Une performance macroéconomique encourageante mais fragile

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Revue de la littérature

La littérature sur le concept de la pauvreté est extrêmement abondante et caractérisé par un niveau d’ambigüité très élevé dans son rapport avec la théorie économique. Elle fournit plusieurs façons de définir la pauvreté, qui conduisent évidement à une identification différent des pauvres. De plus, chaque conception amène ses propres recommandations en matière d’allègement de la pauvreté. Les nombres développés pour mesurer la pauvreté jouent donc un rôle crucial dans le ciblage des politiques et dans l’évaluation de l’efficacité des différentes politiques. Le fait est qu’il existe différentes théorie sur le concept de la pauvreté, ces théories sont centrale dans l’étude de la pauvreté, car nous allons voir que le concept de la pauvreté reflète la structure de base du contrat sociale, et plus spécifiquement le concept de justice qui prévaut dans la société.
Selon la dimension privilégiée par l’analyse de l’équité4, on a identifié trois écoles qui déterminent le concept de la pauvreté comme une forme d’inégalité inacceptable. Les trois principales écoles sont : l’école welfarist, l’école des besoins de bases et celle de capacités (ou capabilities). Quoique ces trois approchent diffèrent à biens des égards comme nous le  verrons, elles impliquent tous par ailleurs le fait qu’une certaine « chose », à définir, n’atteint pas un niveau considéré comme un minimum raisonnable, c’est à dire qu’une personne est jugée pauvre lorsqu’elle manque par rapport au minimum raisonnable de la « chose » en question. Le débat conceptuel sur la pauvreté apparaît lorsqu’en abordent la nature de la chose manquante.

L’école welfarist

Pour les welfarists, la « chose » en question est le bien-être économique. Certains font parfois référence au bien-être économique sous le terme anglais economic welfare. Ici nous allons systématiquement réserver l’usage du terme bien-être pour le niveau individuel, et du terme welfare pour le niveau agrégé. Les welfarists ramènent le concept de bien-être soit directement au concept d’utilité commun en économie, soit indirectement via le terme bien-être économique compris comme l’utilité générée par la consommation totale. L’utilité elle-même est conçue comme un état mental, tel que le bonheur, le plaisir ou la satisfaction du désir procuré à une personne par la consommation (ou la possession) de bien et de services. Le terme « niveau de vie » est un autre terme quelque fois utilisé pour référer au bien-être économique.
Le concept de la pauvreté tire principalement ses origines dans la théorie microéconomie moderne et découlent de l’hypothèse que les individus maximisent leur bien-être.
En pratique, cependant, le bien-être économique des individus n’est pas directement observable, parce que les préférences varient de plus d’une personne à l’autre. Cette approche est amenée à formuler un premier principe, celui que les individus sont les seuls à savoir ce qui est vraiment dans leur intérêt. Par l’analyse classique de la « main-invisible » formalisée dans l’étude moderne du bien-être et des équilibres, un second principe découle du premier, celui que l’Etat ne doit pas trop intervenir dans l’économie, c’est-à-dire que ce qui doit être produit, comment et pour qui il doit l’être, doit être déterminé par les préférences inconnues des individus. Cette approche préconise donc des politique axées sur l’augmentation de la productivité, de l’emploi et donc du revenu pour alléger la pauvreté.
En conséquence, l’approche welfarist est associé à ce qui est appelé « approche revenu de la pauvreté », the income approche to poverty, L’école welfarist est actuellement l’approche dominante et était vue jusqu’à récemment comme l’unique façon de faire. La banque mondiale, l’un des leaders parmi les organismes de développement promeut fortement le concept welfarist de la pauvreté.

L’école des besoins de bases

Cette école considère que la « chose » manquante dans la vie des pauvres est un petit-sous-ensembles de biens et services : les biens de base de tous les êtres humains. Ils sont dits « de base »car leur satisfactions est considéré comme un préalable à l’atteinte d’une certaine qualité de vie, ils ne sont pas perçus comme contribuant nécessairement au bien-être. Au lieu d’être sur utilité, l’accent est mis sur les besoins individuels relativement à des commodités de base.
Dans l’approche traditionnelle des besoins de base, les commodités de base comprennent de la nourriture, de l’eau potable, des aménagements sanitaires, un logement, des services de santé et d’éducation de base, et un service de transport public. Comme nous le voyons, ces besoins vont au-delà des nécessaires à l’existence, généralement appelé les besoins minimaux qui n’incluent qu’une nutrition adéquate, un logement et un habillement décents. Avant même d’aborder la question de ce qui est « suffisant » le sous-ensemble de commodités de base est compris comme variant avec l’âge et le sexe : les enfants et les femmes requièrent des services de santé particuliers, l’éducation de base pour un enfant de 7ans peut signifier d’aller à l’école primaire, alors qu’elle peut signifier d’alphabétisme fonctionnel pour un adulte, etc.
L’un des principaux problèmes auquel se confronte cette approche, est la détermination même des besoins de base. Ce sont généralement les nutritionnistes, les physiologistes et autres spécialistes qui ont appelé à déterminer les besoins de base.
Au plan nutritionnel, le problème est que les besoins varient non seulement avec l’âge et le sexe, mais aussi avec le type et le niveau d’activité de l’individu, qui sont endogènes.
Cette école est la deuxième en importance après l’école welfarist. Quoique ses origines remontent au début des années 1970, elle n’a véritablement pris forme que dans les années 1990, s’élevant en réaction à l’inattention portée aux besoins des individus.
Quoiqu’elle reconnaisse le bien fondé des politiques de lutte contre la pauvreté orientée vers l’accroissement des revenus, cette approche privilégié plutôt des politiques ayant pour objectifs plus particulier la satisfaction des besoins de base. Cette hypothèse repose elle même sur la proposition que l’accroissement du revenu des ménages pauvres n’est pas la meilleur façon d’accroitre la satisfaction des besoins de base. Quelques-unes des raisons invoquées sont les suivantes :
 Les besoins de base en éducation, santé, eau potable et en hygiène sont plus facilement satisfaits par des services publics que par des revenues accrus ;
 Les individus n’utilisent pas toujours leurs augmentation de revenu pour accroître leur nutrition et leur santé ;
 Il y a souvent une distribution inéquitable des ressources à l’intérieur des ménages.

L’école des capacités ou capabilities

Pour cette école, la « chose » qui manque n’est ni l’utilité ni la satisfaction de besoin de base, mais des habilités ou capacités humaines. Cette approche qui a pris naissance dans les années 1990 dont le principal maître d’œuvre est Amartya Sen5 et n’a pas été développée initialement dans l’optique de s’appliquer à la pauvreté. La visée de Sen était bien plus vaste : développer une nouvelle conception de ce qui a de la valeur pour l’humain quoiqu’il ne nie pas le rôle joué par l’utilité dans la valeur de vie d’une personne, cette dernière a plusieurs autre composantes selon Sen.
L’approche par les capacités d’Amartya Sen se caractérise par la distinction entre les ressources, les capacités et les fonctionnements.
 Les ressources désignent tous les biens et services à disposition d’une personne, qu’ils soient produits sur le marché ou en dehors de celui-ci. Par extension, on peut appliquer ce terme de ressources à tous les droits formels dont disposent les personnes. Ainsi, les droits au travail, à l’éducation, à la négociation collective, etc., sont des ressources pour l’action que les personnes peuvent mobiliser ;
 Les capacités coïncident avec la liberté réelle de choisir son mode de vie, en reprenant les termes de Sen, de mener la vie que l’on a des raisons de valoriser. Un des apports majeurs de la pensée de Sen consiste à montrer que la possession de ressources ne suffit pas à garantir la liberté réelle des personnes : encore faut-il qu’elles soient capables de les utiliser et que le contexte social et environnemental autorise cette utilisation. Ainsi, la possession d’une bicyclette n’augmente en rien la capacité de se mouvoir si la personne ne sait pas comment l’utiliser ou si sa région n’est pas équipée en pistes cyclables. La capacité ou liberté réelle des personnes dépend donc autant de la possession de ressources que de la présence de facteurs de conversion favorables, concernant notamment les compétences et facultés des personnes et le contexte social et environnemental dans lequel elles évoluent ;
 La notion de fonctionnements, qui désigne la manière dont les personnes se comportent effectivement. La valeur de vie d’une personne dépend en fait d’un ensemble de façon d’être et de faire, qu’il regroupe sous le terme général de « fonctionnement ». Les fonctionnements sont donc les accomplissements dont avoir de l’utilité est un exemple. Ce qui permet de saisir une autre distinction cruciale chez Sen, les capacités réfèrent à la liberté de choisir parmi les diverses fonctionnements. Un même fonctionnement peut en effet résulter de l’absence ou de la présence des capacités ou libertés réelles. Par exemple, quelqu’un qui choisit de déjeuner pour des raisons personnelles jouit de la capacité ou liberté réelle de se nourrir dans la mesure où il dispose de nourriture en suffisance. Dans le cas contraire, le fait de ne pas manger est contraint par un contexte de pénurie alimentaire.
L’approche de Sen repose sur la distinction entre droits formels (ressources), droits réels (capacités) et comportements effectifs (fonctionnements). Et ce qui manque ce n’est pas de l’utilité ou des besoins de base satisfaits, mais une certaine capacité vue comme raisonnable minimales. La considération des capacités et des fonctionnements plutôt que des commodités oblige à prendre en compte les caractéristiques personnelles des individus.
Ainsi, Au cœur de ce dispositif figure une conception particulièrement exigeante de la démocratie, qui se démarque nettement de la théorie néoclassique dominante en économie. Puisque cette approche est assez récente, et se positionne au dessus de tous les autres pour élaborer un nouveau concept de bien-être, ses applications à la pauvreté sont peu nombreuses. Le développement de certains indicateurs par la PNUD est une tentative.

Caractéristiques des ménages pauvres

Dans les zones urbaines, la santé des pauvres est particulièrement affecté par un environnement insalubre caractérisé par un logement en-dessous des normes acceptables, la rareté de l’eau ou de l’eau polluée, l’absence de systèmes sanitaires, ainsi que par une atmosphère polluée tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des logements. Par ailleurs, bien que l’importance des revenus d’origine non agricole augmente dans les zones rurales, les pauvres y restent généralement très dépendantes des ressources naturelles et sont les principales victimes des dégradations environnementale. Ainsi, ils sont généralement plus exposés aux risques environnementaux et aux catastrophes naturelles. Les plus pauvres sont donc généralement exposés aux aléas économiques6 tant en milieu rurale qu’urbaine.
Selon la dernière enquête auprès des ménages réalisée en 2005, les ménages pauvres se caractérisent par une éducation minimale, une forte propension à l’auto-emploi et au sous-emploi, et un accès limité aux services sociaux de base (eau potable et assainissement).
Particulièrement, on peut identifier quelques caractéristiques :
 Il travail dans l’agriculture : plus frappant, quand il faut généraliser, est le poids de l’agriculture dans le quotidien des ménages malgaches pauvres. Environ 85% de la population travaillent dans l’agriculture et ils travaillent rarement avec des intrants modernes et accusent une productivité très faible par rapport aux normes internationales7 ;
 Avec un peu de terre : en moyenne, les ménages pauvres possèdent 1.5 hectares par ménage (soit 3.0 ha par tête), 14% des ménages pauvres ruraux possèdent moins de 0.1 hectares. Ils cultivent seulement 0.5 hectares de bas-fonds irrigués et plus de la moitié de leurs surfaces en Tanety. Avec cette majorité de surface cultivée sur la pente des collines et sans irrigations, les pauvres du monde rural dépendent de la fertilité fragile et décroissante des tanety ;
Le morcellement des terres cultivables est le résultat d’une démographie croissante qui aggrave une mauvaise distribution de départ. La pression inexorable de la démographie entraîne un découpage des surfaces héritées d’une génération à l’autre ainsi qu’une distribution de plus en plus réduite des terres. L’autre face du problème de terre a son origine dans le poids démographique des descendants d’esclaves qui, lors de leur libération en 1986, ne possédaient pas de terres du tout. Or ils comptaient peut-être 20% à 30% de la population à l’avènement de la colonisation. Vu la grande réticence des Malgaches à se séparer des terres ancêtres, les ventes de terres s’avèrent très rares sauf parmi ceux qui n’ont pas le choix, notamment les plus pauvres. Donc les descendants d’esclaves ont été obligés de mettre en valeur les pentes des collines et les tanety non encore réclamés, ou bien d’entrer en métayage sur les bas-fonds appartenant aux grands propriétaires8 Ces tendances aboutissent à une distribution très parcellaire et inégalitaire des terres ainsi qu’à une pression écologique de plus en plus forte.
 Plus d’enfant : le taux de fécondité reste nettement plus élevé chez les ménages pauvres que chez les ménages riches. En moyenne, les ménages très pauvres comptent 8 à 10 enfants par ménages, les pauvres 4 à 8 et les non-pauvres 4 à 09. Il en résulte que les familles les plus pauvres ont beaucoup plus d’enfant à charge que les ménages non-pauvres. Avec ce taux élevé de dépendant, chaque individu actif pauvre doit nourrir 1.6 contre 0.8 pour les actifs des ménages les plus riches ;
 Main d’œuvre sans qualification : pour faire face à ces lourdes charges, les ménages pauvres disposent d’une main d’œuvre largement sans qualification. Par conséquent, le niveau de rémunération journalière des ouvriers le plus riche s’avèrent être deux fois plus élevé qu’auprès des ouvriers pauvres ;
 Travail des enfants : en raison de la forte pression démographique, en combinaison avec la niveau de rémunération très bas des ouvriers issus des ménages pauvres, beaucoup de ménages pauvres sont obligés de faire travailler leurs enfants. Que ce soit en milieu urbain ou rural, les plus pauvres ont tendance à faire travailler leurs enfants ;
 Une faible scolarisation des enfants : c’est le corolaire de la caractéristique précédente. Un enfant qui travaille ne peut en même temps aller à l’école. Les ménages pauvres, qui ont besoin du revenu des enfants, si bas soit-il, se trouvent aussi devant la difficulté de payer les fournitures scolaires. Ces deux pressions font que la majorité des enfants pauvres ne fréquentent pas l’école. Ainsi, la majorité des pauvres n’arrive même pas à avoir accès à l’éducation publique gratuit ;
 Faible accès aux services de santé de base : les services de santé de base présentent la même mauvaise distribution que la terre. Seulement le tiers des pauvres qui tombent malades recherche une consultation médicale quelconque, les raisons sont complexes mais dans l’ensemble il s’agit d’une question de coût d’accès (en terme monétaire, de temps et de coût d’opportunité) et de perception de la qualité. Ceci fait que les deux tiers des pauvres, une fois malades ne se soignent pas, ceux qui cherchent un traitement ont recours aux médecines traditionnelles ;
 Défiscalisé dans le deux sens : si les ménages pauvres reçoivent peu de services publics, ils paient aussi peu d’impôts. Depuis la suppression en 1972 de l’Impôt sur les Bovidés et de l’Impôt Minimum Forfaitaire (impôt obligatoire et universel payé par chaque homme adulte quel que soit son métier ou revenu) les très pauvres et les ruraux ne paient presque plus d’impôts10. Pour cette raison et vu que le système fiscale vise surtout le commerce extérieur et le marché monétarisé, les pauvres sont peu touchés et le système fiscal reste très progressif ;
 Partiellement liés au marchés : au niveau national, les ménages consomment plus de la moitié de calories à partir de leur production, c’est-à-dire, sans passer par le marché. En milieu urbaine, cette proportion passe à 68%, et encore plus (74%) auprès des ménages ruraux les plus pauvres. Cette isolation physique et économique représente une des caractéristiques principaux des pauvres ;
 Isolation sociale : lorsqu’en demande qui est pauvres, les Malgaches les identifient souvent comme ceux qui sont en marge de la société11. Ils sont isolés socialement, et souvent physiquement en quartiers pauvres très distincts, aussi bien en milieu rural qu’en milieu urbain (dit bas-quartier).

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Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE I – APPROCHE THEORIQUE SUR LA PAUVRETE
CHAPITRE I – NOTION SUR LA PAUVRETE
I – 1 – Contexte de la pauvreté
I – 1 – 1 – Concept et définition
I – 1 – 2 – Revue de la littérature
I – 1 – 2 – 1 – L’école welfarist
I – 1 – 2 – 2 – L’école des besoins de bases
I – 1 – 2 – 3 – L’école des capacités ou capabilities
I – 1 – 3 – Caractéristiques des ménages pauvres
I – 1 – 4 – Evolution récente et dynamique à long terme
I – 2 – Dimension de la pauvreté
I – 2 – 1 – Les dimensions de la pauvreté monétaire
I – 2 – 1 – 1 – Disparités de bien-être monétaire
I – 2 – 1 – 2 – Milieu, région et pauvreté
I – 2 – 1 – 3 – Statut économique et pauvreté
I – 2 – 1 – 4 – Structure des ménages, genre et pauvreté
I – 2 – 2 – Dynamique de la pauvreté monétaire
I – 2 – 2 – 1 – Diminution des dépenses des ménages
I – 2 – 2 – 2 – Réduction de la pauvreté nationale
I – 2 – 2 – 3 – Recomposition et urbanisation de la pauvreté
I – 2 – 2 – 4 – Féminisation de la pauvreté en milieu urbain
I – 2 – 2 – 5 – Déclin de l’inégalité
I – 2 – 3 – Mesure de la pauvreté
I – 2 – 3 – 1 – Critères de mesure
I – 2 – 3 – 2 – Les mesures usuelles de pauvreté
CHAPITRE II – Etat de lieu de l’économie malgache
II – 1 – Une performance macroéconomique encourageante mais fragile
II – 1 – 1 – La gouvernance, les institutions : sources du déclin économique
II – 1 – 2 – Base fragile de la croissance
II – 1 – 3 – Une croissance poussée par les capitaux étrangers
II – 2 – Constat d’une croissance pro-pauvre et inégalité
II – 2 – 1 – La croissance pro-pauvre
II – 2 – 2 – Croissance pro-pauvre et marché de travail
II – 2 – 3 – Croissance pro-pauvre et source de revenu
II – 2 – 4 – Elasticité et effets de la croissance et inégalité
II – 2 – 4 – 1 – Sensibilité de la pauvreté aux dépenses et à l’inégalité
II – 2 – 4 – 2 – Effets de croissance et inégalité
PARTIE II – LUTTE CONTRE LA PAUVRETE : essaie de réduction des inégalités
CHAPITRE I – Emplois productifs et réduction de la pauvreté
I – 1 – Protéger les groupes vulnérables
I – 1 – 1 – Les groupes vulnérables urbains
I – 1 – 2 – Mise en place d’une bonne organisation sociale
I – 1 – 3 – Aider les ménages vulnérables à gérer les risques et à protéger leurs biens
I – 2 – Favoriser la création d’emplois
I – 2 – 1 – Promouvoir la qualification des travailleurs
I – 2 – 2 – Promouvoir l’emploi
I – 2 – 3 – Dynamique de l’emploi moderne
I – 2 – 4 – Promotion de l’emploi informel
CHAPITRE II – Promouvoir le développement du secteur privé comme moteur de la croissance
II – 1 – Encourager la création des entreprises
II – 1 – 1 – Améliorer l’environnement des affaires en rassurant les investisseurs privés
II – 1 – 2 – Réduire les contraintes à l’essor du secteur privé
II – 1 – 2 – 1 – Les contraintes
II – 1 – 2 – 2 – Conséquence de l’existence de ces contraintes
II – 1 – 2 – 3 – Les efforts pour remédier aux contraintes
II – 1 – 3 – Promotion des exportations: un défi et une opportunité
II – 2 – Libéralisation commerciale et les pauvres
II – 2 – 1 – Impact de la réduction de la protection à Madagascar sur les ménages
II – 2 – 2 – Effet de la politique des partenariats commerciaux sur les ménages
II – 2 – 3 – Vulnérabilité des groupes défavorisés aux chocs extérieurs
II – 2 – 3 – 1 – La hausse du prix du riz
II – 2 – 3 – 2 – La flambée des cours du pétrole
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

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