Théorie relatives à l’économie rentière et économie de marché

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La loi de l’offre et de la demande 12

La loi de l’offre et de la demande montre l’effet d e la variation des prix sur le volume de l’offre et de la demande. La production est régulée par les mécanismes de prix, ce qui n’est pas le cas dans une économie rentière oùl’offre et la demande ne jouent pas vraiment son rôle. La présence de producteurs lésés et de producteurs avantagés fait que le prix est supérieur ou inférieur au prix normal du marché.
Dans une économie de marché, le prix est déterminépar la confrontation de l’offre et de la demande. Si l’offre est supérieur à la demande, l’excédent d’offre sur le marché ne trouve pas preneur, le prix diminue. La baisse de prix signifie une augmentation du revenu des ménages en terme réel du revenu, ce uiq encourage la consommation. En revanche, la baisse du prix diminue le profit et les entreprises moins compétitives vont cesser de produire, ce qui freinera l’offre.
Si l’offre est inférieure à la demande, il y a augmentation de prix. La hausse de prix stimulera l’offre mais limitera en même temps la demande. Ainsi la quantité offerte et la quantité demandée vont s’ajuster.

La recherche du profit

La loi de l’offre et la demande régit l’économie demarché. Le prix coordonne les activités économiques. Le prix a un triple rôle : «signaux des coûts sociaux, mécanismes incitatifs, déterminant de la distribution de revenu »13.
Si la recherche de rente prime dans l’économie rentière, la recherche de profit domine le comportement des producteurs de l’économie de marché. «Le profit n’est pas le résidu comptable qu’il était pour l’entreprise socialiste, mais le moteur des choix économiques, la sanction de l’action qui peut, si le résultat reste trop longtemps négatif, provoquer la mort de l’entreprise».14 Les producteurs font concurrence sur le marché pour obtenir le profit leplus élevé possible compte tenu de ces coûts. La concurrence aboutit à la diminutio n de prix.
Dans une économie de marché le profit est considérécomme la rémunération du risque, de l’innovation, de l’effort, du savoir-fai re.

Caractéristique de l’économie de marché

«La caractéristique principale d’une économie de marché est la main invisible » . La notion de main invisible signifie la force du marché à arranger le comportement des individus qui cherchent son intérêt individuel et boutita à l’intérêt général. L’agent économique, à la poursuite des gains personnels, poussé par la concurrence, tente de trouver des moyens pour réduire ses coûts afin de pouvoir vendre moins cher, améliorer ses produits pour satisfaire davantage les besoins des consommateurs, mais toujours dans le but final d’écouler ses produits et de gagner plus de profit. Par contre, les coûts élevés de l ‘économie rentière, causeà du manque d’innovation, conduisent à la production de produits moins compétitifs.
Guidé par le marché, la recherche de l’intérêt individuel de l’individu entraîne donc ici la diminution du prix, la diversification et l’amélioration de la qualité des produits au profit des consommateurs, c’est à dire les ménages. Ainsi, bien que le salaire des travailleurs n’augmente pas en terme monétaire, ils bénéficient de la baisse des prix, qui augmente son revenu en terme réel. Le pouvoir d’achat du consommateur est en hausse et la stagnation du salaire est donc compensée par la baisse des prix. La compétitivité de l’entreprise coïncide avec le bienêtre général. La main invisible du marché concourt donc à augmenter le bien être général. Ce qui correspond, dans ce cas, à l’optimum de Pareto, le producteur peut augm enter ses profits sans léser les travailleurs, ni les personnes en dehors de l’entreprise.

Laisser – faire, laisser – aller

La liberté est l’essence du marché. Les deux termes« laisser-faire, laisser-aller » expriment des grands principes de l’économie de marché. La liberté d’entreprendre, liberté d’achat, liberté de prix, liberté du contrat, liberté de circulation de marchandises, des capitaux, etc. sont fondamentales, et ce sont des libertés individuelles. Chaque consommateur, chaque producteur, chaque travailleur est libre de son propre choix. Les blocages à l’épanouissement de ces libertés sont contraires au principe du marché. Les freins à la liberté peuvent, par exemple, se manifester par la difficulté d’accès à la concurrence. La présenc d’individus ayant une situation privilégiée, dans l’économie rentière, peut par exemple entraver cette liberté. Une entreprise déjà en place pourrait user de ces relations pour nuire à un concurrent émergent, craignant la perte d’une part de marché àcause de cette dernière. Ce qui atteint également les consommateurs qui ne voient pas des améliorations des biens ou services offerts à cause du moindre concurrence. De ce fait, le prix ne diminue que faiblement.

Marché concurrentiel

Le marché a cette particularité d’incitation à la concurrence, « le marché est la seule garantie du jeu de la concurrence »16 et c’est une des lacunes de l’économie rentière. Les agents économiques moins compétitifs sont trèsvite exclus par le marché. Celui ci sélectionne les meilleurs. Le producteur qui veut garder ou élargir sa part de marché doit tenir tête à la concurrence. Il est donc important de considérer ce que veulent les consommateurs. Une offre qui ne correspond pas à la demande est rejetée par le marché. Il en résulte de la confrontation, ffreo et demande, un prix faible qui désavantagera le producteur à cause de cette demande réduite. L’incapacité de répondre à la concurrence mènera l’entreprise à la fermeture.
Le marché concurrentiel tel que les néoclassiques ’ontl définis repose sur quatre conditions dont l’atomicité des agents, l’homogénéité des produits, la transparence du marché, la fluidité du marché. La réalisation detlles conditions relèverait de l’impossible mais le but devrait de s’y approcher, alors que la recherche de rente éloigne l’économie de ces conditions.
Les agents économiques qui agissent sur le marché oiventd également être rationnels. Ces quatre hypothèses sont censées éviter le monopôle, assurer une bonne circulation des informations et des biens, la reconversion d’un agent, d’un secteur à un autre, sa mobilité d’un pays à un autre, selon le niveau des profits qu’il compte gagner.

Théorie relative à l’économie de marché

Bien que l’économie de marché a longtemps existé dans les pays développés, elle n’est que récemment adoptée par les pays en développement. Beaucoup de ces pays ne s’y sont vraiment engagés que depuis la fin des années quatre vingt ou les débuts des années quatre vingt dix avec l’effondrement du bloc socialiste en 1991. Avant cette période s’est développé le régime socialistemarqué par les idéologies de Karl Marx.

La prédiction de l’effondrement du capitalisme : Karl Marx25

Marx a annoncé la chute du capitalisme par la baisse tendancielle du taux de profit. Selon Marx, la valeur d’un bien est déterminée parle temps de travail nécessaire à sa production. Le capitaliste utilise cette force de travail des travailleurs pour produire de la plus value. Le capitaliste obtient donc une plus value en exploitant les travailleurs par l’allongement de la durée du travail. Plus le temps de travail est long, plus la plus value du capitaliste augmente car il rémunère le travailleur à un salaire égale à la reproduction de la force de travail.
Soit ● pl la plus value du capitaliste.
● C le capital fixe de production.
● V le capital variable.
Le taux de plus value est pl / v.
L’objectif du capitaliste est de valoriser le taux de profit qui est pl / ( c + v ).
La composition organique du capital est représentéepar c / v.
En divisant le numérateur et le dénominateur du taux de profit par v on obtient ( pl / v) ( c / v) + 1. Le développement du capitalisme tend à augmenter le capital constant, c, de production. La concurrence amène une plus grande accumulation, les biens deviennent de plus en plus à forte intensité de capital. Cette augmentation de l’utilisation de facteur capital matériel signifie une diminution du capital variable utilisé, v, c’est à dire le travail. Le rapport ( c / v ), composition organique du capital, augmente au détriment du taux du plus value du capitaliste pl / v, qui n’est autre que le taux d’exploitation du capitaliste. Cette situation engendre donc la baisse du taux de profit.
Selon Marx, le développement du capitalisme aboutità la baisse tendancielle du taux de profit et l’exploitation des travailleurs est une injustice sociale qui introduit l’idée d’une lutte de classe. Le mode de production capitaliste devrait donc être remplacé par un autre mode de production, non seulement parce qu’il va provoquer sa propre chute mais il est également responsable d’une injustice envers le plus grand nombre, c’est à dire les travailleurs, ce qui est contraire à la démocratie. Marx propose donc le socialisme avant de parvenir au communisme. Dans ce système, l’Etat jouerait le rôle de protecteur de la classe majoritaire qui dev rait prendre le pouvoir.
L’idée de Marx s’était répandue dans le monde entier. La décolonisation des années soixante et soixante dix, s’était accompagnée d’unegrande vague de socialisme dans beaucoup de pays surtout les pays en voie de développement, qui ont vu en la théorie de Marx le moyen de récupérer aux colonisateurs, apitalistes,c les biens acquis par ces derniers. C’était l’occasion tant désirée pourles colonisés de retrouver la fierté perdue dans la colonisation. Cependant, le socialisme s’est soldé par des échecs cuisants dont les séquelles demeurent encore présentes. Des entreprises faiblement compétitives, un niveau de vie faible de la population, une croissance ralentie. La stratégie adoptée a sacrifié la rentabilité et l’efficacité technique au profit d’une utilisation importance des ressources humaines et de capital pour relancer la croissance. Et l’Etat défenseur de la majorité estdevenu autoritaire et répressif.

L’équilibre du producteur

L’économie de marché est essentiellement une économie de l’offre, qui s’appuie sur des producteurs, en grande partie des entreprises. La théorie suppose que les agents économiques sont rationnels et agissent comme l’homoeconomicus qui maximisent ses utilités. Dans ce cas, le producteur est censémaîtriser l’aspect technique de la production. On admet également la validité de la loi des rendements décroissants. La psychologie du producteur dans la théorie microéconomique consiste à combiner les facteurs de production. Il y a une relation entre le volume des biens produits et les moyens mis en oeuvre pour constituer cette production. On distingue ici deux facteurs de production : le capital et le travail. P= f(K, L) K: Capital L: Travail.
On suppose que les facteurs de production sont donc substituables et qu’il est possible d’imputer à un facteur donné sa part dans la production totale. L’entrepreneur, pour maximiser son profit, va déterminer la combinaison optimale des facteurs de production. La substitution du facteur capital au facteur travail est mesurée par le taux marginal de substitution et leproducteur accepte de substituer du capital au travail si le niveau de production qui en résulte est inchangé. Pour maximiser son profit, dans le cas où il est sûr d’écouler toute sa production, il aura à maximiser sa production compte tenu de ses moyens. S’il connaît exactement sa part de marché, pour maximiser son profit, il aura à minimiser ses coûts. Mais dans la plupart des cas, l’entreprise ignore la dimension du marché et les moyens qu’il faut engager. Ainsi, pour maximiser son profit, il devra faire la comparaison entre le coût marginal, coût supplémentaire de l’unité produite te la recette marginale c’est à dire la recette que lui procure la dernière unité produite. Le profit est maximal quand le coût marginal est égal à la recette marginale. Ce qui correspond à l’équilibre du producteur.

Le marché généralisé de Walras

Walras raisonne en l’hypothèse d’un grand nombre de vendeur et d’acheteur avec un équilibre spontané. Le marché généralisé de Walrassuppose que les conditions de la concurrence pure et parfaite sont satisfaites.
Il essaie de décrire les conséquences logiques d’une concurrence bien organisée, de cette concurrence découle un prix, appelé prix d’équilibre, qui règle tous les échanges. Ce prix assure l’égalité entre la somme esd offres individuelles et la somme des demandes individuelles. Le prix d’équilibre se détermine par la résolution de n équations d’offre et de n équationsde demande de biens. Il y a interdépendance de tous les marchés et l’équilibresur les marchés se réalise simultanément. La contrainte budgétaire fait que laquantité de marchandises offertes par l’agent est nécessairement égale à celle qu’il demande. Selon Walras, le prix d’équilibre se réalise spontanément. Au point d ‘équilibre l’utilisation des ressources est optimale et il n’y a pas de chômage car tous ce ux qui désirent un emploi en trouvent. La concurrence assure donc l’embauche de tous les travailleurs.
Selon la loi de Walras, une quantité offerte trouveune demande correspondante de même valeur. S’il y a un écart entre la quantité ferteof et la quantité demandée, le prix se modifie grâce au tâtonnement du commissaire priseur. Son modèle montre que le profit va tendre à être nul. En effet, l’existence de superprofit invite d’autres entreprises à entrer, l’augmentation de l’offre va diminuer le prix et faire un partage du surprofit entre les entreprises concurrentes. L’entrepreneur recherche donc des profits mais son objectif est contrecarré par le marché. Ce qui revient à privilégier les consommateurs qui voient les prix des biens et services toujours en diminution jusqu’à ce qu’ils soient proche ou égal au prix de revient. Une telle baisse de prix ne se réalise pas dans l’économie rentière à cause dufaible incitation à la concurrence.

L’oligopole de Cournot 31

Cournot analyse différentes sortes de concurrences dans son modèle : la concurrence monopolistique, duopolistique et la concurrence parfaite. Son modèle montre que l’avantage des consommateurs augmente à mesure que la concurrence augmente, du monopole jusqu’à la concurrence parfaite et inverse ment.
Le programme de chaque entreprise est de maximiser ses recettes compte tenu de ses coûts. Dans ce cas, chaque entreprise choisit son niveau de production.
Il s’agit donc de maximiser : Max p(q + q …+q )q – C(q ). On dérive cette équation par rapport à q 1 2 n 1 1 1 C(q ) est le coût supporté par l’entreprise en fonction de la quantité q 1 1 p(q1 + q2+…+q n ) est le prix des vente de l’entreprise. p(q1 + q2+…+q n )q1 est donc les recettes obtenues n est le nombre d’entreprises qui se font concurrence, q1 est la quantité produite par l’entreprise 1 et ainsi de suite.
Chaque entreprise essaie de maximiser la différenceentre la recette et les coûts.
La concurrence s’effectue ici par la quantité, les n entreprises, identiques, qui font la concurrence obtient une part de marché égale. Les uantitésq offertes sont donc égales c’est à dire q1 = q 2 = …= q n.
La tarification duopole où n =2, deux entreprises sur le marché, par rapport au monopole où n=1 augmente la quantité q qui représente le pourcentage de la population desservie. De plus, le prix proposé par le monopole est supérieur au prix proposé par le duopole. Ainsi, plus le nombre d’entreprises augmente, c’est à dire le marché devient concurrentiel, plus le prix baisse et la population desservie s’accroît. Quand n devient infinie, on rejoint la concurrence parfaite de Walras où le profit tend à être nul. La libéralisation entraîne donc ici uneaugmentation du surplus social, les consommateurs vont bénéficier de la baisse de prixce qui hausse son pouvoir d’achat et un nombre de plus en plus important de gens accède aux produits. Cependant, la présence d’un coût fixe élevé limite l’entrée desntreprises. Si le coût d’installation de l’entreprise est faible, de nombreuses entreprises pourraient se concurrencer. « Cette concurrence s’exerce non dans le court terme mais dans le moyen terme. La concurrence à la Cournot consiste aux choix des cap acités de production. L’investissement est alors une réponse à l’investissement ».32

Théorie de l’évolution économique Schumpeter : l’innovation 33

La réussite du système de marché se reflète dans ledynamisme entrepreunarial et l’innovation. La théorie de l’évolution économique de Schumpeter intègre l’innovation comme la clé de la croissance économique. Il raisonne en économie où les moyens de production sont privés. Schumpeter est également un défenseur du libre échange, de la libre entreprise, et en a faitles hypothèses de sa théorie. Il prône aussi la non intervention de l’Etat.
Le dynamisme économique, selon lui, est donc déterminé par l’innovation et l’évolution technologique. Cette innovation se manifeste par la combinaison nouvelle de facteur de production qui se réalise par :
La fabrication de bien nouveau.
L’introduction d’une nouvelle méthode de production; L’ouverture d’un nouveau débouché.
La conquête d’une nouvelle source de matière première; La réalisation d’une nouvelle organisation.
Le mot nouveau prend ici une place prépondérante qui exprime une continuelle créativité pour innover.
En absence d’innovation, l’économie devient stationnaire. Le cycle économique est caractérisé par des phases d’expansion et de récession qui s’explique par des augmentations et de chute de production dues à l’im pulsion de l’innovation ou à son absence. Le dynamisme économique dépend donc du dynamisme de l’innovation qui augmente continuellement la compétitivité des entreprises, et constitue la grande lacune de l’économie rentière. Ce qui signifie qu’une société peu enclin au changement aurait un faible dynamisme économique.

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Table des matières

PARTIE I : Définition des termes et approches théoriques de l’économie rentière et de l’économie de marché
Chapitre I : Economie rentière versus économie de marché
I-Définitions
1-Définition de la rente
2-La recherche de la rente
3-Caractéristique de l’économie rentière
3-1 Opportunisme et travail non encouragé
3-2 Sous-exploitation et accumulation faible
3-3 Une société peu enclin au changement
4- Définition de l’économie de marché
5 -Le marché
5-1 La loi de l’offre et de la demande.
5-2 La recherche de profit
6-Caractéristique de l’économie de marché
6-1 Laisser- faire, laisser- aller
6-2 Marché concurrentiel
Chapitre II : Théorie relatives à l’économie rentière et économie de marché
1-Théorie relatives à l’économie rentière
1-1 Théorie de la rente différentielle
1-2 Loi de King
1-3 Loi d’Engel
1-4 Théorie de l’Etat rentier
1-5 Théorie fiscale de Laffer
1-6 Asymétrie d’information
2- Théorie relative à l’économie de marché
2-1 La prédiction de l’effondrement du capitalisme : Karl Marx
2-2 Adam Smith et marché
2-3 Théorie microéconomique
2-3-1 Equilibre du producteur
2-3-2 Le marché généralisé de Walras
2-3-3 L’oligopole de Cournot
2-4 Théorie de l’évolution économique de Schumpeter : L’innovation
2-5 Théorie de l’entrepreneur de Schumpeter
2-6 La loi de Jean Baptiste Say
2-7 Théorème d’Hecksher Ohlin Samuelson
2-8 Théorie de cycle de vie de Vernon
2-9 Théorie du capital humain de Gary Becker
2-10 Théorie de la croissance et de développement
2-10-1 Théorie de l’évolutionnisme de Rostow
2-10-2 Théorie de la croissance de Solow
2-10-3 Théorie de la croissance endogène
2-11 Théorie du bien être
2-11-1 Théorie de la justice sociale de Rawls
2-11-2 Théorie du bien être d’Amartya Sen
2-12 Diamant de Porter
PARTIE II : L’économie malgache comme une économie de marché
I- Comportement des agents économiques
1-Agriculture rentière
2- Agent rentier
II- Crise de l’économie rentière
1-Les cultures de rente
2-L’Etat et la création monétaire
3-Comportement de court terme
4-Prédominance du commerce
5-Faible production agricole
6- Le secteur informel
7-Faible investissement en capital humain
8- Faible création d’emploi
PARTIE III : Dépasser l’économie rentière
I- Une économie compétitive
1-Stimuler la concurrence
1-1Concurrence par le prix
1-2 Concurrence par l’innovation
2- Le transfert de technologie
3- Hausse du niveau de vie
4-Création d’emploi
5-Esprit d’entreprise
II- Etat et le marché
1- Aménagement du territoire
2- L’Exemple de l’Asie du Sud Est
Conclusion
Annexes
Références bibliographiques

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