Toxicité des composants des produits hydro-alcoolique

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Colorants

Violet de gentiane

Les drivés du triphénylméthane sont bactériostatiques à toutes les concentrations. Ils sont surtout actifs sur les bactéries GRAM+. Aussi, il est légèrement fongistatique surtout vis-à-vis de Candida albicans (KONOPKA , 1986).
Il peut, après administration orale, causer des nausées, des vomissements et de la diarrhée. Il ne doit pas être appliqué sur les yeux (MARTINDAL, 1982).

Bleu de méthylène

Il se présente sous la forme d’une poudre cristalline bleue sombre reflets cuivrés. Il est soluble dans l’eau, moins soluble dans l’alcool, et insoluble dans l’éther. La solution apparait violette sous une certaine épaisseur, et bleu-vert sous une épaisseur très faible. Le bleu de méthylène est un antiseptique interne et externe. Il est aussi l’antidote des poisons méthémoglobinisants (FLEURETTE, 1995).

Formaldéhyde, famille des aldéhydes.

Nous ne parlerons que du formaldéhyde qui est le seul aldéhyde utilisé comme antiseptique en médecine vétérinaire. Le glutaraldéhyde n’est pas utilisé dans plusieurs pays. Les aldéhydes sont de meilleurs désinfectants qu’antiseptiques. Le formaldéhyde est très peu utilisé comme antiseptique en médecine humaine.
Il est très actif sur les bactéries GRAM-, il l’est un peu moins sur les bactéries GRAM+. Il est actif très lentement sur les mycobactéries, les champignons les spores et les virus.
Le formaldéhyde est un puissant allergène (dermatoses, asthmes). Un pouvoir carcinogène sur le rat a été mis en évidence expérimentalement sur les muqueuses exposées (carcinome épidermoïde des cavités nasales), mais cela n’a jamais été démontré chez l’homme (FLEURETTE, 1995).

Autres antiseptiques

Les antiseptiques suivants sont moins utilisés car ils sont moins efficaces ou parfois sont trop toxiques. Ils sont regroupés dans le tableau II

Mode d’action des antiseptiques

Le mode d’action des produits varie d’une famille d’antiseptiques à l’autre : coagulation des organites intracellulaires, altération de la membrane. Selon leur nature et leur concentration, les antiseptiques ont une ou plusieurs cibles à l’intérieur de la cellule. Ils doivent donc traverser la paroi cellulaire pour exercer leur action. Les antiseptiques sont capables d’inhiber la croissance des micro-organismes (bactériostase, fongistase, virustase), ou d’avoir une action létale (bactéricide, fongicide, virucide, sporicide). Certains antiseptiques et désinfectants présentent ces deux modes d’action en fonction des doses. D’autres ont toujours une action létale ou toujours une action bactériostatique ou fongistatique quelle que soit la concentration utilisée.
La rémanence désigne l’effet antimicrobien de l’antiseptique persistant sur la peau (ou du désinfectant persistant sur une surface) (CCLIN Paris-Nord – Mai
2000).
Les règles pour bien utiliser les antiseptiques sont les suivantes:
● Utiliser le bon produit en fonction du geste et de l’action recherchée ,
● Choisir la procédure adaptée au niveau de risque,
● Respecter la même gamme d’antiseptique pendant le soin et pour les soins ultérieurs,
● Respecter le temps de contact afin d’assurer l’efficacité du produit,
● Vérifier la date de péremption,
● Indiquer la date d’ouverture sur le flacon à l’ouverture,
● Respecter le temps de conservation du produit,
● Éviter de transvaser (source d’erreur et risque de contamination), ne pas reconditionner,
● Conserver à l’abri de la lumière et de la chaleur,
● Ne pas contaminer l’ouverture du flacon avec les doigts ou des objets souillés. (PITTET D, WIDMET , 2001).

Techniques d’hygiène des mains :

Lavage des mains

Le lavage des mains se réalise en utilisant un savon antimicrobien et de l’eau. Le principe est d’éliminer, par retrait mécanique et/ou en tuant ou inhibant la croissance, des micro-organismes de la flore transitoire ou commensale. Ce procédé est souvent référencé comme le retrait chimique des micro-organismes.
L’objectif est de prévenir la transmission manu portée, d’éliminer les souillures, de diminuer la flore transitoire et de prévenir la contamination. Il s’agit du mode de lavage des mains le plus fréquemment utilisé (KAMP, KRAMER ,2004).
Le lavage des mains est une friction vigoureuse et brève, une main contre l’autre, suivi d’un rinçage à l’eau courante. Le lavage des mains permet une mise en suspension des micro-organismes et donc un retrait mécanique lors du rinçage à l’eau. Le principe fondamental est de retirer et non de tuer (BOYCE ,2002).

Friction avec gel hydro alcoolique

C’est une technique de traitement hygiénique des mains par friction sans eau, sans savon, sans rinçage et sans essuyage. Sur des mains propres et sèches, appliquer une dose de produit (3mL) ; frotter les mains, poignets, espaces interdigitaux, pourtour des ongles, pendant 30 secondes au moins, jusqu’à évaporation de la phase alcoolique. (LABORATOIRES COOPER ,2009)

Comparaison lavage des mains au savon et utilisation de PHA

L’hygiène des mains est réalisée principalement par le lavage au savon et à l’eau ou par friction hydro-alcoolique des mains. Les produits utilisés, leur qualité et les techniques d’hygiène des mains influencent le résultat obtenu. Les mains restent contaminées en l’absence d’hygiène des mains. Les études comparant l’efficacité du lavage des mains et du traitement hygiénique par friction hydro-alcoolique au cours des soins ont montré que les mains restaient contaminées par une flore transitoire après lavage des mains au savon doux. Par contre, cette contamination était absente lorsque les mains avaient été traitées par une solution hydro alcoolique (SHA) (LUCET , 2002). C’est ainsi que certaines études ont trouvé qu’à temps de contact égal, la réduction de la contamination des mains, quel que soit le type de solution hydro alcoolique testé, est toujours supérieure à celle d’un lavage des mains fait avec un savon antiseptique ou un savon doux. Un autre travail a confirmé ces résultats, en montrant que le traitement hygiénique par friction hydro alcoolique avait une efficacité supérieure à celle d’un lavage hygiénique des mains de 30 secondes. D’autres travaux sont en faveur de l’utilisation des SHA par rapport aux savons doux, y compris en présence de bijoux ou de faux ongles. La durée de lavage des mains aussi est importante. Ainsi, un lavage en 30 secondes permet l’élimination de la flore transitoire, mais pas en cinq secondes (NOSKIN, 1995).
En termes de durée, l’efficacité microbiologique d’une friction de 15 secondes était inférieure à celle de 30 secondes. (DHARAN , 2003). Il est donc fortement recommandé d’effectuer une friction hydro-alcoolique en remplacement du lavage des mains (au savon doux ou au savon antiseptique) et cela en l’absence de souillure visible des mains et si la solution hydro-alcoolique est disponible. En effet, pour être efficace, la friction hydro-alcoolique requiert l’absence de souillures organiques qui inactiveraient leur principe actif (BOYCE, 2002).
Le lavage au savon et à l’eau est préconisé pour l’hygiène des mains lorsque les mains sont visiblement souillées ou si le produit pour la friction hydro-alcoolique n’est pas disponible. La Société Française d’Hygiène Hospitalière recommande de ne plus utiliser les savons antiseptiques en établissement de soins, sauf pour les soins aux patients (p.ex. préparation avant une opération). Du savon doux et la solution hydro-alcoolique permettant de répondre à toutes les situations nécessitant l’hygiène des mains au cours des soins (SFHH , 2009).

Produits hydro-alcooliques

Composition des produits hydro-alcooliques

Principe actif

Le principe actif présent dans les SHA est, comme leur nom l’indique, un alcool. Les alcools sont les premiers antiseptiques à avoir été utilisés en friction. Les principaux alcools utilisés sont l’éthanol, l’isopropanol et le n-propanol. Les équivalences entre ces différents alcools sont les suivantes : n-propanol 42% = isopropanol 60% = éthanol 77% (CREMIEUX , 1995).
Les alcools sont actifs sur les bactéries (y compris les mycobactéries si le contact est prolongé), sur les virus enveloppés (herpès, VIH, rage.) et sur les champignons. Leur action est plus limitée sur les virus nus (hépatite A, entérovirus…). Cependant, l’éthanol est plus actif sur les virus (réduction de 2,7 à 4 log) que la povidone, la chlorhexidine ou les détergents utilisés pour le lavage simple des mains. L’activité antifongique de l’éthanol est importante.
Le mode d’action des alcools reste assez mal connu bien que leur activité antimicrobienne peut être attribuée à leur capacité de dénaturer les protéines. Cette dénaturation de protéines serait facilitée par la présence d’eau, et c’est pourquoi les solutions d’alcool contenant 60% à 80% d’alcool sont les plus efficaces avec le constat que l’alcool absolu ou les alcools à très forte concentration sont moins efficaces sur les germes (LARSON ,1991).
Les alcools sont également capables d’inhiber la croissance des micro-organismes même à faible concentration en agissant aussi sur la morphologie des bactéries surtout sur la membrane. L’activité de l’alcool dépendant de sa concentration, son efficacité diminue rapidement sur les mains humides. Les alcools sont les antiseptiques ayant la plus grande rapidité d’action. Leur rémanence est faible, compte tenu de leur pouvoir d’évaporation, mais cet inconvénient est contrebalancé par leur forte activité bactéricide. Il n’y a pas d’induction de résistances démontrée aux alcools. Les inconvénients des alcools sont liés au fait qu’ils assèchent la peau, ce qui rend nécessaire son association à un émollient pour assurer une bonne tolérance. Aussi leur efficacité est diminuée, par dilution, sur les mains humides, ce qui explique pourquoi on ne doit les employer que sur des mains sèches. Les alcools (éthylique et isopropylique) sont inactifs sur les germes sous forme de spores et il n’est pas rare de trouver des spores bactériennes, éventuellement de tétanos ou de gangrène, dans les flacons d’alcool chirurgical. C’est pourquoi les solutions alcooliques d’antiseptiques doivent être préparées en pharmacie au moyen d’alcool stérile par filtration stérilisante ou par addition de composants agissant sur les germes sporulés (peroxyde d’hydrogène). Le stockage des alcools peut poser des problèmes car ce sont des produits inflammables (HAXHE ,2010).

Eau

L’eau est un constituant essentiel des PHA : elle a un rôle de potentialisation de l’action des alcools. L’activité antimicrobienne des alcools est attribuée à leur capacité à dénaturer les protéines et elle sera d’autant plus efficace en présence d’eau. Ainsi, les préparations contenant de 60 à 80 % d’alcool seront les plus efficaces comme dit précédemment et les concentrations plus élevées le seront moins du fait de leur plus faible teneur en eau (OMS ,2019).

Emollient

Un usage fréquent des solutions hydro-alcooliques pour l’hygiène des mains peut causer une sécheresse de la peau à ce niveau à moins qu’un émollient ou produit similaire soit ajouté à la formulation de la solution de friction en vue de protéger la peau des mains.
La présence d’un émollient est indispensable pour garantir un bon état cutané et favoriser ainsi l’observance de la méthode de friction hydro-alcoolique des mains. Ainsi, dans plusieurs études des solutions hydro-alcooliques ou des gels contenant des émollients ont causé moins d’irritation ou de sècheresse de la peau par rapport aux détergents antimicrobiens testés. Les principaux émollients utilisés sont la glycérine, l’alcool myristique, la triéthanolamine, l’hydroxyurée, la diméthicone (huile de silicone) (DIALLO, 2012).

Agents gélifiants

Ils vont permettre la préparation de gels hydro-alcooliques qui sont des produits semi-solides constitués de liquides gélifiés à l’aide d’agents gélifiants appropriés. (OMS ,2019).
En faible quantité, ils sont épaississants. De façon générale, ils apportent de la consistance aux produits cosmétiques, en améliorant leur stabilité.
➢ Agents gélifiants naturels
a. D’origine végétale Pectine, gomme de guar, amidon, obtenus à partir de graine ou pépins de fruits ou de légumes.
b. D’origine minérale sont représentés par la silice colloïde appelée aussi gel de silice et silicates.
➢ Agents gélifiants synthétiques
a. Styrène, acrylates copolymère, acrylate crosspolymer : un agent filmogène produit un film contenu sur la peau les cheveux ou les angles. Tous les acrylates sont comme ça, très filmogènes est très plastifiants.
b. Carbomères : les carbomères sont des polymères synthétiques hydrophiles d’acide acryliques. On les retrouve dans la cosmétique et la pharmacie (SPRINGINSFELD, 2009).

Antiseptique associé

L’antiseptique le plus fréquemment associé à l’alcool est la chlorhexidine. L’association des deux composés allie en effet la rapidité d’action de l’alcool et la rémanence élevée de la chlorhexidine. Il existe des solutions hydro alcooliques qui associent à l’alcool un ammonium quaternaire, le triclosan ou le peroxyde d’hydrogène (CHRAITI ,2010)).

Efficacité des produits hydro- alcoolique

L’efficacité des produits hydro-alcooliques dépend de plusieurs facteurs comme :
 Le type d’alcool utilisé. Une étude de 2004 a testé plusieurs solutions hydro-alcooliques à 70% d’éthanol ou 70% de n-propanol ou 70% d’isopropanol contre certains virus. L’éthanol, après 30 secondes d’exposition, a montré une activité virucide supérieure aux autres SHA. Nous pouvons donc citer l’éthanol comme étant l’alcool possédant la meilleure activité virucide
 La concentration en alcool,
 Le temps de contact, varie selon les différentes formulations. Le geste doit durer au minimum 20 à 30 secondes pour une désinfection des mains dans les règles.
 Le volume de SHA utilisé, Les recommandations de la Société Française d’Hygiène Hospitalière (SFHH) indiquent que le volume nécessaire à la friction pour un traitement hygiénique des mains est celui qui permet de couvrir complètement les mains et les poignets. Ce volume est variable selon les fabricants, le type de produit (gel ou liquide) et la taille des mains. Une quantité comprise entre 1,5 et 3 ml est habituellement indiquée.
 L’état des mains lorsque la SHA est appliquée.
 La méthode de friction. Comme vu précédemment, l’addition de chlorhexidine, d’ammoniums quaternaires, de triclosan mais aussi d’émollients et de conservateurs permet d’augmenter l’efficacité et la rémanence des produits hydro-alcooliques qui les contiennent (TRAVKINE, 2012).

Utilisation des produits hydro-alcooliques

Les gels hydro-alcoolique sont très utilisés aujourd’hui, que ce soit dans le domaine public et dans le domaine privé. L’utilisation d’un gel hydro-alcoolique est préconisée :

En médecine

 Leur usage est recommandé par l’OMS dans le cadre du plan de lutte contre les infections nosocomiales.
 Leur utilisation est recommandée dans la pratique des soins de santé.
 Leur utilisation en remplacement ou en complément du lavage chirurgical se généralise dans les blocs opératoires.
 Afin de prévenir la transmission d’herpès, de gastro-entérite, de grippe, la covid 19 (TRAVKINE, 2012).

En santé publique

 Partout où le nettoyage des mains à l’eau et au savon est impossible.
 Passage aux toilettes publiques.
 Utilisation des transports en commun.
 Contact avec une surface à risque élevé de contamination ou contaminée.
 Mouchage et éternuement.
 Dans l’école et les maisons de retraite (TRAVKINE, 2012).

Avantage des produits hydro-alcooliques

 Avantages intrinsèques de l’activité antimicrobienne rapide et à large spectre (y compris des virus) présentant un risque minime de résistance aux agents antimicrobiens, basés sur l’évidence.
 Utilisation appropriée dans des régions disposant de ressources limitées, dans des zones sans lavabos ou autres installations nécessaires à la pratique de l’hygiène des mains disponibles (y compris l’accès à de l’eau propre, à des essuie-mains, etc.).
 Facilitation de l’amélioration de l’observance à l’hygiène des mains en rendant le processus plus rapide (20 à 30 secondes), plus pratique et immédiatement accessible sur le lieu de soins.
 Avantage économique par la réduction des coûts annuels de l’hygiène des mains, représentant environ 1% des coûts supplémentaires générés par les infections associées aux soins (PITTET ,2004).
 Minimisation des risques d’effets secondaires en raison d’une meilleure acceptabilité et d’une meilleure tolérance cutanée par rapport à d’autres produits. Les produits hydro-alcooliques sont actuellement les seuls produits disponibles pour l’inactivation rapide et efficace d’un large éventail de micro-organismes qui peuvent être présents sur les mains (BISCHOFF ,2000)

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE
I. ANTISEPTIQUES ET USAGES DANS LA PRATIQUE DE L’HYGIÈNE DES MAINS
I.1. Classification des antiseptiques
I.1.1. Phénol et ses dérives
I.1.2 – Dérives des biguanides
I.1.3 Ammoniums quaternaires
I.1.4 – Oxydants
I.1.4.1 Dérivés halogénés
I.1.4.1.1 Composes chlores
I.1.4.1.2 Iode et ses dérivées
I.1.4.2 Peroxydes
I.1.4.2.1 Peroxyde d’hydrogène ou eau oxygénée
I.1.4.2.2 Peroxyde de benzoyle
I.1.5 Ethanol
I.1.6 Dérives métalliques et minéraux
I.1.7 Colorants
I.1.7.1 Violet de gentiane
I.1.7.2 Bleu de méthylène
I.1.8 Formaldéhyde, famille des aldéhydes.
I.1.9 Autres antiseptiques
I.2. Mode d’action des antiseptiques
II. Techniques d’hygiène des mains :
II.1. Lavage des mains
II.2 Friction avec gel hydro alcoolique
II. 3. Comparaison lavage des mains au savon et utilisation de PHA
III. Produits hydro-alcooliques
III.1 Composition des produits hydro-alcooliques
III.1.1 Principe actif
III.1.2 Eau
III.1.3 Emollient
III.1.4 Agents gélifiants
III.1.5 Antiseptique associé
III.2 Efficacité des produits hydro- alcoolique
III.3Utilisation des produits hydro-alcooliques
III.3.1 En médecine
III.3.2. En santé publique
III.4. Avantage des produits hydro-alcooliques
III.5 Tolérance et recommandation
III.5.1. Tolérance
III.5.2 Recommandation
IV. Toxicité des composants des produits hydro-alcoolique
IV.1 Toxicité des alcools
IV .2 Toxicité glycérine
IV.3Toxicité TEA
IV.4 Toxicité NaOH
DEUXIEME PARTIE
I. Objectif
I.1Objectif général
I.2. Objectifs spécifiques
II. Méthodologie
II.1. Matériel
II.2 Réactifs
II.3 Méthode
II.3.1Formulation des solutions hydro-alcooliques
II.3.2. Détermination du degré alcoolique
II.3.3. Détermination de la quantité de carbopol 980 en fonction du degré alcoolique
II.3.4. Formulation du gel
II.3.5. Caractérisation du gel
III. Résultats
III.1. Degrés alcoolique en fonction du rapport eau-alcool
III.2. Poids des SHA
III.3. Formulation du gel avec TEA
III.3.1. Formule à 70° alcoolique avec TEA
III.3.2. Formule à 73° alcoolique avec TEA
III.3.3Formule à 76° alcoolique avec TEA
III.3.4 Formule à 80° alcoolique avec TEA
III.4. Formulation du gel avec NaOH
III.4.1. Formule à 70 ° alcoolique avec NaOH
III.4.2Formule à 73° alcoolique avec NaOH
III.4.3. Formule à 76° alcoolique avec NaOH
III.4.4 Formule à 80° alcoolique avec NaOH
IV. Discussion
CONCLUSION
Références bibliographiques

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