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Structure Organisationnelle :
Toute organisation, groupement humain hiérarchisé, sert à réaliser les objectifs de l’organisation, à maintenir son existence et à l’adapter à l’environnement. Pour cela, l’organisation doit être dotée d’une structure, exprimées dans des relations connues et stabilisées.
Le maintien de cette structure, sa permanence, suppose l’existence d’un pouvoir . L’exercice de ce pouvoir concerne l’établissement des relations d’autorité et de contrôle.
Il en résulte que les différents types de structure dépendent : de la façon dont on regroupe les tâches en groupes d’activités homogènes et des choix effectués parmi les formes d’exercice de pouvoir.
Organigramme
« L’organigramme de structure est un schéma présentant les divers services de l’administration et/ou les personnes qui en sont responsables en indiquant les rapports hiérarchiques qui existent entre eux ».
L’organigramme de structure que l’on appelle aussi quelquefois organigramme administratif, se présente sous la forme d’un graphique sur lequel tout organe du Ministère est représenté par une figure symbolique : un rectangle qui porte le nom de l’organe.
Organigramme du Ministère de la pêche et des Ressources halieutiques
L’organigramme est un document utile qui donne un premier repérage des organes et de leurs relations (l’ossature de l’organisation). Il donne une image exacte de la division de travail. Il permet de savoir rapidement chacun où chacun se place et, l’indication, même sécurité, des attributions, permet à chacun de savoir de quoi s’occupent les autres.
Les différentes liaisons
Après avoir aborder l’analyse des structures en tant qu’instrument de la méthodologie générale de l’organisation, et en tant que composante à part entière de la formation administrative, l’étude précédente portant sur les organigrammes a permis de mettre en évidence la réussite et la dispositions des liaison ou des passerelles entre services de façon que la vie de l’entreprise puisse s’accomplir en unissant les efforts de loirs. On observe dans le Ministère divers catégories de liaisons qui parfois ne sont pas officiellement prescrites mais existent toujours en fait : les liaisons hiérarchiques, les liaisons fonctionnelles, les liaisons d’Etat major.
Interprétation de l’organigramme du Ministère de la pêche et des Ressources halieutiques
Au sein du ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques, l’organigramme peut se développer comme suit, en allant du haut en bas :
– Le Ministre
– Le cabinet qui est composé de 13 personnes est réparti comme suit : 1 directeur
3 conseillers techniques, 3 Inspecteurs, 3 chargés de Mission, 1 Chef protocole, 1 attaché de presse, 1 chef secrétariat particulier. Le cabinet est un organe fonctionnel et en position d’Etat major auprès du Ministre.
– Le secrétariat général est lié hiérarchiquement au ministre.
– Le service administratif et financier, le service législatif et contentieux, le serviceDocumentation, nformation et communication, les service Médicosanitaire sont des organes opérationnels, ils sont liés fonctionnellement au
Développement halieutiques et Aquacole. Elles sont des organes fonctionnels et liées hiérarchiquement au Secrétariat Général .
– Le Service Pêche Maritime et le service Pêche continentale sont des organes opérationnels, ils sont liés hiérarchiquement à la direction Aquaculture.
– Le service contrôle de qualité, le service surveillance et le service statistiques et coordination de recherche, sont des organes opérationnels.
Ils sont liés hiérarchiquement à la Direction Appui, Contrôle Surveillance et Statistiques.
– Le Service Recouvrement ordonnancement, suivi, le service d’exploitation des dossiers de projet, les service logistique et approvisionnement sont des organes opérationnels liés hiérarchiquement à la direction coordination fonds de développement halieutique et Aquicole.
– Le service Interrégional de la Pêche et des Ressources halieutiques, sont un organe opérationnel lié hiérarchiquement à la circonscription.
– Le brigade est lié hiérarchiquement à la section.
Répartition géographique du MPRH
Comme le Ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques représente l’Etat dans son exercice, il a une envergure nationale. En outre, la plupart des activités sont dispersées dans les provinces.
Activités et missions :
Les Bussions et les activités principales du MPRH
En fait, le MPRM a pour mission de proposer et de mettre en œuvre la politique de l’Etat dans le domaine de la pêche et de l’aquaculture.
A cet effet, il assure l’identification, l’évaluation, la promotion de la production, la gestion, ainsi que le contrôle, la surveillance, l’exploitation et la préservation des ressources naturelles animales et végétales de toutes les étendues d’eaux, tant continentales que maritimes.
A ce propos, on peut résumer les activités principales du MPRM comme suit : il est chargé de l’administration des ressources animales et végétales de toutes les étendues d’eaux, tant continentales que maritimes, de l’application de la réglementation en vigueur, de la délivrance ou le retrait des autorisations d’exercice en matière de pêche ou aquaculture, des interventions dans les coopérations avec les opérateurs nationaux ou étrangers.
Relations avec les autres entités
Le Ministère est directement changé de la gestion et du développement de la pêche. Le Ministère de la Recherche Scientifique et technologique pour le développement gère les stations des recherches piscicoles et le Centre National de Recherches Océanographiques, Le Ministère de l’enseignement Supérieur change de la formation des cadres (dont les ingénieurs halieutiques), le Ministère du transport, de la Météorologie et du tourisme chargé des infrastructures portuaires, de l’Ecole Nationale d’enseignement Maritime, de l’immatriculation de navires des pêches et de l’enregistrement des marins, le Ministère de la défense chargé de la surveillance des zones maritimes sous juridiction nationale, le Ministère chargé de l’Economie et du Plan, responsable de la coordination de l’aide internationale et de la planification nationale, le Ministère des Finances et du Budget chargé de la politique budgétaire et du financement des nouvelles infrastructures, le Ministère des Affaires Etrangères négocie les accords des pêche.
En fait, le MPRM a des relations tant à l’ intérieur qu’à l’extérieur .
La coordination institutionnelle entre la plupart de ces différents ministères se fait à l’heure actuelle seulement au niveau de la commission interministérielle des pêches maritimes. La mise en place de cette commission interministérielle des pêches maritimes est liée à la création, en 1966, du comité d’exportation, de la mer lequel comprenait six sous commissions à savoir : hydrographie, formation maritime, recherches océaniques et études des côtes, défenses, surveillance et sauvetage en mer, aménagement et trans.., pêche maritime. Du comité d’exploitation de la mer, seule la sous commission de la pêche maritime est restée jusqu’à présent sous a dénomination « Commission de pêche maritime » bien qu’aucun texte ne définisse de manière précise clairement ses attributions préconisé
Dans le contexte extérieur, le MPRM a aussi une relation avec les opérateurs étrangers qui l’aide dans l’accomplissement de ses missions, tels que les opérateurs Allemandes, Suisses et japonais.
Madagascar étant membre des différentes organisations Mondiales, travaille avec F.A.O par le brais du Ministère comme le MPRM est titulaire de toutes activités concernant la pêche et ressources halieutiques, il a aussi des relations avec les entreprises qui exploitent et exportent des produits halieutiques.
THEORIE GENERALE SUR L’OUTIL DE GESTION « SYSTEME D’INFORMATION »
Définition
Données, information
Bien que très souvent utilisé, le terme ‘information » est rarement défini sans entrer dans un débat théorique complexe, nous considérons que l’information est ce que nous apporte une connaissance qui modifie notre vision du monde, qui réduit notre incertitude : c’est un renseignement.
Cette information déroule des données : ce sont des ensembles de symboles, information propre au récepteur. Les symboles les plus souvent utilisés sont les données, des images, des sons, plus rarement des sensations olfactives ou tactiles. Ces symboles constituent donc la matière première de l’information. Dans les systèmes de gestion, les symboles les plus utilisés sont des données exprimant des normes ; des quantités, des valeurs correspondantes à des objets et à des évènements. C’est pourquoi, sauf cas particulier, nous parlerons de données pour désigner l’ensemble des symboles représentatifs d’une information potentielle.
Valeur de l’information
La valeur de l’information est déterminée par son utilisation, c’est à dire elle est fonction du résultat de la décision dans laquelle elle est utilisée. Bien entendu, cette valeur évolue dans le temps. On peut considérer que dans la plupart des cas, la valeur diminue à la date limite d’utilisation.
Si l’on prend l’ensemble des déterminants de la pertinence, on peut indiquer qu’en règle générale :
– la valeur de l’information s’accroît avec son actualité, son exactitude et sa fiabilité.
– La valeur de l’information peut s’accroître avec la finesse jusqu’à un certain seuil (au delà, elle peut décroître par effet de volume).
– La valeur de l’information est liée à sa forme par une relation subjective, contingence à l’utilisateur et au contact.
Coût de l’information
L’obtention des représentations nécessite une observation, une collecte et une transmission des signaux, éventuellement un stockage, ce qui entraînera sûrement des coûts. En général, le coût d’obtention d’une information
– croissante du volume des traités, par conséquent, information croissante du degré d’exhaustivité, de finesse, des représentants, de la fréquence d’observation– décroissante du délai d’obtention (la réduction du délai entraîne des coûts additionnels)
– de la forme (la nature du bien est variable et dépendante des technologie utilisées)
– croissante de la distance des sources (nécessité d’une transmission des signaux)
Le système d’information
Un système d’information est un ensemble d’élément inter relies en vue de réaliser un but déterminé dans l’environnement qui l’entoure.
C’est un ensemble d’entités et de réalisation entre ces éléments et leur attribut, de façon que tout changement dans l’état d’une des entités entraîne des changements dans l’état des autres.
Un système d’information ou système informationnel est constitué par l’ensemble des moyens mis en oeuvre pour assurer la collecte, la mémorisation, le traitement des données et diffusion des informations Il englobe en particulier le service d’études économiques et commerciales, le service comptable, le contrôle de gestion, les réseaux téléphoniques, les service de documentation.
Caractéristiques et composantes du système d’information
Caractéristiques
Application de la théorie « système d’information »
L’organisation toute entière est considérée comme un réseau de système et en particulier, de systèmes d’information lorsque ceux-ci en eux mêmes se constituent en un système unique plus important, c’est un système d’information pour le management qui se sert du réseau de communication entre les différents domaines fonctionnels.
Le concept de système d’information pour le management est de ceux également valables, que l’organisation soit petite ou grande. Il répond au souci des managers, d’atteindre les objectifs globaux du Ministère.
Orientation vers la décision
La réussite de toute organisation repose sur des décisions saines prises en temps opportun . Il faut, pour cela, fournir aux responsables, des informations à jour, suffisamment précises et qui concerne en tous les aspects principaux des problèmes.
Le rôle fondamental d’un système d’information pour le gestion est de fournir à chaque responsable les informations nécessaires pour identifier et choisir parmi les actions alternatives, pour planifier son secteur d’activité en vue de continuer à atteindre les objectifs de l’organisation, et pour contrôler le domaine dont il est le responsable.
Appui sur un système évolué de traitement de l’information
Pour fournir à tous les niveaux de gestion du Ministère, des informations adéquates, le système d’information pour la gestion collecte des données, les traitements, les restitutions ou les mémoires. Dans une institution plus importante oblige pas à créer un centre de traitement autorisé, en fait, il n’en est pas de même pour les autres systèmes d’information. On imagine mal une grande institution définissant un système d’information moderne sans prévoir le traitement mécanisé des données recueillies, sans envisager les procédures automatiques pour élaborer les informations nécessaires aux responsables
Une construction souple et évolutive
Un système d’information pour la gestion n’est pas un « système total ». Il admet des liaisons souples, c’est à dire peu nombreuses, et donnant beaucoup d’indépendance à certains systèmes (par exemple un système de planification stratégique pour la Direction). En raison des changements d’organisation et de personnel un système d’information pour la gestion risque de devenir rapidement discret. Aussi, doit-il pouvoir évoluer, (se transformer, s’adapter) pour rester actuel et efficace.
Les composantes du système d’information
Un système comporte différentes ressource : en personnel
Il n’existe pas de système sans personnel : ce sont, soit des utilisateurs c’est à dire des personnes qui par l’exécution de leurs tâches consomment les informations produites par le système, ou contribuent à l’acquisition au traitement, ou au stockage de ces informations soit des spécialistes des systèmes d’information (analyste, programmeur, opérateur, …) dont la fonction exclusive, consiste à concevoir, implanter, faire fonctionner un système d’information :
– en matériels
Cela inclut les dispositifs physiques utilisés : unité centrale et les périphériques stations de travail, réseau de communication, les différents supports de l’information(feuilles d’impression, disques magnétiques)
– en logiciels et procédures
Dans l’hypothèse la plus fréquente où le système d’information comporte des ordinateurs, le logiciel correspond à l’ensemble des programmes d’application nécessaires à leur fonctionnement. Ces phases automatiques de traitement sont généralement articulées avec les phases manuelles au sein d’une procédure décrivant le fonctionnement d’ensemble (Qui fait Quoi ? Comment ? Où ? Quand ?)
– en données
Sous des formes variées (caractères alphanumériques, textes, images, sons, …) ces sources correspondent :
• à la matière première de traitement : données brutes qui sont collectées et qui sont transformées pour répondre aux besoins des différents utilisateurs, les données peuvent correspondre, soit à des événement nouveaux, soit à des informations de types « résultat » de traitement antérieur conservées pour être utilisées
• à des modèles représentant une connaissance formalisée susceptible d’être réutilisés. Si le modèle est entièrement
• automatisable, il sera conservé sous forme de logiciel.
PRESENTATION THEORIQUE DE LA RECHERCHE « MARCHES PUBLICS »
Notion des marches publics :
Définition
La définition des marchés publics n’est pas aussi évidente qu’elle peut le paraître à priori.
En fait, il n’est pas possible de donner des marchés publics une définition qui soit à la fois succincte et juridiquement exacte. On peut seulement dire, d’une façon générale, qu’un marché public est un contrat par lequel une personne privée (particulier ou société, entrepreneur, industriel ou commerçant) s’engage envers une personne publique (Etat, département ou établissement public) à réaliser, pour le compte et sous la surveillance de celle-ci, un ouvrage public, ou à lui fournir des objets ou un service utile au fonctionnement d’un servie public, moyennant d’un prix déterminé sur la base du contrat
Dispositions générales
La réglementation des marchés publics a pour but essentiel.
– de faire obtenir des prix avantageux, tous éléments considérés fixés dans le cahier des charges, par rapport aux prix courants, pour des prestations d’un montant important ;
– de faire concourir les personnes physiques et morales susceptibles de fournir ces prestations dans des conditions égales de concurrence et de traitement ;
– de fixer les garanties sur la qualité et l’exécution des prestations ;
– d’accorder aux cocontractants des garanties pour le paiement des prestations fournies, tout en tenant compte dans une certaine mesure des variations des conditions économiques.
Ce décret fixe les règles applicables aux marchés de toute nature au nom de l’Etat, des collectivités décentralisées et des établissements publics à caractère industriel et commercial
Les établissements à caractère industriel et commercial, les entreprises dans lesquelles l’état détient au moins la majorité du capital, peuvent adapter à leur besoin, au moyen de règlement intérieur pris à l’initiative de leurs organes délibérants, les procédures de passation de marché dans ce décret.
Les marchés financés sur fonds d’aide extérieur peut déroger à certain dispositions du présent décret lorsque celles-ci sont contraire aux stipulations des conventions de financement signées par le Gouvernement de la République de Madagascar.
Enfin, les marchés entièrement exécutés à l’étranger peuvent déroger aux disposition du présent décret pour tenir compte de la réglementation locale.
Seuil de procédure adoptée
Toutefois, les dispositions du paragraphe précédent ne sont pas applicables, lorsque le montant de la prestation à fournir au cours de la même année budgétaire au profit d’un même utilisateur de crédit n’atteint pas.
– Deux cent millions de Francs Malagasy (200.000.000 Fmg) pour les fournitures et prestation de service
– Trois cent millions de Francs Malagasy (300.000.000 Fmg) pour les travaux exécutés dans un même lieu.
Néanmoins, les prestations dont le montant est inférieur à ces seuils font l’objet des dispositions suivantes :
Fournitures et prestations de service
Sauf stipulation contraire des accords de financement :
• les fournitures et prestations de service d’un montant égal ou inférieur à vingt millions de Francs Malagasy (20.000.000 Fmg) seront exécutés suivant de bons de commandes réglementaires. Une consultation de prix est recommandée, sur la base de spécification techniques des prestations.
• Les fournitures et prestations de service d’un montant supérieur à vingt millions de Francs Malagasy (20.000.000 Fmg) et inférieur à deux cent millions de Francs Malagasy (200.000.000 Fmg) feront obligatoirement l’objet d’une demande de prix sur la base de spécification techniques des prestations par voie d’affichage devant les bureaux du contrôle des dépenses engagées et du service intéressé de la localité ou la prestation sera exécuté et autant que possible dans la presse écrite ou orale, sept (7) jours ouvrables au moins avant la date de dépouillement des offres. Une convention sous forme de marché sera passée autant que possible pour l’exécution desdits prestations.
• En ce qui concerne les pièces détachées, les acquisitions d’un montant supérieur à vingt millions de Francs Malagasy (20.000.000 Fmg) et inférieur à deux cents millions de Francs Malagasy. Elles peuvent être faites suivant des bons de commandes réglementaires : soit auprès des concessionnaires de marque ; soit auprès des autres fournisseurs après demande de prix adressées à trois (3) fournisseurs ou établissements spécialisées au moins, par voie écrite, sauf dans les localités où le nombre ne peut être atteint.
• Les prestations des véhicules ou de matériels d’un montant supérieur à quinze millions (15.000.000 ) doivent donner lieu à un devis établi éventuellement après une demande de prix.
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Table des matières
INTRODUCTION
DEVELOPPEMENT
PREMIERE PARTIE : PRESENTATION GENERALE DE LA RECHERCHE
Chapitre I : PRESENTATION GENERALE DU MINISTERE
Section 1 : Historiques
1.1. Genèse
1.2. Historiques
Section 2 : Structure organisationnelle
2.1. Organigramme
2.2. Différentes liaisons
2.2.1.Interprétation de l’organigramme
2.2.2.Répartition géographique du MPRH
Section 3 : Activités principales et missions
3.1. Missions et Activités principales
3.2. Relation avec les entités
Chapitre II : THEORIE GENERALE SUR L’OUTIL DE GESTION « SYSTEME D’INFORMATION »
Section 1 : Définition
1.1 . Données, information
1.2 . Valeur de l’information
1.3 . Coût de l’information
1.4 . Système d’information
Section 2 : Caractéristiques et composantes du système d’information
2.1. Caractéristiques
2.1.1. Application de la théorie « Système d’information »
2.1.2 . Orientation vers la décision
2.1.3 . Appui sur un système évolué du traitement de l’information
2.1.4 . Une construction souple et évolutive
Chapitre III : PRESENTATION THEORIQUE DE LA RECHERCHE « MARCHES PUBLICS »
Section 1 . Notion des Marchés Publics
1.1. Définition
1.2. Dispositions générales
1.3. Seuil de procédure adoptée
1.4. Nature du Marché.
1.5. Forme du marché.
Section 2 : Mode de passation des Marchés Publics
2.1. Généralités
2.2. Appel d’offre ouvert
2.3. Appel d’offre restreint
2.4. Appel d’offre avec concours
2.5. Marché de gré à gré
DEUXIEME PARTIE : ANALYSE DES PROBLEMES
Chapitre I : PROBLEMES LIES A L’ASPECT ADMINISTRATIF
Section 1 : Alourdissement de procédure de décision
1.1. Structure de gestion trop volumineuse
1.2. Processus de prise de décision trop compliqué
Section 2 : Défaillance du système d’information
2.1. Insuffisance de la communication interne au sein du MPRH
2.2. Mauvaise exploitation de l’information..
2.3. Absence d’un système d’information universelle
Chapitre II : PROBLEMES LIES A L’ASPECT TECHNIQUE
Section 1 . Problèmes rencontrés au niveau de crédit
1.1. Insuffisance de crédit
1.2. Difficulté de la procédure de blocage des crédits
Section 2 : Problèmes rencontres au niveau de la circulaire Budgétaire
2.1. Retard de la notification de la circulaire budgétaire
2.2. Changement fréquent du circulaire budgétaire
Section 3 : Problèmes rencontrés au niveau du sous ordonnancement
3.1. Insuffisance de facteur humain
3.2. Retard de la FCC
3.3. Difficulté d’utilisation des documents
TROISIEME PARTIE : SOLUTIONS PROPOSEES
Chapitre I :SOLUTIONS D’AMELIORATION LIEES A L’ASPECT ADMINISTRATIF
Section 1 :Allégement de procédure de décision
I.A. 1.1. Dotation d’une cellule de marché
1.2.Restructuration de processus de décision
Section 2 : Amélioration du système ’information
2.1. Activités d’animation de coordination et de communication
2.2. Amélioration de la qualité d’information
2.3. Traitement minutieux des information
Chapitre II : SOLUTION PRECONISEES CONCERNANT L’EXECUTION DES DEPENSES
Section 1 : Concernant le crédit
1.1. Aménagement des crédit
1.2. Facilitation de la procédure de déblocage des crédit
Section 2 : Concernant la circulaire budgétaire
2.1. Accélération de la notification de la notification de la circulaire budgétaire
2.2. Formation avant l’exécution des dépenses
Section 3 :Concernant le sous ordonnancement
3.1. Facilité d’utilisation des documents
3.2. Accélération du visa de FCC
3.3. Acquisition des matériels informatiques
QUATRIEME PARTIE : SOLUTIONS A RETENIR
Chapitre I :SOLUTION RETENUES
Section 1 :Création d’une cellule de marché
Section 2 :Acquisition des matériels informatiques
Chapitre II :RESULTATS ATTENDUS ET RECOMMANDATIONS GENERALES
Section 1 : Résultats attendus
1.1. Impacts économiques
1.2. Impacts financiers
1.3. Impacts sociaux
Section 2 :Recommandations générales
2.1. Formation du personnel dans le secteur public
2.2. Dépolitisation des affaires financières
Conclusion
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