UTILISATION DE l’AMANDE DE MANGUE (Mangifera indica) DANS L’ALIMENTATION DES VOLAILLES

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BESOINS ALIMENTAIRES CHEZ LE POULET DE CHAIR
Besoins en eau
L’eau représente près de 75% du poids du poulet à l’éclosion et 55% à l’âge adulte et en est de ce fait le principal constituant du corps des poulets (ARBELOT et DAYON, 1997). La présence d’eau propre et fraiche est d’importance primordiale pour l’absorption des éléments nutritifs et l’élimination des matières toxiques. Les oiseaux régulent leur température corporelle par évaporation d’eau via le tractus respiratoire. Les besoins en eau pour la thermorégulation sont donc élevés en milieu tropical. Le manque d’eau provoque une réduction de la consommation et de graves retards de croissance.
Une restriction de 10 % d’eau risque d’entrainer une baisse de la croissance et de l’efficacité des poulets de chair (quantité de nourriture nécessaire par kg de croissance). FERRANDO (1969) constate le même phénomène selon lequel la perte de poids est de 3 % après 10 h et de 11 % après 72 h en cas de privation totale d’eau. Celle-ci peut être associée à des lésions du gésier, de l’intestin grêle et de la muqueuse caecale. Le tableau I indique les consommations d’eau et d’aliment en fonction de l’âge chez le poulet de chair.

Besoins en énergie

Les besoins énergétiques pour la croissance comprennent les besoins en énergie pour l’entretien, l’activité et la constitution des tissus corporels nouveaux. Pour obtenir un niveau de croissance suffisamment appréciable, il faut tout d’abord satisfaire les besoins énergétiques pour l’entretien et l’activité de l’oiseau (PICARD, 2001). Le développement corporel du poulet de chair est d’autant plus rapide que la consommation quotidienne d’énergie métabolisable est élevée. L’ingéré énergétique journalier dépend évidemment des besoins de l’animal. Ces besoins selon ANSELME (1987) cité par BAGNA (2014), sont compris entre 3000 et 3200 kcal/kg avec un minimum de 3100 au démarrage et 3000 kcal/kg en finition.
La valeur énergétique d’une ration est l’un des principaux facteurs déterminant l’efficacité de son utilisation. Il faut moins d’aliment pour élever un poulet de chair lorsqu’on utilise des rations riche en énergie plutôt que faible en énergie. L’accroissement du niveau énergétique conduit toujours à une amélioration de l’indice de consommation et de la vitesse de croissance (AZZOUZ, 1997 Cité par OUAREST, 2008).

Besoins en protéines

Deuxième élément nutritif apporté dans l’alimentation après l’énergie, les protéines constituent la majeure partie de la viande de poulet et des œufs. Elles sont de 180 à 240 g par kilogramme d’aliment soit 18 à 24% selon AUSTIC (1982). Elles varient en fonction du niveau énergétique de l’aliment, de la souche, de la présentation de l’aliment et de l’âge des oiseaux (LARBIER et LECLERCQ, 1992 ; VIAS, 1995).
Les protéines sont constituées d’acides aminés essentiels c’est-à-dire ne pouvant être synthétisés par la volaille et les non essentiels qui peuvent être synthétisés à partir d’autres acides aminés ou à partir d’hydrates de carbone (SMITH, 1997). Les acides aminés essentiels doivent être obligatoirement apportés tels quels dans l’alimentation pour une croissance normale des poulets. Il s’agit principalement de la lysine et de la méthionine. Les besoins en méthionine sont élevés en climat chaud (UZU, 1989). La classification des acides aminés et les apports recommandés en protéines chez les poulets de chair en fonction de l’âge sont présentés dans les tableaux II et III.
MATIERES PREMIERES UTILISEES DANS l’ALIMENTION DU POULET ET LEURS APPORTS
Les matières premières entrant dans la composition des rations pour poulets sont des ressources alimentaires locales ou importées. Elles sont classées en fonction de leur apport.

Sources d’énergie

Les matières premières riches en glucides et ou lipides, comme le maïs, le blé, en plus de différentes graisses ou les huiles sont les principales sources d’énergie des aliments avicoles.
Céréales
Elles constituent la principale source d’énergie dans les aliments pour volailles. Ce sont des aliments essentiellement énergétiques car elles sont riches en matière sèche, composée avant tout d’amidon. Cet amidon est d’une digestibilité élevée ne nécessitant pas de traitements spéciaux, telle que la cuisson.
Les céréales sont pauvres en vitamines. On note cependant dans le maïs jaune la présence de pigments xanthophylles qui colorent en jaune la graisse des poulets. De plus, elles contiennent peu de cellulose. Par ailleurs, elles sont de conservation facile, ce qui est un énorme avantage. Les principales céréales utilisées sont : le mil et le sorgho d’une part, et le maïs d’autre part, qui est d’ailleurs considéré comme la céréale de choix pour l’alimentation des volailles, au vue de sa valeur énergétique élevée et la grande constance de celle-ci, que ce soit en fonction de l’année ou de la région de production (LARBIER et LECLERCQ, 1992 ; METAYER et al., 1993; ONIC-AGPM, 1999).
Sous-produits des céréales
Il s’agit des sons dont l’utilisation en aviculture tient compte de leur coût faible et de leur importance dans la régulation du transit digestif. Ils empêchent les perturbations du transit digestif à l’origine de diarrhées et constipations (PARIGI-BINI, 1986).
De plus, leurs protéines sont disponibles. Les farines basses de riz présentent l’avantage d’avoir une valeur élevée en minéraux, en oligo-éléments et en énergie (LARBIER et LECLERCQ, 1992).
Matières grasses
Elles sont issues des huileries (huiles végétales) ou des abattoirs (suif, graisse). Ce sont des sources importantes d’énergie métabolisable pour l’alimentation des volailles (SCOTT et al, 1976). POLIN et HUSSEIN (1982) montrent que les poussins âgés d’une semaine retiennent 25 % de lipides de moins que ceux âgés de deux (2) à trois (3) semaines, ceci du fait que les sels biliaires impliqués dans la digestion des lipides ne sont pas produits en quantité suffisante chez le poussin, puisque la sécrétion biliaire augmente avec l’âge de la volaille. GAB-WE (1992) estime que l’huile d’arachide incorporée au taux de 4 % dans la ration du poulet de chair donne de meilleurs résultats de croissance.
Les matières grasses permettent d’accroître la valeur énergétique des rations tout en diminuant l’indice de consommation. Les lipides facilitent l’utilisation de matières premières riches en protéines (tourteaux) mais présentant des niveaux d’énergie relativement bas (SAKANDE, 1993).
Sources de protéines
Sources de protéines végétales
Tourteau de soja
Il est le plus utilisé dans les rations pour volailles. C’est le «prince» des tourteaux de par sa richesse en protéines et l’équilibre de ses acides aminés. En effet, ses protéines sont très digestibles et conviennent aux besoins de croissance des oiseaux, quoique déficitaires en acides aminés soufrés (KEBE, 1989). On retrouve des substances antitrypsiques qui constituent ainsi le facteur limitant ; cependant une cuisson correcte élimine plus de 90 % de l’activité anti-trypsique.
Tourteaux d’arachide et de coton
Ce sont des sous-produits qui selon la technique d’extraction (par des solvants organiques), sont plus ou moins pauvres en matières grasses. Ce sont de véritables sources de protéines. Ces tourteaux sont les plus disponibles, malgré la présence de facteurs antinutritionnels tels que l’aflatoxine dans les tourteaux d’arachide et le gossypol dans le coton, imposant des limites à leur utilisation en alimentation. TACHER et al., (1971) montrent que l’action toxique du gossypol libre se manifeste à des teneurs de 0,012 % et que la mortalité apparaît à partir de 0,16%. Outre la présence de gossypol, les protéines du tourteau de coton sont de qualité moyenne à cause de la faible teneur en lysine et en acides aminés soufrés. Cependant, on peut utiliser ce tourteau dans les rations pour volailles à des taux variant de 5 à 10% (ANGULO-CHACON, 1986).
Levures
Les levures sont des sources de protéines de très bonne qualité. Les levures sont riches en lysine, tryptophane, thréonine mais pauvres en acides aminés soufrés, et en vitamines du groupe B (SCOTT, 1976). Elles sont incorporables dans les rations pour volailles à des taux allant de 2 à 4 % (FERRANDO, 1969), jusqu’à 10 % pour les poules pondeuses (LARBIER et LECLERCQ, 1992). Le facteur limitant de leur utilisation dans l’alimentation des volailles est leur prix qui est élevé.
Sources de protéines animales
Farines de poisson
Elles sont intéressantes à cause de leur richesse en protéines de très bonne qualité biologique. La supériorité de la farine de poisson se situerait à quatre niveaux :
– leur taux élevé en calcium, phosphore et vitamines du groupe B, en particulier en riboflavine ;
– leur meilleur équilibre en acides aminés essentiels ;
– la présence de vitamine B12, qui est presque absente des aliments d’origine végétale, à l’exception des levures ;
– leur teneur énergétique assez élevée du fait de leur grande richesse en matières grasses.
Farine de sang
Elle est peu utilisée dans les régions tropicales. On l’obtient en faisant déshydrater le sang recueilli aux abattoirs. C’est une source très concentrée de protéines dont la digestibilité est diminuée par la présence de fibrinogène. Toutefois, sa teneur en acides aminés permet de couvrir les besoins des volailles. La farine de sang est incorporée à un taux de 5 %.
Sources de minéraux et de vitamines
Le calcium et le phosphore constituent les principaux minéraux que doit contenir la ration des volailles. Le carbonate de calcium, les coquillages marins, les phosphates en sont les principales sources. Le chlorure de sodium apporte le sodium et le chlore à la ration. Les oligo-éléments tels que le zinc, l’iode et le magnésium, les vitamines et les additifs alimentaires sont apportés par les prémix ou C.M.V. (Compléments Minéraux Vitaminés).
CONTRAINTES ALIMENTAIRES EN AVICULTURE AU SENEGAL
Les souches de volailles améliorées sont de grandes consommatrices de céréales, lesquelles constituent également la base de l’alimentation humaine. Ceci se traduit par une sérieuse concurrence homme-volaille pour les céréales vivrières.
En effet, l’alimentation représente plus de la moitié des coûts de production en aviculture moderne. Cette alimentation n’est pas maîtrisée et reste tributaire de la production du maïs qui en est sa principale composante, mais aussi du prix et de la qualité des intrants (son de blé, tourteaux, prémix, etc.). La jeune industrie sénégalaise de l’alimentation animale est confrontée en permanence à des problèmes d’approvisionnement en céréales. Une proportion importante des matières premières entrant dans la fabrication des aliments des volailles (maïs, tourteau de soja, acides aminés synthétiques, par exemple), est donc importée, ce qui constitue un frein au développement de l’aviculture moderne du fait de l’augmentation sans cesse du prix des matières premières (ETIENNE, 2002). Les contraintes les plus soulevées portent essentiellement sur le coût de plus en plus élevé de l’aliment volaille, les difficultés d’approvisionnement en matières premières des fabriques d’aliment. La faible disponibilité des matières premières, la rupture prolongée des stocks d’intrants (aliments volailles) et l’étroitesse du marché, ne favorisent pas une production avicole optimale.
Au vue de tout ce qui précède, il est clair que l’utilisation des ressources alimentaires alternatives moins chères et disponibles localement en alimentation pour volaille reste une nécessité.
UTILISATION DE l’AMANDE DE MANGUE (Mangifera indica) DANS L’ALIMENTATION DES VOLAILLES
CONTEXTE D’UTILISATION DES RESSOURCES ALIMENTAIRES NON CONVENTIONNELLES (RANC) EN ALIMENTATION ANIMALE
Selon GEOFFROY et al. (1991), les RANC sont des aliments ou matières inhabituelles d’origine végétale (produits ou déchets agricoles, sous-produits agro-industriels, cultures spécifiques), animale (insectes, invertébrés, vertébrés) ou minérale susceptible de constituer à moindre coût un apport alimentaire d’appoint ou même une alimentation de base permettant la valorisation de produits qui seraient éliminés par ailleurs. Elles concernent notamment les graines (Micuna spp., Lablab purpureus, Canavalia ensiformi, Citrullus vulgaris, Hibiscus sabdariffa,mangifera indica…) et les feuilles de plantes ( Moringa oleifera, Leucaena leucocephala, Cassia tora, Gliricidia sepium, Azolla pinnata, Manihot esculenta, Cajanus cajan, Centrosoma pubescens,…), les espèces invertébrées (Reticuliterme lucifigus rossi, Lumbricus terrestris, Phormia terrae novae) et d’autres produits animaux (D’MELLO, 1992, DAHOUDA et al., 2009 ; OLUGBEMI et al., 2010 ; PRESTON, 1987 ; CHRYSOSTOME, 1997, FARINA, et al., 1991 ; HARDOUIN et THYS, 1997 ). Elles sont très peu connues de la plupart des éleveurs, généralement très peu ou pas exploitées aussi bien en alimentation humaine qu’animale et se caractérisent donc normalement par l’absence de concurrence homme-animal. L’intérêt suscité par les RANC s’est particulièrement accru dans de nombreux pays en développement ces dernières années du fait de la crise céréalière, de l’augmentation sans cesse du prix des matières premières (maïs, tourteaux de soja, farine de poisson, acides aminés de synthèse…) (AYSSIWEDE et al., 2011).
Face à cette situation et dans un contexte de leur détournement vers la production de biocarburant, Il est clair que la recherche et la valorisation en alimentation avicole d’autres ressources alimentaires locales alternatives ou non conventionnelles, disponibles et moins chères, telles que l’amande de mangue, pourraient être un moyen d’améliorer l’alimentation et la compétitivité de la filière des poulets de chair en Afrique.
Diverses études sur l’amande de mangue (Mangifera indica) ont rapporté qu’elle est une bonne source d’énergie mais elle est également riche en protéines, acides aminés essentiels (lysine, méthionine, etc.), minéraux et vitamines. Du fait de l’existence des facteurs toxiques dans l’amande de mangue, son incorporation dans l’alimentation des ruminants par divers auteurs et même des poissons (OBASA et al., 2013) a donné des résultats divers et controversés suivant le niveau d’incorporation.
CARACTERISTIQUES BOTANIQUE ET AGRONOMIQUE DU MANGUIER
Origine et répartition du manguier
Le manguier (Mangifera indica) est un grand arbre de la famille des Anacardiaceae, originaire de l’Inde orientale et de Birmanie où il pousse encore à l’état sau.vage. Il fut introduit au XVIe siècle en Afrique par les Arabes et au Brésil par les portugais. C’est probablement, l’un des arbres fruitiers les plus anciennement cultivés (LAROUSSILHE, 1980). Aujourd’hui, il est largement cultivé dans tous les pays tropicaux pour des fruits commerciaux, comme arbre de jardin et comme arbre d’ombrage.
Caractéristiques botaniques
Le manguier est un grand arbre à feuilles persistantes (figure 2), pouvant vivre plus de 100 ans et qui peut atteindre 15 à 30 mètres de hauteur, avec un houppier de 20 mètres de diamètre. Son écorce est lisse, d’un gris-brun foncé à noir.
Les feuilles sont simples, sans stipules, et alternes avec les pétioles de 1-12 cm de longueur (figure 3). Elles sont de forme et de taille variables mais sont généralement oblongues. Elles peuvent mesurer jusqu’à15 à 35 cm de long sur 6 à 16 cm de large. Leur couleur est d’un rose orangé au début de leur croissance puis passe par une teinte rouge foncé brillant avant de devenir vert foncé à maturité.
Fleurs
Les fleurs de manguier (figure 3) sont nées sur des inflorescences terminales (panicules) qui sont largement coniques et peuvent atteindre 60 cm de long sur certaines variétés. CHIA et al., (1997) puis BALLY et al., (2006) ont déclaré que le manguier a deux formes de fleurs, hermaphrodites et mâles, avec les deux formes pouvant se produire sur la même inflorescence. Les fleurs hermaphrodites sont de petite taille (5-10 mm) avec quatre à cinq sépales et quatre à cinq pétales pubères associés à quatre ou cinq étamines dont seulement une ou deux sont fertiles. Les fleurs mâles sont semblables aux fleurs hermaphrodites, mais sont sans pistil (BALLY, 1999).
Fruit :
La mangue, le fruit charnu du manguier est une drupe (charnue avec une seule graine enfermée dans un endocarpe tanné), de forme oblongue attachée à un long pédoncule. Elle a une taille variable selon les variétés, de 20 à 45 cm de long sur 7 à 12 cm de diamètre, de poids variant de 50 g à 2,5 kg. La peau lisse et mince, assez résistante, est à maturité de couleur verte, jaune ou écarlate (selon les variétés) plus ou moins tachetée de vert et de rouge, de violet ou de rose (sur la face exposée au soleil). Le noyau, plutôt gros et aplati contient une graine unique de grande taille (4 à 7 cm de long sur 3 à 4 cm de large et 1 cm d’épaisseur) adhérant à la chair. Il est recouvert de fibres plus ou moins développées dans la chair selon les variétés. Sa forme peut être ronde, ovale ou réniforme (figure 4). Sa chair (le mésocarpe) plus ou moins onctueuse, juteuse, sucrée et parfumée selon les variétés, est souvent douce comme celle de la pêche d’où son surnom de « pêche des tropiques ».
Noyau (graine)
Le noyau ou endocarpe (figure 4) représente 20 à 60% du fruit, il est plutôt gros, aplati et contient une graine unique de grande taille : l’amande de mangue (4 à 7 cm de long sur 3 à 4 cm de large et 1 cm d’épaisseur). Cette graine peut être mono-embryonnaire c’est-à-dire contient un seul embryon qui est un vrai embryon sexuel (zygote) ou poly-embryonnaire. (BALLY, 1999).
Caractéristiques agronomiques
La mangue est le premier fruit produit au Sénégal. Le rapport de 2014 du ministre de l’économie situait la production nationale de mangue, toutes variétés confondues à 125 000 tonnes en 2012 dont 15000 tonnes sont exportées. L’essentiel de la production est assuré dans la région naturelle de la Casamance au sud du pays, et la région de Thiès mais la principale zone de production de mangues exportées (les grands vergers industriels) se situe dans la zone des Niayes, du lac Rose, jusqu’à Mboro en passant par la zone de Sebikotane. La petite Cote (Mbour), le Sine Saloum sont également des régions productrices de mangues (Figure 5). La période de production de mangues au Sénégal est la plus longue d’Afrique de l’Ouest. Elle s’étale sur 6 mois (de mai à octobre).

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : ALIMENTATION DU POULET
I. RAPPEL ANATOMIQUE DE L’APPAREIL DIGESTIF DU POULET
II. BESOINS ALIMENTAIRES CHEZ LE POULET DE CHAIR
II.1. Besoins en eau
II.2. Besoins en énergie
II.3. Besoins en protéines
II.4. Besoins en minéraux et vitamines
III. MATIERES PREMIERES UTILISEES DANS l’ALIMENTION DU POULET ET LEURS APPORTS
III.1. Sources d’énergie
III.1.1. Céréales
III.1.2. Sous-produits des céréales
III.1.3. Matières grasses
III.2. Sources de protéines
III.2.1. Sources de protéines végétales
III.2.1.1. Tourteau de soja
III.2.1.2. Tourteaux d’arachide et de coton
III.2.1.3. Levures
III.2.2. Sources de protéines animales
III.2.2.1. Farines de poisson
III.2.2.2. Farine de sang
III.3. Sources de minéraux et de vitamines
IV. CONTRAINTES ALIMENTAIRES EN AVICULTURE AU SENEGAL
CHAPITRE II : UTILISATION DE l’AMANDE DE MANGUE (Mangifera indica) DANS L’ALIMENTATION DES VOLAILLES
I. CONTEXTE D’UTILISATION DES RESSOURCES ALIMENTAIRES NON CONVENTIONNELLES (RANC) EN ALIMENTATION ANIMALE
II. CARACTERISTIQUES BOTANIQUE ET AGRONOMIQUE DU MANGUIER
II.1. Origine et répartition du manguier
II.2. Caractéristiques botaniques
II.3. Caractéristiques agronomiques
III. IMPORTANCE DU MANGUIER
III.1. Utilisation alimentaire
III.2. Utilisation médicale
IV. POTENTIEL DE L’AMANDE DE MANGUE DANS L’ALIMENTATION POUR VOLAILLE
IV.1. Valeur nutritive de l’amande de mangue
IV.2. Facteurs antinutritionnels et les procédées de détoxification
IV.3. Utilisation de l’amande de mangue dans l’alimentation de volailles : Quelques résultats
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
I. MATERIEL
I.1. Lieu et période d’étude
I.2. Ingrédients alimentaires
I.2.1. Collecte et traitement des amandes de mangue
I.2.2. Autres intrants alimentaires
I.3. Matériel animal
I.4. Bâtiments et matériel d’élevage
I.4.1. Bâtiments d’élevage
I.4.2. Matériel d’élevage et de contrôle des performances
II. METHODES
II.1. Traitement, analyses bromatologiques et formulation des rations alimentaires expérimentales
II.2. Conduite de l’élevage
II.2.1. Préparation des bâtiments
II.2.2. Installation des poussins
II.2.3. Programme de prophylaxie
II.2.4. Transfert et mise en lot des sujets
II.2.5. Programme d’alimentation et d’abreuvement
III. Collecte des données
III.1. Consommation alimentaire
III.2. Evolution pondérale
III.3. Poids carcasse
III.4. Caractéristiques de la carcasse et des organes
III.5. Mortalité
IV. Calcul des paramètres zootechniques
CHAPITRE II : RESULTATS ET DISCUSSION
I. RESULTATS
I.1. Paramètres d’ambiance
I.2. Caractéristiques bromatologiques de l’amande de mangue
I.3. Effets de l’incorporation de l’amande de mangue bouillie dans la ration sur les performances des poulets de chair
I.3.1. Effets sur l’état sanitaire et la mortalité des poulets de chair
I.3.2. Effet sur la consommation alimentaire individuelle
I.3.3. Effet sur le poids vif des poulets
I.3.4. Effet sur le GMQ
I.3.5. Effet sur l’indice de consommation
I.3.6. Effet sur les caractéristiques de la carcasse et des organes
I.3.7. Résultats économiques de l’utilisation des rations expérimentales
II. DISCUSSION
II.1. Paramètre d’ambiance
II.2. Résultats de l’analyse bromatologique de l’amande de mangue
II.3. Effets de l’incorporation de l’amande de mangue dans la ration des poulets de chair sur les performances de croissance
II.3.1. Consommation alimentaire
II.3.2. Poids vifs
II.3.3. Gain Moyen Quotidien (GMQ)
II.3.4. Indice de consommation
II.3.5. Effets de l’incorporation de l’amande de mangue bouillie sur le rendement et les caractéristiques de la carcasse
II.4. Analyse économique
III. RECOMMANDATIONS
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES

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