Diffรฉrence entre condiments,aromates, herbes aromatiques et รฉpices
A. Les condiments
o Etymologie : Du latin condimentum issu de condire : assaisonner, confire apparaรฎt au XIIIe siรจcle.
o Dรฉfinition : Substance ayant une odeur ou un goรปt prononcรฉ, et qui est utilisรฉe pour relever la saveur des aliments.
o Exemples de condiments :
-d’origine minรฉrale : sel
-d’origine animale : garum, nuoc mam, viandox
-d’origine vรฉgรฉtale : les รฉpices
-d’origine mixte : pรขtes de curry, nam prik
-simples : ail, sel, gingembre
-prรฉparรฉs : moutardes, chutney, cornichons, nam prik, sauce soja
-utilisรฉs en cuisine : piment, cannelle, ciboulette
-servis sรฉparรฉment sur la table : pickles, chutney, moutardes, sel, cornichons
B. Les aromates
o Etymologie : Du bas latin aromatum de aroma, apparaรฎt au XIIe siรจcle
o Dรฉfinition : Plante ou substance d’origine vรฉgรฉtale, odorifรฉrante et utilisรฉe dans les domaines de la parfumerie, de la mรฉdecine ou de la cuisine.
o Exemples d’aromates :
En parfumerie : patchouli, rose, lavande, santal
En mรฉdecine : sauge, thym
Remarques : toutes les plantes mรฉdicinales ne sont pas des aromates. Il en existe de nombreuses qui ne sont pas parfumรฉes : le saule, la verveine officinale, le plantainโฆ
En cuisine : badiane, laurier, sauge, cannelle
C. Les herbes aromatiques
o Dรฉfinition : Epice issue des feuilles ou tiges, รฉpice verte.
Remarque : Trรจs peu d’auteurs donnent des dรฉfinitions de cette expression. Nous la prรฉcisons pour insister sur le fait que les herbes aromatiques ne sont que des รฉpices particuliรจres.
o Exemples d’herbes aromatiques :
-simple : laurier, coriandre, menthe, caloupilรฉ, persil
-exotique : caloupilรฉ, ngo gai, rau om
-composรฉe : fines herbes, bouquet garni
D. Les รฉpices
o Etymologie : Du latin species : espรจces, denrรฉes, puis, rรฉservรฉ aux aromates, apparaรฎt au XIIe siรจcle
o Dรฉfinition : Substance vรฉgรฉtale [ou issue d’un rรจgne proche comme les champignons ou les algues], ayant un goรปt ou une odeur prononcรฉe, et qui est utilisรฉ pour relever la saveur des aliments. (ou encore : aromate condimentaire)
Remarque : Il nous semble important, bien qu’aucune source analysรฉe n’y fasse allusion, de dire que les รฉpices et les condiments sont toujours utilisรฉs en petite quantitรฉ et n’apportent pas (ou trรจs peu) de nutriments รฉnergรฉtiques (glucides, lipides) ou structurels (protรฉines, lipides) au plat.
o Exemples d’รฉpices : exotiques : muscade, cannelle, vanille, graines de paradis locales (europรฉennes) : geniรจvre, moutarde, ail, fenouil, truffes, olive
-sรจches : poivre, nielle (ou nigelle), cumin, safran
-fraรฎches : poivre vert, ail, gingembre, olive
-affinรฉes/fermentรฉes : vanille, cacao
-de couleur verte (feuilles et tiges) = herbes aromatiques
-fortes : piments, poivre, gingembre
-douces : cannelle, vanille
-composรฉes : pรขte de curry, ras el hanout, gremolata
CHOIX DE TERRAIN
Le choix du terrain repose sur plusieurs critรจres, cโest ce qui distingue lโagriculture des autres activitรฉs :
– Elle exige beaucoup dโespace,
– Elle dรฉpend des conditions naturelles : climat, qualitรฉ du sol.
Il est ร distinguer que le sol est un milieu biologique particulier, plus ou moins favorable ร la culture, et plus ou moins naturel. On peut lโamรฉliorer, seulement, รงa peut coรปter cher et durer longtemps ; tandis que la terre, selon Ricardo, cโest un bon sol, un bon climat, cโest un espace qui nโest pas affectรฉ ร dโautres usages et favorable ร lโagriculture4. Mais dans le cas de la culture du safran, le choix de terrain doit tenir compte des exigences climatiques et รฉdaphiques de la plante Le Safran a besoin de pluie et ensoleillement comparables ร ceux de la vigne qui a besoin dโun sol : Lรฉger, drainant, riche, neutre, si possible argilo calcaire ou argilo sableux, ni excรจs d’humiditรฉ, ni tassement. En plus, cette plante rustique se plait en altitude (entre 600 et 1.200 mรจtres) et peut rรฉsister ร des gels importants de plusieurs jours (jusquโร -10ยฐ -15ยฐ) comme ร des cha leurs de plus de 40ยฐ.Dโoรน notreย orientation vers la zone dโAntsalaka qui prรฉsente plus ou moins ces qualitรฉs.
N.B : La parcelle sera choisie aussi en fonction de son orientation : – sud – sud/est
Evaluation thรฉorique de la demande
ย ย ย ย ย ย ย Pour bien connaรฎtre un marchรฉ, il est nรฉcessaire de savoir lโรฉvolution de la demande ou, ร dรฉfaut, une prรฉvision de la demande serait nรฉcessaire pour un produit en phase de lancement. On a besoin de prรฉvoir la demande pour รฉvaluer les consรฉquences รฉconomiques du temps de commercialisation, et pour estimer la rentabilitรฉ de lโentreprise, les besoins financiers et la quantitรฉ de produits ou intrants nรฉcessaires.8 Cette prรฉvision de demande va donc servir ร toutes les dรฉcisions relatives ร lโexploitation.
LES PROBLEMES LIES A LA PRODUCTION
Au niveau de lโoffre Auparavant, la production du safran restait trรจs restreinte. On le trouvait surtout en Asie mineure qui est son prรฉsumรฉ origine, puis, il a รฉtรฉ introduit en Europe. De nos jours, de plus en plus de pays essaie la culture du safran. Ceci รฉtant, lโoffre au niveau international est au environ de 300 tonnes par an. Cela nโempรชche que lโoffre du safran malgrรฉ ces quantitรฉs assez importantes dรฉpend de la qualitรฉ, de son origine, ainsi que de la tradition de sa culture. Ainsi, essayons dโidentifier les facteurs qui puissent freiner lโacclimatation du safran dans la rรฉgion DIANA Madagascar : Commune Rurale dโ Antsalaka.
A. Lโaccรจs aux jeunes plans ou bulbes : Vu quโร Madagascar il nโy a aucun bulbe de safran, nous nโavons dโautre recours que de lโimporter. Dโoรน la naissance dโun grand problรจme, car les grands pays producteurs conservent jalousement leur pรฉpiniรจre ce qui forme une barriรจre ร lโentrรฉe du marchรฉ qui jusquโici sโavรจre รชtre impรฉnรฉtrable. Malgrรฉ cela, certains pays comme la France et lโEspagne acceptent quand mรชme de cรฉder des bulbes prรชts ร fleurir mais ร un prix plus ou moins รฉlevรฉ. Dโoรน le problรจme dโinvestissement
B. Problรจme dโinvestissement : Rรฉpondre ร une demande importante, par exemple, pour le besoin dโenvergure nationale ainsi que rรฉgionale, nโest pas une chose aisรฉe. Cette production nรฉcessite une mobilisation financiรจre considรฉrable du fait du coรปt des bulbes qui sโavรจre รชtre assez cher. Or, pour pouvoir subvenir ร la demande, il nous faut un nombre assez important de bulbe prรชt ร fleurir.
C. Le problรจme de transport : Les bulbes acquis, on se trouvera encore face ร un problรจme, cโest le problรจme de transport. Certes, le transport est dโune frรฉquence assez importante entre la France et Madagascar, mais cโest surtout lโรฉtat du transport qui nous inquiรจte le plus. Les bulbes de safran pourraient ils rรฉsister au long voyage ? Donc, il faut adopter un mode dโemballage adรฉquate afin que les bulbes ne soient pas affectรฉs par le voyage.
D. Le manque dโexpรฉrience : Certes, ร Madagascar la main dโลuvre et trรจs abondante et ร bas prix mais peu qualifiรฉe. Et en tant que pionnier de la culture du safran ร Madagascar, nous serons confronter au manque dโexpรฉrience et de main dโลuvre qualifiรฉe ou adรฉquate dans ce domaine. Il est ร prendre en compte que la qualitรฉ de la main dโลuvre et de la mรฉthode de production influence beaucoup la qualitรฉ du produit qui par la suite fixe le prix. Etant donner que la culture du safran est une culture qui demande beaucoup dโattentions et de soins, un niveau minimum dโexpรฉrience et de professionnalisme sera plus que le bienvenu.
Au niveau de marchรฉ Comme nous lโavons dรฉjร prรฉcisรฉ, la culture du safran peut-รชtre une activitรฉ trรจs rentable. Dans la deuxiรจme partie de ce travail, nous essaierons de dรฉmontrer cette rentabilitรฉ. Maintenant, nous allons dโabord parler de ses problรจmes au niveau du marchรฉ. Cette รฉtude va mettre en relief les problรจmes sur le marchรฉ national et ร lโexportation.
A- Au niveau national : Le vรฉritable frein au dรฉveloppement de la culture du safran sur le sol national rรฉsulte de son inexistence auparavant ainsi que de son prix trรจs รฉlevรฉ. Donc, nos principaux missions seront de faire connaitre le SAFRAN ainsi que dโinstaurer un circuit de distribution adรฉquat. Pour cela, nous envisagerons dโutiliser le circuit direct, de ce fait, nous serons en contact direct avec les clients, minimisant ainsi les risques รฉventuels de dรฉformation des informations et de fraudes.
Gรฉnรฉralitรฉ et dรฉfinition : Le circuit de distribution est le mode dโorganisation permettant dโaccomplir des activitรฉs qui ont toutes pour but dโamener au bon endroit, au bon moment et en quantitรฉs suffisantes, des produits appropriรฉs. Les activitรฉs du circuit de distribution, gravitent autour de neuf fonctions principales :
โข LE RECEUIL DโINFORMATION : en particulier la recherche des dรฉbouchรฉs commerciaux,
โข LA PROMOTION : c’est-ร -dire lโรฉlaboration et la diffusion de communication persuasives relatives ร lโoffre
โข LA NEGOCIATION : c’est-ร -dire recherche dโun accord sur les termes dโรฉchange,
โข LA PRISE DE COMMANDE
โข LE FINANCEMENT
โข LA PRISE DE RISQUE
โข LA DISTRIBUTION PHYSIQUE : transport, stockage et manutention
โข LA FACTURATION
โข TRANSFERT DE PROPRIETE
Pour le safran, dans sa distribution, aucune des principales fonctions du circuit de distribution susmentionnรฉes ne seront dรฉlaissรฉes pour que le produit connaisse une prospรฉritรฉ, car pour arriver ร cela, il doit y avoir fiabilitรฉ de distribution, c’est-ร -dire distribuer au bon endroit et pouvoir offrir la qualitรฉ et la quantitรฉ demandรฉe.
Cas de Promotion : รฉtant donnรฉ la faiblesse de lโoffre par rapport ร la demande, les offres seront toujours รฉcoulรฉes. En bref, le circuit de distribution a pour vocation de promouvoir le produit. Mais la faiblesse de connaissance de ce produit vis-ร -vis de la clientรจle pourrait รชtre un frein quโil faut y remรฉdier par le biais dโune promotion assez importante.
B- Au niveau international (normes)
1- Gรฉnรฉralitรฉ : Lโaccรจs ร un marchรฉ international est caractรฉrisรฉ par une forte exigence des consommateurs et acheteurs en matiรจre de qualitรฉ. Pour exporter, on a besoin de produits qui rรฉpondent ร de bonnes particularitรฉs ou bien des produits qui rรฉpondent aux normes. La norme11, cโest lโensemble des techniques qui ont pour but dโuniformiser la qualitรฉ et lโaspect des produits pour satisfaire les exigences des consommateurs. Les normes tiennent compte de la caractรฉristique de prรฉsentation, c’est-ร -dire, la forme, la couleur, lโaspect, le calibrage, les dรฉfauts non admises, lโรฉtat sanitaire et le rapport de sรฉchage pour les produits sรฉchรฉs comme le SAFRAN.
2- Situation du SAFRAN face aux normes : Ce produit est le fruit dโun sรฉchage ร lโair libre. Mais concernant la norme, le SAFRAN nโa pas une norme assez exigeante. Mais vu la tendance au produit biologique actuellement, les consommateurs internationaux cherchent surtout les produits prรฉparรฉs dโune maniรจre traditionnelle mais sains. Sur ce, le sรฉchage ne rรฉpond pas ร un critรจre bien dรฉfini car cela dรฉpend des pays de production. En voici les diffรฉrents modes de sรฉchage : en four, sur poรชle ร bois, sur brasero, en plein soleil, en sรฉchoir ร pollen, sur plaque vitrocรฉramique, รฉlectrique, etc.โฆ En bref, pour pouvoir pรฉnรฉtrer le marchรฉ international, il faut que notre production soit faite dโune maniรจre artisanale afin de pouvoir attirer les consommateurs les plus exigeants. Et ainsi, se faire une bonne image du label malgache.
Plantation
1. Obtention du matรฉriel vรฉgรฉtal : Au moment du renouvellement des safraniรจres, les bulbes sont rรฉcoltรฉs. Avant leur plantation, les tuniques sont รฉliminรฉes en ne gardant quโune seule autour du bulbe. Seuls les bulbes ayant un diamรจtre de 2,5 ร 3 cm et ne montrant aucune anomalie ou blessure sont plantรฉs. Les bulbes plus petits sont gardรฉs en pรฉpiniรจre pour la croissance.
2. Epoque de plantation : En gรฉnรฉral, la pรฉriode de plantation varie selon les pays ร cause des diffรฉrences climatiques. Mais ร Madagascar, la plantation se fera de Juillet ร mi-aoรปt. Une plantation tardive aprรจs le 15 aoรปt ne permet pas un enracinement suffisant pour assurer une floraison dรจs le mois dโoctobre suivantโฆ
3. Densitรฉ de plantation : La densitรฉ de plantation ร adopter dรฉpend du mode de conduite annuelle, le nombre de bulbes ร la plantation est relativement plus important que dans le cas dโune plantation pluriannuelle. En effet, chaque bulbe donne naissance ร 3 ou 4 bulbes, et aprรจs 3 ans de plantation, plus de 24 bulbes sont obtenus par souche. Lโautre facteur qui influence la densitรฉ est la disposition des bulbes pour une meilleure occupation du sol. En gรฉnรฉral, il est recommandรฉ dโutiliser 50 ร 70 bulbes par m2 pour une bonne production de fleurs, et de bulbes pour la seconde gรฉnรฉration. Ce nombre est fonction de la taille des bulbes et de la conduite de la culture. Une densitรฉ de plantation trop importante peut conduire ร l’รฉtouffement, suite ร la multiplication naturelle des bulbes et oblige ร un arrachage plus rapide de la safraniรจre.
4. Dispositif et mode de plantation : Avant la plantation, on doit amรฉnager le terrain en tranchรฉe dโune profondeur de 20 ร 30 cm et distante de 15 ร 20 cm. Lโamรฉnagement fini, il faut poser les bulbes tรชte en lโair et bien ร plat dans le fond de la tranchรฉe, distants de 15 ร 20 cm sur le rang et de 25 ร 30 cm entre les lignes. En creusant la ligne suivante, recouvrir les bulbes du premier rang. Pour des lignes droites, suivre un cordeau. Prรฉvoir une allรฉe tous les 4 rangs.
Le montant de lโinvestissement
ย ย ย ย ย ย ย ย Dรฉfinition: lโinvestissement est la constitution du capital de production dont on attend le revenu sur plusieurs pรฉriodes futures. Le capital de production comprend lโensemble des actifs physiques qui permettent de faire fonctionner lโunitรฉ de production au sein du cycle dโexploitation. Le cycle dโinvestissement met en relief la transformation de la monnaie en immobilisations. On distingue plusieurs types dโinvestissement :
les investissements en immobilisation dont les rรฉsultats sโรฉtalent sur plusieurs annรฉes ;
lโacquisition de nouvelles machines…..
Ces investissements visent ร amรฉliorer la situation รฉconomique de lโentreprise. Du point de vue financier, cโest une sorte de fond initial qui doit avoir des effets sur plusieurs annรฉes dโexercice sous forme dโencaissements successifs. Avant dโinvestir sur quelques choses, il est jugรฉ important dโรฉtudier sa rentabilitรฉ et sa faisabilitรฉ. Donc la premiรจre dรฉmarche ร faire consiste ร repรฉrer les diffรฉrentes formes dโinvestissements qui seront ร dรฉfinir et ร รฉvaluer en dรฉpenses et en ressources financiรจres. Une fois toutes ces dรฉmarches faites, on peut effectuer le choix de lโinvestissement le plus rentable et des critรจres de dรฉcision ร prendre.
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Table des matiรจres
REMERCIEMENT
DEDICACE
LISTE DES ABREVIATIONS SIGLES ET ACRONYMES
INTRODUCTION
PARTIE I DESCRIPTION ET ETUDES PREALABLES
CHAPITRE I : ETUDE ET DESCRIPTION DU PROJET
SECTION 1 : LA ZONE DโIMPLANTATION
A.Historique
B. Localisation gรฉographique
C. Caractรฉristiques du sol
D.Situation dรฉmographique et รฉconomique
E. Le climat
F. Carte de la rรฉgion DIANA
SECTION 2 : LA PRODUCTION DU SAFRAN
ยง1. DIFFERENCE ENTRE CONDIMENTS, AROMATES, HERBES AROMATIQUES, ET EPICES
A.Les condiments
B. Les aromates
C.Les herbes aromatiques
D.Les รฉpices
ยง2. DESCRIPTION DU SAFRAN
A.Les caractรฉristiques du produit
B.Les utilisations possibles
ยง3. LES CHOIX DE PRODUCTION
A.Choix de terrain
B.Choix de bulbes
CHAPITRE II : LE MARCHE DU SAFRAN
SECTION 1 : ANALYSE DE LโOFFRE
SECTION 2 : LES PRIX ET LEURS EVOLUTIONS
SECTION 3 : ANALYSE DE LA CONCURRENCE
SECTION 4 : ANALYSE DE LA DEMANDE
ยง1. CLIENTELES CIBLES
ยง2. EVALUATION THEORIQUE DE LA DEMANDE
ยง3. LE POTENTIEL DU MARCHE
CHAPITRE III : LES PROBLEMES LIES A LA PRODUCTION ET SOLUTIONS
SECTION 1 : LES PROBLEMES LIES A LA PRODUCTION
ยง1. AU NIVEAU DE LโOFFRE
A.Lโaccรจs aux jeunes plans ou bulbes
B.Problรจme dโinvestissement
C.Le problรจme de transport
D.Le manque dโexpรฉrience
ยง2. AU NIVEAU DU MARCHE
A.Au niveau national
B.Au niveau international (normes)
1. Gรฉnรฉralitรฉ
2.Situation du safran face aux normes
SECTION 2 : LES SOLUTIONS PRECONISEES
ยง1. ACCES AUX JEUNES PLANS OU BULBES
ยง2. PROBLEME DโINVESTISSEMENT
ยง3. MANQUE DโEXPERIENCE
SECTION 3 : GENERALITE SUR LA TECHNOLOGIE
ยง1. LES CRITERES POUR UN CHOIX TECHNOLOGIQUE
A.A lโรฉtape de proposition
1.Le cahier des charges des produits finis
2.La disponibilitรฉ de la matiรจre premiรจre sur le site
3.Le niveau de production estimรฉ en capacitรฉ nominale
4. Les caractรฉristiques du produit ร lโentrรฉe
5.La disponibilitรฉ รฉnergรฉtique
B. A lโรฉtape de validation
1.La gestion des opรฉrations unitaires en amont et en aval
2.Lโimpact รฉconomique et financier sur la faisabilitรฉ
3.La maรฎtrise technique
4.Les besoins en maintenance
ยง2. LE CHOIX DE MATERIEL DE LABOUR
ยง3. LE CHOIX DE SECHOIR
PARTIE II ORGANISTION ET EVALUATION FINANCIERE
CHAPITRE I : LA STRUCTURE ORGANISATIONNELLE
SECTION 1 : ORGANISTION DE PRODUCTION
ยง1. PRINCIPE DE FABRICATION
ยง2. TECHNIQUE DE PRODUCTION
A.Prรฉparation du terrain
B.Plantation
1.Obtention de matรฉriel vรฉgรฉtal
2. Epoque de plantation
3.Densitรฉ de plantation
4.Dispositif et mode de plantation
C.Entretien
D.Ennemies et maladies
1.Ennemies
2.Maladies
E.Floraison et rรฉcolte
F. Prรฉparation
G.Sรฉchage
H.Conditionnement et รฉtiquetage
SECTION 2 : DESCRIPTION DES PRINCIPALES FONCTIONS
ยง1. ORGANIGRAMME
ยง2. DEFINITION DES POSTES
A. Le Gรฉrant
B. Le Secrรฉtaire comptable
C. Lโinformaticien
D.Le technicien
E. Les ouvriers
F. Le chauffeur
G.Les gardiens
ยง3. LE CHRONOGRAMME DES ACTIVITES
A.Premiรจre รฉtape
B.Deuxiรจme รฉtape
CHAPITRE 2 : EVALUATION DE LโINVESTISSEMENTย
SECTION 1 : INVESTISSEMENTS ET AMORTISSEMENTS
ยง1. INVESTISSEMENTS
A.Le montant de lโinvestissement
B.Les รฉlรฉments constitutifs
1.ย Immobilisations incorporelles
2. Immobilisations corporelles et valeurs estimatives
ยง2. AMORTISSEMENTS
SECTION 2 : FINANCEMENT DU PROJET ET LE FOND DE ROULEMENT
ยง1. FINANCEMENT DU PROJET
A. Choix de la forme juridique
B. Les modes de financement possible du projet
1.Financement interne
1.1.La crรฉation du capital
1.2. Lโautofinancement
2. Le financement externe
2.1.ย Financement par fond propre
2.2. Financement par capitaux propres
C.Choix du mode de financement
D.Dรฉtermination du montant de lโemprunt
1. Les conditions dโoctroi de crรฉdit de la banque
1.1.Critรจres subjectifs
1.2.ย Critรจres objectifs
2.Les diffรฉrents types de crรฉdits
2.1.Le crรฉdit dโinvestissement
2.2. Le crรฉdit de fonctionnement
3.Durรฉes et taux de crรฉdit
E.Remboursement de crรฉdit ร long terme
ยง2. LE FOND DE ROULEMENT (FR)
CHAPITRE III : ANALYSE ET EVALUATION DE LA RENTABILITE DU PROJET
SECTION 1. COMPTE DE GESTION
ยง1. LES COMPTES DES CHARGES
A.Les achats
B.Les services extรฉrieurs
C.Les autres services extรฉrieurs
D. Impรดts et taxes
E. Charges du personnel
F. La charge financiรจre
ยง2. LES COMPTES DES PRODUITS
SECTION 2 : ANALYSE DE LA FAISABILITE
ยง1. ANALYSE DE RENTABILITE
ยง2. SEUIL DE RENTABILITE
A. Dรฉfinition
B. Unitรฉ du seuil de rentabilitรฉ
CCalcul du seuil de rentabilitรฉ
1. Les charges variables
2. Les charges fixes
SECTION 3 : LE PLAN DE FINANCEMENT
ยง1. LA CAPACITE DโAUTOFINANCEMENT (CAF)
ยง2. LE BILAN PREVISONNEL
SECTION 4 : EVALUATION DE LA RENTABILITE DU PROJET
ยง1. EVALUATION DU POINT DE VUE ยซ COMMERCIAL Eยป
ยง2. EVALUATION DU POINT DE VUE ยซ ECONOMIQUE ยป
ยง3. EVALUATION DโORDRE ยซ FINANCIERE ยป
A. Temps de rรฉcupรฉration des capitaux investis
B. La valeur actuelle nette (VAN)
C. Le taux de rentabilitรฉ interne ou TRI
D. Lโindice de profitabilitรฉ (IP)
SECTION 5 : EVALUATION DโORDRE SOCIAL
ยง1. PERSPECTIVE DU PROJET
A. Crรฉation dโemploi e diminution de chรดmage
B. – Augmentation des revenus
C. Dรฉveloppement de la rรฉgion et sรฉcuritรฉ sociale
ยง2. IMPACT DU PROJET
A. Impact รฉconomique
B.Impact financier
C.Impact social
CONCLUSION
ANNEXES
LISTE DES TABLEAUX
LISTES DES PHOTOS ET GRAPHIQUES
LISTES DES CARTES ET FIGURES
AVANTAGES FISCAUX PREVUS PAR LE CODE DES INVESTISSEMENTS
GLOSSAIRES
GUIDE DโINSTALLATON DES PANNEAUX SOLAIRES
BIBLIOGRAPHIE
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