BACTERIOLOGIE
Il sโagit dโune infection ร germes multiples, dont lโรฉvolution dรฉpend du processus infectieux รฉtiologique. Cโest une flore aรฉrobie et anaรฉrobie. Les germes aรฉrobies sont des streptocoques alpha ou bรชta-hรฉmolytiques, des staphylocoques ou des neisseria [13]. Les germes retrouvรฉs au sein des lรฉsions pรฉriodontales infectieuses dโorigine dentaire sont le plus souvent des germes de la cavitรฉ buccale, au sein de laquelle se dรฉveloppe toujours une flore polymicrobienne. Si certains facteurs anatomiques (sillon gingival, surface dentaire, muqueuse linguale par exemple) et physiologiques (salive) sont responsables de la prรฉsence de germes spรฉcifiques, lโon reconnaรฎt actuellement que la plupart des infections dentaires sont dโorigine poly-microbienne aussi bien aรฉrobie quโanaรฉrobie et que dโailleurs, du point de vue thรฉrapeutique, il nโest pas nรฉcessaire dโรฉradiquer toutes les souches bactรฉriennes retrouvรฉes au sein de ces lรฉsions. Streptococcus, Peptostreptococcus, Veillonella, Lactobacillus,
Corynebacterium et Actinomyces reprรฉsentent plus de 80 % de la flore buccale.
Comme streptococcus sanguis, S. mitis et S.mutans, Peptostreptococcus et Actinomyces viscosus sont les plus rรฉguliรจrement prรฉsents ร la surface dentaire, ils constituent donc les germes que lโon retrouve le plus frรฉquemment ร lโorigine de pรฉriodontites [54].
Fusobacterium nucleatum, Bacteroides etdes spirochรจtes anaรฉrobies sont plus rarement en cause. Staphylococcus aureus et des germes Gram-nรฉgatifs ne sont en cause que chez le sujet immunodรฉprimรฉ. Cependantdes divergences subsistent entre plusieurs รฉtudes bactรฉriologiques au sujet des germes dans les processus infectieux dโorigine dentaire: elles rรฉsultent principalement des difficultรฉs du prรฉlรจvement (qui doit รชtre non contaminรฉ) et de la rapiditรฉ de sa mise en culture.
La diversitรฉ de cette flore rend compte du grand nombre dโagents pathogรจnes responsables; ils peuvent sโassocier; ainsi beaucoup dโinfections ร bacilles gram nรฉgatif font intervenir รฉgalement des cocci ร gram positif et ร gram nรฉgatif; la redoutable association spirochettes-fusobacteriae est bien connue [54].
ETIOLOGIE DES CELLULITES
CAUSES DETERMINANTES
Causes dentaires
Les รฉtiologies des cellulites faciales sont fort diversifiรฉes et diffรฉrentes selon lโรขge du patient. Chez les enfants, elles sont rarementodontogรจnes. Chez les adolescents et les adultes en revanche, les cellulites ร point de dรฉpart dentaire sont prรฉdominantes [27].
Les causes dentaires proprement dites sont:
โ les complications de la carie ;
โ les traumatismes dentaires: ils sontresponsables de nรฉcrose pulpaire souvent ร bas bruit (fรชlures, contusions, luxations, fractures) [28, 33].
Les causes parodontales et/ou pรฉri dentaire
Le tissu cellulo-adipeux peut รชtre infectรฉ par les germes venus dโune poche parodontale, soit directement, soit aprรจs nรฉcrose pulpaire. Ces causes sont le plus souvent des accidents dโรฉruption surtout de la dent de sagesse: pรฉri- coronarite.
Les causes iatrogรจnes et /ou thรฉrapeutiques
Ce sont en gรฉnรฉral des complicationsdues aux traitements endodontiques compliquรฉs ou mal conduits :
โ les obturations juxta pulpaires ;
โ le dรฉtartrage et /ou surfaรงage;
โ les tailles agressives sur dents vivantes ;
โ ainsi que les traitements orthodontiques : tractions ou pression excessives peuvent conduire ร une nรฉcrose progressive ;
โ et lโamygdalite en ce qui concerne lโabcรจs du voile du palais.
โ La chirurgie orale ou maxillo-faciale: parodontale, orthognatique, traumatologique, risque de lรฉser unedent et dโentraรฎner ainsi une nรฉcrose pulpaire.
LES CAUSES FAVORISANTES
PONS et PASTUREL [50] estiment quโon sโexpose ร de graves ennuis en opรฉrant dans une boucheavec une mauvaise hygiรจne bucco-dentaire, chez un porteur dโune pathologie allergisanteou chez un immunodรฉprimรฉ (diabรจte, dรฉpression immunitaire, nรฉphropathie).
Les anti-inflammatoires non stรฉroรฏdiens (AINS):
Comme lโa rapportรฉ PONS, les anti-inflammatoires stรฉroรฏdiens ou non, ont une action dรฉpressive sur les mรฉcanismes humoraux de dรฉfense immunitaire contre lโinfection [4].
Les AINS sont de plus en plus encause certes, en tant quโรฉtiologie iatrogรจne mais aussi en raison de lโautomรฉdication trรจs dรฉveloppรฉe dans lescouches sociales modestes [4].
AUTRES CAUSES
โ La lithiase salivaire en ce qui concerne la cellulitedu plancher buccale; le plus souvent il sโagit dโune lithiase du canal de warthon [28].
โ La lithiase du canal de stรฉnon, beaucoup plus rare, peut se traduire, en dehors des phรฉnomรจnes de retentionsparotidiennes ou de parotidite suppurรฉe, par un noyau decellulite ร la partie moyenne de la joue
Signes physiques
Examen exo buccal
A lโinspection, on remarque une tumรฉfaction faciale rouge et une masse fluctuante traduisant la collection purulente. La tumรฉfaction ne se dissocie pas du plan cutanรฉ et fait corps avec la table maxillaire correspondante, ร laquelle elle adhรจre intimement [6, 12, 60].
La palpation permet surtout dโobjectiver la collection suppurรฉe par la dรฉcouverte de la fluctuation,superficielle ou profonde, mise en รฉvidence par un examen doux et attentif entre la pulpedes deux doigts. Lโempreinte en godetblanc, laissรฉe par le doigt sur la tumรฉfaction, est un signe indirect, mais sรปr, desuppuration profonde. Le doigtne dรฉcรจle aucun sillon entre lโos et la cellulite.
Examen endo buccal
A lโinspection lโexamen dentaire dรฉcouvre sans difficultรฉ la dent responsable, mortifiรฉe, avec des signes de pรฉriodontite.
A la palpation lโexamen endobuccal gรชnรฉ par le trismus, dรฉcouvre une tumรฉfaction plus ou moins importante du vestibule ou du plancher buccal, en regard de la dent causale etde la tumรฉfaction externe.
Signes gรฉnรฉraux
Les signes gรฉnรฉraux existent, mais sont modรฉrรฉs: une lรฉgรจre pyrexie est possible avec asthรฉnie, pรขleur et parfois cรฉphalรฉes et courbatures [12, 26, 48, 50].
Il nโexiste pas dโadรฉnopathies sauf si la cellulite complique un accident dโรฉvolution dentaire.
Signes fonctionnels
Ils sont beaucoup plus marquรฉs avec des douleurs spontanรฉes, lancinantes, pulsatiles, insomniantes, continues, majorรฉes par les mouvements de la langue (dรฉglutition, alimentation et รฉlocution) [12].
Lโhaleine est fรฉtide, une sialorrhรฉe survient de mรชme quโun trismus par contraction douloureuse des muscles masticateurs. Si la cellulite entraรฎne lโinfiltration des muscles dela langue et du plancher buccal elle peut รชtre responsable dโune dysphasie.
Au niveau cutanรฉ, la tumรฉfaction peut avoir un aspect de muqueuse tendue et luisante, couleur lie de vin.
Lโendocardite bactรฉrienne de cause dentaire
Le rรดle des foyers infectieux dentaires est primordial dans l’installation d’une endocardite infectieuse.
L’endocardite infectieuse est parfois consรฉcutive ร un essaimage microbien venu d’un foyer parodontal ou survenant aprรจs une extraction dentaire, chez un patient porteur d’une cardiopathie ร risque d’endocardite infectieuse.
Les signes majeurs en sont: l’apparition ou l’aggravation d’un souffle d’insuffisance valvulaire, la fiรจvre au long cours avec frissons, l’anรฉmie, l’hรฉpatosplรฉnomรฉgalie, des signes cutanรฉo-muqueux.
Les hรฉmocultures sont :
โ soit positives : streptocoqueviridans, entรฉrocoque;
โ soit nรฉgatives: dans ce cas, il faut toujours rechercher un foyer infectieux.
Il faut noter 33 % des cardiopathies sont d’origine bucco-dentaire [63].
AUTRES FORMES CLINIQUES
Nous pouvons dรฉcrire les cellulites cervico-faciales en se basant sur leur รฉvolution ou leur topographie.
Selon leur รฉvolution
Cellulites circonscrites
Cellulite sรฉreuse
Cโest la forme dรฉbutante de toutes les cellulites.
Cliniquement, on retrouve les signes dโune des modontite aiguรซ. Une tumรฉfaction douloureuse comble les sillonset efface les mรฉplats; la peau est tendue, lisse, chaude et ne prend pas le godet. Une dรฉformation faciale est visible.
Les signes gรฉnรฉraux sont nuls oupratiquement nรฉgligeables.
Les douleurs sont de moyenne intensitรฉ, nettement supportables par un malade รฉquilibrรฉ. Le trismus est dโautant plus marquรฉ que la dent est plus postรฉrieure.
Les mouvements mandibulaires ou linguaux sont gรชnรฉs ร la suite de lโinfiltration des tissus par le processus infectieux [6, 50].
Non traitรฉ lโรฉvolution se fait vers la suppuration.
Cellulite gangrรฉneuse
Elle est beaucoup plus rare et est caractรฉrisรฉe par une gangrรจne localisรฉe, c’est-ร -dire une destruction tissulaire par nรฉcrose.
Macroscopiquement, le pus est fรฉtide,de couleur brunรขtre; lโodeur est insoutenable. Les germes en cause sont les mรชmes que ceux ร lโorigine des cellulites sรฉreuses et suppurรฉes. Les germes spรฉcifiques responsables de rรฉelles gangrรจnes gazeuses ne sont jamais retrouvรฉs dans ces cellulites gangrรฉneuses.
Cliniquement, il sโagit dโune cellulite suppurรฉe avec des crรฉpitations (ou bruits hydro aรจrique) perceptibles ร la palpation dues ร la prรฉsence de gaz.
Les signes gรฉnรฉraux infectieux sont importants sans atteindre cependant le degrรฉ de gravitรฉ dโune toxi-infection gรฉnรฉralisรฉe.
Cellulites subaiguรซs et chroniques
Cellulites communes ร germes banaux
La cellulite chronique et /ou subaiguรซ fait souvent suite ร une cellulite suppurรฉe mal traitรฉe, soit par un drainageinsuffisant, soit par antibiothรฉrapie inadรฉquate, soit par un traitement รฉtiologique insuffisant ou nรฉgligรฉ [22, 49, 54].
Ce type de cellulite est caractรฉrisรฉ par lโapparition dโun nodule arrondi, ovalaire le plus souvent, de volume variable mais rarement supรฉrieur ร celui dโune noix, aux contours imprรฉcis et au relief irrรฉgulier.Il est situรฉ le plus souvent sous la peau qui est amincie, violacรฉe, sansaugmentation de sa tempรฉrature.
La palpation du nodule est indolore ou peu douloureuse; sa consistance est dure ou ferme, parfois avec des zones plus molles au centre. Ilest adhรฉrent ร la peau mais souvent libre des tissus sous-jacents; on perรงoit parfois un cordon indurรฉ reliant le nodule ร la rรฉgion en cause.
Lโaggravation est possible: un rรฉchauffement consรฉcutif ร un traumatisme local, ร un rรฉveil dโun foyer dentaire ou pรฉri-dentaire en cause. Une fistule par ailleurs asymptomatique est souvent observรฉe.
Les signes gรฉnรฉraux et fonctionnels sont inexistants.
Forme particuliรจre : la cellulite actinomycosique
Sur le plan bactรฉriologique, il sโagit des actinomyces, bactรฉries anaรฉrobies strictes, dont la plus rรฉpandue est actinomyces Israeli [12, 22, 49, 50, 54].
Cliniquement, la tumรฉfaction est particuliรจre: sur un placard dโune duretรฉ presque nรฉoplasique vont sโinstaller successivement des tumรฉfactions les unes ร cรดtรฉ des autres, donnant ร lโensemble un aspect mamelonnรฉ.
A lโexamen clinique, on palpe une tumรฉfaction plus ou moins sensible et tendue, mal dรฉlimitรฉe, frรฉquemment localisรฉe ร lโangle mandibulaire.
Ces tumรฉfactions se fistulisent successivement, laissant sourdre un pus rempli de grains jaunes [22].
Les signes gรฉnรฉraux sont spรฉcifiques dโune inflammation mais frรฉquents et inconstants :
โ fiรจvre modรฉrรฉe
โ รฉlรฉvation de la vitesse de sรฉdimentation
โ hyperleucocytose
โ anรฉmie normocytaire, normo chrome.
Il peut y avoir ou non un trismus plus ou moins marquรฉ. Les douleurs apparaissent lors des phases de rรฉchauffement de la lรฉsion.
Sans traitement, elle รฉvolueselon un mode aigu ou chronique.
Avant lโantibiothรฉrapie lโรฉvolution รฉtait marquรฉe par une extension inexorable vers la rรฉgion cervicale et lemรฉdiastin, pouvant entraรฎner la mort du patient.
Les cellulites du plancher buccal
Cellulites sus mylo-hyoรฏdiennes ou sublingualesย
La rรฉgion sublinguale est surรฉlevรฉe,repoussant la langue du cรดtรฉ opposรฉ.
La crรชte sublinguale est oedรฉmatiรฉe etrecouverte d’enduit blanchรขtre. On perรงoit au palper un bourrelet ferme, douloureux, collรฉ ร la table interne en regard des dents en cause, en gรฉnรฉral lesprรฉmolaires infรฉrieures. Les signes extra buccaux sont discrets au dรฉbut [50]. Les troubles de la dรฉglutition et de la parole sont frรฉquents [33]. C’est la cellulite du plancher buccal proprement dit, dont le danger primordial est l’obstruction des voies aรฉriennes.
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Table des matiรจres
INTRODUCTIONย
PREMIERE PARTIE: GENERALITES
I. BASES ANATOMIQUES
1.1-Tissu cellulaire de la rรฉgion pรฉri maxillaire
1.1.1-Constitution
1.1.2-Rรฉpartition
1.2- Topographie des dents par rapport aux structures anatomiques de voisinage
1.2.1-Au maxillaire
1.2.2-A la mandibule
II. PHYSIO PATHOLOGIE DES CELLULITES
III. BACTERIOLOGIE
IV. ETIOLOGIE DES CELLULITES
4.1- Causes dรฉterminantes
4.1.1-Causes dentaires
4.1.2-Causes parodontales et /ou pรฉri dentaire
4.1.3-Causes iatrogรจnes et /ou thรฉrapeutique
4.2-Causes favorisantes
4.3-Autres causes
DEUXIEME PARTIE
I. ETUDE CLINIQUE
1.1- Type de description: cellulite aiguรซ suppurรฉe
1.1.1-Interrogatoire
1.1.2-Examen cliniqueproprement dit
1.1.2.1-Signes physiques
1.1.2.2-Signes gรฉnรฉraux
1.1.2.3-Signes fonctionnels
1.1.2.4-Evolution
1.1.3-Examens paracliniques
1.1.3.1-Examens biologiques
1.1.3.1.1-Examen bactรฉriologique
1.1.3.1.2-Antibiogramme
1.1.3.2-Examens radiographiques
1.1.4-Complicationslocales
1.1.5-Complications loco rรฉgionales
1.1.5.1-Thrombophlรฉbite facio ophtalmique
1.1.5.2-Thrombophlรฉbite ptรฉrygoรฏdien
1.1.6-Complications gรฉnรฉrales
1.2-Autres formes cliniques
1.2.1-Selon leur รฉvolution
1.2.1.1-Cellulites circonscrites
1.2.1.1.1-Cellulitesรฉreuse
1.2.1.1.2-Cellulite gangrรฉneuse
1.2.1.1.3-Cellulite subaiguรซ et chronique
1.2.1.2-Cellulites diffuses
1.2.1.2.1-Cellulites dโemblรฉe diffuses
1.2.1.2.2-Cellulites diffusรฉes ou diffusantes
1.2.2-Selon leur topographie
1.2.2.1-Au maxillaire
1.2.2.1.1-Cellulite gรฉnienne haute
1.2.2.1.2-Cellulite labiale supรฉrieure
1.2.2.1.3-Cellulite vestibulaire
1.2.2.1.4-Les abcรจs palatins et sous-pรฉriostรฉs
1.2.2.1.5-Cellulite temporale
1.2.2.1.6-Cellulite ptรฉrygo maxillaire
1.2.2.2-A la mandibule
1.2.2.2.1-Cellulite gรฉnienne
1.2.2.2.2-Cellulite labiale infรฉrieure
1.2.2.2.3-Cellulite du plancher buccal
1.2.2.2.4-Cellulite massรฉtรฉrine
1.2.2.2.5-Cellulite ptรฉrygo mandibulaire dโESCAT
1.2.2.2.6-Cellulite de la langue
1.2.2.2.7 -Cellulite pรฉri pharyngรฉe
1.3- Diagnosticpositif
1.4- Diagnostic diffรฉrentiel
II-ASPECTS THERAPEUTIQUES
2.1-Buts
2.2-Moyens thรฉrapeutiques
2.2.1-Traitement prรฉventif
2.2.2-Traitementcuratif
2.2.2.1-Traitement symptomatique
2.2.2.1.1-Moyens mรฉdicamenteux
2.2.2.1.2-Moyens chirurgicaux
2.2.2.13-Protocole opรฉratoire
2.2.2.2- Traitement รฉtiologique
2.2.2.2.1- Au stade de dรฉbut
2.2.2.2.2- Dans les cellulites trรจs รฉvoluรฉes
2.3-Indications thรฉrapeutiques
2.3.1-Cellulites ร รฉvolution endo buccale
2.3.2-Cellulites ร รฉvolution cutanรฉe
TROISIEME PARTIE: NOTRE ETUDEย
I. OBJECTIFS
II. PATIENTS ETMETHODE
2.1. Justificatif
2.2. Cadre dโรฉtude
2.2.1-Prรฉsentation du dรฉpartement de Mbackรฉ
2.2.2-Infrastructuressanitaires
2.2.3-Prรฉsentation des diffรฉrentes structures de santรฉ Bucco-dentaire
2.2.3.1-Le centre de santรฉ
2.2.3.2- Le district sanitaire de Mbackรฉ
2.2.3.3- Le centre de santรฉ de Darou khoudoss
2.2.3.4- Lโhรดpital Matlaboul Fawzaรฏni
2.2.3.5 Cabinet privรฉ sokhna Diarra
2.3. Mรฉthodologie
2.3.1-Type dโรฉtude
2.3.2-Critรจres dโinclusion et dโexclusion
2.3.3-Collecte des donnรฉes (fiche d’enquรชte)
2.3.4-Mรฉthode dโexploitation des donnรฉes
III. RESULTATS
3.1-Sur le plan รฉpidรฉmiologique
3.1.1-Rรฉpartition selon lโรขge
3.1.2-Rรฉpartition selon le sexe
3.1.3-Rรฉpartition selon la frรฉquence
3.1.4-Rรฉpartition selon laprofession
3.1.5-Rรฉpartition selon le lieu de rรฉsidence
3.1.6-Rรฉpartition selon le dรฉlai de consultation
3.2-Sur le plan clinique
3.2.1-Rรฉpartition des cellulites Selon lโรฉtiologie
3.2.2-Selon l’รฉtat bucco-dentaire
3.2.3-Rรฉpartition des cellulites
โข Selon le service bucco-dentaire
โข Selon lโรฉtat gรฉnรฉral du patient
โข Selon le maxillaire concernรฉ
โข Selon la topographie
โข Selon le type decellulite
3.3-Sur le plan thรฉrapeutique
โข Selon le type de traitement prรฉcรฉdent la consultation
โข Selon le type de traitement prescrit par le praticien
ย Traitement mรฉdicamenteux
ย Traitement chirurgical
3.4-Rรฉpartition Selon lโรฉvolution du traitement
IV. DISCUSSION
4.1- Sur le plan รฉpidรฉmiologique
4.2- Sur le planclinique
4.3- Sur le plan thรฉrapeutique
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUESย