Thérapie avec les produits de la ruche

Choix de la ruche 

A l’état sauvage, les abeilles utilisaient comme domicile les cavités naturelles comme les troncs d’arbres creux, vieux mûrs, etc. Ce n’est qu’au siècle dernier qu’est apparue la ruche à cadres (inventé par Lorenzo Lang Stroth). Elle a crée une véritable révolution dans l’art d’élever les abeilles.
C’est grâce à elle que l’apiculture a pu se développer et devenir, pour beaucoup, une véritable activité professionnelle. L’apiculteur rassemble ses ruches dans des ruchers (10 à 30 colonies). La ruche peut être placée dans les arbres, sur des parcelles de terres incultes ou sur des toits en terrasse. Pour que l’emplacement soit favorable, il doit être situé prés d’une source d’eau et de nombreux plantes et arbres à fleurs, et être abrité du vent et de la lumière trop forte.

Obtention des abeilles

On obtient les abeilles en transportant le nid d’une colonie sauvage dans une ruche ou lorsqu’ un essaim quitte la ruche pour s’installer dans un nouvel emplacement. Il emporte avec lui des abeilles dont les glandes cirières sont fortement développées .On peut aussicommencer par induire une nouvelle ruche de cire d’abeille dontl’odeur servira d’appât.

Apiculture au Sénégal

Au Sénégal, dans le classement des zones apicoles, arrivent en tête la région de Ziguinchor, suivie de la région Kolda. Vient ensuite la région de Tambacounda avec en particulier ledépartement de Kédougou. Le Bureau Apicole de la Direction de l’Elevage estime à plus d’un million le nombre de colonies au Sénégal et les quantités produites de miel etde cire sont respectivement 185 et 27,2 tonnes par an (DIREL, 2000)

Conseils 

En cas de piqûres: le venin continue à se répandre dans le sang jusqu’à ce qu’il soit épuisé ou que le dard soit enlevé :
-Le plus vite possible, gratter avec l’ongle le dard. Il faut agir vite plutôt que de choisir une technique et il ajoute: « Retirez le dard le plus tôt possible au lieu de perdre du temps à chercher quelque chose qui convient pour gratter le dard car chaque seconde perdue à chercher, c’est davantage de venin qui sera injecté sous la peau ».
-le dard continue en effet à effectuer des mouvements et vous injecte le reste du venin.
-Surtout ne pas retirer le dard en le serrant entre le pouce et l’index ,car la pression exercée de vos doigts auracomme conséquence de vider plus rapidement le venin.
-Eloignez vous de l’endroit où vous avez été piqué car l’odeur appelé “phéromone d’alarme” située à la basedu dard invite les “copines” à venir vous attaquer.
-Par précaution, il arrive de prendre un anti-histaminique(anti-allergique).
Si une piqûre d’abeille est douloureuse, elle est rarement mortelle mais si vous êtes allergique, il vaut mieux consulter un médecin.

D’autres conseils si vous voulez observer une ruche

-Ne jamais se positionner, sans protection, à moins de 10 mètres face à une ruche. Vous êtes en plein sur la trajectoire de la piste d’atterrissage et de lancement.
-Observer toujours une ruche de côté.
-Ne jamais observer une ruche après s’être parfumé .L’abeille vous prendra d’abord pour une fleur maisla confusion passée, elle ne vous le pardonnera pas.
-Ne pas s’approcher d’une ruche par temps orageux.
-Ne pas faire de geste violent.
-Ne pas faire de bruit.
-Ne pas s’habiller avec des vêtements de couleur vive, les abeilles préfèrent le blanc.

PRODUITS DE LA RUCHE

Miel 

Il est indispensable que les abeilles visitent les fleurs pour que les plantes soient pollinisées. Pour les attirer, elles secrètent le nectar. Le nectar est une solution composée d’un mélange de sucreset autres substances secondaires que les abeilles récoltent pour en fabriquer un concentré qui devient le miel.

Recherche de falsification (par rapport aux sucres)

La méthode de Fiehe est la suivante: on fait fondre 10 g de miel au bain-marie sans dépasser 35°C. Au moyen d’une pipette jaugée, on prélève 5 g de l’échantillon et on les introduit dans un tube à essai; on ajoute 5 ml d’éther sulfurique et en le bouchant avec le doigt, on agite le tube pendant 1 ou 2 minutes. On laisse ensuite reposer; puis on décante dans un autre tube à essai en ayant soin de ne pas faire écouler le miel. A l’aide d’une pipette, on prend 2 ml d’une solution de résorcine dans 10 ml d’acide chlorhydrique pur et on les fait glisser le long des parois du tube contenant l’extrait éthéré.
L’éther se trouble et devient blanchâtre tandis que la résorcine se rassemble au fond du tube. Si le miel est falsifié par du glucose synthétique, le réactif se colore immédiatement en rose très pâle, teinte dont l’intensité augmente de seconde en seconde. Au bout de 20 minutes, la coloration est d’autant plus foncée que la teneur en sucre interverti est plus grande.
On peut faire également un examen microscopique dans le but de distinguer les éléments figurés qu’il contient. Tous les miels naturels contiennent des grains de pollen : leur absence permet de suspecter qu’il s’agisse d’un miel artificiel.

Caractères physico-chimiques

La couleur :Immédiatement après sa production, la cire d’abeille est incolore, par la suite, les pigments de la propolis (flavonoïdes) et/ou des pollens (caroténoïdes) confèrent à la cire des teintes allant du jaune paille au marron en passant par l’orange et le rouge. Cette coloration n’altère en rien la qualité de la cire et toute opération de blanchiment (à l’ozone, à l’acide sulfurique, à l’eau oxygénée, etc.), si souvent préconisée autrefois, est parfaitement inutile et est même dangereuse et à déconseiller. La coloration de la cire peut se modifier en vieillissant ; c’est ainsi que la cire  » vierge » est blanche. Elle brunit rapidement en vieillissant au point de devenir presque noire.
L’odeur :La cire d’abeille présente une odeur typique très aromatique, qui peut cependant varier considérablement ; outre les arômes caractéristiques de la cire, elle contient des arômes du miel, de la propolis et du pollen.
Propriétés physiques : La cire se présente comme un corps solide à la température ordinaire, cassante à bassetempérature < 18° C mais devenant rapidement plastique aux environs de 35 à 40°C. Son point de fusion se situeentre 61- 65°C . Sa densité est d’environ 0,95-0,965.L’indice de réfraction(à 75°C) : 1,440-1,445.

Propriétés chimiques :Indice d’acide : 18-23 ; Indice d’ester :70-80 ; Indice de peroxydes : 8 au moins

Composition

La cire est un corps chimiquement trèsstable et ses propriétés ne varient guère dans le temps. Elle résiste parfaitement à l’hydrolyse et à l’oxydation naturelle et est totalement insoluble dans l’eau. Les acides et les sucs digestifs des animaux ne peuvent la détruire, à l’exception de ceux des larves de fausse teigne. La cire d’abeille est de nature lipidique. Elle est constituée pour deux tiers par des esters formés par la réunion d’un acide gras et d’un alcool de poids moléculaire élevé (le palmitate demyricyle, palmitoléate de myricyle, palmitate de laccéryl et hydroxypalmitate de myricyle), 14% des hydrocarbures essentiellement linaires saturés, 12% des acides gras (néocérotique,cérotique, montanique et mélissique), 2% d’eau, 1% des alcools libres, 0,8% esters de cholestérol, 0,6% lactone ; et autres substances comme la chrysine, des huiles essentiels, des pigments provenant surtout dupollen et de la propolis, ainsi que des substances provenant du couvain, etc…
Il faut noter que la cire est d’une richesse particulière envitamine A. La composition chimique des cires joue un rôle important dans la communication chimique en tant quesignal pour la reconnaissance des individus de la colonie ou apparentés.

Définition

C’est l’élément mâle des fleurs, il est pour l’abeille la seule source de protéines. L’abeille le récolte au cours du butinage et le ramène à la ruche sous forme de pelotes. Ces pelotes sont transportées dans les corbeilles à pollen qui sont des dépressions situées sur la troisième paire de pattes. Une pelote pèse de 20 à 25mg ; elle contient 3 ou 4 millionsde grains de pollen, représentant l’exploration de centaines de fleurs.
La confection des pelotes reste assez complexe. La cohésion est assurée par l’incorporation au pollen d’une petite quantité de miel apportée de la ruche dans le jabot ou de nectar prélevé directement sur la plane butinée ainsi que de la salive.
Ramené à la ruche, ce pollen est stocké dans les alvéoles. Il est tassé par les ouvrières et subit une fermentation lactique, c’est le principe de l’ensilage utilisé en agriculture.

Rôle

Le pollen fournit à l’abeille tous les nutriments nécessaires pour élever sa progéniture, mais aussi pour assurer la croissance et le développement de l’adulte. Toute la vie de la colonie est contrôlée par le pollen :sans lui, il n’existe pas de gelée royale, donc pas de couvain, pas de cire et même la reine peut arrêter la ponte.Il est la seule source denourriture protéique pour les abeilles ; il est surtoutconsommé par les nourricesqui dans leurs glandes salivaires, produisent labouillie destinée aux jeunes abeilles. On en retrouve en quantité plus ou moins significative dans les miels, c’est du reste un moyen utilisé pour en déterminer l’origine florale.
On sait que le besoin en pollen est important chez les jeunes ouvrières (âgées de 6 – 8 jours), il permet le bon fonctionnement de leurs glandes hypopharyngiennes qui secrètent la gelée royale.
Enfin, on estime qu’une colonie récolteen moyenne 40 à 50 kg de pollen par an. Ce chiffre peut varier considérablement. La récolte est loin d’être régulière au cours d’une saison etmême d’une ruche à une autre.

Récolte

Elle s’effectue avec une « Trappe à pollen » dont le fonctionnement est assez simple. L’entrée de la ruche est obstruée par une grille comportant des trous de 5 mm de diamètre permettant juste le passage d’une abeille. Imaginez-vous avec un ballon de basket (la pelote de pollen) dans chaque main placée le long du corps. Essayez de passer dans un cercle ajusté à la largeur de vos épaules. Vous arrivez à passer mais vous perdez vos ballons !
C’est ce qui arrive aux deux pelotes de notre abeille qui veut rentrer dans sa ruche. Il suffit de placer un récipient (tiroir) au-dessous pour récupérer le pollen qui tombe.
Il est nécessaire de prévoir un passage pour les mâles en pratiquant deux trous plus importants sur la grille d’entrée.
On récolte en moyenne 2 à 5 kg de pollen sec par ruche et par an. On estime à 10 % l’efficacité des trappes, sachant que les abeilles arrivent à s’y adapter et à mieux contourner la difficulté. On passe environ tous les 3 jours pour le ramassage ou un peu plus en période creuse. Il ne faut pas une périodicité dépassant la semaine car le pollen va s’humidifier surtout si la météo n’est pas excellente.

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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE :GENERALITES SUR L’APITHERAPIE, L’APICULTURE ET LES PRODUITS DE LA RUCHE
Chapitre I : APITHERAPIE , HISTOIRE ET RELIGION
1. HISTOIRE
2. APITHERAPIE ET ISLAM
Chapitre II : APICULTURE
1.NOTIONS SUR L’ABEILLE ET LA RUCHE
2.CHOIX DE LA RUCHE
3.OBTENTION DES ABEILLES
4.RECOLTE
5.APICULTURE MAROCAINE
6.APICULTURE AU SENEGAL
7.CONSEILS
Chapitre III : PRODUITSDE LA RUCHE
1. MIEL
1.1 Définition
1.2 Fabrication
1.3 Récolte
1.4 Propriétés physico-chimiques
1.5 Différents types
1.6 Composition
1.7 Conservation
1.8 Recherche de falsifications
1.9 Variétés
1.10 Production et commercialisation
2. GELEE ROYALE
2.1 Définition
2.2 Rôle et importance
2.3 Récolte
2.4 Propriétés physico-chimiques
2.5 Composition
2.6 Conservation
2.7 Production
3. PROPOLIS
3.1 Définition
3.2 Fabrication et rôle
3.3 Origine et sortes
3.4 Récolte
3.5 Propriétés physico-chimiques
3.6 Structure microscopique
3.7 Composition
3.8 Conservation
3.9 Production et consommation
4. CIRE D’ABEILLE
4.1 Définition
4.2 Fabrication et rôle
4.3 Récolte
4.4 Propriétés physico-chimiques
4.5 Composition
4.6 Production et commercialisation
4.7 Utilisations
5. POLLEN
5.1 Définition
5.2 Rôle
5.3 Récolte
5.4 Choix du pollen
5.5 Composition
5.6 Conservation
6. PAIN D’ABEILLE
6.1 Définition
6.2 Fabrication
6.3 Rôle
6.4 Types
6.5 Composition
1.6 Conservation
7. VENIN D’ABEILLE
7.1 Définition
7.2 Rôle
7.3 Description de l’appareil venimeux
7.4 Récolte
7.5 Propriétés physico-chimiques
7.6 Composition
7.7 Différences entre le venin et l’apitoxine
7.8 Conservation
7.9 Méthodes pour évaluer la qualité
8. APILARNIL
8.1 Définition
8.2 Récolte
8.3 Propriétés physico-chimiques
8.4 Composition
DEUXIEME PARTIE :THERAPIE AVEC LES PRODUITS DE LA RUCHE
Chapitre I : THERAPEUTIQUE
1. MIEL
1.1 Propriétés pharmacologiques, effets et actions
1.2 Indications
1.3 Contre-indications et effets indésirables
1.4 Présentation
1.5 Posologie et mode d’emploi
2. GELEE ROYALE
2.1 Propriétés pharmacologiques, effets et actions
2.2 Indications
2.3 Contre-indications et effets indésirables
2.4 Présentation
2.5 Posologie et mode d’emploi
3. PROPOLIS
3.1 Propriétés pharmacologiques, effets et actions
3.2 Indications
3.3 Contre-indications et effets indésirables
3.4 Présentation
1.5 Posologie et mode d’emploi
4. CIRE D’ABEILLE
4.1 Propriétés pharmacologiques, effets et actions
4.2 Indications
4.3 Contre-indications et effets indésirables
4.4 Présentation
5. POLLEN
5.1 Propriétés pharmacologiques, effets et actions
5.2 Indications
5.3 Contre-indications et effets indésirables
5.4 Présentation
5.4 Posologie et mode d’emploi
6. PAIN D’ABEILLE
6.1 Propriétés pharmacologiques, effets et actions
6.2 Indications
6.3 Contre-indications et effets indésirables
6.4 Présentation
6.4 Posologie et mode d’emploi
7. VENIN D’ABEILLE
7.1 Propriétés pharmacologiques, effets et actions
7.2 Indications
7.3 Contre-indications et effets indésirables
7.4 Présentation
7.5 Posologie et mode d’emploi
8. APILARNIL
8.1 Propriétés pharmacologiques, effets et actions
8.2 Indications
8.3 Contres-indications et effets indésirables
8.4 Présentation
Chapitre II : APITHERAPIE ET PRINCIPE DE SYNERGIE
1. Principe de synergie
2. Associations des produits de la ruche entre eux
3. Aromiels
4. Physiothérapie
5. Acupuncture et acupressure
6. Balnéothérapie
7. Miel et eau
Chapitre III : APITHERAPIE ET GRANDES PATHOLOGIES
1. Problèmes nutritionnels
1.1 Anorexie, carences
1.2 Amaigrissement
1.3 Diététique
1.4 Boulimie
2. Endocrinologie
2.1 Thyroïde
2.2 Diabète
2.3 Spasmophilie
3. Affections digestives
3.1 Constipation
3.2 Affections gastro-intestinales
3.3 Ulcère gastro-duodénal
3.4 Parasitoses
3.5 Aérophagie
3.6 Colite, entérocolite
3.7 Diarrhée, dysenterie
3.8 Dyspepsie
3.9 Hémoptysie
4. Affections hépato-biliaires
5. Affections des tissus conjonctifs, musculaires et osseux
5.1 Arthrite
5.2 Arthrose
5.3 Sclérodermie
5.4 Rhumatisme
5.5 Ulcère chronique de la jambe
5.6 Lombalgies
5.7 Décalcifications et déminéralisation
5.8 Autres
6. Affections broncho-pulmonaires
6.1 Asthme
6.2 Bronchite
6.3 Tuberculose
7. Affections ORL
7.1 Diphtérie
7.2 Amygdalites
7.3 Otites
7.4 Sinusites
7.5 Aphonie, enrouement
7.6 Coryza
7.7 Laryngite
7.8 Autres
8. Affections ophtalmiques
8.1 Conjonctivite, kératite, blépharite, orgelets
8.2 Inflammation de la sclérotique, de l’iris, la cataracte
8.3 Acuité visuelle
8.4 Diabète, glaucome
8.5 Brûlures, traumatismes, microbes
8.6 Autres
9. Stomatologie
9.1 Parodontopathies
9.2 Aphtes
9.3 Hygiène
9.4 Douleurs
9.5 Hémorragies
9.6 Fluxions dentaires
9.7 Déminéralisation
9.8 Autres
10. Dermatologie
10.1 Infections bactériennes et fongiques
10.2 Plaies, brûlures, escarres, ulcérations, crevasses, érythèmes
10.3 Psoriasis, eczéma
10.4 Problèmes post-chirurgicaux
10.5 Alopécie
10.6 Dermatoses
10.7 Autres
11. Hématologie et Oncologie
11.1 Anémies
11.2 Coagulation sanguine
11.3 Régulation des lipides du sang : artériosclérose
11.4 Cancer
11.5 Néoplasmes, soutien à la chimiothérapie
11.6 Acidité sanguine
11.7 Acétonémie
11.8 Artérite
12. Affections immunologiques
12.1 Allergies
12.2 Maladies auto-immunes
12.3 Déficience immunitaire
12.4 Encéphalomyélite
12.5 Affections lympho-ganglionnaires, adénopathie
13. Maladies infectieuses
13.1 Sida
13.2 Infections bactériennes, fongiques et virales
13.3 Parasitoses
14. Affections neurologiques
14.1 Douleurs chroniques
14.2 Troubles de mémoire
14.3 Sclérose en plaques
14.4 Myasthénie, neurasthénie, épilepsie
14.5 Migraine
14.6 Autres
15. Affections psychiatriques
15.1 Dépressions, apathies
15.2 Dépendances, alcoolisme
15.3 Agression chirurgicale
15.4 Stress
15.5 Anorexie
15.6 Angoisse
15.7 Insomnie
16. Affections cardiovasculaires
16.1 Problèmes cardiovasculaires
16.2 Problèmes circulatoires, artériosclérose
16.3 Hypertension, hypotension
16.4 Hémorroïdes
17. Affections génito-urinaires
17.1 Troubles de la prostate
17.2 Infections génito-urinaires
17.3 Calculs rénaux
17.4 Inflammations, pyélonéphrites
17.5 Infertilité, impuissance, asthénie sexuelle
17.6 Affections péniennes
17.7 Autres
18. Obstétrique et gynécologie
18.1 Obstétrique
18.2 Syndromes pré-menstruels, dysménorrhée
18.3 Gynécologie
18.4 Ménopause
19. Pédiatrie
19.1 Troubles des nouveaux nés
19.2 Pathologies
19.3 Nutrition du nourrisson, dystrophies
19.4 Psychomotricité de l’enfant
19.5 Anomalies congénitales, mongolisme
20. Gériatrie
21. Empoisonnements, intoxications, pollutions
CONCLUSION

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