pour un homme pratiquant une pénétration anale non protégée sur un homme VIH ;
il atteint 0,3 à 3 % en cas de pénétration anale non protégée par un partenaire VIH+.
 Trois principaux facteurs de risque de transmission sexuelle
Les trois principaux facteurs de risque de transmission sexuelle du VIH sont :
l’importance de la charge virale dans le sang, celle-ci entraînant la présence d’une quantité élevée de virus dans les sécrétions génitales ;
l’existence de lésions génitales, surtout si elles sont ulcérées, qui facilitent la pénétration du virus à travers la muqueuse (par exemple, ulcères herpétiques) ;
la multiplicité des partenaires sexuels, qui augmente le risque de contact avec un partenaire infecté par le VIH.
D’autres facteurs de risque existent :
Infection à VIH-1 (plus virulent que le VIH-2), rapports sexuels au moment des règles, absence de circoncision chez l’homme ;
facteurs augmentant le risque de contact avec un partenaire infecté par le VIH : rapports sexuels précoces, recours à la prostitution, faible statut de la femme.
 Transmission par voie sanguine [104]  Transmission par injections de drogue
La toxicomanie intraveineuse expose au risque de transmission sanguine du VIH lorsqu’il y a partage de seringues, d’aiguilles ou de tout autre matériel nécessaire aux injections (coton, cuillère, etc.). Elle reste le principal mode de transmission en Europe de l’Est, dans les Caraïbes et en Amérique latine [119]. Il en est de même en Espagne [24].
Le risque est de l’ordre de 0,67 % en moyenne par contact à risque, plus important que pour un rapport sexuel non protégé
 Transmission par transfusion sanguine
La transmission du VIH par transfusion sanguine a aujourd’hui beaucoup diminué grâce au dépistage sérologique systématique du virus chez tous les donneurs de sang. La garantie d’un sang non contaminé n’est cependant pas totale dans la mesure où l’infection à VIH comporte une fenêtre sérologique (au cours de la primo-infection) pendant laquelle les anticorps dirigés contre le virus ne sont pas détectables, le risque est alors d’autant plus important que la prévalence du VIH est élevée (risque plus élevé que le donneur soit en phase de primo-infection).
 Transmission par utilisation de matériel souillé
Le matériel souillé par du sang contaminé peut être à l’origine d’une transmission du VIH s’il entre en contact avec le compartiment sanguin d’une personne non infectée.
Il est donc impératif de n’utiliser que du matériel à usage unique ou stérilisé pour tout geste exposant à un contact sanguin (soins, endoscopies, scarification, circoncision, tatouage, etc.).
 Transmission lors d’accidents d’exposition des professionnels Ce mode de transmission intervient lors d’AES.
Lors d’un AES, le risque de transmission virale ne concerne pas que le VIH (0,3% par contact à risque) mais également, et de façon plus importante, le VHC (2 %) et le VHB (> 20 %).
Les facteurs de risque de transmission lors d’un prélèvement sont :
la réalisation d’un prélèvement contenant du sang ; l’utilisation d’une aiguille creuse de gros calibre
un prélèvement pratiqué sans gants et sans conteneur à aiguilles ;
l’existence d’une infection VIH à un stade avancé chez la personne prélevée.
 Transmission de la mère-enfant (TME) ou transmission verticale
Cette voie est le mode quasi-exclusif de contamination des enfants par le VIH [17]. La transmission mère-enfant a lieu surtout en fin de grossesse (5%), au cours de l’accouchement (15%) mais aussi pendant l’allaitement (15%) [104]. Elle est 31
exceptionnelle au cours des deux premiers trimestres de grossesse (fausse couche, accouchement prématuré). Le niveau de la charge virale plasmatique de la mère est un déterminant majeur du risque de transmission à l’enfant. Les accouchements traumatiques majorent le risque de transmission à l’enfant [104].
En l’absence de traitement ARV, le taux de transmission mère-enfant est de 20 à 25% pour le VIH-1 et d’environ 1 à 4% pour le VIH-2. Sous traitement ARV, ce taux peut être réduit pour atteindre des taux de 0,8 à 1,8%. Le diagnostic prénatal de l’infection au VIH n’est pas encore réalisable [104].
Lors de l’allaitement par une mère infectée, le risque de transmission à l’enfant est important durant les deux premiers mois, mais persiste pendant toute la durée de l’allaitement [104].
De nos jours, cette transmission mère-enfant est de plus en plus traduite sous le concept de transmission parents-enfants ceci, afin de ne pas stigmatiser la femme et de conscientiser le père sur sa responsabilité dans la transmission du VIH à l’enfant.

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Table des matières

INTRODUCTION
1. GENERALITES : LES VIRUS TRANSMISSIBLES PAR LA TRANSFUSION (VHB, VIH, VHC)
1.1. Virus de l’hépatite B: VHB
1.1.1. Epidémiologie
1.1.1.1. Répartition géographique
1.1.1.2. Mode de transmission
1.1.2. Caractéristiques virologiques
1.1.2.1. Taxonomie
1.1.2.2. Structure du virus de l’hépatite B
1.1.2.3. Organisation génomique
1.1.2.4. Marqueurs viraux de l’hépatite B
1.1.2.5. Cinétique d’apparition des marqueurs
1.2. VIRUS DE L’IMMUNODEFICIENCE HUMAINE : VIH
1.2.1. Epidémiologie
1. 2.1.1. Répartition géographique
1.2.1.2. Mode de transmission du VIH
1.2.2. Caractéristiques virologiques
1.2.2.1. Taxonomie
1.2.2.2. Structure
1.2.2.3. Organisation génomique
1.2.2.4. Marqueurs viraux du VIH
1.2.2.5. Cinétique des marqueurs du VIH
1.3. LE VIRUS DE LHEPATITE C : VHC
1.3.1. Epidémiologie :
1.3.1.1. Répartition géographique
1.3.1.2. Mode de transmission
1.3.2. CARACTERISTIQUES VIROLOGIQUES
1.3.2.1. Taxonomie
1.3.2.2. Structure
1.3.2.3. Organisation génomique
1.3.2.4. Cinétique des marqueurs du VHC
2. SECURITE TRANSFUSIONNELLE
2.1. Définition :
2.2 Don de sang :
2.3 Promotion du don de sang
2.4. Critères de sélection des donneurs de sang
2.5. Types de donneur de sang
2.6. Types de don
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
1.CADRE D’ETUDE
1.1 Présentation de la région de Ziguinchor
1.1.1. Situation géographique
1.2 Présentation des districts sanitaire de Ziguinchor
2. MATERIEL ET METHODE
2.1. Type d’étude
2.2. Lieu et période d’étude
2.3. Critères d’inclusions
2.4. Critères de non inclusion
2.5. Recueil de données
2.6. Organisation de la banque de sang de l’hôpital de la Paix
2.7. Description de l’équipe mobile
2.8. Technique de dépistage de l’hépatite virale B chez les donneurs
2.8.1. Tests sérologiques du VHB
2.8.2. Interprétation des résultats
2.9. Tests sérologiques du VIH
2.10. Tests sérologiques du VHC
2.11. Saisie et analyse des données
2.12. Contraintes ou biais
3. RESULTATS :
3.1. Etude descriptive :
3.1.1. Données Sociodémographiques
3.1.1.1. Répartition des donneurs en fonction de l’âge
3.1.1.2. Répartition des donneurs en fonction du sexe
3.1.1.3. Répartition des donneurs en fonction de la situation matrimoniale
3.1.1.4. Répartition en fonction du type de don
3.1.1.5. Répartition des donneurs en fonction du statut socioprofessionnel
3.1.2. Aspects cliniques et biologiques
3.1.2.1. Répartition des donneurs de sang en fonction du groupe sanguin
3.1.2.2. Répartition des donneurs de sang en fonction des signes cliniques
3.1.3. Répartition selon la séroprévalence des marqueurs infectieux (VHB, VHC, VHI)
3.2 ETUDE ANALYTIQUE
3.2.1. Analyse Bi-variée
4. DISCUSION
4.1 Caractères sociodémographiques des donneurs de sang
4.2. La séroprévalence des marqueurs viraux
4.2.1. Aspects épidémiologiques du VHB
4.2.2. Aspects épidémiologiques du VHC
4.2.3. Aspects épidémiologiques du VIH
4.2.4. Aspect analitique
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
REFERENCES
ANNEXE

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