TYPOLOGIE DES EXPLOITATIONS AGRICOLES DU 2EME ARRONDISSEMENT

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

Entretien auprès des personnes ressources

L’entretien consiste à engager des conversations et des discussions avec les personnes ressources jugées au courant de la réalité générale locale dont : madame le directeur de cabinet de la CUA, monsieur le délégué au maire du IIème arrondissement et son adjoint, les différents chefs FKT locaux, et les agents de développements y afférents9. Ces personnes possèdent une connaissance approfondie du milieu, et ont constitué un soutien appréciable durant le terrain. Cette étape a renforcé les hypothèses gardées à partir des documentations et des recherches sur web avec celles des réalités locales.

Phase préparatoire

Cette phase a permis d’établir la démarche méthodologique adoptée pour le protocole de recherche, ainsi que le planning d’itinéraire et de séjour durant la descente sur terrain.
Deux guides de collecte de données ont été établis, à savoir :
– le guide d’entretien exécuté sur les personnes ressources, afin de localiser les zones représentatives.
– le questionnaire d’exploitation composé des séries de questions. Il a permis d’obtenir des données qualitatives et quantitatives auprès des paysans urbains.
Avant d’entamer l’enquête définitive, un test de questionnaire a été mené, afin d’évaluer la pertinence de ce dernier, d’éviter l’incohérence et la redondance des questions à poser et de vérifier la clarté des questions posées.

Phase d’enquête définitive

L’enquête définitive moyennant les questionnaires a pour objet de collecter les informations sur terrain. Elle a pour but de vérifier les hypothèses de travail et d’avoir des informations plus à jour vis-à-vis du thème. Elle a été réalisée en deux étapes : l’entretien et l’enquête définitive.

L’entretien

Une visite de courtoisie a été effectuée auprès des personnes ressources, comme les autorités locales citées auparavant, pour avoir une vision générale de la zone d’étude durant le stage pré-mémoire.

L’enquête définitive

Elle a été faite à partir d’un questionnaire et a été exécutée directement auprès des exploitants agricoles locaux, afin de recueillir des informations qualitatives et quantitatives sur leur système d’exploitation, à savoir :
· Les spéculations pratiquées par les ménages.
· Les superficies occupées par spéculation, par ménage.
· Les outillages utilisés.
· Le volume annuel de production par spéculation par ménage.
· Les membres des ménages suivant une classe d’âge.

Les enquêtes formelles et les démarches de démonstration

Cette partie montre les détails des différentes étapes adoptées depuis l’apurement des données jusqu’à l’obtention des résultats. Chaque étape développe respectivement et progressivement l’hypothèse correspondante jusqu’au résultat qui en découle.
Comme l’enquête informelle, l’enquête formelle suit un enchaînement de déduction de données, à savoir :
– Le dépouillement des données collectées : classer et numéroter les questionnaires d’enquête remplis par FKT. Cette étape facilite la correction en cas de trouble des données.
– La saisie de données : saisie de données brutes colletées lors de l’enquête sur terrain, afin d’avoir
une version numérique.
– L’apurement des données ainsi dépouillées : les données brutes ont été compilées pour former un
tout exploitable. L’apurement consiste à éliminer les informations jugées floues ou non fiable, afin d’éviter le biais d’étude.
– Le traitement de données : les données apurées doivent subir un certain nombre de traitements avant d’être interprétée de manière rationnelle. Dans cette étude, les logiciels de traitement choisis sont :
· EXCEL (Microsoft office) pour l’exécution des différents calculs nécessaires lors de l’apurement et de classement des données.
· XLSTAT 6.0 pour l’établissement de la typologie des FKT suivant les spéculations étudiées.
· MARKOV 1.1 pour la simulation de la tendance d’évolution et de l’interdépendance pouvant exister entre les spéculations.
· TSIM afin d’effectuer l’analyse financière des systèmes d’exploitations existantes.

Théorie des graphes

La théorie des graphes vise à faire la simulation markovienne de l’évolution vers la limite de stabilité d’un réseau de connexité, pour prévoir la tendance à court terme d’un système d’exploitation. Elle fait ressortir les activités prioritaires de l’exploitation paysanne et leurs limites dans le temps. Dans cette démarche, il faudrait convertir les résultats numériques en un tableau de proportions ou pourcentages qui traduisent les probabilités d’affectation des ressources d’une spéculation vers une autre. Ensuite, éclater la courbe de tendance des spéculations connexes, afin de suivre l’évolution temporelle de chaque spéculation en connexité.

Éclatement de la courbe de tendance

Il est indispensable de détailler la courbe de tendance du système, afin de définir l’évolution de chaque spéculation.
(0) : un circuit est une séquence des activités agricoles formant ensuite un système d’exploitation des exploitants de chaque groupe.
Parmi les résultats du traitement markovien :
(1) : les matrices objets sont des représentations graphiques du résultat numérique correspondant. (2) : les résultats numériques sont formés de matrices des indices d’évolution prospectée au niveau de chaque spéculation qui se trouve en connexité. C’est pourquoi on a exploité en avantage le résultat numérique en vue de mettre une prospection à propos du développement envisageable sur l’agriculture urbaine du milieu d’étude. Pour ce faire, la démonstration suivante pour suivre l’évolution qu’on pourra réaliser sur une spéculation jusqu’à la stabilité limite a été adoptée.

Détermination de la typologie spécifique : les sous groupe

L’annexe I, tableau 27 montre le regroupement des circuits obtenus suivant le traitement de l’évolution de rendement par le logiciel MARKOV v.1.1. Le filtrage automatique des circuits par Excel et la confrontation des groupements des circuits ainsi formés avec les facteurs déterminants de la typologie permettent de déduire les sous groupes présentés par l’annexe II, diagramme n°5. Ce diagramme fait ressortir le résultat du classement des circuits obtenus par la simulation markovienne. Chaque circuit est SPECULATION GROUPE RIZ CRE SAL TAR MAN PAT PER CEL PDT HAR ART CHF PET NOM.

Facteur déterminant du groupe

123 Production moyenne des 3 groupe (référence de la nomenclature) composé au moins de deux spéculations connexes qui forment ensuite un système d’exploitation caractéristique de chaque sous-groupe. En effet, les remarques correspondantes enregistrent que :
– le « groupe des vivrières » est composé de trois sous groupes caractérisés par les systèmes suivants :
CRE ART PET PER TAR RIZ MAN SAL pour le sous groupes 11 ; MAN RIZ TAR PER PET SAL MAN pour le sous groupe 12 ; et CRE SAL PET ART pour le sous groupe 13 .
– le « groupe intermédiaire » est affecté de six sous-groupes définis par les systèmes suivants : ART.
– le « groupe des rentes » comporte quatre sous groupes déterminés par les systèmes d’exploitation.
suivant : ART CRE pour le sous groupe 31 ; CRE MAN PAT pour le sous groupe 32 ; SAL CRE pour le sous groupe 33 et SAL PET pour le sous groupe 34.
Remarque.
– La probabilité d’apparition de chaque sous groupe dans sa communauté est représentée sur le diagramme ci-dessus (%).
– Les sous groupes doivent avoir la même tendance que le groupe qui les contient. En effet, la confrontation des connexions à celles de la typologie conduit à l’élimination des connexités privées
de la caractéristique du groupe.

L’INTENSIFICATION PAR RAPPORT AU SYSTEME TRADITIONNEL

Cette tranche met en inscription la comparaison de la situation initiale traditionnelle (E0) de chaque
groupe et l’état avec intensification avant la stabilité de chaque système. L’Annexe IV détaillera les poids de financement nécessaire et les états financiers de chaque système d’exploitation. La représentation de la différence annonce l’évolution ou la perturbation réalisée.

Le poids de financement nécessaire à l’intensification.

Cette section montre le poids de financement nécessaire pour le développement de l’agriculture urbaine qui répond au résultat attendu 3.
De ce fait, les trois tableaux 7,8, 9 ci-dessous développent les besoins financiers des 177 ménages
enquêtés pour assurer le fonctionnement de leurs exploitations. Les tableaux allant du n°52 jusqu’au n°66 montrent les détails du poids de financement correspondant à chaque modèle de système d’exploitation des paysans du IIème arrondissement.

Cas du groupe des pratiquants des cultures vivrières

D’après l’enquête, ce groupe représente 47% des ménages enquêtés. D’après l’étude des états financiers des systèmes d’exploitation notamment les coûts des investissements et les coûts de fonctionnement, ce groupe nécessite une somme d’environ 70 000 000Ar dans l’année 4 où l’intensification sera adoptée. Le tableau suivant affiche l’évolution de poids de financement de l’exploitation de ce groupe.

Tendance des systèmes de production locale

Cette sous partie va discuter la typologie réalisé auparavant. Elle va permettre de vérifier la première hypothèse émise dans l’introduction.
D’abord, pour les paysans du groupe des pratiquants des cultures vivrières, le niveau de préférence des cultures vivrières est de 71%, dont 49,5% pour le riz, contre 29% pour les cultures de rentes. Puis, pour les agriculteurs du groupe intermédiaire, le niveau de préférences des cultures vivrières de 58% dont 38,5% pour le riz contre 42% pour les cultures de rentes. Enfin, pour les cultivateurs du groupe des pratiquants des cultures de rentes, le niveau de préférence des cultures de rentes est de 37%, notamment 31% pour le cresson et 18,5% pour le riz, contre 33% pour les cultures vivrières.

Corrélation des activités agricoles

Le nombre de connexions de chaque spéculation au niveau de chaque groupe représente le niveau
concurrentiel, tandis que le niveau de préférence des paysans urbains vis-à-vis de chaque spéculation reflète le cycle de vie. En effet, la compilation des variables des deux tableaux ci-dessous a permis d’établir la matrice ADL correspondant aux spéculations de chaque groupe

Les logiques paysannes suivant l’interaction des spéculations

Cette section explique la logique paysanne de la zone d’étude. De plus, elle permet de prévoir la tendance de cette logique au cours du temps. Par la suite, la deuxième hypothèse du travail, mentionnée dans l’introduction pourra être vérifiée.
Selon la démarche markovienne, une spéculation pourrait avoir une relation étroite avec d’autres spéculations qui influenceront ensuite le niveau de productivité des exploitants. Ensuite, les spéculations connexes s’interagissent entre elles sous forme d’affectation des ressources. En effet, partant d’un état stable, un apport externe entraîne une perturbation du système jusqu’à un certain temps pou acquérir ensuite un nouvel état stable. Pourtant, ce passage d’un état stable vers une autre montre la logique des agriculteurs à partir de cette affectation des ressources au sein de chaque système d’exploitation.
Trois groupes sont obtenus : les paysans du groupe 1 pratiquent plus des cultures vivrières, ceux du groupe 3 préfèrent les cultures de rentes, tandis que le groupe 2 se trouve à l’intermédiaire de ces deux groupes. Cela affirme que les paysans urbains du IIème arrondissement suivent trois logiques différentes.
Premièrement, pour le groupe des pratiquants des cultures vivrières, les ressources sont plutôt orientées vers les spéculations à cycle court et rémunératrices notamment la salade et le petsay. Ces deux spéculations présentent une réaction vive devant les autres activités, étant donné qu’elles bénéficient en ressources 21 à 35% pour la salade et 20 à 32% des ressources pour le petsay. Selon les courbes d’évolution de rendement des systèmes d’exploitation au sein du groupe, la logique d’exploitation paysanne est représentée par l’annexe VI, diagramme n°6. Pourtant, en considérant la matrice ADL du groupe, la place de chaque spéculation est affichée sur l’annexe VI, diagramme n°7.
Deuxièmement, pour le groupe intermédiaire, l’affectation des ressources s’oriente plutôt vers la pomme de terre et le cresson, suivi de la spéculation riz. En général, dans chaque système contenant ces trois spéculations, le cresson prend 42 à 59% des ressources, la pomme de terre tire 43 à 99% et le riz en ramasse environ 42%. Les courbes de rendement correspondant à la tendance de chaque système du groupe présentent la logique de ses pratiquants (Cf. annexe VI, diagramme n°8). Cependant la logique de la matrice ADL correspondant aux activités du groupe est mentionnée sur l’annexe VI, diagramme n°9. Troisièmement, pour le cas du groupe des pratiquants des cultures de rentes, quatre spéculations touchent la plupart des ressources. De ce fait, le cresson en prend 50 à 99%, le petsay en bénéficie environ 50%, la salade y profite 31 à 50% et le manioc jouit d’environ 35% des ressources pour chaque système qu’elles contiennent. Suivant la tendance de l’exploitation du groupe, la logique d‘exploitation des cultivateurs est figurée sur l’annexe VI, diagramme n°10. Par contre, la mise en évidence de la matrice ADL des exploitations du groupe 3 enregistre une logique dont on affiche sur l’annexe VI, diagramme n°11.
Du point de vue général, les cultures vivrières à cycle long vont jouer le rôle d’une banque de ressources pour assurer la survie de l’exploitation et les besoins alimentaires de l’exploitant, tandis que les cultures de rentes vont assurer la stabilité de la trésorerie du ménage.
En effet, les cultures améliorantes prennent la majorité des ressources allouées à chaque système
d’exploitation des paysans du IIème arrondissement. Ces cultures fournissent des liquides à court terme pour stabiliser les trésoreries des ménages. Cependant, les cultures vivrières sont considérées comme des cultures de subsistance. Il est à noter que certaines activités se trouvent dans un état isolé :
– la patate, le céleri, la pomme de terre, le haricot et la chou fleur pour le groupe 1.
– la patate, le manioc, la salade, le haricot pour le groupe2.
– et le haricot n’est pas pratiqué pour le groupe 3, toutes les activités se trouvent en connexions. Ces activités peuvent avoir trois significations différentes : soit les paysans sont déjà professionnels
sur les matières, soit ce sont des activités en voie de disparition, soit ces sont des cultures de subsistance par gestion de risque.
En guise de recommandations, les développeurs doivent suivre la tendance des systèmes d’exploitation pratiqués de la zone d’intervention. D’après le résultat 2 de l’étude, les systèmes d’exploitation des paysans du IIème arrondissement atteignent leurs limites de stabilité après la 4ème itération pour le groupe des pratiquants des cultures vivrières, après la 6ème itération pour le groupe intermédiaire et pour le groupe des pratiquants des cultures de rentes. En effet, il faut adopter la rénovation technique avant cette stabilité, donc en 2011pour le groupe 1 et en 2013 pour les deux autres. L’intervention sur les activités va dans le sens inverse de la logique de la matrice ADL. Suivant la logique de connexité des activités, l’apport aux activités-fournisseurs de ressources a des influences sur les activités collectrices. De plus, il n’est pas possible de modifier la logique paysanne ; mais la logique de la matrice ADL en donne une image générale. C’est pourquoi, la priorisation en cas d’intervention sur les activités va dans le sens inverse de la logique de la matrice ADL. En effet, en considérant que les états connexes, l’intervention suit l’ordre suivant :
– SAL ; PET<RIZ<ART ; TAR<CRE ; MAN ; PER pour le groupe 1.
– RIZ<PDT<ART<CRE<PER<CEL<PET ; TAR ; CHF pour le groupe 2.
– CRE<MAN<RIZ<SAL ; PDT<PET ; PAT ; TAR<ART<CEL<CHF<PER pour le groupe 3.

Stratégie de financement et amélioration de revenu par l’intensification

Cette troisième et dernière sous partie va permettre de connaître comment doit-on agir pour aider les paysans urbains sur le financement de leurs activités agricoles et de quoi est capable l’intensification de l’agriculture urbaine face aux objectifs de développement malgache ?

Stratégie de financement des systèmes d’exploitation

En général, par rapport à l’état traditionnel, l’intensification entraîne une augmentation moyenne des coûts totaux de financement de 40% pour les systèmes d’exploitation du groupe 1, de 23% pour le groupe 2 et pour le groupe 3. Ces taux d’augmentation de financement donnent une augmentation moyenne de 30% pour tous les systèmes d’exploitation des paysans de la zone d’étude. De plus, les taux de rentabilité interne de tous ces systèmes d’exploitation sont supérieurs au taux d’intérêt de la Microfinance (36%).
Ainsi, il est recommandé d’effectuer au moins 30% du capital à émettre lors de l’exécution de l’intensification. Ensuite, il faut diminuer de 10% par an cet apport d’emprunt pour que les paysans puissent retourner vers l’utilisation de leurs capitaux propres après la 3ème année de la rénovation technique, car ils préfèrent l’autofinancement. En effet, le tableau n°12 ci-dessous représente le schéma de financement général correspondant à chaque système d’exploitation.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

GLOSSAIRE
INTRODUCTION
I- METHODOLOGIE
I.1-DESCRIPTION DE LA ZONE D’ETUDE
I.1.1- Délimitation et situation géographique de la zone d’étude
I.1.2- Aperçu général de la zone d’étude
I.2-CHOIX DU SUJET
I.3APPROCHE METHODOLOGIQUE
I.4-METHODOLOGIE DE TRAVAIL
I.4.1- Enquêtes informelles
a-Pré-enquête
b-Entretien auprès des personnes ressources
c-Phase préparatoire
d-Phase d’enquête définitive
e-Signification de l’enquête
I.4.2- Les enquêtes formelles et les démarches de démonstration
I.4.2.1- Démarche 1 : Élaboration de la typologie
I.4.2.2- Démarche 2 : Analyse prospective des exploitations agricoles
I.42.3- Démarche 3 : traitement de données par le logiciel TSIM
I.4.4- Limite de l’étude
I.4.5- Synthèse
II- RESULTATS
II.1-TYPOLOGIE DES EXPLOITATIONS AGRICOLES DU 2EME ARRONDISSEMENT
II.1.1- Détermination de la typologie générale : les groupes
II.1.2- Détermination de la typologie spécifique : les sous groupes
II.2-ANALYSE PROSPECTIVE DES ACTIVITES AGRICOLES DU 2EME ARRONDISSEMENT
II.2.1- Corrélation des activités agricoles dans le 2ème arrondissement
II.2.1.1- Vue globale du système d’exploitation du groupe des vivriers
II.2.1.2- Vue globale du système d’exploitation du groupe intermédiaire
II.2.1.3- Vue globale du système d’exploitation du groupe des rentes
II.2.2- Prospection d’évolution du rendement jusqu’à la limite de stabilité
II.2.2.1- Groupe des vivrières
II.2.2- Groupe intermédiaire
II.2.2.1- Sous groupe 21 : système Artichaut-Chou fleur
II.2.2.2- Sous groupe 22 : système Pomme de terre-Artichaut
II.2.2.3- Sous groupe 23 : système Pomme de terre-Céleri
II.2.2.4- Sous groupe 24 : système Pomme de terre-Cresson
II.2.2.5- Sous groupe 25 : système Persil-Cresson-Riz
II.2.2.6- Sous groupe 26 : système Petsay-Pomme de terre
II.2.3- Groupe des rentes
II.2.3.1- Sous groupe 31 : système Artichaut-Cresson
II.2.3.2- Sous groupe 32 : système Cresson-Patate-Manioc
II.2.3.3- Sous groupe 33 : système Cresson-Salade
II.2.3.4- Sous groupe 34 : système Petsay-Salade
II.3-L’INTENSIFICATION PAR RAPPORT AU SYSTEME TRADITIONNEL
II.3.1- Le poids de financement nécessaire à l’intensification.
II.3.1.1- Cas du groupe des pratiquants des cultures vivrières
II.3.1.2- Cas du groupe intermédiaire
II.3.1.3- Cas du groupe des pratiquants des cultures de rentes
II.3.1.4- A propos de l’échantillon de l’étude
II.3.2- Le revenu généré par les activités d’agriculture urbaine
II.3.2.1- Cas du groupe des pratiquants des cultures vivrières
II.3.2.2- Cas du groupe intermédiaire
II.3.2.3- Cas du groupe des pratiquants des cultures de rentes
III- DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
III.1-TYPOLOGIE
III.1.1- Tendance des systèmes de production locale.
III.1.2- Corrélation des activités agricoles
III.1.2.1- Place de chaque spéculation au sein du groupe vivrier
III.1.2.2- Place de chaque spéculation au sein du groupe intermédiaire
III.1.2.3- Place de chaque spéculation au sein du groupe rentes
III.2-LES LOGIQUES PAYSANNES SUIVANT L’INTERACTION DES SPECULATIONS.
III.3- STRATEGIE DE FINANCEMENT ET AMELIORATION DE REVENU PAR L’INTENSIFICATION.
III.3.1- Stratégie de financement des systèmes d’exploitation
III.3.2- Amélioration au niveau de l’arrondissement.
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *