Usages de l’information numérique dans les universités d’Afrique de l’Ouest francophone

Problématique

Explorer la problématique de l’offre de ressources et des services de bibliothèques ainsi que les  usages des ressources numériques, à travers les pratiques des enseignants chercheurs et étudiants en lettres et sciences humaines sénégalais face au développement de l’Internet, suppose la prise en considération de plusieurs aspects (culturels, économiques, politiques, etc.) spécifiques au contexte africain en général et à celui du Sénégal en particulier. Par ailleurs, si l’offre en information numérique est bien structurée dans le domaine de la médecine, en Lettres et sciences humaines cette offre est plus diffuse et l’intégration des TIC dans les pratiques informationnelles des chercheurs reste plus modeste.
Notre problématique s’articule autour d’une situation d’insuffisance des bibliothèques d’Afrique francophone subsaharienne, celles de l’UCAD particulièrement, en matière d’offre documentairepapier et numérique ainsi que d’usages par les enseignants chercheurs et les étudiants. L’offre éditorialenumérique qui devrait propulser la diffusion des travaux des enseignants chercheurs est presque inexistante dans les universités africaines alors que, « L’existence d’une offre éditoriale de contenus de qualité répondant à la diversité des publics visés reste un préliminaire qui paraît fondamental pour que se développent les services et les usages » (Chartron et Minon, 2004). Cette situation est accentuée par le manque de support de diffusion, d’une part, les revues de publications régulières se font rares, d’autre part, on note l’absence de cadre institutionnel de diffusion (archives institutionnelles) toujours à l’état de projet dans les pays africains. Ainsi, les chercheurs africains sont dans l’invisibilité presque absolue, à quelques exceptions près (Diouf, 2015). Or, une telle situation ne favorise pas l’édition numérique qui tarde à se matérialiser dans les pays africains. La production scientifique africaine reste très faible, soit 1% d’articles scientifiques du monde entier (Mboa Nkoudou, 2016), par conséquent, l’accès à une documentation de qualité, multiforme et abondante constitue un problème majeur des universités africaines.
Par ailleurs, on observe que l’offre d’information numérique développée pour la plupart par des partenaires du nord, de plus en plus considérée comme étant la solution au fossé numérique séparant les chercheurs du Sud à ceux du Nord, est sous exploitée aussi bien du côté des enseignants que du côté des étudiants qui ignorent pour la plupart l’existence de ressources numériques au niveau de la BUCAD.
Malgré tous les changements intervenus dans le système d’enseignement et les investissements consentis pour faciliter l’accès à l’information numérique, on ignore encore si les chercheurs tirent un meilleur profit des offres d’information numérique accessibles à partir de leurs bibliothèques ou sur Internet. Dès lors, l’objectif majeur de ce travail est, de contribuer à améliorer l’offre et à développer les usages des ressources numériques des bibliothèques tout en développant des initiatives dans le domaine de l’Open Access.
Les questions de recherche qui structurent notre travail sont les suivantes :
1. Comment peut-on caractériser l’offre documentaire présente dans les bibliothèques africaines et en particulier à l’UCAD à la fois la documentation interne (production des enseignants, des thèses et articles des doctorants et des mémoires de Master des étudiants) et tout ce qui est acheté ?
2. Dans quelle mesure le numérique constitue-t-il une nouvelle opportunité permettant d’élargir et qualifier l’offre documentaire à l’UCAD ?
3. Comment les bibliothèques sénégalaises en général, et celles de l’UCAD en particulier, profitent elles de ces nouvelles opportunités numériques pour valoriser les fonds locaux ?
4. Comment les enseignants et les étudiants utilisent-ils les ressources numériques ?
Il est difficile de répondre à ces questionnements dans un contexte où le fonds des bibliothèques est mal identifié, caractérisé par un manque de visibilité et l’accès souvent difficile. En effet, une exploitation efficiente de l’information suppose que l’on comprenne comment les chercheurs et les étudiants appréhendent l’offre d’information numérique.
Notre travail s’inscrit dans ce contexte et vise à faire des investigations sur l’offre réelle après évaluation du potentiel actuel puis, à partir de cela, structurer des propositions dont la finalité estd’améliorer l’offre et les usages des ressources tout en mettant en œuvre des orientationsstratégiques.
Nous présentons ci-après les hypothèses et les objectifs de ce travail.

Hypothèse de base

Notre démarche est guidée par des hypothèses de recherche autour desquelles s’articulent nos investigations.
– Il y a une faible offre documentaire et de services des bibliothèques d’Afrique francophone subsaharienne, notamment celles de l’UCAD, due à l’absence d’une politique documentaire efficace, au manque d’organisation et de budget ;
– Le numérique est une opportunité pour élargir l’offre de ressources documentaires à travers l’Open Access mais les bibliothèques n’en profitent pas assez ;
– La valorisation du fonds local par l’Open Access et le développement de bibliothèques numériques sont peu développés
– Le faible usage des ressources des bibliothèques est dû à la méconnaissance des ressources.

Objectifs

Ces objectifs de travail visent à répondre aux hypothèses posées.
 Objectif général
Ce travail aura pour objectif principal d’analyser la situation documentaire à l’UCAD et d’apprécier lesopportunités du numérique dans le contexte du Sénégal.
 Objectifs spécifiques
1. Analyser l’offre de ressources et de services dans les bibliothèques ainsi que les usages d’information dans le cadre des activités de recherche et d’apprentissage.
2. Explorer le développement d’initiatives dans le domaine de l’Open Access
3. Décrire les projets de valorisation du fonds local
4. Identifier les usages des ressources numériques aussi bien du côté des enseignants que du côté des étudiants dans le domaine des sciences humaines de l’UCAD ;
3- Cadrage scientifique
Dans un premier temps, nous proposons ci-dessous, de clarifier certains concepts structurant notre travail de recherche.

Offre documentaire et de services

Du point de vue des bibliothèques, la notion d’offre documentaire comprend l’ensemble des collections et supports sélectionnés et proposés par une bibliothèque à son public. On parle aussi d’offre de services pour décrire l’ensemble des services rendus par une bibliothèque: services sur place ou à distance, formation, réservation, etc. Il existe également des services documentaires que sont les catalogues, les bibliographies ou les revues de presse par exemple . C’est dans ce sens qu’Ollendorf (1999) propose ainsi de décliner l’offre en bibliothèque académique en trois services de base : mise à disposition de documents, recherche documentaire et formation, qui peuvent être enrichis de compléments selon les moyens mis en œuvre pour leur réalisation.
Ces documents doivent être adaptés et renouvelés régulièrement mais aussi choisis selon une politique d’acquisition mise en place par la bibliothèque. Cette offre est aujourd’hui marquée par la présence de plus en plus importante de ressources numériques dans les collections des bibliothèques. Par conséquent, le rôle des bibliothécaires est de faire connaitre toutes les ressources disponibles et d’enfaciliter l’accès à tous.

Fracture numérique

Nous convenons avec Vodoz (2010) que la fracture numérique est une ligne de rupture symbolique, le tracé d’un clivage entre d’une part, les individus ou groupes sociaux qui sont bien intégrés à la « société de l’information », d’autre part ceux qui se sentent exclus de cette société. Cette ligne de rupture est marquée par la disparité ou l’inégalité d’accès aux technologies informatiques et à Internet. Cette disparité est fortement indiquée entre les pays développés qui ont accès à une bonne qualité d’Internet et aux TIC, et qui peuvent les utiliser aisément et les pays en développement caractérisés par l’insuffisance d’infrastructures de qualité, le coût élevé de l’accès, l’absence de formation adéquate, le manque de création locale de contenus et la capacité inégale de tirer parti, des opportunités offertes par les TIC. En d’autres termes, la fracture numérique n’est rien d’autre que le reflet de la fracture sociale dans le monde numérique (Faye, 2014). Ces inégalités existent également entre les pays (ou bibliothèques) d’Afrique francophone subsaharienne et même au sein d’une même université notamment à l’UCAD, oùbeaucoup d’obstacles sont à surmonter.

Ressource numérique

Pour définir la ressource numérique, on fait souvent référence à des ressources documentaires numériques qui sont des contenus (internes ou externes à l’établissement) créés, fournis et dimensionnés selon les besoins de la communauté éducative et la politique documentaire de l’établissement . Dans un sens beaucoup plus large, ressource numérique désigne un document (données ou logiciels) encodé afin d’être traité par un ordinateur et considéré comme une unité bibliographique. Les ressources électroniques comprennent d’une part des ressources d’information stockées en local, d’autre part celles qui nécessitent l’utilisation d’un périphérique relié directement à l’ordinateur (par exemple, undisque dur, un lecteur de cédérom), et enfin les services en ligne (par exemple, les forums ou les listesde discussions, des sites web). Une ressource électronique peut comporter soit du texte, soit de l’image fixe ou animée, soit du son. Elle peut être aussi multimédia, (ADBS). Pour sa part, Lévy (cité par Miller, 2014), distingue les ressources créées par les professeurs dans des séquences pédagogiques et les ressources créées par des équipes multidisciplinaires (comprenant contenus, concepteurs, réalisateurs, ressources éditées par les professionnels). Dans la continuité de ce chercheur, on peut aussi établir, selon Thillay (cité par Miller et Reinders, 2014), une catégorisation. Tout d’abord des ressources éditoriales (faites par un groupe, une association, un éditeur), ensuite des ressources éditoriales d’opportunité, n’étant pas à priori conçues pour l’enseignement, mais utilisées comme telle par les enseignants et, enfin, les productions des enseignants (spécialement pensées pour enseigner et apprendre).
Ces ressources numériques éducatives ont par ailleurs diverses approches : apprendre à chercher, susciter l’analyse, ou encore évaluer, publier et partager. C’est à cette dernière activité que le numérique apporte le plus. L’enjeu majeur de ces flux de ressources étant d’améliorer la visibilité de ces ressources au travers de portails, de l’utilisation de métadonnées, de techniques d’indexation et de leur apporter une médiation pédagogique. Pour indexer les ressources d’enseignement et d’apprentissage (REA), Bibeau (2005) propose une classification selon leur nature, leurs caractéristiques et leurs usages. Il indique pour sa part, la création de taxonomies pour décrire les ressources d’enseignement et d’apprentissage sur support numérique qui devraient faciliter leur indexation, leur classement et leur catalogage. Il propose ainsi six catégories de ressources numériques générales.

Offre documentaire universitaire papier , organisation et services

Contexte général

Pour éclairer ce chapitre sur l’offre documentaire imprimée, nous avons consulté les pages et sites web de plusieurs bibliothèques particulièrement, celles de l’Afrique de l’Ouest francophone. Nous avons également consulté quelques ouvrages et articles d’auteurs africains mais aussi étrangers. Il fautsurtout noter la rareté de documents récents produits sur ce sujet, en plus dans nos recherches nous avons trouvé plus d’auteurs étrangers, qui ont écrit sur l’offre dans les bibliothèques universitaires d’Afrique que d’auteurs africains. Toutefois, ce sont souvent des documents anciens, ce qui nous a conduit à recueillir la plupart des informations sur les sites web des bibliothèques universitaires ou dans les rapports et bilan d’activités de celles-ci pour obtenir des informations beaucoup plus récentes et fiables. A l’appui de l’analyse de quelques documents et de notre observation participante nous allons dresser quelques éléments structurants de la situation.
Néanmoins, les différents écrits que nous avons lus nous ont permis de noter le rôle de la bibliothèque universitaire qui se définit dans le cadre de la mission confiée à l’université. Sur cette base, le rôle de la bibliothèque est avant tout d’ordre éducatif. A ce titre, la mission d’appui à l’enseignement, à larecherche et à l’apprentissage est soutenue par les universités aussi bien des pays développés que par celles des pays en voie de développement notamment l’Afrique de l’Ouest francophone comme en fait état leur page we . A cette mission principale s’ajoutent d’autres missions conduites par le développement du numérique dans les bibliothèques. On peut les résumer en quatre axes principaux, ils’agit de :
– faciliter l’accès à l’information,
– développer les ressources numériques,
– diffuser la production pédagogique et scientifique de l’université (thèses, publications scientifiques, ressources pédagogiques etc.),
– former les étudiants et enseignants chercheurs à la recherche et à l’exploitation de l’information.
Cependant, la situation de pauvreté dans laquelle se trouvent les bibliothèques africaines constitue un obstacle à la réalisation de ces missions. Cet état de fait est retracé par plusieurs auteurs qui expliquent les raisons de cette pauvreté. Parmi les raisons avancées, nous avons noté celles liées non seulement à l’histoire de ces bibliothèques, mais aussi à plusieurs facteurs qui se sont succédé au fil des temps.
Plusieurs obstacles sont donc à l’origine de cette situation, Gelfan (1968) soulignait le mauvais choix de livres opéré par les bibliothèques qui ne disposaient pas de bibliographies ou ne savaient pas s’en servir et les restrictions de change qui empêchaient de nombreuses bibliothèques de commander. Cependant, il semble y avoir des évolutions depuis quelques années, les bibliothécaires disposent d’outils bibliographiques et de compétences leur permettant de faire une bonne sélection comme nous le révèle le bilan d’activités de l’ex directrice de la Bibliothèque Universitaire de Dakar (BUCAD) (Diop, 2013).
Par ailleurs, on note qu’à la BUCAD la collecte de documents se fait sur commande et selon des critères de sélection : La spécialisation (domaines et disciplines couverts), le profil des enseignants, le budget et les ressources disponibles (Diop, 2013). Ces divergences de points de vue peuvent s’expliquer par l’évolution progressive notées dans les bibliothèques ces dernières années.

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Table des matières
Dédicaces 
Remerciements
Sigles et acronymes 
Introduction générale 
1-Contexte de l’UCAD
2- Problématique
3- Cadrage scientifique
4- Méthodologie
Première partie – Analyse de l’offre documentaire dans les bibliothèques africaines
Chapitre 1 – Offre documentaire universitaire papier, organisation et services 
1.1- Contexte général
1.2- Enquête sur l’offre en Afrique de façon générale
1.2.1- Exploitation des résultats de l’enquête
1.2.1.1- Méthodologie
1.2.2- Analyse des résultats
1.2.2.1- Personnel des bibliothèques
1.2.2.2- Acquisitions
1.2.2.3- Budget
1.2.2.4- Organisation et gestion
1.2.2.5- Services offerts
1.2.2.6- Coopération
1.2.2.7- Conclusion partielle
1.3- Etat de l’offre à L’UCAD en Sciences Humaines et Sociales
1.3.1-Méthodologie
1.3.2- Analyse de l’offre papier à l’UCAD
1.3.2.1-Budget
1.3.2.2–Analyse quantitative de l’offre Papier
1.3.2.2.1- Analyse des revues de l’UCAD
1.3.2.2.1.1- Acquisition de revues imprimées et électroniques
1.3.2.2.1.2- Etat des revues de la BUCAD et de la FSJP
1.3.2.2.2- Analyse des collections d’ouvrages
1.3.2.2.2.1- Collections de monographies, thèses et mémoires
1.3.2.2.2.2- Etat des lieux de toutes les acquisitions d’ouvrages imprimés
1.3.2.2.2.3- Dépenses documentaires
1.3.2.2.3- Organisation et gestion des bibliothèques de l’UCAD
1.3.2.2.3.1- Personnel des bibliothèques
1.3.2.2.3.2- Services disponibles
1.3.3-Conclusion partielle
Chapitre 2 – Offre documentaire numérique universitaire
2.1- Enjeux et revue des initiatives numériques majeures
2.1.1-Enjeux du numérique
2.1.2-Revue des initiatives
2.2- Offre documentaire numérique dans les bibliothèques universitaires d’Afrique Francophone Subsaharienne
2.2.1- Offre de ressources électroniques locales
2.2.2- Initiatives, projets et programmes d’offres internationales
2.3.- Etat de l’offre numérique à l’UCAD
2.3.1- Offre numérique dans les bibliothèques de l’UCAD
2.3.1.1- Synthèse des ressources électroniques
2.3.1.2- Synthèse des ressources numérisées de la BUCAD
2.3.1.3- Projets de numérisation
2.3.1.4- Ressources numérisées du Projet Bien Culturel Africain (BCA)
2.4- Conclusion partielle
Chapitre 3- Etudes comparatives
3.1- Comparaison au niveau de l’UCAD : bibliothèques dans les disciplines en sciences humaines et sociales / Bibliothèque de la Faculté de médecine, de pharmacie et d’0donto stomatologie
3.2- Comparaison UCAD / Université de Paris 10
Chapitre 4- Offre documentaire du point de vue de la production Interne 
4.1-Organisation
4.2-Moyens Financiers
4.3-Supports Institutionnels
4.4 –Evolution de la production scientifique africaine
4.4.1- Analyse des données
4.5-Conclusion Partielle
Deuxième Partie – Usage de l’information numérique universitaire 
Chapitre 1- Culture de l’information et culture numérique 
1.1- Introduction
1.2- Rôle de l’UNESCO
1.3- Rôle des associations professionnelles internationales .
1.4- Culture de l’information et culture numérique vu par les pays du Nord
1.4.1- Repères chronologiques
1.4.2- Formations
1.5- Culture de l’information et culture numérique vue par les pays africains
Chapitre 2- Internet au Sénégal: Etat des lieux
2.1- Historique de l’Internet au Sénégal
2.2-Comparaison Sénégal / France : Quelques chiffres clés rétrospectifs
2.2.1-Sénégal/France : Part des internautes dans la population
2.2.2-Sénégal / France : part des abonnés à l’Internet haut débit dans la population
2.2.3-Sénégal / France : taux de pénétration de la téléphonie mobile
2.2.4-Sénégal / France : taux de pénétration de la téléphonie fixe
2.2.5-Serveurs Internet Sécurisés
2.2.6-Rôle de l’autorité de régulation : Fonctionnement de l’Internet
2.3-Evolutions de l’Internet au Sénégal : quelques données chiffrées récentes
2.4- Equipement et accès à Internet à l’UCAD
2.5- Modèle économique
2.6-Conclusion partielle
Chapitre 3- Analyse de l’usage de l’information numérique
3.1- Revue de la littérature : Usages de l’information numérique dans les universités d’Afrique de l’Ouest francophone
3.2- Etude de terrain à l’UCAD
3.2.1- Usages de l’information numérique chez les enseignants de l’UCAD
3.2.1.1- Méthodologie
3.2.1.2- Exploitation des résultats des enquêtes
3.2.1.2.1- Interviews effectués auprès des enseignants : Analyse qualitative des pratiques des enseignants
3.2.1.2.1.1-Récapitulatif des entretiens
3.2.1.2.1.2-Résumé par disciplines
3.2.1.2.1.3-Analyse qualitative
3.2.1.2.2-Conclusion partielle
3.2.2- Analyse des pratiques d’usages des étudiants
3.2.2.1- Méthodologie
3.2.2.2- Analyse des résultats : Enquêtes effectuées auprès des étudiants
3.2.2.2.1- Principales sources d’information
3.2.2.2.2-Type de documents consultés
3.2.2.2.3-Usage des ressources électroniques
3.2.2.2.4- Usage des documents numériques et papier
3.2.2.2.5-Pratique de recherche sur Internet
3.2.2.2.6-Internet pour apprendre ou pour savoir
3.2.2.2.7- Outils Internet
3.2.2.2.8- Réseaux sociaux et leurs usages
3.2.2.2.9- Usage des archives ouvertes
3.2.2.2.10- Services offerts
3.2.3- Comparaison des pratiques des étudiants et des pratiques des enseignants
3.2.4- Conclusion partielle
Troisième Partie – Propositions 
Chapitre 1- Propositions pour améliorer l’offre et l’usage d’information numérique 
1.1- Evolution de l’organisation des bibliothèques
1.1.1-Organisation du personnel
1.1.2- Organigramme
1.2-Redynamisation du réseau des bibliothèques de l’UCAD
1.2.1-Coopération entre les bibliothèques
1.2.2-Mutualisation des ressources
1.2.3-Amélioration de la visibilité du réseau
1.3- Coopérations
1.3.1-Coopération au niveau national
1.3.2-Coopération au niveau africain
1.3.3-Coopération internationale
1.4-Diversification de l’offre de services dans les bibliothèques de l’UCAD
1.5- Développement d’une stratégie de valorisation des produits de la recherche et d’une offre d’édition
1.6-Préconisation pour le développement de la recherche et la visibilité des chercheurs africains par Open Access
1.6.1- Libre Accès
1.6.2-Mise en place d’archives institutionnelles : Rôle des autorités
1.6.3-Science ouverte, savoirs locaux
1.6.4-Accessibilité des savoirs locaux dans les bibliothèques
1.6.5- Formations des enseignants et étudiants
1.6.6-Promotion de quelques plateformes en libre accès
Conclusion générale
Bibliographie
Annexes

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