Typologie structurale des systèmes agroforestiers

Typologie structurale des systèmes agroforestiers

RESILIENCE « APPARENTE » ET « ECONOMIQUE » : UNE ADAPTATION DES DEFINITIONS AU CONTEXTE MALGACHE

Il est généralement admis que la capacité d’une exploitation à assurer sa sécurité alimentaire par l’autosuffisance en riz est gage d’une plus forte résilience face aux risques économiques puisque l’autoconsommation du riz met le ménage à l’abri de toutes fluctuations des prix. La riziculture, et en particulier la riziculture irriguée, contribue donc à une réduction de la vulnérabilité.
Cependant, en considérant la valorisation de la journée de travail (VJT), la riziculture est bien moins productive et rentable que la culture du giroflier (et de manière générale des autres cultures de rente).
L’étude menée par C. Fourcin (2014) a permis d’évaluer une VJT moyenne de 3 820 Ar/h.j pour la riziculture irriguée en saison, d’environ 60 000 Ar/h.j pour la production de clous et de 38 400 Ar/h.j pour la production d’essence. Il apparaît donc plus intéressant pour le producteur de consacrer son temps et d’allouer ses facteurs de production aux cultures de rente qui permettent d’acheter, pour la même quantité de travail, entre 10 et 15 fois plus de riz. Si le marché et les prix sont stables, les cultures de rente apportent alors beaucoup plus de résilience par le biais de la monétarisation des activités et des produits.
Ce constat amène alors à distinguer 2 formes de résilience :
– Une résilience « apparente », technique, centrée sur la production de riz pour assurer la sécurité alimentaire
– Une résilience « économique » centrée sur la monétarisation grâce aux cultures de rente stables sur le marché dont les revenus permettent l’achat de riz La stabilité depuis 2010 du marché des produits du girofliers (Gouzien, Penot, Danthu et al) 2 et le contexte actuel local (promotion du développement de sa culture (Leydet, 2015)) ont conduit les ménages à modifier leur stratégie sur la sécurité alimentaire. Les exploitations agricoles se tournent davantage vers certaines cultures de rente (giroflier et litchi principalement) du fait de la persistance à moyen terme de prix rémunérateurs et d’un marché jugé stable.
Il est donc observé un glissement progressif des stratégies paysannes vers moins de riziculture et plus de cultures de rente. La résilience des exploitations passe donc d’une forme « apparente » à une forme « économique » avec une augmentation généralisée de la monétarisation des activités.

STRUCTURES D’EXPLOITATION ET STRATEGIES PAYSANNES : DES OUTILS ANALYTIQUES DE LA RESILIENCE

LES STRATEGIES DE GESTION DES REVENUS AGRICOLES ET DU SOLDE DE TRESORERIE

La typologie comportementale (figure 4) permet de décrire les différentes stratégies employées par
les agriculteurs pour gérer leurs revenus annuels et interannuels en fonctions des variations de productions (principalement des clous) et des différentes perturbations possibles : période de soudure, aléas de la vie (maladie, naissance, décès etc…) et chocs exceptionnels comme par exemple les cyclones et les attaque de bio-agresseurs . Par exemple, les agriculteurs qui dépendent fortement de la production de clous de girofle arrivent plus difficilement à équilibrer le solde de trésorerie en raison de l’alternance de production interannuelle des arbres (Ledreux A., 1932). Ceci implique des stratégies d’épargne ou de diversification pour équilibrer les revenus d’une année sur l’autre.
Au contraire, les agriculteurs diversifiés, pour lesquels les clous et l’essence constituent moins de 35% de leurs revenus, peuvent compenser la faible production de clous des mauvaises années en
valorisant les autres productions (issues de l’élevage et/ou d’autres cultures). Les pratiques de l’épargne, par la vente et l’achat régulier de zébus, pour rééquilibrer le solde les années difficiles nécessitent d’avoir des revenus suffisamment élevés. Ainsi, les agriculteurs à faibles revenus peuvent difficilement avoir accès à ces moyens de gestion qui permettent de faire face à des dépenses inhabituelles (hormis les agriculteurs éleveurs pour qui cet investissement fait partie intégrante des charges opérationnelles de l’exploitation). Ils se retrouvent donc contraints d’avoir recours à l’emprunt.
Les possibilités d’ajustement du revenu par rapport à la satisfaction des besoins sont multiples : riz,
essence de girofle, produits de l’élevage et diverses productions végétales (principalement vanille, litchi, fruits). La variable choisie par les agriculteurs est liée à leur niveau de diversification et au contexte local favorisant inégalement certaines productions (riz dans la plaine d’Iazafo, fruits sur la bande côtière, essence et élevage dans les marges forestières et les basses collines). Pour 4 des agriculteurs de l’échantillon, les SAF constituent le système de culture principal permettant l’ajustement des revenus.

LES STRATEGIES DE DEVELOPPEMENT POTENTIEL DU SYSTEME D’ACTIVITE

Pour l’ensemble des territoires villageois enquêtés, le facteur de production le plus limitant est le foncier, avec plusieurs causes concomitantes : la croissance démographique, le morcellement générationnel et le coût important des terres potentiellement disponibles. Le foncier limité et une faible dotation en capital impactent directement les capabilités des agriculteurs et constitue un véritable frein à leur développement. Il est donc intéressant de voir les stratégies qui seraient développées par les agriculteurs pour intensifier la production. Une question à choix multiples a été
posée : si vous aviez aujourd’hui les moyens d’investir, que choisiriez-vous entre une parcelle en monoculture de girofliers avec 50 arbres, une rizière irriguée ou un SAF avec 25 girofliers, des pieds de vanille et de caféiers, et un mélange d’arbres fruitier et d’arbres à bois ? :
– 48% choisissent la rizière, système de culture le plus sécurisé grâce à l’irrigation
– 30% le SAF, système le plus diversifié et intensif
– 22% la monoculture de girofliers, système le plus rémunérateur dans les conditions actuelles du marché.
Ces résultats confirment le constat fait que certains agriculteurs se tournent vers les cultures de rente (ici surtout le giroflier) pour assurer indirectement leur sécurité alimentaire, passant d’une résilience « apparente » à une résilience « économique ». L’alternance de production de clous, très
contraignante pour les agriculteurs, les conduit à se diversifier, notamment via la mise en place de SAF.
Au regard de la résilience « économique » définie, une stratégie de développement axée sur les SAF est jugée moins risquée et donc plus résiliente que celle centrée sur la monoculture de girofliers et la rizière irriguée.

LIEN ENTRE STRUCTURES D’EXPLOITATION, STRATEGIES PAYSANNES ET NIVEAU DE RESILIENCE

SECURITE ALIMENTAIRE ET RESILIENCE « ECONOMIQUE »

La non autosuffisance en riz rend théoriquement plus vulnérable les exploitations agricoles. Ce critère structurel permet de distinguer 3 degrés de résilience des exploitations liée à la sécurité alimentaire . Les exploitations non autosuffisantes ne produisent pas assez de riz pour subvenir à leurs besoins annuels. Elles ont donc recours à différentes sources de revenus pour acheter le riz manquant. Selon la nature de cette source de revenus, ces exploitations sont inégalement résilientes .La diversification est en faveur de cette résilience : si une des sources de revenus vient à diminuer brusquement, l’agriculteur peut recourir à une autre production pour acheter le riz dont il a besoin.Au regard de la résilience « économique », une diversification centrée sur le giroflier permet une meilleure sécurité alimentaire qu’une activité agricole essentiellement dépendante du giroflier.Comme définie dans la typologie, une diversification sans élevage signifie une plus forte contribution de la vanille dans la constitution des revenus qu’une diversification avec élevage. Or cette culture est très soumise aux aléas du marché et n’est donc pas une source de revenus résiliente pour assurer la sécurité alimentaire.Les productions d’élevage sont vendues localement et ne sont donc pas touchées par les variations du marché à l’export. Dans cette diversification, le litchi contribue à la résilience « économique » notamment du fait de la constance de la demande et d’un marché globalement assuré depuis 2004 (Jahiel et al., 2014). Le niveau de diversification des revenus permis par les SAF est donc clairement reconnu comme un facteur d’une meilleure résilience.

STRATEGIES PAYSANNES ET RESILIENCE GLOBALE

Stabilité du solde et résilience: Face à la difficulté de maintenir un solde à l’équilibre, les  agriculteurs emploient des stratégies différentes pour répondre à un besoin de trésorerie imprévu : le recours à l’emprunt ou une politique de gestion par l’épargne (figure 6). Par définition, le recourt à l’emprunt relève d’une stratégie peu résiliente pour faire aux fluctuations du solde de trésorerie : l’agriculteur fait preuve d’une faible capacité à anticiper. Face à un choc économique, il aura plus de difficulté à maintenir la structure d’exploitation et à conserver sa capacité de contrôle.
Les agriculteurs qui développent une stratégie épargnante montrent une capacité à anticiper les variations de leurs revenus ; cela en investissant dans un zébu ou un porc durant les bonnes années.
Si un choc économique les frappe, ils pourront utiliser cette épargne pour reconstituer leur solde et
assurer le fonctionnement du système d’activité.

Variable d’ajustement des revenus et résilience: Les agriculteurs ont recours à différentes productions agricoles pour ajuster leurs revenus au cours de l’année. La nature de cette production influe sur la résilience globale des exploitations agricoles. Les productions animales et l’essence facilitent la trésorerie au cours de l’année : l’agriculteur peut distiller ou vendre un poulet à tout moment, en fonction de ses revenus et de ses besoins. Vis-à-vis du marché à l’export, l’essence est moins stable que les productions animales qui sont vendues localement, c’est pourquoi le recours à l’essence comme variable d’ajustement est une stratégie plus résiliente .
L’utilisation du riz impacte la résilience vis-à-vis de la sécurité alimentaire. C’est une production moins souple pour la trésorerie du fait qu’elle ne se récolte qu’une fois par an et que le stockage possible du riz est difficile (pettes et vols)
La variable « productions végétales » , qui regroupent vanille, litchi, café et fruits, implique des productions étalées sur toute l’année ce qui permet à l’agriculteur d’ajuster régulièrement ses revenus par la vente de l’une d’entre elles et donc d’améliorer sa trésorerie. Du fait de la très forte volatilité de son prix, la vanille ne peut être une source fiable d’ajustement pour les agriculteurs qui la vendent vertes et donc ne peuvent pas la stocker. Les fruits présentent un certain degré d’incertitude du au caractère périssable et à l’absence de marchés structurés et stables avec le risque de ventes à perte.

EVALUATION DE L’IMPACT DES SYSTEMES AGROFORESTIERS SUR LA RESILIENCE DES EXPLOITATIONS AGRICOLES

SYSTEMES D’EXPLOITATION MODELISES

Exploitations agricoles théoriques moyennes : EA-moy
Les 7 types structurels obtenus grâce à la typologie constituent les différentes structures d’exploitation modélisées dans Olympe. Chaque exploitation est caractérisée par les valeurs moyennes des exploitations appartenant au type

Systèmes agroforestiers standards moyens : SAF-moy
La typologie, basée sur la proportion relative des différentes cultures de rente, aboutit à définir 8 types de SAF comme présenté dans la figure 8 : Chaque type structural de SAF est défini selon une composition en culture de rente, en arbres à bois, en arbres fruitiers et autres plantes non pérennes sur la base de la moyenne des compositions des SAF du même type (inventaire botanique des espèces recensées en annexe 20).Un raisonnement identique est appliqué pour l’attribution de données quantitatives relatives aux productions des SAF et à leur valorisation.
Pour cette analyse, tous les SAF sont considérés comme des systèmes matures, c’est-à-dire que toutes les espèces immatures, donc non productives ou non exploitables au moment de l’enquête, sont assimilées à des espèces productives ou exploitables. Ce choix permet de rendre compte de la valeur potentielle de tous les types de SAF mais en le surévaluant (car remplacement des anciens pieds).

Systèmes modélisés : EA-moy+SAF-moy
Le SAF à bois (type B) n’est pas modélisé en raison d’une valorisation économique particulière qui n’apparaît qu’à la coupe du système en une seule fois.
Chaque SAF-moy est modélisé 2 fois et avec 2 EA-moy différentes. Les EA-moy sont choisies en fonction de la répartition des SAF dans chaque type structurel (annexe 18). Au total, 14 systèmes d’activité sont modélisés. Cette approche permet de se concentrer sur les binômes EA-moy/SAFmoy les plus représentatifs de la réalité locale

IMPACT DE L’AUTOCONSOMMATION DE PRODUITS ISSUS DES SYSTEMES AGROFORESTIERS SUR LE SOLDE DE TRESORERIE

Les soldes de trésorerie sont analysés en priorité car ils intègrent les dépenses familiales et permettent donc de voir l’impact de l’autoconsommation. Le solde est donc ce qui reste en numéraire (une fois toutes les dépenses d’exploitation et du ménages déduites) et il correspond à la capacité d’autofinancement de l’exploitation.
L’autoconsommation est une dépense non réelle pour le ménage qui représente une économie importante pouvant être mesurée en faisant la différence entre le solde potentiel (avant autoconsommation) et le solde réel (après autoconsommation). Pour l’ensemble des systèmes modélisé cet écart est relativement important .
La valeur de cette autoconsommation est proportionnelle à la taille du ménage et le nombre de bouches à nourrir. La figure 9 illustre cette observation : le SAF VC (Vanille-Café) est associé au type structurel AD qui comprend 4,4 bouches à nourrir et au type SD qui en comprend 3,3 : pour AD l’écart entre les soldes s’élève à 592 KAr alors que pour SD il est de 409 KAr. La valeur de l’autoconsommation est aussi corrélée à la richesse et l’abondance des SAF en fruitiers.
Par exemple pour l’exploitation AG (figure 11), le SAF VG (Vanille-Giroflier) comporte 2 litchis et 46 arbres fruitiers et le SAF Cgv (Caféier-giroflier-vanille), 4 litchis et 51 arbres fruitiers : la valeur de l’écart des soldes est de 577 KAr quand c’est le SAF VG et de 313 KAr pour l’autre SAF Cgv (autres graphiques en annexe 21).  Actuellement, les SAF sont donc fortement valorisés par l’autoconsommation de produits alimentaires(fruits), pour la plupart à faible valeur ajoutée, dans l’état actuel du marché, et périssables à court terme. Cette consommation constitue d’une part une réelle économie pour le ménage, et contribue d’autre part à une meilleur qualité de l’alimentation. Pour tous les SAF, les facteurs d’isolement et d’accessibilité au marché, qui rendent la commercialisation de ces produits difficiles et peu rentables, jouent en faveur de l’autoconsommation.
La consommation de bois de chauffe provenant des SAF est plus difficile à estimer pour en analyser son impact sur le solde. Il est relativement facile de connaître la consommation, selon les dires des agriculteurs, de bois de chauffe mensuelle pour la cuisine et pour une distillation (essence de giroflier). Mais il est très difficile d’estimer la part de cette consommation provenant des SAF car
les agriculteurs coupent le bois de manière aléatoire sur l’ensemble de leurs parcelles.
L’usage de plantes médicinales est encore pratiqué mais surtout pour des problèmes de santé bénins ce qui rend difficile de donner une valeur monétaire à cet usage.
Les arbres à bois d’œuvre ne constituent pas un produit de consommation courante : ils répondent
plutôt à un besoin exceptionnel lié à la construction d’une habitation ou à une autre dépense, et dans un tel cas ils sont considérés comme une épargne sur pied particulière (mobilisable selon le cycle de développement de l’arbre).

CONTRIBUTION DES SYSTEMES AGROFORESTIERS A LA SENSIBILITE DES EXPLOITATIONS A UNE VARIATION DES PRIX : IMPACT SUR LA RESILIENCE

Des structures d’exploitation inégalement résilientes face à une chute des prix:  Les exploitations pour qui le solde devient négatif sont très sensibles à la baisse des prix. Elles sont donc peu résilientes car la résilience « économique » n’a de sens que si la volatilité des prix est faible et les marges stables sur une longue période.
Les 2 principales causes d’une forte sensibilité économique sont : i) un faible degré de diversification (une orientation vers le giroflier, et même les clous, trop marquée par exemple) et ii) des produits dont le marché est fluctuant avec des écarts de prix très importants (vanille).
L’exploitation SR associée au SAF CL est sensible à la baisse du prix du litchi : les revenus agricoles dépendant fortement de cette production chutent brusquement entrainant un solde négatif. Mais vis-à-vis d’une baisse du prix du café, ce système d’activité se maintient avec un solde positif .Pour l’exploitation NG (figure 18), le SAF M, plus diversifié que le SAF GC, permet d’être plus résilient à une baisse du prix des clous et de l’essence) : le solde est maintenu positif. La baisse du prix du café n’a aucun effet sur le solde (la courbe d’évolution du solde est confondue avec celle du solde réel sans aléa) : ce constat montre bien la tendance générale d’une valorisation du café non plus par la vente mais par l’autoconsommation.De manière générale, les exploitations sont très sensibles aux variations des prix de la vanille et des produits du giroflier (clou et essence) qui sont les 2 principales cultures de rente développées par les agriculteurs. Pour un même SAF, une baisse du prix d’une de ces 2 productions n’a pas le même impact sur les variations du solde : la baisse du prix de la vanille conserve et peut accentuer les variations interannuelles du solde alors que la baisse du prix des produits du giroflier les atténue.

Une capacité d’investissement améliorée par une hausse des prix mais variable selon les types de SAF: La conclusion de cette analyse est qu’une hausse des prix des produits de rente permet d’améliorer très significativement le niveau de revenu et de conduire à un solde de trésorerie positif. Un solde positif implique d’une part une meilleure capacité d’investissement : dans l’amélioration des conditions de vie du ménage et/ou dans celle des activités agricoles (nouvelles plantations, mécanisation, achat d’animaux). D’autre part, il permet une meilleure capacité à surmonter un choc exceptionnel altérant les facteurs de production. Un solde positif conforte donc la résilience des exploitations agricoles. La forte volatilité de la vanille, quand elle est à la hausse, génère des revenus élevés pour les exploitations ayant une SAF type VC ou VG (dans une moindre mesure les SAF GC et Cgv). Une hausse des prix des produits du giroflier améliore aussi significativement les revenus.
Les exploitations avec des SAF diversifiés à base de vanilles et girofliers (SAF M et Cgv) ont des sensibilités à une hausse des prix du giroflier et de la vanille comparables : cette diversification permet donc de maintenir un solde à la fois plus élevé mais aussi plus stable vis-à-vis des fluctuations du marché.

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Table des matières

1 INTRODUCTION 
2 PROBLEMATIQUE 
3 METHODOLOGIE 
3.1 Zone d’étude
3.1.1 Choix des communes et villages pour une analyse diachronique
3.1.2 Echantillonnage
3.2 Acquisition des données
3.2.1 Questionnaire n°1 : entretien sur le système d’activité
3.2.2 Questionnaire n°2 : entretien sur le système agroforestier
3.2.3 Mesures à l’échelle de la parcelle agroforestière
3.2.4 Mesures à l’échelle du territoire
3.3 Traitement des données
3.3.1 Typologies structurelle et comportementale
3.3.2 Typologie structurale des systèmes agroforestiers
3.3.3 Modélisation des exploitations agricoles et évaluation de la résilience
3.3.4 Analyse cartographique de l’évolution du territoire de Vohibary entre 1966 et 2016 20
4 RESULTATS ET DISCUSSION
4.1 Résilience « apparente » et « économique » : une adaptation des définitions au contexte malgache
4.2 Structures d’exploitation et stratégies paysannes : des outils analytiques de la résilience
4.2.1 Les structures d’exploitation
4.2.2 Les stratégies de gestion des revenus agricoles et du solde de trésorerie
Analyse des systèmes agroforestiers de Vavatenina à Madagascar : Stratégies de mise en valeur, perceptions paysannes et résilience
4.2.3 Les stratégies de développement potentiel du système d’activité
4.3 Lien entre structures d’exploitation, stratégies paysannes et niveau de résilience
4.3.1 Sécurité alimentaire et résilience « économique »
4.3.2 Stratégies paysannes et résilience globale
4.4 Evaluation de l’impact des systèmes agroforestiers sur la résilience des
exploitations agricoles
4.4.1 Systèmes d’exploitation modélisés
4.4.2 Impact de l’autoconsommation de produits issus des systèmes agroforestiers sur le
solde de trésorerie
4.4.3 Contribution des systèmes agroforestiers à la constitution des revenus et la stabilité du
solde : impact sur la résilience
4.4.4 Contribution des systèmes agroforestiers à la sensibilité des exploitations à une variation des prix : impact sur la résilience
5 CONCLUSION 

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