Transformation du méthylmalonyl-CoA en succinyl-CoA 

PATHOLOGIE DES TRYPANOSOMOSES ANIMALES

Les trypanosomoses sont des affections à évolution généralement chronique, de durée et de symptomatologie variables en fonction de l’espèce animale affectée etde l’agent pathogène en cause.

Pathogénie

Action pathogénique des trypanosomes

Diverses opinions expliquant le mécanisme de la mort dans les trypanosomoses ont été développées. Chez le bétail, la première réaction visible à la piqûre d’une glossine infectée par des trypanosomes est la formation d’une réaction cutanée localisée, connue également sous le nom de chancre. Il s’agit d’une réaction inflammatoire de la peau associée à un gonflement et à un afflux de cellules (NAESSENS & coll., 2003).
Dans le cas de la trypanosomose bovine, d’après (URQUHART, 1988), elle dépendrait de trois facteurs essentiels : l’anémie, les lésions tissulaires, surtout la myocardite et la myosite, et une action immunodépressive.

L’anémie

L’anémie est l’un des aspects pathologiques les plus importants dans la trypanosomosebovine aiguë.
L’évolution de l’anémie est fonction de la sévérité et de la gravité de la parasitémie. L’anémie semanifeste principalement en conséquence d’une destructionaccélérée des érythrocytes extravasculaires. Les indications disponibles montrent que des facteurs hémolytiques biologiquement actifs dégagés par les trypanosomes à l’autolyse aussi bien que des facteursimmunologiques jouent un rôle dans l’évolution de l’anémie. Davantage d’indications montrent que l’évolution de l’anémie pourrait dépendre aussi de la présence de neuraminidases et des phospholipasesdégagées par les trypanosomes pendant des périodes de forte parasitémie (SAROR, 1983).

Les lésions tissulaires

Les lésions tissulaires les plus communes sont la myocardite et la myosite, mais leur étiologie est assez mal connue. Toutefois T. brucei qui a une localisation plus extravasculaire va former des amas dans les tissus conjonctif et parenchymateux, provoquant ainsi des lésions nécrotiques. Mais quelle que soit lacause de ces lésions, la mort de l’animal trypanosomé résulte le plus souvent d’un arrêt du cœur (MURRAY & coll., 1985).

Action immunodépressive des trypanosomes

Le mécanisme de l’immunodépression relève de plusieurs facteurs :
−L’action de l’indol-éthanol ou d’acides gras libres sur les lymphocytes. En effet l’acide linoléique détruit l’architecture normale des nœuds lymphatiques et de la rateet qu’aux périodes ultimes des trypanosomoses, ces organes sont quasi vides de cellules immunocompétentes : lymphocytes et plasmocytes.
−Cependant, l’immunodépression semanifeste pendant la première phase de l’infection alors qu’une hyperplasie lymphocytaire et plasmocytaire est très nette. A ce stade, le phénomène peut s’expliquer par l’action d’immun complexe bloquant l’activité des macrophages, ou par la fixation d’antigènes circulants sur les lymphocytes B, empêchant ces cellules de réagir à la stimulation par d’autres antigènes.
Ainsi, l’immunodépression accompagnant les trypanosomoses agit à la fois sur l’immunité humorale et sur l’immunité cellulaire ; mais son mécanisme essentiel repose sur l’inhibition de la sécrétion de globulines et sur l’augmentation du catabolisme de ces globulines.
En somme, les trypanosomes sont à l’origine d’un effet immunodépresseur grave chez l’organisme infecté, responsable d’une grande sensibilité des animaux aux affections intercurrentes virales, bactériennes et parasitaires. En l’absence de thérapeutique la mort est inévitable, le système immunitaire de l’hôte finissant par être débordé par les antigènes successifs élaborés par les trypanosomes (CADEAU, 2003).

Symptômes et lésions

Symptômes

Phénomènes locaux

Chez les animaux, le chancre d’inoculation passe généralement inaperçu, faute d’un examen assez précoce.

Symptômes généraux

Au terme d’une période d’incubation variable de quelques semaines à quelques mois, ces symptômes semanifestent en deux temps :
– la première phase se caractérisepar de fortes poussées fébriles séparées par des poussées d’apyrexie, des altérations sanguines avec notamment une anémie, de la splénomégalie, surtout marquée chez le chien et moins nette chez les autres espèces, des polyadénites (inguinale, préscapulaire, précuriale) très banales chez tous les animaux.
On note également des symptômes oculaires notamment conjonctivite purulente et kératite interstitielle et, parfois, uvéite ;
– dans la seconde phase de la maladie, lorsque le parasite se localise dans le liquide céphalorachidien, la maladie évolue sur un tableau d’encéphalomyélite, avec des troubles nerveux de type parésie des membres postérieurs, pica, hyperesthésie, somnolence, coma. La détresse physiologique conduit à l’amaigrissement, la cachexie et la mort.
La maladie évolue sous forme de crise, correspondant aux phases de parasitémie. Elle revêt différentes formes, suraiguë (issue fatale en moins d’une semaine), aiguë (accès de 3 à 6 jours, et périodes de rémissions de 6 à 8 jours, issue fatale en deux (2) mois), chronique (accès légers, longues périodes de rémissions et issue fatale en quelques mois).
Chez les femelles, cette évolution s’accompagne d’avortements et de tarissement de la sécrétion lactée et, de l’infertilité chez les taureaux infectés à T. congolensesuite à son effet sur le temps de réaction (temps d’éjaculation) qui augmentait de manière significative et à la destruction de l’épithélium germinal qui provoque une mauvaise qualité du sémen (SEKONI & coll., 1988). Chez les jeunes on note des retards de croissance et, un manque d’ardeur au travail chez les animaux de trait. Il a été en effet observé une corrélation entre le degré d’anémie et la baisse de la productivité des animaux (ILCA, 1986).

Lésions

Elles sont inconstantes, peu spécifiques et sans signes pathognomoniques. Dans les conditions expérimentales on observe un chancre au point d’inoculation. Ces lésions sont essentiellement liées aux troubles du compartiment sanguin. Dans les organes profonds, les lésions sont de type inflammatoire, accompagnées de dégénérescence et de nécrose. Les lésions seront plus ou moins accusées suivant la durée d’évolution de la maladie et l’espèce animale affectée. Elles se traduisent par :
– une atteinte du système sanguin avec de l’anémie liée à une érythrophagocytose par les macrophages et une hémolyse par les métabolites des parasites ou par des complexes antigènes anticorps à la surface des globules rouges. Onobserve également un ictère systématique ;
-des lésions vasculaires : foyers de nécrose touchant les artérioles et des oedèmes déclives essentiellement chez le cheval et le chien ;
– des lésions cardiaques, dans les formes chroniques, avec myocardite congestive en plage associée parfois à de l’hydro-péricardite.
La myocardite est parfois dégénérative avec des foyers de nécrose ;
– une polyadénite avec hypertrophie, parfois des pétéchies souscapsulaires ;
– des atteintes dermatologiques par défaut de vascularisation. On observe un mauvais état du pelage ou une perte de poils.
– des lésions oculaires possibles avec opacification de la cornée essentiellement chez le cheval et le chien. Des travaux réalisés par MATETE(2003) sur des chiens domestiques ayant fait l’objet d’un dépistage d’une infection à Trypanosoma bruceimontrent que les chiens infectés présentaient une opacité dela cornée distincte et prononcée avant leur décès. On note par ailleursune kératite interstitielle, une uvéite, parfois une conjonctivite purulente pouvant conduire à la cécité ;
– des lésions de type congestif et hypertrophié atteignant les poumons (plages d’atélectasie, congestion des lobes apicaux), la rate (évoluant vers l’atrophie et l’hyperplasie), le foie, les reins ou d’autres organes ;
– des troubles endocriniens dusau dysfonctionnement de l’axe hypothalamo-hypophysaire caractérisant l’infection par T. congolenseou T. vivax. Ils seraient liés à des lésions hypophysaires (MASAKE, 1980 ; ABEBE & ELEY, 1992 ; BOLY & coll., 1991). Des lésions dégénératives des gonades peuventcontribuer à l’altération des différentes composantes de la fonction sexuelle des taureaux infectéspar T. congolenseou T. vivax(SEKONI, 1990).

Méthodes générales de diagnostic

Le diagnostic des trypanosomoses animales fait appel à différentes méthodes présentées ci-dessous.

TRAITEMENTS CONTRE LES TRYPANOSOMOSES ANIMALES

Lorsque le diagnostic de trypanosomose est confirmé, on procède au traitement des animaux malades. Pour traiter ces trypanosomoses, la méthode la plus courante consiste à employer des médicaments trypanocides (molécules à but curatif) et trypanopréventifs (molécules à action préventive).

Les trypanocides vétérinaires

Les principaux produits trypanocides sont présentés au tableau III, avec leurs indications et modes d’utilisation ainsi que les principaux noms commerciaux rencontrés.

La suramine

Découverte en 1924, la suramine est proposée sous forme de poudre blanche cristallisée et utilisée ensolution aqueuse à 10 % par voie intraveineuse ou intramusculaire. Elle est utilisée chez les Camélidés, les Equidés mais également chez les Canidés. Elle est active sur T. bruceiet T. evansiaux doses de 10 mg/kg/j chez les Equidés et les Canidés, 5g/ animal (dose standard) chez les Camélidés.

La mélarsomine

Poudre injectable soluble dans l’eau froide, la mélarsomine est utilisée en solution aqueuse à 0,5% pour le traitement des trypanosomoses à T. evansiet T. brucei. Elle est administrée par voie intramusculaire ou sous-cutanée à la dose de 0,25 mg/kg. Elle est utilisée chez les Camélidés, les Equidés et les Canidés.

Le bromure d’homidium

Il a été mis sur le marché depuis 1953 sous le nom commercial d’ETHIDIUM ND . Il est présenté sous la forme de comprimés pourpres solubles dans de l’eau tiède et utilisé en solution aqueuse à 2,5 % à la dose de 1mg/kg. Son administration se fait par injection intramusculaire profonde. Il est utilisé chez les Bovidés et les petits ruminants. Il a une activité aussi bien curative que préventive sur T. vivaxet T. congolense.
La durée de protection proposée du bromure d’homidium a été pendant longtemps de quatre semaines environ. Mais des essais réalisés au Kenya ont montré que cette durée pouvait être longue d’environ 16 semaines même dans les zonesà forte pression parasitaire (DOLAN & coll., 1990).
Cependant, les phénomènes de chimiorésistance sont aussi apparus dans certains pays d’Afrique (SCOTT & PEGRAN, 1974). Les dérivés de l’ETHIDIUM ND sont pourtant connus pour être hautement toxiques, en particulier pour leur caractère mutagène très développé (DIA & DESQUESNES, 2004).

Le chlorure d’homidium

Il présente les mêmes propriétés pharmacodynamiques que le bromure d’homidium (ETHIDIUM ND ). Il est, comme le bromure d’homidium, utilisé en solution aqueuse à 2,5%à la posologie de 1 mg/kg en intramusculaire.
Il a une activité essentiellement curative sur T. vivaxet T. congolense, chez les Bovidés et les petits ruminants. Sa durée de protection est d’un mois. Des résistances ont été observées en Afrique de l’Ouest (JONESDAVIS, 1968).

Le chlorure d’isométamidium

Il se présente sous la forme de poudre rouge soluble dans l’eau. Il possède une activité aussi bien curative que préventive. Il est actif sur T. vivax, T. congolense, T. bruceiet T. evansi. Le chlorure d’isométamidium est utilisé chez les Bovidés, les petits ruminants, les Equidés, les Camélidés et les Canidés. Il est administré en solution aqueuse à 1% à la dose de 0.25 à 1mg/kg en intramusculaire profonde ou en intraveineuse lente.
Suite à l’administration du chlorure d’isométamidium à des veaux croisés infectés expérimentalement à T. evansi, à des doses de 2 mg ou 4 mg/kg de poids vif, KAW & VERMA(1984) constatent que ce traitement était efficace à la dose la plus forte, mais non pas à la plus faible. Aussi d’après ALIU(1983), l’isométamidium est l’agent chimiothérapeutique le plus satisfaisant dans l’infection à T.congolensechez les chiens. Il ajoute qu’une dose extrêmement élevée d’isométamidium (12.5-35 mg/kg) par la voie intramusculaire est efficace dans l’infection à T. simiaechez les Porcins.
Le chlorure d’isométamidium assure une protection de 2 à 4 mois selon la dose utilisée. Cependant des phénomènes de chimiorésistance apparaissent de plus en plus et sa toxicité est signalée surtout en Ethiopie (CODJIA & coll., 1992) et au Kenya (DOLAN & coll., 1992).

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières
INTRODUCTION 
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE SUR LES TRYPANOSOMOSES ANIMALES 
Chapitre I: Généralités sur les trypanosomoses animales
I.1. Définition et importance
I.1.1. Définition
I.1.2. Importance
I.2. Répartition géographique
I.3. Etude des trypanosomes
I.3.1. Taxonomie
I.3.2. Espèces pathogènes
I.3.3. Morphologie et structure
I.3.3.1. Morphologie
I.3.3.2. Structure
I.3.4. Biologie
I.3.4.1. Habitat
I.3.4.2. Mobilité
I.3.4.3. Nutrition et métabolisme
I.3.4.4. Multiplication
I.3.4.5. Cycle biologique du parasite
I.3.4.5.1. Cycle biologique chez l’hôte mammifère
I.3.5. Immunologie
I.3.5.1. Les antigènes
I.3.5.2. L’immunité dans la trypanosomose
Chapitre II : Etude anatomoclinique des trypanosomoses animales
II.1. Pathogénie
II.1.1. Action pathogénique des trypanosomes
II.1.1.1. L’anémie
II.1.1.2. Les lésions tissulaires
II.1.1.3. Action immunodépressivedes trypanosomes
II.2. Symptômes et lésions
II.2.1. Symptômes
II.2.2. Lésions
II.3. Méthodes générales de diagnostic
II.3.1. Le diagnostic clinique
II.3.2. Le diagnostic parasitologique
II.3.2.1. L’examen microscopique direct
II.3.2.2. Examen microscopique après concentration
II.3.2.3. Les autres techniques parasitologiques
II.3.3. Le diagnostic moléculaire par PCR
II.3.4. Le diagnostic séro-immunologique
Chapitre III : Traitements contreles trypanosomoses animales
III.1. Les trypanocides vétérinaires
III.2. Les trypanopréventifs vétérinaires
III.3. Choix d’une médication
III.3.1. La chimiothérapie ou traitement curatif
III.3.2. La chimioprophylaxie ou traitement préventif
III.4. Problèmes de chimiorésistance
III.4.1. Causes de la chimiorésistance
III.4.2. Mécanisme de la résistance
III.5. Conseils pratiques pourune utilisation rationnelle des trypanocides
DEUXIEME PARTIE : ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE SUR LES VITAMINES 
Chapitre I : Généralités sur les vitamines
I.1. Définition
I.2. Historique
I.3. Nature
I.4. Modes d’action
I.5. Carence ou hypovitaminose
I.6. Excès ou hypervitaminose
I.7. Classification
Chapitre II : Les vitamines hydrosolubles
II.1. La vitamine C ou acide ascorbique
II.1.1. Histoire
II.1.2. Sources
II.1.3. Propriétés physico-chimiques
II.1.4. Rôle
II.1.5. Carence ou hypovitaminose
II.1.6. Excès ou hypervitaminose
II.2. Les vitamines du groupe B
II.2.1. La vitamine B1ou thiamine
II.2.1.1. Histoire
II.2.1.2. Sources
II.2.1.3. Propriétés physico-chimiques
II.2.1.4. Rôle
II.2.1.5. Carence ou hypovitaminose
II.2.1.6. Excès ou hypervitaminose
II.2.2. La vitamine B 2 ou riboflavine
II.2.2.1. Histoire
II.2.2.2. Particularité
II.2.2.3. Sources
II.2.2.4. Propriétés physico-chimiques
II.2.2.5. Rôle
II.2.2.6. Carence ou hypovitaminose
II.2.2.7. Excès ou hypervitaminose
II.2.3. La vitamine B3ou PP ou acide nicotinique ou nicotinamide ou niacine
II.2.3.1. Histoire
II.2.3.2. Sources
II.2.3.3. Propriétés physico-chimiques
II.2.3.4. Rôle
II.2.3.5. Carence ou hypovitaminose
II.2.3.6. Excès ou hypervitaminose
II.2.4. La vitamine B5ou acide pantothénique
II.2.4.1. Histoire
II.2.4.2. Sources
II.2.4.3. Propriétés physico-chimiques
II.2.4.4. Rôle
II.2.4.5. Carence ou hypovitaminose
II.2.4.6. Excès ou hypervitaminose
II.2.5. La vitamine B8ou biotine ou vitamine H
II.2.5.1. Histoire
II.2.5.2. Sources
II.2.5.3. Propriétés physico-chimiques
II.2.5.4. Rôle
II.2.5.5. Carence
II.2.5.6. Hypervitaminose B8
II.2.6. La vitamine B 9 ou acide folique
II.2.6.1. Histoire
II.2.6.2. Sources
II.2.6.3. Propriétés physico-chimiques
II.2.6.4. Rôle
II.2.6.5. Carence
II.2.6.6. Hypervitaminose B 9
Chapitre III : Les vitamines B6et B12
III.1. La vitamine B 6
III.1.1. Histoire
III.1.2. Structure chimique
III.1.3. Propriétés physico-chimiques
III.1.4. Métabolisme
III.1.4.1. Absorption digestive
III.1.4.2. Distribution
III.1.4.3. Elimination
III.1.5. Effets de la vitamine B6
III.1.5.1. Les décarboxylations
III.1.5.2. Les transaminations
III.1.5.3. Autres biotransformations
III.1.6. Sources alimentaires
III.1.7. Carence en vitamine
III.2. La vitamine B12 ou cobalamine
III.2.1. Historique
III.2.2. Structure chimique
III.2.3. Propriétés physico-chimiques
III.2.4. Métabolisme
III.2.4.1. Absorption
III.2.4.2. Distribution
III.2.4.3. Elimination
III.2.5. Effets de la vitamine B12
III.2.5.1. Synthèse de la méthionineà partir de l’homocystéine
III.2.5.2. Transformation du méthylmalonyl-CoA en succinyl-CoA
III.2.6. Apports alimentaires
III.2.7. Carences
III.2.8. Diagnostic
III.2.9. Traitement
TROISIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
Chapitre I : Matériel et méthodes
I.1. Matériel
I.1.1. Matériel animal
I.1.2. La souche de parasite
I.1.3. Produits utilisés
I.1.3.1. Le Bérénil ND
I.1.3.1.1. Composition
I.1.3.1.2. Propriétés physiques et chimiques
I.1.3.1.3. Pharmacocinétique
I.1.3.1.4. Mécanisme d’action
I.1.3.1.5. Toxicologie
I.1.3.1.6. Usages thérapeutiques
I.1.3.2. Le SURVIDIM ND
I.1.3.2.1. Composition
I.1.4. Le matériel technique
I.2. Méthodes
I.2.1. Zone de l’essai
I.2.2. Période de l’essai
I.2.3. Plan d’étude
I.2.3.1. Identification des animaux
I.2.3.2. Formation des lots
I.2.3.3. Préparation de l’inoculumde trypanosomes
I.2.3.4. Pesée et infestation des animaux
I.2.3.5. Suivi parasitologique des animaux
I.2.3.6. Traitement des animaux infestés
I.2.3.6.1. Administration de la nouvelle formulation (SURVIDIM ND )
I.2.3.6.2. Administration de la formulation standard (BERENIL ND )
I.2.3.7. Paramètres mesurés lorsdu suivi des animaux
I.2.3.7.1. Mesure du poids vif
I.2.3.7.2. Examens cliniques
I.2.7.3.3. Hématocrite
I.2.3.8. Examen post mortem
I.2.3.9. Analyses statistiques des résultats
Chapitre II : Résultats
II.1. Examen clinique des animaux suite à l’infestation
II.2. Résultats d’autopsie d’animaux morts
II.3.Tolérance des animaux vis à vis destraitements trypanocides
II.4. Efficacité thérapeutique
II.5. Evolution de l’hématocrite des animaux
II.6. Evolution pondérale
II.6.1. Croissance pondérale
II.6.2. Evolution du gain pondéral
Chapitre III: Discussion
III.1. Discussion 1
III.1.1. Discussion de la conduite de l’expérience
III.1.1.1. Choix du site
III.1.1.2. Présence du lot témoin
III.1.1.3. Produits utilisés
III.1.1.4. Choix des animaux
III.1.2. Discussions des résultats
III.1.2.1. Examen clinique
III.1.2.2. Efficacité thérapeutique
III.1.2.3. Evolution de l’hématocrite des animaux
III.1.2.4. Evolution du gain pondérale
CONCLUSION GENERALE 
BIBLIOGRAPHIE

Lire le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *