Types du biofilms dentaires selon leur localisation

Types du biofilms dentaires selon leur localisation

La pulpe dentaire

La pulpe est un tissu conjonctif spécialisé, inclus à l’intérieur d’une cavité anatomique située dans la partie interne et centrale de la dent et limitée par des parois dentinaires rigides de la cavité pulpaire. La pulpe est un tissu conjonctif lâche contenant 75 % d’eau et 25 % de matériel organique, consistant en différents types cellulaires au sein d’une matrice extracellulaire. Comme tout tissu conjonctif, la pulpe possède des structures nerveuses, vasculaires et lymphatiques et du matériel immunologique La cavité pulpaire est divisée en deux parties : la chambre pulpaire qui contient la pulpe coronaire et le canal radiculaire qui contient la pulpe radiculaire. Avec l’âge et les agressions, la cavité pulpaire rétrécit et le volume occupé par la pulpe diminue. Malgré le fait que la pulpe, contenue dans un espace incompressible, ne peut ni se dilater ni rétrécir, le tissu pulpaire est capable de s’opposer aux surpressions engendrées par l’inflammation du fait d’une forte capacité de réabsorption capillaire, en rapport avec la pression intrapulpaire permanente relativement élevée et la faible compliance du tissu pulpaire. La compliance interstitielle représente le rapport entre les variations du volume interstitiel et la pression hydrostatique tissulaire. Dans la plupart des tissus, la compliance est élevée et tout accroissement des forces de filtration et/ou toute diminution des forces de réabsorption provoquent une accumulation de fluides dans le milieu interstitiel, ce qui se traduit par un oedème. Dans la pulpe, les fluides accumulés sont secondairement réabsorbés puis évacués par les vaisseaux lymphatiques.Toute variation même faible de volume induit une variation importante de pression, ce qui a pour effet de tendre à ramener les liquides sortant des capillaires (filtration) à leur point de départ, à l’intérieur du capillaire (réabsorption), limitant la formation d’œdème .

Le biofilm dentaire

L’homme est constitué de 1013 cellules et abrite 1014 micro-organismes. La flore résidente contribue directement ou indirectement au développement normal de la physiologie, de la nutrition et du système de défense de l’hôte. La composition de la flore commensale est caractéristique pour chaque habitat comme la bouche, la peau, les muqueuses, etc., avec des transferts fréquents entre les sites, implantation ou simples passages. Dans un système en équilibre, la composition de la microflore résidente de chaque site reste stable dans le temps. Cette stabilité, dénommée homéostasie microbienne, nécessite une neutralité biologique entre l’hôte et la microflore. Elle découle d’un équilibre dynamique relationnel entre espèces bactérienne et interaction hôte-bactérie. Tout changement de la niche écologique, donc de l’environnement, perturbe cet équilibre. Chez l’homme, la flore buccale est très complexe et diversifiée. Elle est constituée de parasites eucaryotes, de champignons et levures, de mycoplasmes et de plus de 500 espèces bactériennes. Les bactéries sont nombreuses et six milliards de nouvelles bactéries seraient produites en 1 ou 2 heures dans la bouche de chaque individu .La coexistence d’un si grand nombre de micro-organismes dans un même habitat dépend des relations entre eux (antagonisme ou synergisme) et le milieu buccal. Cette coexistence prend la forme de plaque bactérienne appelée aussi biofilm dentaire [ 52 ].

Dans sa plus simple expression, l’écosystème buccal est composé de micro-organismes buccaux et de leur environnement. Au sein d’un écosystème, le développement de la communauté entraîne une succession de population. Le processus commence avec la colonisation de l’habitat par des populations microbiennes pionnières. Ces micro-organismes occupent la niche de ce nouvel environnement et modifient l’habitat. Il en résulte l’installation de nouvelles populations. Comme le processus est continu, la diversité et la complexité de la communauté microbienne s’accroissent. Les successions se terminent quand aucune niche additionnelle n’est disponible pour de nouvelles populations. A ce stade, un assemblage relativement stable de bactéries est construit, nous retrouvons la « communauté ». Chaque habitat a ses critères qui permettent à certaines populations de dominer sur un site et de subir sur un autre. Ces facteurs incluent les récepteurs appropriés d’attachement, la présence de nutriments essentiels et de cofacteurs de croissance, aussi bien qu’un pH, un potentiel d’oxydo-réduction et un environnement gazeux adapté.

La comparaison de la composition des flores de la cavité buccale et du tractus gastro-intestinal montre que sur 500 espèces retrouvées dans la bouche, seules 29 sont retrouvées dans les échantillons fécaux. Dans la bouche, les différences entre les surfaces sont nombreuses permettant une colonisation bactérienne spécifique de chacune. Les conditions écologiques différent fortement entre les surfaces muqueuses (lèvres, joues, palais, langue) et les dents. Les caractéristiques de l’habitat conditionnent la composition quantitative et qualitative de la flore résidente de chaque écosystème. Pour identifier les déterminants écologiques qui conditionnent la colonisation bactérienne de la cavité buccale, il est nécessaire d’en connaître les particularités environnementales [ 52 ].

Déminéralisation – Reminéralisation

La carie implique l’interaction au cours du temps de bactéries capables de produire des acides, d’un substrat métabolisable par ces bactéries et de facteurs liés à l’hôte, incluant la dent et son environnement salivaire. L’hypothèse d’une plaque spécifique à la carie, impliquant certaines espèces acidogènes particulièrement cariogènes est aujourd’hui retenue [ 64 ] . Le fait que la lésion carieuse ainsi déclenchée progresse, s’arrête ou régresse dépend de la balance déminéralisation/reminéralisation [64]. Chez un individu, ce processus bipolaire de déminéralisation (destruction) et de reminéralisation (réparation) se produit au cours d’une journée. Le résultat est une évolution soit vers la lésion cavitaire si l’agressivité du biofilm persiste, soit vers l’inversion du processus et la réparation si le biofilm est inhibé, ou encore vers le statu quo [65]. La lésion carieuse résulte d’une succession de réactions de diffusions ioniques et de dissolution-précipitation d’éléments minéraux qui surviennent dans un système ouvert comportant différents milieux. phosphate dans le biofilm vont gouverner les échanges. Elles orienteront les équilibres vers la déminéralisation ou la reminéralisation [ 66,67,68 ,69,70] .

Le processus carieux est régulé au niveau de l’émail par le jeu des équilibres ioniques. L’interface concernée est constituée d’une phase solide (les différents phosphates de calcium amélaires) et d’une phase aqueuse (fluide de la plaque pour la surface de l’émail et hydrogel des pores de l’émail). Les réactions à l’interface sont fonction des constantes de dissociation des composés minéraux et de l’activité ionique des solutions, elle-même influencée par le pH local. La déminéralisation est régie par le fait que les composés minéraux obéissent au principe du produit de solubilité, le composé ayant la plus faible constante de dissociation (valeur de pK) contrôle la réaction. La Whitlockite (WH) et le phosphate dicalcique dihydraté (DCPD), qui présentent des constantes de dissociation faible, se dissolvent préférentiellement. La dissolution des autres phases en particulier l’hydroxyapatite est toujours secondaire et se fera via la transformation de ces composés. Lors de la dissolution de l’émail, un précipité est formé à partir de la solution aqueuse environnante qui contient plusieurs ions, précipité qui tend à avoir la composition du composé le moins soluble de façon à rétablir un équilibre. La déminéralisation d’un point de vue cristallochimique est en fait, un phénomène très complexe, étudié essentiellement in vitro. On retiendra qu’il ne s’agit pas d’un processus univoque mais d’une cascade de réactions de dissolution-précipitation-recristallisation. Les ions calcium et phosphate provenant de la salive et de la plaque diffusent alors vers l’émail au niveau duquel ils peuvent participer à la reminéralisation.

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Table des matières

1-INTRODUCTION
2-PROBLEMATIQUE
3-MILIEU BUCCAL
3-1-Salive
3-1-1-Propriétés physico-chimiques
3-1-2-Constituants organiques
3-1-3-Constituants inorganiques
3-2-Fluide gingival
3-2-1-Définition
3-2-2-Mécanisme de production
3-2-3-Rôles
3-3-Organe dentaire
3-3-1-Email
3-3-2-Complexe pulpo-dentinaire
3-3-2-1-Composition de la dentine
3-3-2-2-Pulpe dentaire
3-4-Muqueuse buccale
3-4-1-Anatomie
3-4-2-Epithelium
3-4-3-Chorion
3-4-4-Fonction
3-5-Le biofilm dentaire
3-5-1-Types du biofilms dentaires selon leur localisation
3-5-1-1-Biofilm supra- gingival
3-5-1-2-Biofilm sous-gingival
3-5-2-Formation et composition de la pellicule acquise exogène
3-5-3-Rôle de la pellicule acquise exogène
3-5-4-Nouvelles perspectives
4-ETIOPATHOGÉNIE DE LA LÉSION CARIEUSE
4-1-Définitions
4-2-Etiologies
4-3-Pathogénie
4-3-1 -Déminéralisation-Reminéralisation
4-3-2-Effets des fluorures sur les phosphates de Calcium
4-3-3- Rôle des bactéries dans le carie
4-3-3-1 : Streptocoques et carie
4-3-3-2 -Lactobacilles et carie
4-3-3-3 -Actinomyces et carie
4-3-3-4 -Rôle des autres bactéries dans la carie
4-3-4 – Rôle de l’alimentation dans la carie
4-3-4-1-Sucres cariogènes
4-3-4-2-Voie homofermentaire
4-3-4-3-Voie hétérofermentaire
4-3-4-4-Potentiel cariogène des différents glucides alimentaires
4-3-4-5-Fréquence et place des prises sucrées
4-3-4-6-Concentration en sucre et clairance des sucres
4-4- Histopathologie et formes cliniques
4-4-1- Carie de l’émail
4-4-1-1-Formation de la lésion amélaire initiale
4-4-1-2-Anatomo-pathologie de la carie dentaire
4-4-1-3-Microcavitation de l’émail et invasion bactérienne
4-4-2-La carie dentinaire
4-4-2-1-Principes moléculaires de la dégradation dentinaire
4-4-2-2- Caries dentinaires « fermées » et « ouvertes »
4-4-2-3- Caries dentinaires aux stades pré cavitaires
4-4-2-4-Caries débutantes
4-4-2-5-Caries dentinaires aux stades cavitaires
4-5-Vitesse de progression des lésions
4-5-1-Lésion à progression lente
4-5-2-Lésions à progression rapide
4-6-Les caries radiculaires
4-7-Les caries récurrentes ou secondaires
4-7-1-Nature et évolution des caries résiduelles
4-7-2- Nature et évolution des caries récurrentes
5- ÉVOLUTION DE LA CARIOLOGIE DEPUIS BLACK G.V (1904)
5-1- Classifications des lésions carieuses
5-1-1-Classification de Black
5-1-2-Classification par degré de Lubetzki
5-1-3-Classification de l’Organisation mondiale de la santé (OMS)
5-1-4-Classifications à visée diagnostique
5-1-5-Classification de Pitts (1997)
5-1-6-Classification des lésions carieuses selon le site et la taille (d’après Mount et Hume, 1997)
5-1-7-Critères de diagnostic visuel selon Ekstrand et al (1998)
5-1-8-Classification spécifique aux lésions occlusales d’Axelsson (2000)
5-1-9-Classifications spécifiques aux lésions proximales
5-1-10-Classifications spécifiques aux caries radiculaires
5-2-Le concept du modèle chirurgical et le modèle médical
5-2-1-Le concept sista : guide sista : guide de décision thérapeutique, en fonction du stade évolutif des lésions carieuses
5-2-2-Comparaison entre modèle chirurgical et le modèle médical (d’après Anusavice)
5-2-3-Carie de l’email et concept ICDAS
5-3-Recommandations internationales du R.C.I
5-3-1-Evaluation du RCI
5-3-2-Cariogram
5-3-3L’European Academy of Pediatric Dentistry: (EAPD)
5-3-4-Les recommandations du Scottish Intercollegiate Guidelines Network (SIGN)
5-3-5-Critères d’évaluation du risque carieux individuel de la HAS-2005
5-3-6-Critères de la SFOP -2004
5-3-7- Critères utilisés pour la définition du risque carieux ADA
5-3-8- Critères utilisés pour la définition du risque carieux AAPD
5-3-9- Critères utilisés pour l’OMS
5-4- Le nouveau concept du diagnostic en cariologie
5-4-1-Détection des lésions carieuses
5-4-2-Nouvelles techniques au service du diagnostic en cariologie
5-4-2-1- Le diagnostic par examen radiologique
5-4-3-2- Les méthodes récentes
5-5- Évaluation de la profondeur des lésions carieuses
5-6- Évaluation de l’activité des lésions carieuses
6-PROTOCOLE DE L’ENQUETE : MATERIEL ET METHODE
6-1-Objectifs de l’étude
6-1-1-Objectif général de l’étude
6-1-2-Objectifs secondaires de l’étude
6-1-3-Buts de l’étude
6-2- méthode de l’enquête
6-2-1-Type de l’enquête
6-2-2-Lieux de l’enquête
6-2-3-Durée de l’enquête
6-3-Population d’étude
6-3-1-Population cible
6-3-2-Facteurs d’inclusion
6-3-3-Facteurs d’exclusion
6-3-4-Échantillonnage
6-3-4-1-Calcul de l’échantillon des enfants âgés de 7 ans
6-3-4-2-Calcul de l’échantillon des enfants âgés de 13 ans
6-4-Variables étudiées
6-4-1- L’entête de la fiche technique de l’enquête
6-4-2-Intitulé de l’enquête
6-4-3- Les coordonnées réservées au chirurgien dentiste enquêteur
6-4-4- L’identification du patient
6-4-5 -Le parent accompagnateur
6-4-6- L’entretien avec les parents au cours de la première consultation
6-4-6-1-Les antécédents bucco-dentaires familiaux
6-4-6-2-Les antécédents bucco-dentaires personnels
6-4-6-3-Visites au cabinet dentaire
6-4-6-4-Les habitudes alimentaires
6-4-6-5-Hygiène bucco-dentaire
6-4-7- L’examen clinique bucco-dentaire à la première visite
6-4-7-1-Stade de la denture
6-4-7-2- L’hygiène bucco-dentaire
6-4-7-3-Examen de la formule dentaire lors de la première consultation
6-4-7-3-1-Étude de la carie dentaire
6-4-7-3-2- Etat de la denture par individu
6-4-7-3-3- Etat de la denture par dent
6-4-7-4-Anfractuosité des molaires
6-4-7-5-Examen radiographique
6-4-7-6-Bilan dentaire à la première consultation
6-4-7-7-Visites périodiques et détection de nouvelles lésions carieuses
6-4-7-8-Bilan dentaire à la fin de l’enquête
6-4-7-9-Pronostic du RCI à L’issue de l’enquête
6-5-Équipe de l’enquête
6-6-Analyse des résultats
6-6-1-Degré de signification
6-6-2-Force d’association
6-6-3-Intervalle de confiance
6-6-4-Différence de risque
6-6-5-Fraction étiologique de risque
6-7-Déroulement de l’enquête
6-7-1-Planning de consultation mensuelle
6-7-2-Planning de la 1ére consultation de chaque groupe
6-7-3-Déroulement de la première consultation pour chaque groupe
6-7-4-Planning des consultations de contrôle pour chaque groupe
7– RÉSULTATS DE L’ENQUETE
7-1-Cohorte des enfants âgés de 7 ans
7-1-1-Caractéristiques socio-économiques
7-1-2-Distribution selon le sexe
7-1-3- Bilan carieux lors de la première consultation et la dernière consultation
7-1-3-1-Répartition des enfants selon le type d’atteinte carieuse
7-1-3-2-Taux de prévalence de la carie dentaire
7-1-3-3-Etat de la denture par individu
7-1-3-3-1-Indice de carie moyen en denture mixte
7-1-3-3-2-Indice moyen des besoins en soins en denture mixte
7-1-3-3-3-Indice moyen de dents saines en denture mixte
7-1-3-3-4-Indice moyen de dents cariées en denture mixte
7-1-3-3-5-Indice moyen de dents absentes en denture mixte
7-1-3-3-6-Indice moyen thérapeutique en denture mixte
7-1-3-4-Etat de denture par dent
7-1-3-4-1-Indice moyen des dents cariées en denture mixte
7-1-3-4-2-Indice moyen des dents extraites en denture mixte
7-1-3-4-3-Indice moyen des dents saines en denture mixte
7-1-3-4-4-Indice moyen thérapeutique en denture mixte
7-1-3-5- Taux de prévalence à la carie dentaire à la fin de l’enquête
7-2-Cohorte des enfants âgés de 13 ans
7-2-1-Caractéristiques socio-économiques
7-2-2-Distribution selon le sexe
7-2-3- Bilan carieux lors de la première consultation et la dernière consultation
7-2-3-1-Répartition des enfants selon le type d’atteinte carieuse
7-2-3-2-Taux de prévalence de la carie dentaire
7-2-3-3-Etat de la denture par individu
7-2-3-3-1-Indice de carie moyen en denture permanente
7-2-3-3-2-Indice moyen des besoins en soins en denture permanente
7-2-3-3-3-Indice moyen de dents saines en denture permanente
7-2-3-3-4-Indice moyen de dents cariées en denture permanente
7-2-3-3-5-Indice moyen de dents absentes en denture permanente
7-2-3-3-6-Indice moyen thérapeutique en denture permanente
7-2-3-4-Etat de denture par dent
7-2-3-4-1-Indice moyen des dents cariées en denture permanente
7-2-3-4-2-Indice moyen des dents extraites en denture permanente
7-2-3-4-3-Indice moyen des dents saines en denture permanente
7-2-3-4-4-Indice moyen thérapeutique en denture permanente
7-2-3-5- Taux de prévalence à la carie dentaire à la fin de l’enquête
8- ANALYSE DES RÉSULTATS DE L’ENQUETE
8-1-Cohorte des enfants âgés de 7 ans
8-1-1- Évaluation de l’état dentaire de la cohorte des enfants âgés de 7 ans
8-1-2-Antécédents bucco-dentaires familiaux
8-1-3- Antécédents bucco-dentaires personnels
8-1-4-Fréquence des visites au cabinet dentaire
8-1-5- Description du rythme des repas
8-1-6- Description de l’hygiène bucco-dentaire
8-1-7- Description du rythme de l’hygiène bucco-dentaire
8-1-8- Fréquence du brossage bucco-dentaire
8-1-9-Sillons anfractueux des molaires
8-1-10-Évaluation du risque carieux individuel
8-1-11-Distribution graphique
8-2-Cohorte des enfants âgés de 13 ans
8-2-1- Évaluation de l’état dentaire de la cohorte des enfants âgés de 7 ans
8-2-2-Antécédents bucco-dentaires familiaux
8-2-3- Antécédents bucco-dentaires personnels
8-2-4-Fréquence des visites au cabinet dentaire
8-2-5- Description du rythme des repas
8-2-6- Description de l’hygiène bucco-dentaire
8-2-7- Description du rythme de l’hygiène bucco-dentaire
8-2-8- Fréquence du brossage bucco-dentaire
8-2-9-Sillons anfractueux des molaires
8-2-10-Évaluation du risque carieux individuel
8-2-11-Distribution graphique
9- DISCUSSION
9-1-Approche communautaire de la santé bucco-dentaire selon l’OMS et FDI
9-2-La recherche de la santé bucco-dentaire en Afrique
9-2-1- Systèmes prioritairement orientés vers la surveillance des maladies transmissibles
9-2-2- Ressources limitées
9-2-3- Systèmes de surveillance encore très peu alertes
9-2-4- Insuffisance, voire absence, de données bucco-dentaires fiable
9-2-5- Insuffisances de l’information et des publications en santé bucco-dentaire
9-3-Statut socio-économique
9-4-Antécédents bucco-dentaires familiaux
9-5-Antécédents bucco-dentaires personnels
9-6-La visite au cabinet dentaire
9-7-Habitudes alimentaires
9-8-Hygiène bucco-dentaire
9-9-Anfractuosité des faces occlusales des molaires
9-10-Le risque carieux individuel
10 -PROPOSITION D’UNE FICHE TECHNIQUE DU R.C.I
11 –CONCLUSION ET PERSPECTIVES D’AVENIR
12- BIBLIOGRAPHIE
13-ANNEXES
Annexe 1 : Liste des figures et des tableaux
Annexe 2 : Consentement des parents
Annexe 3 : Fiche technique de l’enquête menée au service
Annexe 4 : Fiche technique proposée pour le risque carieux individuel
Annexe 5 : Tableaux des résultats de l’enquête des deux cohortes
Annexe 6 : Traductions du résumé Arabe et Anglais

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