Unité de production de médicaments traditionnels de Grand-Bassam

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État des lieux de la médecine traditionnelle en Côte d’Ivoire (PNPMT, 2014)

Plusieurs étapes ont marqué l’évolution de la médecine traditionnelle en Côte d’Ivoire.
Pendant la période précoloniale (avant 1893), la médecine traditionnelle assurait la majeure partie de la couverture des besoins sanitaires des populations.
Elle a été proscrite pendant la colonisation (1893-1960) au profit de la médecine moderne.
Après l’indépendance en 1960, la Côte d’Ivoire a pris des mesures pour revaloriser la médecine traditionnelle :
En 1970, un programme de valorisation des substances naturelles a été initié par l’université d’Abidjan pour la formation des chercheurs et enseignants du supérieur sur la médecine traditionnelle et la mise en place de laboratoires de recherche en pharmacopée africaine et en médecine traditionnelle ; puis en 1974, des chercheurs de l’Université d’Abidjan et des structures de santé, encouragés par le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) et l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA), vont s’investir dans la recherche sur les plantes médicinales.
En 1995, le Ministère de la Santé Publique a intégré la médecine traditionnelle dans son Plan National de Développement Sanitaire et a fait d’elle une de ses priorités. Une sous-direction de la médecine traditionnelle rattachée à la Direction des Établissements et Professions Sanitaires (DEPS) a été créée pour organiser et superviser les activités. Le décret n°96-877 et n°96-878 du 25 octobre 1996 portant classification, définition et organisation des établissements sanitaires privés a pris en compte les établissements de soins en médecine traditionnelle. Cette même année un atelier de consensus a été tenu à Aboisso sur la politique d’intégration de la médecine et de la pharmacopée traditionnelles dans le système sanitaire ivoirien.
En 1997, le gouvernement ivoirien par acte présidentiel (lettre N° 3967 du 27 août 1997 relative à la médecine traditionnelle) a autorisé la collaboration entre la médecine moderne et la médecine traditionnelle.
En 2001, le Ministère de la Santé Publique a pris un arrêté sous le n° 409 du 28 décembre 2001 portant création, organisation et fonctionnement du Programme National de Promotion de la Médecine Traditionnelle.
En juin 2007, un document cadre de politique nationale en matière de médecine traditionnelle et un plan stratégique 2007-2011 ont été validés et révisés en 2014. Le but principal de ce programme est d’ « améliorer la couverture des besoins sanitaires de la population par une prise en compte effective et efficiente de la Médecine et de la Pharmacopée Traditionnelles dans le système national de santé ».
En 2008, plusieurs associations ont été créées et une fédération nationale des Praticiens de Médecine Traditionnelle a été mise en place. Ces différentes organisations ont pour rôle d’une part, de promouvoir la santé de la population ivoirienne par l’usage des plantes médicinales en améliorant leurs prestations traditionnelles et d’autre part, elles veillent à perpétuer les savoirs des PMT qui disparaissent progressivement.
Aussi, la Côte d’Ivoire par le PNPMT a-t-elle jugé opportun de mettre en place une Unité pilote de soins de Médecine Traditionnelle en 2013. La mise en place de cette Unité vise à rapprocher les acteurs de la médecine moderne et ceux de la médecine traditionnelle pour amorcer le démarrage effectif du processus de collaboration entre ces deux types de médecine.
En 2015, l’assemblée nationale a adopté la loi relative à l’exercice et à l’organisation de la médecine et de la pharmacopée traditionnelle en Côte d’Ivoire : LOI N° 2015-536 du 20 Juillet 2015.
En 2016, un décret portant code d’éthique et de déontologie des praticiens de la médecine et de la pharmacopée traditionnelle a été adopté en conseil des ministres. Ce code, prévu par la loi de juillet 2015 qui régit l’exercice et l’organisation de la médecine et de la pharmacopée traditionnelles en Côte d’Ivoire, organise un certain nombre de règles qui exigent des praticiens de médecine traditionnelle, une certaine connaissance et un savoir-faire. Ces mesures concernent uniquement les praticiens de la médecine traditionnelle tels que définis dans la loi N° 2015-536 du 20 Juillet 2015 prodiguant des soins, et, sont exclus marabouts, féticheurs et charlatans (RCI, 2015).

ARGILES

Définitions

Le mot argile provient du latin « Argilla ». Ce même mot est dérivé du grec « argillos », dont la racine « argos », signifie « d’une blancheur éclatante » (Dictionnaire Le ROBERT, sd).
Plusieurs significations sont données au terme « Argile » en fonction des professions. Le pharmacien et le médecin, ont une approche avant tout chimique, pour ces derniers, les argiles sont des silicates simples ou complexes d’aluminium, de magnésium et de fer, les médicaments destinés à l’usage interne utilisant majoritairement les premiers (ALLEGRE, 2012).
Par ailleurs, il existe une différence entre « le minéral argileux » et « la roche argileuse ». En effet, une « roche argileuse » est une association de minéraux divers (dont sables et calcaires) parmi lesquels se trouvent un ou plusieurs minéraux argileux ; par contre un « minéral argileux » est une espèce minérale pure, à composition chimique définie, et aux propriétés fidèles et reproductibles (ALLEGRE, 2012).
Il n’y a donc pas une, mais des argiles. Elles se distinguent les unes des autres de par leur composition et leur structure.

Formation

Les argiles naissent par altération des roches selon trois grands processus de formation, juxtaposables. Le premier correspond simplement à la décomposition des roches par érosion. Les phénomènes caractérisant une érosion des sols sont nombreux. La pluie, le vent, le gel, le dégel, les vagues et bien d’autres sont autant de phénomènes naturels à l’origine de la formation des argiles. Le deuxième processus est appelé néoformation, il correspond à la formation du minéral. Par combinaison, des substances transportées par l’eau du sol vont s’arranger pour former une structure minérale. Le troisième mécanisme correspond au processus de transformation des minéraux évoluant par dégradation (perte d’équilibre du sol) ou aggradation (accumulation de sédiments dans un cours d’eau par excès de transport par l’eau) d’ions minéraux argileux (VILLERAS, 2008).
Ainsi, par soustraction ou fixation d’ions, une kaolinite peut donc devenir une chlorite et des smectites, des illites (ADRIANNE, 2003).
Aussi, les propriétés et les compositions des roches argileuses diffèrent selon les conditions dans lesquelles elles se sont formées.
En effet, un climat froid provoquera une altération faible de la roche. Les minéraux argileux auront donc une composition similaire à celle des minéraux provenant de la roche d’origine. C’est le cas des illites et des chlorites, par contre un climat à la fois chaud et humide entrainera une forte hydrolyse voyant l’obtention des kaolinites et des smectites. La création d’argiles de types illites, chlorites ou encore vermiculites peuvent elles aussi résulter d’un processus d’altération dit modéré de la roche dans un climat tempéré (ADRIANNE, 2003).
La topographie des sols peut également jouer un rôle dans la composition de l’argile. Une zone pentue prévoit un fort drainage de l’eau, entraînant la formation de kaolinite. Inversement, un milieu confiné, comme retrouvé dans les cuvettes, produira des smectites par phénomène de concentration (ADRIANNE, 2003).
Les argiles fibreuses quant à elles proviennent de croutes de calcaires. Ces zones présentant un climat sec, sont riches en sels. Elles peuvent se former en solution, par une richesse ionique (ADRIANNE, 2003).
Il existe donc une grande variété d’argiles qui diffèrent également par leur structure, leurs propriétés physiques et chimiques.

Différents types d’argiles

Structure générale

Un minéral d’argile a une granulométrie inférieure à 4 micromètres. Les roches argileuses elles, sont caractérisées par leur maille élémentaire ; cette maille se répète de façon périodique pour former un réseau ou couche d’atomes, et, une combinaison de couches est appelée feuillet ; un empilement de feuillets forme un cristal identifié par diffractométrie aux rayons X (RX) (HERNOT, 2016).
Les empilements peuvent n’être composés que par un seul type de feuillet d’équidistance, c’est le type monophyllite avec une équidistance constante entre feuillets. Par ailleurs si les empilements présentent plusieurs équidistances entre feuillets, c’est le type interstratifié. Les feuillets de certaines espèces peuvent être discontinus, ils sont alors appelés pseudo-feuillets (CHARRIE & al, s.d).
Les minéraux argiles sont constitués d’ions, les cations silicium (Si4+), aluminium (Al3+) ou magnésium (Mg2+) sont entourés d’anions oxygène (O2-) ou hydroxyle (OH-), ce qui favorise la formation d’un réseau cristallin structurant un feuillet plan (ALLEGRE, 2012).
Un tétraèdre est l’unité construite à partir d’un cation silicium et de quatre anions oxygène dans l’espace (figure1), les tétraèdres, associés entre eux, forment une couche plane dite couche tétraédrique (Te ou T) (ALLEGRE, 2012). (Figure2)
De façon similaire, l’unité construite à partir d’un ion aluminium et de six anions oxygène ou hydroxyle constitue un octaèdre (figure3), et, le regroupement de ces octaèdres crée une couche plane dite couche octaédrique (Oc ou O) (ALLEGRE, 2012). (Figure4)

Classification des argiles selon la structure des feuillets

Feuillets à 2 couches

Les deux couches sont désignées par le terme Te/Oc ou encore 1:1 (une couche de chaque type) (figure 5). Dans ce groupe se trouve principalement les kaolinites (roche kaolin) dont la dénomination vient du mot chinois « Gao ling » désignant la colline où elle a été découverte mais également l’halloysite.
La kaolinite est riche en silice et peu concentrée en sels minéraux, utilisée pour la fabrication de la porcelaine et de la céramique. C’est une des rares argiles chimiquement inerte et constitue un liant idéal dans la fabrication des médicaments, le papier et la peinture (HERNOT, 2016). Sa formule chimique est : Al2 Si2 O5 (OH)4 (BOUNA, 2012).
L’Halloysite a une composition similaire, sauf qu’il contient des molécules d’eau supplémentaires entre les couches et le plus souvent présente une morphologie tubulaire. Halloysite perd son eau intercouche très facilement de sorte qu’il est souvent observé dans un état partiellement déshydraté. Dans sa forme entièrement hydratée la formule est : Al2 Si2 O5 (OH)4 . n H2O.
Il est de plus en plus important en raison principalement de son utilisation dans les applications de la nanotechnologie qui profitent de son habitude tubulaire (ALLEGRE, 2012).
Les nanotubes n’ont pas de toxicité in vitro ni in vivo, cela permet leur utilisation comme vecteur de principe actif (LVOV & al, 2015).

Feuillets à trois couches

Ces argiles sont désignées par le terme Te/Oc/Te (TOT). Il s’agit d’un feuillet à trois couches ou encore 2:1, dont la couche d’alumine est prise en sandwich entre deux couches de silice (Figure 6). Dans cette classe, on trouve les smectites, les illites, les chlorites et les vermiculites. Les plus utilisées en médecine sont les smectites (montmorillonite, beidellite) et les illites (ALLEGRE, 2012).

Smectites

Les smectites regroupent les montmorillonites, les bentonites, les saponites, les nontronites et les beidellites. Elles sont appelées ainsi à cause de leurs propriétés dégraissantes du grec « smektikos » traduit par « qui nettoie ».
Les cristaux sont généralement très fins. L’écart réticulaire est variable entre 10 et 21 Å en fonction de la présence d’eau, elles sont dites argiles gonflantes (KORNMANN, 2012).
Sous l’action de l’eau, elles peuvent augmenter leur volume jusqu’à 30%. En piégeant l’eau elles fixent aussi des cations permettant les échanges par adsorption. Elles prennent une texture de type gel, pouvant transporter des ions ou des molécules actives, cette propriété est à la base des technologies de pansements pour le tube digestif (HERNOT, 2016).
L’argile Montmorillonite est la plus communément récoltée. Son nom provient de sa ville d’origine, Montmorillon située en France. Elle détient une forte concentration en silice et en minéraux, dont de la potasse (KOH), des oxydes de magnésium (MgO), de fer (Fe2O3), de manganèse (MnO), d’aluminium (Al2O3), de la soude (NaOH) (VILLERAS, 2008).
D’une rare pureté, la Montmorillonite présente des qualités et des attraits supérieurs à n’importe quelle autre argile verte. Ceci explique que c’est l’argile la plus commune à la vente (VILLERAS, 2008).
La formule chimique est : (Mg, Ca) O, Al2O, 5SiO2, nH2O (BEAUCHAMP, 2002)

Illite

L’espèce minérale illite doit son nom à l’Illinois, aux États-Unis où elle a été étudiée. Sa composition est riche en calcium (14%), en fer (9%) et pauvre en magnésium (HOWER & MOWATT, 1900). Elle possède un espace inter-réticulaire fixe (10Å), ainsi sa capacité d’échange est limitée et l’espace inter foliaire reste constant : elle est dite non gonflante. La formule chimique l’illite est : KAl2 (OH)2, (AlSi3 (O, OH)10 (BEAUCHAMP, 2002).

Vermiculite

Les vermiculites tirent leur nom de leur aspect de petits vers, après chauffage (vermiculus, « petit vers » en latin) (Millot, 1979). Elles possèdent une structure argileuse monoclinique de type 2:1, avec deux feuillets de type tétraédrique pour chaque feuillet de type octaédrique.
Elles ont une origine volcanique et sont riches en magnésium. Les vermiculites sont formées par hydratation de minéraux basaltiques (Valášková & al, 2012). L’eau qu’elles contiennent entre leurs feuillets, peut être éliminée par chauffage à plus de 300°C. La distance interfoliaire se réduit alors de 14 à 10 Å. Ce sont les argiles utilisées dans le bâtiment comme isolants minéraux, cependant elles peuvent présenter des risques pour la santé parce que souvent associée à l’amiante (CONSOGLOBE, 2013).
La formule chimique est : (Mg, Ca)0,7 (Mg, Fe, Al)6 (Al, Si)8 O22 (OH)4 .8H2O (BEAUCHAMP, 2002).

Chlorites

Les chlorites (du grec « khlôros » vert) sont également des composés à trois couches T-O-T. Ici, l’espace inter foliaire est occupé par des composés de Mg et OH qui forment pratiquement une quatrième couche stable d’où le terme de structure T-O-T.O., les couches de silicate sont formées par des anneaux à six membres avec une alternance de couches 2:1 (deux couches de tétraèdres T autour d’une couche d’octaèdres O) et de couches 1:1 (couche isolée d’octaèdres) (KORNMANN, 2012).
La capacité d’échange est limitée et l’écart réticulaire reste constant (14,1 Å). Ce sont des argiles vertes d’emploi médical divers (Millot, 1979). (Figure 7)

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITES
I. MEDECINE TRADITIONNELLE
I.1. Définition des concepts
I.1.1. Médecine traditionnelle
I.1.2. Pharmacopée traditionnelle
I.2. État des lieux de la médecine traditionnelle en Côte d’Ivoire
II. ARGILES
II.1. Définitions
II.2. Formation
II.3. Différents types d’argiles
II.3.1. Structure générale
II.3.2. Classification des argiles selon la structure des feuillets
II.3.2.1. Feuillets à 2 couches
II.3.2.2. Feuillets à trois couches
II.3.2.2.1. Smectites
II.3.2.2.2. Illite
II.3.2.2.3. Vermiculite
II.3.2.2.4. Chlorites
II.3.2.3. Pseudo-feuillets ou argiles fibreuses
II.3.2.4. Minéraux argileux inter-stratifiés
II.3.3. Classification des argiles selon la couleur
II.4. Propriétés physico-chimiques
II.4.1. Pouvoir absorbant
II.4.2. Pouvoir adsorbant
II.4.3. Pouvoir ionisant
II.4.4. Surface spécifique
II.4.5. Adhérence et capacité de fixation
II.4.6. Capacité d’échanges d’eau
II.4.7. Radioactivité
II.5. Vertus thérapeutiques
II.6. Argiles en Côte d’Ivoire
III. ARGILOTHÉRAPIE
III.1. Définition
III.2. Historique
III.3. Principales contre-indications de l’utilisation de l’argile en milieu médical
III.4. Argilothérapie en Côte d’Ivoire
DEUXIEME PARTIE : ENQUÊTES
I. MATÉRIEL
I.1. Cadre de l’étude
I.1.1. Situation géographique
I.1.1.1. Centre Hospitalier Universitaire de Treichville
I.1.2. Situation sanitaire
I.1.3. Unité de Médecine Traditionnelle (UMT) du CHU de Treichville
I.1.3.1. Unité de consultations et soins traditionnels
I.1.3.2. Circuit du patient
I.1.3.3. Unité de production de médicaments traditionnels de Grand-Bassam
I.1.3.3.1. Procédés de fabrication des MTA
II. MÉTHODOLOGIE
II.1. Type de l’étude
II.2. Lieu et durée de l’étude
II.3. Critères de choix du site
II.4. Taille de l’échantillon
II.5. Population de l’étude
II.5.1. Critères d’inclusion
II.5.2. Critères de non inclusion exclusion
II.6. Critères de sélection des pathologies
II.7. Traitement des données
TROISIEME PARTIE : RESULTATS ET DISCUSSION
I. RESULATS
I.1. Étude rétrospective
I.1.1. Sexe des patients de l’étude rétrospective
I.1.2. Age des patients de l’étude rétrospective
I.1.3. Patients de l’étude rétrospective en fonction des pathologies
I.1.4. Quelques spécialités de MTA
I.1.5. Associations thérapeutiques
I.1.6. Innocuité et qualité des médicaments
I.1.6.1. Résultats du ‘‘Center for Scientific Research into plant Medicine’’ du ministère de la santé du Ghana.
I.1.6.2. Résultats laboratoire national de la santé publique (LNSP) d’Abidjan, Côte d’Ivoire.
I.2. Étude prospective
I.2.1. Sexe des patients en cours de traitement
I.2.2. Age des patients en cours de traitement
I.2.3. Niveau d’études des patients en cours de traitement
I.2.4. Lieu d’habitation des patients en cours de traitement
I.2.5. Pathologies des patients en cours de traitement
I.3. Niveau de satisfaction des patients
I.3.1. Services de l’UMT
I.3.2. Informations cliniques et paracliniques
I.3.3. Évaluation générale de l’efficacité des traitements prescrits à l’UMT
I.3.4. Pratique thérapeutique
I.3.5. Contraintes liées au traitement
I.3.6. Effets secondaires liés au traitement
I.3.7. Suggestions des patients
II. DISCUSSION
CONCLUSION
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES

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