Typologie des élevages bovins périurbains de N’Djamena

FILIERE ESPECES A CYCLE COURT

Le Tchad est un pays à forte tradition pastorale avec un disponible en viande des bovins et petits ruminants largement appréciée par les populations sahéliennes. C’est pourquoi, exception faite de l’aviculture et de l’élevage porcin, les autres espèces à cycle court ne sont pas exploitées bien qu’on note quelques élevages familiaux de lapins, de canards…

Filière avicole

L’aviculture reste à l’état traditionnel dans sa quasi-totalité et représente une activité non négligeable. Elle occupe une place notable dans l’élevage et mérite une attention particulière. Elle contribue à la satisfaction des besoins en protéines animales et procure une source de revenus non négligeable aux éleveurs (4).
A côté de cette aviculture villageoise, on note ces dernières années l’apparition de quelques élevages modernes dans les grands centres urbains (N’djaména, Moundou) utilisant des souches importéeset des intrants zootechniques et vétérinaires (48).
Cette filière paraît dynamique au regard du volume mis sur le marché mais l’absence de données ne permet pas de tirer d’autres conclusions.

Filière porcine

Dans la région Sud du pays où il est confiné, l’élevage porcin joue un rôle socio-économique majeur. Depuis quelques années, on note un développement de la production porcine liée à l’existence de nouveaux débouchés vers le Cameroun (33).
La filière porcine sembledonc être dynamique au Sud du pays avec un circuit d’exportation vers le Cameroun totalement ignoré par les données officielles.
On estime à plus de 40 000 le nombre de porcs exportés annuellement du Tchad vers le Cameroun (17).

Transhumance

C’est le système d’élevage dominant auTchad puisque chaque année, 75% du cheptel est concerné par les mouvements de transhumance (61).
Selon Laplanche, cité par TIMBO et OUEDRAOGO (73), « la transhumance est un ensemble de mouvements de rythme pendulaire et de caractère cyclique intéressant la totalité de la masse pastorale qui l’effectue à l’intérieur de pâturages coutumiers; ce phénomène complexe, d’une impérieuse nécessité, est le mode d’élevage traditionnel de la zone sahélienne » Cette définition s’inscrit bel et bien dans la logique des éleveurs transhumants tchadiens. Les mouvements se font généralement dans une direction Nord-Sud au rythme des saisons en suivant les pistes traditionnelles ou couloirs de transhumance, appelées localement « mourhals ».
Selon l’amplitude des mouvements, on distingue les grandes transhumances ou transhumances à long rayon d’action (plus de 300 km) et les petites transhumances ou transhumances à court rayon d’action (moins de 300 km).
Les grandes transhumances durent 6 à 8 mois. Elles débutent chaque année entre novembre et janvier et se terminent en juillet en année de pluviométrie normale. Il existe traditionnellement plusieurs familles de grands transhumants. Ce sont les arabes Mysseriés, Oueled Rachids, Mahamids, Mimi…
Les transhumances à court rayon d’action sont pratiquées par les éleveurs du Kanem, les Kecherda, les Kreda, les arabes Chao, les Khozzam…

Système agropastoral

C’est un système de production qui se caractérise par une complémentarité entre les activités agricoles et pastorales. L’agropastoralisme se caractérise aussi par une plus grande stabilité territoriale qui autorise un contrôle social sur l’espace pâturé. Les animaux pâturent toute l’année dans le même terroir et l’agriculture pratiquée est souvent vivrière.
Ce système de production concerne les éleveurs cultivateurs et les agriculteurs éleveurs. Il s’agit des Arabes et Foulbés du Chari Baguirmi, des Boudouma, des Kanembou, des Toupouri et des Massa (67).
L’agropastoralisme peut prendre la forme d’une simple proximité géographique ou présenter une intégration marquée avec les productions végétales sous la forme de traction attelée ou de fumure organique.

SYSTEME D’ELEVAGE MODERNE

L’élevage intensif ou le système d’élevage moderne n’existe pas au Tchad bien que des tentatives d’intensification aient été menées dans les années 1950-70 pour améliorer la productivité. Les expériences les plus marquantes ont été l’embouche des zébus Arabe dans certaines régions du pays. Aucune de ces tentatives n’a été pérennisée et vulgarisée et l’élevage bovin reste encore sous sa forme traditionnelle.

ALIMENTATION DES BOVINS

BESOINS

L’Unité de Bétail Tropical (UBT) est utilisée comme référence pour la détermination des besoins des ruminants domestiques tropicaux, en particulier les bovins. Une UBT équivaut à un animalayant un poids vif de 250 kg qui doit recevoir chaque jour pour son entretien sur pâturage naturel 6,25 kg de matière sèche ayant une valeur fourragère de 2,9 UnitéFourragère (UF) avec 156 g de Matières Azotées Digestibles (MAD) dans le cas de petits déplacements et 3,24 UF avec 182 g de MAD dans le cas de grands déplacements.

RESSOURCES DISPONIBLES

Pâturages

Les pâturages jouent un rôle considérable dans l’alimentation des bovins domestiques. Ils représentent la première ressource alimentaire disponible pour ces animaux élevés le plus souvent sur un mode extensif.

Résidus de récolte

Ils sont essentiellement représentés par les canes et les pailles de mil, les tiges et les rafles de maïs, la paille de riz et les fanes d’arachide. Ces produits existent partout où sont cultivées les plantes vivrières et sont bien valorisés par les animaux. Mais il est très difficile, sinon impossible, d’évaluer les quantités disponibles annuellement pour les animaux car très peu d’observations ont été faites sur les rendements quantitatifs de ces résidus de récolte.

Sous-produits agro-industriels

Les sous-produits de graines oléagineuses sont les principaux sous-produits agro-industriels utilisés pour l’alimentation animale au Tchad.
Deux variétés de graines sont triturées pouren extraire de l’huile : l’arachide et la graine de coton. L’extraction de l’huilede ces deux variétés de graines laisse essentiellement du tourteau qui constitue une source protéique essentielle pour l’alimentation animale.

Tourteau d’arachide

Le tourteau d’arachide actuellement disponible provient essentiellement des procédés artisanaux. Une huilerie fonctionnait à Fort-Lamy (actuelle N’djaména) dans les années 1960. En 1966/77, cette usine a traité 1236 tonnes d’arachides décortiquées, ce qui a permis de produire 590 tonnes de tourteau (46).
Depuis quelques années, on note l’apparition des petites huileries artisanales à N’djaména avec des capacités de production assez modestes sans qu’il ne soit possible d’évaluer les quantités de tourteau d’arachide produites annuellement.

Tourteau de coton

Le tourteau de coton est produit exclusivement par l’usine Cotontchad, basée au Sud du pays dans la ville de Moundou. Cette usine aurait une capacité de production de 2000 sacs de 70 kg de tourteau par jour pendant 5 mois. La production annuelle théorique serait de 21 000 tonnes (25).
On ne dispose pas des données sur les quantités destinées au marché local et les éleveurs tchadiens sontfortement concurrencés par la demande des pays voisins (Cameroun, le Nigeria et la République CentrAfricaine).
Bien que le Tchad soit reconnu comme pays à vocation pastorale avec un cheptel bovin très important, des filières d’élevage (lait, bétail sur pied, cuirs et peaux, volailles et porcs) dominées par l’informel mais assez dynamiques, l’élevage connaît un certain nombre de difficultés qui entravent son développement. Nous tenterons, dans les parties qui vont suivre, de faire le point sur les principales contraintes qui constituent un handicap au développement de l’élevage bovin.

RESSOURCES EN EAU INSUFFISANTES

Bien que le pays dispose d’un réseau hydrographique assez important, les besoins en eau du cheptel sont loin d’être couverts. En effet, les eaux de surface, surtout celles non pérennes, présentent une certaine irrégularité du fait de leur dépendance des eaux de pluie. Cet aspect qui est lié aux phénomènes climatiques et sur lequel l’éleveur n’a aucun pouvoir est couplé à une mauvaise répartition de quelques ouvrages d’hydraulique pastorale disponibles (1). Il en résulte en année de mauvaise pluviométrie des problèmes d’abreuvement du cheptel obligeant une concentration importante de ce dernier en zones pourvues d’ouvrages à usage pastoral. Cette concentration a pour conséquence une dégradation de l’environnement, l’apparition des maladies, la perte de poids des animaux, la baisse de fertilité… Il n’est pas facile d’évaluer les pertes liées aux problèmes d’abreuvement des animaux mais à priori ils ne seraient pas négligeables.
Tous les observateurs sont unanimes par rapport à l’insuffisance des ressources en eau pour le bétail mais l’estimation avec précision du déficit hydrique pose problème. ABDELMADJIT (1) estime qu’à peine 40% des besoins sont couverts et que le déficit total annuel à combler pourrait atteindre les 50 millions de mètres cubes, ce qui correspondrait à environ 3500 puits cimentés avec un débit moyen de 30 à 40 m3 par jour.
Le Ministère de l’Elevage (60) estime à 4000 points d’eau les besoins complémentaires en hydraulique pastorale.

PATHOLOGIES

Bien que l’élevage tchadien ait bénéficié en matière de santé animale d’un appui considérable de l’Etat à travers les prophylaxies vaccinales, les pathologies constituent encore l’unedes contraintes majeures à son développement. Sans prétendre faire une étude détaillée des pathologies bovines, nous passerons en revue les principales entités pathologiques qui font payer aux bovins un tribut plus ou moins lourd.

Climat

La région de N’djaména est située dans le domaine du climat sahélosoudanien, marqué par l’alternance d’unecourte saison des pluies, qui va généralement de juin à septembre, et d’une longue saison sèche.
La moyenne de précipitations annuelles calculée sur dix ans situe cette région à l’isohyète 512,2 mm en 1994 (7).
Les températures moyennes annuelles minimale et maximale pourla région de N’djaména calculées sur un module décennal (1994-2003) sontrespectivement de 21°5 et 35°8. L’humidité relative moyenne annuelle est de 45%.

Végétation

La végétation de cette zone se caractérise par une pseudo-steppe essentiellement graminéenne. Les arbres etarbustes ne sont pas rares et sont représentés par les Acacia, Calotropis procera, Faidherbia albida, Balanites oegyptiaca…
Dans la partie Sud, cette pseudo-steppe fait une transition avec une savane à Terminalia avicennioïdes, mêlée de quelques Sclerocarrya birrea.

Hydrographie

La région de N’djaména a pour caractéristique principale, sur le plan hydrographique, d’être le lieu de rencontre entre le Chari et son principal affluent le Logone. Ces derniers constituent l’essentiel du réseau fluvial du pays.

Population humaine

Dans la partie Nord, la population est constituée essentiellement d’agropasteurs Arabes en majorité sédentaires. L’essentiel de leur activité porte sur l’élevage et l’agriculture, tous deux pratiqués de manière traditionnelle.
Dans les deux parties Sud, on note une certaine hétérogénéité de la population résidente. On rencontre des Arabes, des Haoussas, des Sara, des Massa…

METHODOLOGIE

ENQUETE

Echantillon d’enquête

La région périurbaine de N’djaména s’étend sur un rayon de 40-50 km environ. De nombreux villages d’éleveurs s’y trouvent mais aucune donnée sur leur localisation, ni sur le nombre d’éleveurs par village n’existe, moins encore sur l’effectif du cheptel bovin par village. C’est cette difficulté qui nous a conduit à choisir de façon aléatoire, dans chaque partie de la zone d’étude, 7 à 10 villages tout en respectant une distance minimale de 4 à 5 km entre deux villages. Le taux de sondagepar village, c’est-à-dire le nombre d’élevages à enquêter par village, dépend de l’importance ducheptel bovin par village qu’on peut aisément estimer à partir du nombre de parcs de nuit du village. Ce taux de sondage était constant dans tousles élevages enquêtés (tableau V).

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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE 1 : GENERALITES SUR LE TCHAD
1. SITUATION GEOGRAPHIQUE
2. MILIEU PHYSIQUE
2.1. RELIEF ET SOLS
2.1.1. Relief
2.1.2. Sols
2.2. CLIMAT ET VEGETATION
2.2.1. Climat
2.2.2. Végétation
2.3. HYDROGRAPHIE
3. MILIEU HUMAIN
3.1. POPULATION
3.2. DIVERSITE ETHNICO-LINGUISTIQUE DU TCHAD
CHAPITRE 2 : LE TCHAD, PAYS D’ELEVAGE PAR EXCELLENCE
1. IMPORTANCE DE L’ELEVAGE AU TCHAD
1.1. IMPORTANCE ECONOMIQUE
1.2.IMPORTANCE SOCIOCULTURELLE
2. CHEPTEL : EFFECTIFS
3. ESPECES ANIMALES EXPLOITEES
3.1. BOVINS
3.1.1. Zébus
3.1.1.1. Zébu Arabe
3.1.1.2. Zébu M’bororo
3.1.1.3. Zébu Peul
3.1.1.4. Zébu Toupouri
3.1.2 Taurin Kouri
3.2. PETITS RUMINANTS
3.2.1. Races ovines
3.2.2. Races caprines
3.3. CAMELINS
3.4. PORCINS
3.5. EQUINS
3.6. ASINS
3.7. VOLAILLES
4. RESSOURCES PASTORALES
4.1. PATURAGES DU TCHAD
4.1.1. Types de pâturages
4.1.1.1. Pâturages sahéliens
4.1.1.2. Pâturages sahélo-soudaniens
4.1.1.3. Pâturages soudano-guinéens
4.1.1.4. Pâturages de décrues
4.1.2. Productivité des pâturages
4.2. HYDRAULIQUE PASTORALE
4.3. RESSOURCES EN NATRON
4.4. EXPLOITATION DES RESSOURCES PASTORALES
5. FILIERES COMMERCIALES
5.1. FILIERE VIANDE ET BETAIL SUR PIEDS
5.1.1. Sous filière viande
5.1.2. Sous filière exportation du bétail sur pieds
5.2. FILIERE LAIT ET PRODUITS LAITIERS
5.3. FILIERE CUIRS ET PEAUX
5.4. FILIERE ESPECES A CYCLE COURT
5.4.1. Filière avicole
5.4.2. Filière porcine
CHAPITRE 3 : L’ELEVAGE BOVIN AU TCHAD
1. SYSTEMES D’ELEVAGE BOVIN AU TCHAD
1.1. SYSTEME TRADITIONNEL
1.1.1. Système pastoral
1.1.1.1. Nomadisme
1.1.1.2. Transhumance
1.1.2. Système agropastoral
1.2. SYSTEME D’ELEVAGE MODERNE
2. ALIMENTATION DES BOVINS
2.1. BESOINS
2.1.1. Besoins en énergie
2.1.2. Besoins en matières azotées
2.1.3. Besoins en sels minéraux
2.2. RESSOURCES DISPONIBLES
2.2.1. Pâturages
2.2.2. Résidus de récolte
2.2.3. Sous-produits agro-industriels
2.2.3.1. Tourteau d’arachide
2.2.3.2. Tourteau de coton
3. CONTRAINTES DE L’ELEVAGE BOVIN
3.1. INCERTAIN CLIMATIQUE ET CONTRAINTES ALIMENTAIRES
3.2. FLOU FONCIER ET CONFLITS AGRICULTEURS/ELEVEURS
3.3. RESSOURCES EN EAU INSUFFISANTES
3.4. PATHOLOGIES
3.4.1. Maladies virales
3.4.1.1. Peste bovine
3.4.1.2. Fièvre aphteuse
3.4.1.3. Maladie nodulaire cutanée des bovins
3.4.2. Maladies bactériennes
3.4.2.1. Péripneumonie contagieuse bovine (PPCB)
3.4.2.2. Septicémie hémorragique des bovins
3.4.2.3. Tuberculose bovine
3.4.2.4. Brucellose bovine
3.4.3. Maladies parasitaires
3.4.3.1. Trypanosomose bovine
3.4.3.2. Parasitoses gastro-intestinales
DEUXIEME PARTIE: TYPOLOGIE DES ELEVAGES BOVINS PERIURBAINS DE N’DJAMENA
CHAPITRE 1 : GENERALITES SUR LA ZONE D’ETUDE ET METHODOLOGIE
1. GENERALITES SUR LAZONE D’ETUDE
1.1. ZONE D’ETUDE
1.1.1. Relief
1.1.2. Sols
1.1.3. Climat
1.1.4. Végétation
1.1.5. Hydrographie
1.1.6. Population humaine
2. METHODOLOGIE
2.1. ENQUETE
2.1.1. Echantillon d’enquête
2.1.2. Support de l’enquête
2.1.3. Phase de pré-enquête
2.1.4. Phase d’enquête
2.2. ANALYSE DES DONNEES
2.2.1. Analyse statistique descriptive
2.2.2. Analyse typologique
2.2.2.1. Méthode d’analyse
2.2.2.1.1. Analyse des Correspondances Multiples (ACM)
2.2.2.1.2. Classification Ascendante Hiérarchique (CAH)
2.2.2.1.3. Logiciel utilisé
CHAPITRE 2 : RESULTATS ET DISCUSSION
1. CARACTERISTIQUES GENERALES DES ELEVAGES PERIURBAINS DE N’DJAMENA
1.1. STATUT SOCIO-ECONOMIQUE DES ELEVEURS
1.1.1. Appartenance ethnique, religion et origine des enquêtés
1.1.2. Age des éleveurs enquêtés
1.1.3. Situation matrimoniale
1.1.4. Scolarisation des éleveurs
1.1.5. Pratiques agricoles et activités secondaires
1.2. TROUPEAU ET SA CONDUITE
1.2.1. Effectifs des animaux
1.2.2. Cheptel bovin
1.2.3. Races exploitées
1.2.4. Conduite des animaux
1.2.4.1. Logement des animaux
1.2.4.2. Envoi au pré
1.2.4.3. Mouvements de transhumance
1.2.4.4. Complémentation alimentaire
1.2.4.4.1. Aliments utilisés
1.2.4.4.2. Catégories d’animaux supplémentés
1.2.4.4.3. Quantités d’aliments distribués par vache et par jour
1.2.4.4.5. Provenance et prix des aliments
1.2.4.5. Abreuvement des animaux
1.2.4.6. Elevage des veaux
1.2.4.6.1. Age moyen des veaux au sevrage
1.2.4.6.2. Alimentation des veaux
1.2.4.7. Reproduction
1.2.4.8. Santé des animaux
1.2.4.8.1. Prophylaxie vaccinale
1.2.4.8.2. Intervention médicale au sein des élevages enquêtés
1.2.4.8.3. Principales entités pathologiques rencontrées dans les élevages
1.3. PRODUCTION ET COMMERCIALISATION DES PRODUITS
1.3.1. Production laitière
1.3.1.1. Quantité moyenne de laitproduite/vache/jour
1.3.1.2. Destinations du lait
1.3.1.3. Quantité de lait frais commercialisée par jour
1.3.1.4. Prix du litre de lait frais
1.3.1.5. Produits laitiers
1.3.2. Vente des animaux
1.3.3. Vente de produits agricoles
2. TYPOLOGIE DES ELEVAGES PERIURBAINS DE N’DJAMENA
2.1. L’ANALYSE DE L’HISTOGRAMME DES VALEURS PROPRES
2.2. ANALYSE DES CONTRIBUTIONS DES VARIABLES ACTIVES AU PLAN FACTORIEL
2.3. ANALYSE DES VARIABLES ILLUSTRATIVES AU PLAN FACTORIEL
2.4. REPRESENTATION GRAPHIQUE DES MODALITES DES VARIABLES:LES PLANS FACTORIELS
2.5. CLASSIFICATION ASCENDANTE HIERARCHIQUE
2.6. DESCRIPTION DES DIFFERENTS TYPES D’ELEVAGES BOVINS PERIURBAINS
DE N’DJAMENA
2.6.1. Type I
2.6.2. Type II
2.6.3. Type III
CONCLUSION 
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 
ANNEXES

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