Une forme architecturale et urbaine associée à la crise des grands ensembles

La Charte d’Athènes et la naissance d’une nouvelle forme architecturale et urbaine

La Charte d’Athènes est mise en place lors du CIAM en 1933 (Congrès International des Architectes Modernes). La Charte d’Athènes réunie toutes les théories défendues par les architectes progressistes visant un “type idéal de l’établissement humain » (Gropius).
Cette Charte considère que les villes ne répondent plus au rôle premier qui est de satisfaire leur population, et que leur développement est conduit sans précision, ni contrôle.
En séparant les quatre grandes fonctions de la ville (habiter, travailler, circuler, se cultiver), la Charted’Athènes instaure le système de zonage qui divise la cité en ville-outil, ville-dortoir et ville spectacle et l’ordre rigoureux, propre à faciliter l’activité productrice, est régi par une géométrie simple, une logique mathématique réglant toute la composition.
L’urbanisme devient indépendant du site. La construction en hauteur, d’unités d’habitation autonomes, construites sur pilotis permet de dégager le sol et de multiplier les espaces verts en dé-densifiant la ville.
L’intérêt de la Charte d’Athènes réside avant tout dans l’indéniable coup de fouet et dans le renouveau qu’elle apporte alors aux études architecturales et urbaines du deuxième tiers du XXe siècle.

LA FABRICATION DES GRANDS ENSEMBLES

Le mouvement moderne théorise sur la ville et sa banlieue depuis le 19ème siècle, critiquant fortementla ville industrielle et la manière dont celle-ci se développe.
Les débats de l’entre deux guerres vont continuer à s’animer, cherchant à résorber la propagation des taudis, l’étalement pavillonnaire des banlieues et réfléchir à de nouvelles formes architecturales et urbaines.
Les lois sur le logement vont donc se succéder dans ce même but et aider les communes en la réalisation de cités-jardins dans un premier temps.
En 1945, le contexte très exceptionnel de l’après-guerre: pénurie de logements, destructions massives, exode rurale, industrialisation, explosion démographique, croissance urbaine; oblige le gouvernement à se lancer de manière plus radicale sur la voie de la construction massive de logements et de l’aménagement du territoire, et ceci dans un esprit moderne et expérimental. Cette période de l’histoiretémoigne d’une volonté forte de tendre vers un nouveau mode de vie.
En 1958 sont institués les PUD (Plans d’urbanismes directeurs), qui déterminent les modalités de l’aménagement et de la croissance des villes, en particulier les ZUP (Zones à urbaniser en priorité).
Situées à la périphérie des grandes villes, ces ZUP ont pour vocation de loger les nouveaux citadins.
De 1959 à 1976, quelques 300 ZUP sont le cadre de la construction d’un million de logements collectifs.
Les ZUP donnent ainsi naissance aux « grands ensembles ».
L’urbanisme des « grands ensembles » va se caractériser par un bouleversement radical du paysageurbain français, se présentant sous la forme de tours et de barres.

Les grands ensembles privilégient

La préfabrication

De nombreux procédés de préfabrications sont mis en œuvre sur les chantiers permettant un gain de temps et d’argent. Expérimentés au cours des chantiers de la Reconstruction après la Seconde Guerre mondiale, ces procédés permettent la construction en série de panneaux de bétons,d’escaliers,d’huisseries, mais aussi d’éléments de salles de bains à l’intérieur même du logement.

Les Formes simples

Barres et tours sont privilégiées le long du chemin de grue (grue posée sur des rails) avec des usines à béton installées à proximité du chantier, toujours dans une recherche de gain de temps.

L’économie de main d’œuvre

La préfabrication permet de faire appel à une main-d’œuvre peu qualifiée, souvent d’origine immigrée.
De grands groupes de BTP bénéficient de contrats pour des chantiers de construction gigantesques, favorisés par l’État.
Les maîtres d’ouvrages sont eux aussi très concentrés et favorisent les grandes opérations.
La Caisse des dépôts et consignations est ainsi l’un des financeurs incontournables de ce mouvement de construction avec notamment sa filiale, la SCIC (Société Civile immobilière de la Caisse des dépôts et consignations), créée en 1954. Elle fait appel à des architectes majeurs des années 1950 et 1960, tels que Jean Dubuisson, Marcel Lods, Jacques Henri Labourdette, Bernard Zehrfuss, Raymond Lopez, Charles-Gustave Stoskopf et elle est à l’origine de nombreux grands ensembles situés en région parisienne, tels que Sarcelles (le plus grand programme en France avec 10 000 logements), Créteil,Massy-Antony.

PLURALITÉ DES FORMES ARCHITECTURALES ET URBAINES DES GRANDS ENSEMBLES

Des réalisations de qualité sont édifiées, comme les Bleuets à Créteil par Paul Bossard en 1962, ou les Unités d’habitation de Le Corbusier, construites à Marseille, Firminy, Nantes et Briey-la Forêt, qui resteront des prototypes exemplaires.
De très grandes opérations deviennent célèbres, la liste étant non-exhaustives: la Pierre Collinet (2000 logements) à Meaux réalisée en 1963 par Jean Ginsberg, le Haut-du Lièvre (1633 logements) à Nancy par Bernard Zehrfuss en 1962, les Courtillières (1656 logements) à Pantin en 1960 ou les Tours nuages à Nanterre (2 000 logements) en 1974 par ÉmileAillaud , Sarcelles (10 000 logements) par Roger Boileau et Jacques-Henri Labourdette terminée en 1970.
La Cité de la muette à Drancy Eugène BEAUDOIN, Marcel LODS et Jean PROUVE en 1931 la cité de Diar el Mahçoul à Alger par Fernand POUILLON en 1954 le mirail à Toulouse par Gorges CANDILIS en 1964 Sans oublier la Cité des Étoilesà Givors conçue en 1974 par Jean RENAUDIE, la cité des Choux Fleurs à Créteil par Gérard GRANDVAL en 1964. Nombreux architectes ont pu réaliser des projets de qualité apportant des réponses innovantes en matière de conception du quartier, de la forme architecturale et des plans de logements.
Mais le « grand ensemble » n’est pas uniquement le fruit de théories architecturales : il incarne un moment de l’urbanisation de la France, à l’instigation du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme (MRU), durant laquelle la technocratie étatique et les grands corps des ingénieurs jouent un rôle important. La situation d’urgence de l’après-guerre a privilégié une industrialisation lourde du bâtiment avec la main-mise des grandes entreprises du BTP, et l’utilisation généralisée du béton armé.
Ce n’est pas la leçon des grands constructeurs qui fut choisie pour résoudre la question du logement mais l’organisation productive basée sur l’alliance des sociétés de travaux publics, et l’administration des Ponts et Chaussées. ( le monde des grands ensembles sous la direction de Frédéric Dufaux) Les Grands ensembles, censés être une application de la Chartes d’Athènes à grande échelle, donne une image dévoyée de la ville idéale prônée par les modernistes.

La cité de Diar el Mahçoul à Alger 1954

Fernand POUILLON (1912-1986)

Fernand Pouillon a su tirer parti de la position des terrains sur lesquels la cité Diar El Mahçoul (cité de la promesse tenue) a été construite, sur la crête du plateau qui domine la baie d’Alger.
Dans la cité, les espaces publics intérieurs, y compris dans leur pavement de sol, sont décorés, généreux, et reliés par de grands escaliers et des portiques qui offrent des points de vues sur la mer, la ville et le port en contrebas.
La cité Diar el Mahçoul est située au nord de la commune d’El Madania sur les hauteurs de la ville d’Alger. Cette cité a été réalisée dans le cadre du programme d’amélioration de l’habitat d’Alger lancé par Jacques Chevallier , maire d’Alger à l’époque, afin de faire face à l’explosion démographique et au problème des bidonvilles qui ceinturent la ville d’Alger.
La cité a été construite en 18 mois entre 1953 et 1955. Elle totalise 1 500 logements répartis dans des immeubles de différentes hauteurs.

LES SYSTEMES CONSTRUCTIFS

L’industrialisation du bâtiment conduit ingénieurs et entrepreneurs à l’exécution d’ossatures où les poteaux et poutres antérieures sont remplacés par des voiles plans préfabriqués puis assemblés sur site. Les panneaux de façades assument un rôle porteur à l’instar des voiles internes de refend. Ce principe est celui de la préfabrication lourde qui domine. Les bâtiments sont édifiés sur une structure en métal garnie de panneaux de béton préfabriqués en usine.
Ces « systèmes » spécifiques d’industrialisation sont mis au point par les entreprises, tel Coignet, Balency & Schuhl, Boussiron ainsi que d’importants bureaux d’études, notamment l’Omnium Technique de l’Habitation (OTH) et quelques ingénieurs, devenus entrepreneurs comme Raymond Camus, ou Jean Barets.
Ilôt N17 Opération pilote de logements système Camus rue Augustin Normand Le Havre.

UNE FORME ARCHITECTURALE ET URBAINE ASSOCIÉE À LA CRISE DES GRANDS ENSEMBLES

La Loi Guichard signe « l’arrêt de mort » des grands ensembles.
Pendant 20 ans, on estime à 300 000 le nombre de logements construits par an, alors qu’au début des années 1950, on ne produisait que 10 000 logements chaque année. 6 millions de logements sont ainsi construits au total. 90 % de ces constructions sont aidées par l’État.
En 1965, le programme des villes nouvelles est lancé, se voulant en rupture avec l’urbanisme des grands ensembles. En 1969, les zones à urbaniser en priorité sont abandonnées au profit des zones d’aménagement concerté, créées deux ans auparavant. Enfin, le 21 mars 1973, une circulaire ministérielle signée par Olivier Guichard, ministre de l’Équipement, du Logement et des Transports, « visant à prévenir la réalisation des formes d’urbanisation dites « grands ensembles » et à lutter contre la ségrégation sociale par l’habitat », interdit toute construction d’ensembles de logements de plus de 500 unités.
La construction des grands ensembles est définitivement abandonnée.
La loi Barre de 1977 fait passer la priorité de l’aide gouvernementale de la construction collective à l’aide aux ménages : c’est le retour du pavillonnaire et du logement individuel, celui-ci représentant plus de la moitié des constructions de logement cette année-là.
Après avoir été perçus de manière positive par la population, comme facteurs de progrès social et d’amélioration du confort domestique, les «grands ensembles» sont donc rejetés dans les années 70,devenus synonymes de crise sociale, d’erreurs urbanistiques et d’insécurité.
Le manque de dessertes, l’absence d’équipements publics et culturels, d’infrastructures sociales, de commerces, et de cafés liés à ces quartiers, associés au peu d’entretien des immeubles et des espaces verts, et à l’uniformité générée par l’industrialisation de la construction, n’ont pas aidé à fabriquer une identification et une vie collective dans cet environnement. Ces grands ensembles apparaissent vite comme de véritables cités dortoirs.
Ces grands ensembles se retrouvent fréquemment en crise sociale profonde à partir des années 1980, et sont, en France, l’une des raisons de la mise en place de ce qu’on appelle la politique de la Ville. L’heure des grandes réhabilitations va naître, avec la politique de la ville et du renouvellement urbain.

AMBITIONS ARCHITECTURALES ET INNOVATIONS

La position de l’ANRU, « La qualité architecturale, écologique, environnementale des bâtiments et des équipements», est un des principaux critères d’appréciation des projets de rénovation urbaine retenus par le règlement général de l’ANRU. L’image véhiculée par les nouvelles opérations est un levier d’action majeur pour la réussite du PNRU : la qualité urbaine, architecturale et paysagère permet de recomposer les relations au site, à l’espace public, aux bâtiments et aux logements. De plus, l’amélioration du cadre de vie est un facteur déterminant d’attractivité des quartiers et de leur repositionnement dans la ville. Enfin, les options architecturales choisies peuvent contribuer à banaliser ces quartiers bien souvent stigmatisés et à mieux les intégrer dans leur environnement urbain.
La diversification des logements préconisée par l’ANRU concerne la diversité des statuts de logements (privé/public, locatif/propriété), la diversité fonctionnelle (construction sur un même îlot de logements, équipements publics, équipements commerciaux, zone d’activité, etc.), la diversité architecturale. Sur ce dernier point, la diversification et la multiplication des formes urbaines (cohabitation d’immeubles aux hauteurs et aux volumes variés), la diversité des façades (utilisation de différents matériaux, façades asymétriques, plus ou moins dotées en balcons et terrasses), et la pluralité des gabarits des logements (collectifs, semi-collectifs ou individuels) sont des enjeux préconisés par l’ANRU dans ses programme de rénovation.

La position des bailleurs sociaux

Si la dimension économique des opérations est prise en compte par les bailleurs sociaux , elle n’est pas prioritaire. Les opérations de logements sociaux sont en effet en partie subventionnées par l’État (aide à la pierre, aide à la personne, etc.). D’autre part, les bailleurs sont propriétaires des logements construits et de se fait, vont développer une vision patrimoniale sur le long terme des logements réalisés,avec une prise en compte importante des spécificités socio-démographiques et des usages des locataires dans la durée.
Les bailleurs sociaux, s’ils font parfois le choix d’une esthétique plus sobre et économique, porteront une attention supérieure aux usages .
Beaucoup d’architectes prétendent avoir davantage de libertés dans la conception de logements sociaux que dans le logement privé. Ils ont bien souvent davantage de marges de manœuvre pour proposer des choses innovantes. Dans le second cas, les promoteurs privilégiant les goûts supposés des clients, plus conformes à des standards, laissent à priori moins de libertés aux maîtres d’œuvre.

IMPLICATION DES DIFFÉRENTS ACTEURS: MAÎTRE D’OUVRAGE, MAÎTRE D’ŒUVRE, HABITANTS, USAGERS, ASSOCIATIONS.

En 2000, une étude urbaine, confiée au cabinet Philippe PANERAI, va servir de support à l’opération de renouvellement urbain du quartier est, qui va s’engager dans le cadre d’une convention ORU signée par la ville de Romans, l’état, la Communauté de Communes du Pays de Romans, Habitat du Pays de Romans et la Caisse des dépôts et consignations.
En 2003, une nouvelle étude urbaine est confiée à Franck HUILLARD de l’agence INterland dans le butd’établir un diagnostic du quartier en vue de candidater au conventionnement avec l’ANRU.
En 2004, une convention ANRU est signé avec l’ensemble des partenaires : l’État, la ville de romans, HPR et la Communauté de communes du pays de Romans représentant la maîtrise d’ouvrage et le Conseil Général de la Drôme, la Caisse des Dépôts et Consignations et l’Association Foncière Logement représentant les financeurs.
La ville de Romans se dote de l’assistance de l’architecte conseil Yves Potier pour conduire le projet de renouvellement urbain.
Habitat du Pays de Romans-sur-Isère, Bailleur unique du quartier, gère les opérations de réhabilitation, de démolitions ( hors ANRU et dans le cadre de l’ANRU), les résidentialisations et l’aménag ementdes espaces publics et voirie.
La concertation Habitant relais initiée par la ville s’organise autour de quatre personnes chargées d’associer les habitants du quartier au projet et de les mobiliser autour de leur espace de vie. « Les réunions publiques mobilisent peu les habitants car ils ont une certaine méfiance envers les institutions.
Pour mieux touchés les gens des réunions sont organisées dans les halls d’immeubles. »
En 2012, la convention ANRU est arrivée à son terme. Les acteurs locaux mettent en place un avenant à cette convention pour permettre au projet de renouvellement du quartier d’aboutir et même de prendre une véritable dimension environnementale et de développement économique.
Une triple Assistance à Maîtrise d’Ouvrage a été sollicitée pour accompagner le pilotage technique du projet ; elle regroupe le bureau d’étude Passagers des Villes (AMO urbaine et architecturale), ITF (AMO environnementale), Adéquation (AMO programmation).
L’agence Passagers des Villes, dans le cadre de l’assistance au maître d’ouvrage, va travailler sur l’espace public urbain avec une certaine éthique cherchant à prendre en compte « la vie des gens et leur plaisir d’habiter. C’est à partir de leurs besoins que les urbanistes travaillent à créer de la qualité urbaine avec des lieux de différentes natures, des lieux conviviaux, des lieux animés et des lieux calmes .»

PRÉSENTATION DES OPÉRATIONS

Certaines des opérations présentées ont été réalisées avant la convention avec l’ANRU ou encore concernent l’Avenant déposée en 2014. Le choix de présenter l’ensemble du projet permet de mieux appréhender les alternatifs urbains et architecturaux, surtout concernant les démolitions et le programme de logements neufs projeté et déjà réalisé. Une vue d’ensemble donne une meilleure compréhension du projet global et de son évolution dans le temps.

OPÉRATIONS NEUVES: LOGEMENTS ET ÉQUIPEMENTS :FICHE 3

Le centre commercial anciennement situé sur la place Berlioz, d’une superficie d’environ 2 000 m², était constitué d’une moyenne surface à l’enseigne ED et d’une dizaine de boutiques (restaurant, tabac presse, pharmacie, bar PMU, boucherie, photographe). Ces commerces, souvent sans vitrine, très sombres, présentaient une devanture vieillissante, peu attrayante.
Le projet de création de nouveaux commerces consiste en une reconstruction en limite de quartier, en bordure de l’avenue du Maquis, (axe de l’entrée est de la ville) afin de bénéficier d’une meilleure visibilité, tout en restant dans une dynamique de réponse aux besoins de proximité.
L’organisme EPARECA a racheté en VEFA le rez-de-chaussée de l’immeuble construit par le bailleur Habitat Pays de Romans et destiné à l’activité commerciale. Les anciens locaux des commerces place Berlioz ont été réhabilités en partie pour accueillir la nouvelle Maison de quartier et des locaux associatifs.
Un bâtiment de logements collectif en R+4 a été implanté en lieu et place de s allées démolies de l’immeuble des ifs.
Face au quartier de la monnaie est, un pôle santé et des logements ont été réalisés en dehors du périmètre de la rénovation urbaine mais participent à la requalification du quartier.

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Table des matières
Avant-propos & Remerciements
INTRODUCTION
PARTIE 1
1.1 LES GRANDS ENSEMBLES : ÉTAT DES LIEUX
1.1.1 LE MOUVEMENT MODERNE ET LA FABRICATION DES GRANDS ENSEMBLES DURANT LES 30 GLORIEUSES
1.1.2 PLURALITÉ DES FORMES ARCHITECTURALES ET URBAINES DES GRANDS ENSEMBLES
1.1.3
1.2. UNE NOUVELLE POLITIQUE DE LA VILLE
1.2.1 LA LOI DU 1ER AOÛT 2003 D’ORIENTATION ET DE PROGRAMMATION POUR LA VILLE ET LA RÉNOVATION URBAINE
1.2.2 L’AGENCE NATIONALE POUR LA RÉNOVATION URBAINE (ANRU)
1.2.3 OBJECTIFS DES PROJETS NATIONAUX DE RÉNOVATION URBAINE (PNRU)
1.2.4 AMBITIONS ARCHITECTURALES ET INNOVATIONS
CONCLUSION PARTIE 1
PARTIE 2
2.1 LE QUARTIER DE LA MONNAIE À ROMANS SUR ISÈRE
2.1.1 NAISSANCE DU QUARTIER DE LA MONNAIE
2.1.2 LA RÉNOVATION URBAINE DU QUARTIER DE LA MONNAIE À ROMANS
2.2 PRÉSENTATION DES OPÉRATIONS
2.2.1 DÉMOLITIONS : FICHE 1
2.2.2 ESPACES PUBLIQUES ET VOIRIES: FICHE 2
2.2.3 OPÉRATIONS NEUVES: LOGEMENTS ET ÉQUIPEMENTS :FICHE 3
2.2.4 RÉHABILITATIONS ET RÉSIDENTIALISATION : FICHE 4
2.3 RÉSULTATS ET BILAN DE L’OPÉRATION
2.3.1 LA RESTRUCTURATION URBAINE : VOIES ET ESPACES PUBLICS
2.3.2 LES ESPACES INTERMEDIAIRES PRIVES/PUBLICS
2.4 DEMOLIR ET RECONSTRUIRE
2.5 LES RÉHABILITATIONS5
CONCLUSION PARTIE 2
PARTIE 3
3.1 UNITÉS RÉSIDENTIELLES DU QUARTIER TEISSEIRE À GRENOBLE
3.1.1 CARACTÉRISTIQUES DU QUARTIER
3.1.2 LE PROJET
3.2 MÉTAMORPHOSE DU QUARTIER DE LA DUCHÈRE À LYON
3.2.1 CARACTÉRISTIQUES DU QUARTIER
3.2.2 PROJET
3.2.3 REMODELAGE ET MÉTAMORPHOSE DU QUARTIER
3.3- LE QUARTIER DURABLE DU VILLAGE 2 À ÉCHIROLLES
3.3.1 CARACTÉRISTIQUES DU QUARTIER
3.3.2 PROJET
3.3.3 VERS UN QUARTIER DURABLE
3.4. FORMES URBAINES ET ARCHITECTURALES DANS LE RENOUVELLEMENT URBAIN DES QUARTIERS
3.4.1 RÉSIDENTIALISATION, RÉHABILITATIONS ET LOGEMENTS NEUFS DANS LES QUARTIERS MONNAIE, TEISSEIRE, DUCHÈRE ET VILLAGE 2
3.4.2 APRÈS LES PREMIERS BILANS, VERS QUELLE RENOVATION URBAINE ?
CONCLUSION GENERALE 
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

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