Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études
Environnement économique
Ici, on remarque que la quasi-totalité des produits destinés à l’épicerie, le textile, la quincaillerie, et divers autres produits dans la ville de Toliara proviennent des hautes villes telle que Antananarivo et Fianarantsoa. Il y a beaucoup de commerçant qui circule dans cet axe sans parler des touristes appelés « les touristes à sac à dos » qui sont très nombreux à circuler en taxi brousse dans cette zone réputée pour ses sites touristiques et ses biodiversités.
Activité et objectif du projet
Comme il a été énoncé dans l’introduction, nous visons la Professionnalisation du secteur transport de personne à Madagasikara. Nous cherchons également à mieux satisfaire les besoins des clients et contribuer au développement de ce secteur.
Ce projet consiste essentiellement au transport de personnes et de marchandises par voie routière. Cette section consistera à décrire le projet en termes de services à offrir. Le produit en question sera une offre de service de transport de passagers et de marchandises par voie terrestre dans la zone nationale résumé dans le tableau ci-après comprenant la distance de chaque circuit en considérant Antananarivo comme ville indicative de départ, la durée approximative du voyage, la comparaison des prix du marché aux prix que nous allons proposer .
ETUDE DU MARCHE VISE
Ce chapitre va détailler le résultat de l’étude de marché que nous avons effectué sur terrain. Il verra alors la description du marché visé, l’analyse de l’offre et de la demande ainsi que de la concurrence, et enfin l’analyse de l’environnement général.
Description du marché visé
Pour ce projet, nous visons pour commencer toutes personnes voyageant sur les routes reliant Antananarivo et les capitales des autres provinces de Madagascar c’est-à-dire Fianarantsoa et Toliara mais une extension dans les autres provinces est envisageable. Notre clientèle potentielle est très diversifiée car nous ciblons à la fois les vacanciers, les commerçants, les hommes d’affaire, les touristes, les étudiants, etc ; notre but étant d’offrir un service de transport de qualité. Pour le lancement, nous espérons atteindre à peu près 10% du marché dans la première année de notre activité.
Précisons que nous pouvons atteindre une plus grande part du marché si nous avons suffisamment de moyen mais la part que nous avons énoncée précédemment se réfère à notre capacité actuelle c’est-à-dire quatre (4) bus qui seront réparti comme suit :
– deux bus pour « Antananarivo – Tuliara », et
– deux bus pour « Antananarivo – Fianarantsoa ».
Analyse de l’offre
Nos concurrents directs sont évidemment les coopératives qui sont assez nombreux dont la plupart desservent ces lignes depuis longtemps. Puis, on peut compter également une agence de voyage nommée « MONTANA VOYAGE » qui a récemment occupée la ligne « Antananarivo – Tuléar ». Elle vise surtout les clients de niveau de vie assez élevé voir les touristes avec un prix considérablement élevé (pas moins de 50 000 Ariary), de même que la société « Mada Bus » qui a été créée très récemment (son tarif est de 53 000 Ariary). Il y a aussi le « TRANSPOST » qui est rattaché à l’établissement public « PAOSITRA MALAGASY » et qui occupe une des deux lignes que nous envisageons de couvrir c’est-à-dire « Antanarivo – Fianarantsoa ». Notons qu’il utilise déjà le type de véhicule que nous comptons employer (exclusivement du TOYOTA COASTER) avec un prix assez compétitif.
Nous n’allons pas ajouter ces trois dernières à la liste de nos concurrents directs car elles n’effectuent qu’un ou deux voyages par semaine avec très peu de part de marché et un prix que nous pouvons concurrencer.
Nous allons donc nous concentrer un peu plus sur le cas des coopératives qui sont nos principaux concurrents. Mais on doit surveiller « TRANSPOST » de près car pour l’instant elle n’est pas encore très connue pourtant elle arrive à attirer pas mal de clientèle à cause de sa ponctualité et de son tarif en dessous du marcher.
Analyse de la demande
Dans cette section, nous allons identifier les types de clientèle et évaluer la demande globale au niveau du transport à destination de Fianarantsoa et de Toliara.
Identification de la clientèle
Il est indispensable de parler des habitudes et des comportements de la clientèle qui ont l’habitude de faire le va et vient dans chaque axe de Madagascar concerné par notre projet pour trouver une sorte de similitude entre tous. Après avoir observé leurs comportements, nous sommes arrivés à les classer en quatre groupes homogènes.
Tout d’abord, il y a le groupe plus ou moins exigeant au point de vue « design » des voitures qui leurs sont proposées, si bien que certaines personnes demandent dans quelle voiture elles vont voyager avant de contracter, si la voiture ne leur convient pas, elles vont changer de coopérative.
Il existe aussi le cas des clients fidèles, composés des hommes d’affaires (surtout commerçant), qui bénéficient d’une réduction de prix de l’ordre de 4% à 10% au maximum après marchandage.
Les touristes (locaux et étranger), les étudiants des grandes écoles, les personnes d’une certaine classe ainsi que quelques voyageurs occasionnels cherchent simplement la qualité du service c’est-à-dire : le confort, l’assurance durant le voyage, la ponctualité surtout au départ, l’accueil de la clientèle comme la sécurité et la propreté de la gare. Ils sont prêts à payer plus que le prix du marcher pour un peu plus de confort.
Enfin il y a le groupe de personnes qui considère le frais de transport comme un critère de choix déterminant. Ce type de clientèle ne prend pas en compte de la qualité du service mis à part l’existence d’un autoradio.
Finalement, les voyageurs, comme toute la population malgache, aiment les bonnes choses, originales et nouvelles mais restent limité par leur pouvoir d’achat. On satisfait alors aux besoins Physiologique et social de la clientèle, besoin physiologique car on assure le transport de personne, et social puisqu’on agit en tant qu’intermédiaire reliant les différentes régions à un prix très compétitif que les concurrents auront du mal à égaler.
Evaluation du marché
Les données fournies dans cette sous section est exclusivement le fruit des recherches et étude sur terrains que nous avons effectué pendant plus d’un an et n’ont pas été tirée d’un ouvrage.
Cas Antananarivo – Toliara :
Pour Tuléar, on constate que, dans une année normale c’est-à-dire les années sans événement majeur comme élection présidentielle ou grève générale comme en 2002, les flux de voyageurs varient de façon assez régulière qu’on divise en saison haute et saison basse. D’après notre étude, les hautes saisons sont surtout les mois de vacances et de fêtes (Paque, Pentecôte, Noël, Assomption et les grandes vacances.) ainsi que les mois qui précèdent et qui suivent ces évènements car d’une part, il y a les hommes d’affaires qui vont s’approvisionner et d’autre part, il y a les gens qui vont rejoindre leur famille pour les fêtes. Les basses saisons sont les périodes où on peut identifier les fidèles clients de ce service. Nous tenons à préciser que l’étude de ce projet a été basée sur les basses saisons pour éviter l’immobilisation des bus dans les basses saisons du moins durant les années de remboursement.
Suite à des informations recueillies lors de ces deux années d’étude de marché, on a pu dénombrer le nombre des voyageurs réguliers à partir du nombre de voitures qui effectuent ce trajet. Il existait exactement dix (10) coopératives assurant le transport entre Antananarivo et Tuléar lors de nos premières descentes sur places et ce jusqu’au début de l’année 2005. Actuellement, il existe environ quatorze coopératives mais ils n’arrivent pas à remplir exactement deux voitures par jour par destination, c’est pourquoi nous allons considérer seulement les dix et estimer qu’ils remplissent quasiment deux voitures par jour par destination. En basse saison, chaque coopérative réussie à remplir deux voitures par jour au départ de chaque ville (Tana et Tuléar) soit environ cinquante deux places (13 places*2 voitures*2 Tana et Tuléar) places; ce qui donne un nombre total de cinq cent vingt (520) passagers en minibus par jour pour les dix coopératives (destination de Toliara Antananarivo seulement).
En haute saison, le nombre des passagers augmente considérablement si bien que quelques coopératives (KOFIFI, MAFIO, SONATRA) peuvent remplir jusqu’à quatre minibus en partance pour Tuléar et de deux à trois voitures pour Antananarivo soit environ neuf cent dix (13places*7 voitures *10 coopératives =910) passagers au total. Cela se produit comme on l’avait mentionné auparavant pendant les périodes de fête et de vacances. Mais pour notre part, et aussi pour plus d’assurance, nous allons baser notre calcul sur les chiffres de la basse saison afin d’utiliser les voitures à l’optimum.
Notre projet vise surtout la clientèle régulière qui voyage en minibus de quinze (15) places. Les facteurs déterminants de la demande sont surtout le confort, le prix et la rapidité. Mais nous prévoyons également que d’autres types de clientèle seraient attirés par notre projet car nous pouvons y trouver en même temps :
– Le confort car nous utilisons des bus aux normes avec des sièges à dossier haut,
– Le prix raisonnable car nos prix sont quinze pour cent moins cher que ceux des coopératives,
– La ponctualité, on doit être strict sur l’horaire pour que d’une part les bus aient un temps de pose de six heures avant d’entamer le prochain voyage et que d’autre part les voyageurs ne se plaignent pas du retard,
– Les diverses attractions comme la musique et le DVD et d’autre intérêt qu’on ne trouve pas chez les concurrents.
Cas Antananarivo – Fianarantsoa :
Pour Fianarantsoa, le marché est un peu différent car on est en face des coopératives qui utilisent trois types de voitures à savoir : les fameux minibus, des bus à trente places et les boeing. Les départs entre Antananarivo et Fianarantsoa sont très variés mais après une étude plus approfondie, on a pu constater qu’il y a deux principaux départs ; la matinée et le soir mais ce dernier est le plus fréquent c’est-à-dire que la plupart des usagers choisissent le voyage de nuit.
La matinée est plus calme pour le trajet Tana – Fianarantsoa et Fianarantsoa – Tana car seul les minibus assurent le voyage du jour et leur nombre varie de six à huit ce qui donne une demande moyenne de cent quatre vingt deux passagers tous les matins (13 places * 7 voitures * 2 = 182 passagers). La nuit, l’ambiance est très mouvementée car MAMI présente leur vieux Boeing à 7 000 Ariary la place mais les voyageurs préfèrent celui du SONATRA à 11 000 Ariary à cause de l’état de la voiture. Ce phénomène confirme le fait que les voyageurs observent l’état de la voiture dans laquelle ils voyagent avant de réserver.
Il y a aussi les bus à trente places de TRANS INTER et de BANDE BLEUE qui s’affichent toujours complets à chaque départ même s’ils appliquent le même prix que les minibus, dans l’ordre de 13 000 à 14 000 Ariary. Mais ces voitures ne suffisent pas à satisfaire le marché et c’est pour cela que cinq à six minibus comblent ce marché.
Quant à « MADA Travel» il va conquérir les dix pour cent du marché à la basse saison. Il est à rappeler qu’on se base sur la basse saison pour que toutes les premières voitures acquises travaillent à l’optimum en adoptant une stratégie de plan de voyage très stricte sans pour autant fatiguer les chauffeurs ni les bus. Nous pouvons assurément satisfaire sans problème la demande en haute saison à condition d’avoir le nombre de voitures nécessaires et affecter les voitures en trop en d’autre activée ou à d’autre destination pendant la basse saison mais nous préférons rester ainsi pour alléger la somme à demander.
La concurrence
Dans cette section, nous allons étudier les points forts et les points faibles des concurrents.
Points fort des concurrents
Nous somme en face de concurrents qui existent depuis longtemps, ils sont donc plus connus, plus expérimentés et ils possèdent également des voitures en quantité assez élevée. La rapidité est aussi une des points forts de la concurrence, point fort car les voyageurs n’aiment pas les voitures à faible vitesse ainsi que les voitures en mauvais état. Ils attirent également les voyageurs par leur sonorisation bien à point et ils ont pu identifier les genres de musiques préférées par ces derniers. Nous avons aussi remarqué que quelques voyageurs ont leur coopérative « fétiche » mais d’après les enquêtes, cette fidélité n’est que le fruit d’une habitude de la part des voyageurs et la célébrité des coopératives.
Puisque les coopératives se trouvent au même endroit c’est-à-dire l’axe Sud à Fasankarana, les gens ne sont pas obligés de faire le va et vient au cas où l’une d’elle affiche complète. Ils peuvent également faire le choix entre ces nombreuses coopératives selon la voiture qui leur convienne. Des minis resto existent sur le lieu pour ceux qui n’ont pas eu le temps de manger avant le départ ou pour ceux qui veulent emmener quelque chose à grignoter. Les passagers peuvent être rassurés sur le fait qu’il y ait toujours des voitures au départ tous les jours. Tout ceci constitue les avantages de nos concurrents.
Certaines coopératives possèdent également des Boeing et arrivent à réduire leurs charges en chauffeurs et en entretiens et surtout en carburant car pour cinquante places ils n’ont besoin qu’une voiture, un chauffeur, un réservoir à remplir. La différence peut sembler négligeable mais au fil du temps et avec une bonne stratégie ils pourront nous devancer.
Points faible des concurrents
En étudiant de près ces coopératives, ils ont beaucoup de points faibles. Comme nous avions déjà mentionné auparavant, leurs voitures ne sont pas assez confortables car ils utilisent : soient des Mazda E2200, soient des Toyota ou d’autre minibus n’excédant pas les 15 places. L’espace et la qualité des sièges dans ces véhicules dont la plupart ne comporte pas de repose tête ne sont pas compatibles par rapport à la distance du trajet surtout pour Tuléar (un périple d’à peu près 18 heures).
Chaque voiture dans une coopérative appartient à des propriétaires différents donc elle peut regrouper jusqu’à quatorze propriétaires voir plus. Dans la plupart des cas, ces derniers ne se connaissent même pas et gèrent individuellement leur activité, ceci peut aboutir à la longue à un manque de cohérence et une possibilité de développement assez faible.
Il existe aussi d’autres points faibles comme l’étroitesse de la gare routière. En effet, ce lieu est très étroit car il accueille non seulement ces dix coopératives mais d’autres encore. Il y a un manque d’espace, de sécurité et de confort considérable surtout en saison de pluie en raison de la boue qui y règne en cette période. Il arrive qu’en haute saison les coopératives n’arrivent pas à satisfaire la demande à cause de l’augmentation de flux de voyageurs et étant limitées par le nombre de voitures qu’elles possèdent. Le prix sur le marché peut donc être concurrencé avec une bonne gestion, un effort marketing, et surtout une amélioration des conditions des voyageurs.
Ces coopératives sont plus sensibles aux variations du prix des carburants par rapport à notre projet du fait du nombre de place de leur véhicule qui est largement insuffisant pour faire face à une éventuelle augmentation du prix du carburant.
Dans le cas des Boeing ils auront du mal à remplir les cinquante places après l’ouverture de MADA Travel car une fois MADA Travel connue et toutes nos stratégies bien au point, leur part de marché sera réduite et ils seront obligés soit d’augmenter leur prix soit d’abandonner.
Analyse de l’environnement général
Dans cette section, nous allons analyser les facteurs contextuels et structurels qui exercent une influence, favorable ou défavorable sur le secteur d’activité. L’environnement économique étudié dans les caractéristiques du projet ( chapitre 1) peut être pris en compte également dans cette section.
Au cours des dernières années, nous avons assisté à des changements sociaux et culturels importants. Les consommateurs deviennent de plus en plus exigeants sur la qualité des biens et des services qu’on leur propose, c’est évident car dans le temps, les voyageurs acceptaien de voyager dans des conditions si atroces que le seul luxe était un camion adapté dont les sièges étaient très étroits. Aujourd’hui, la vie a changé, certaine personne ose même payer une place supplémentaire pour leur confort, confort qui est une des rares ressources que les transporteurs négligent actuellement et que nous allons utiliser comme étant notre arme principale. Pour le moment on peut dire que notre bus est un paradis pour les voyageurs mais demain on prévoie que ces derniers vont changer de style et préfèreront peut être se déplacer en bus nouvelle génération ou d’autres moyens de transport, les Malgaches sont tellement friands de nouveauté.
On ne peut aussi cacher que le prix du pétrole dans le monde entier est très instable pour diverses raisons, chose qui est à suivre de très près pour notre entreprise car cela pourrait nous donner de mauvaises surprises si nous ne le faisons pas assez. Pour prévenir cette augmentation et l’instabilité du prix, nous avons pris une certaine mesure pour bien contrôler et pour mieux gérer les dépenses en carburants et nous pensons aussi que l’utilisation du « super fuel max » nous permettrait de ne pas être directement touché par cette augmentation et nous laisserait une marge de temps pour revoir notre stratégie si jamais elle n’est pas prévisible.
Concernant la possibilité de l’évolution de la technologie, elle est très probable vue la vitesse à laquelle les nouvelles technologies affluent de nos jours. Cela pourrait être défavorable dans le cas où nous nous désintéresserions de ce qui se passe autour de nous et surtout à l’étranger car les concurrents pourraient nous devancer. C’est pourquoi nous adoptons toujours une attitude innovatrice et ouverte à notre environnement pour percevoir chaque signe de changement et ne pas se laisser devancer. Compte tenu de la réduction du volume de pétrole disponible sur terre, nous prévoyons déjà d’établir une provision spéciale pour désuétude des véhicules roulant avec les produits pétroliers.
Au point de vue économique, la création de MADA Travel aura un impact positif non négligeable sur l’économie malgache car elle contribue à l’augmentation des recettes de l’Etat. La nouvelle société contribuera également à améliorer la vie sociale grâce à la création d’emploi et surtout favorise l’échange inter provincial.
Enfin, le dernier point qu’il ne faudrait pas oublier est relatif à l’impact écologique qu’aura notre projet. Il est vrai que l’automobile contribue à la pollution de l’air selon son état et c’est justement en connaissance de cause que nous avons prévu quelques mesures afin d’éviter ou au mieux de réduire cet impact négatif.
Dans ce second chapitre, on a constaté que le marché existe et l’on a pu déterminer l’offre existante et la segmentation des clients potentiels. Nous savons désormais quels sont les points forts et les points faibles des concurrents ainsi que les différents contextes qui peuvent être favorable ou non au projet. Il nous appartient de ce fait de tirer profit de tous ces éléments et de les utiliser pour la réalisation de ce projet. Avant d’entrer dans la réalisation proprement dite, nous verrons tout d’abord quelques théories sur les outils et les critères d’évaluation du projet car ces éléments sont essentiels pour déterminer la faisabilité du projet.
|
Table des matières
INTRODUCTIONPREMIERE PARTIE : IDENTIFICATION DU PROJET
Chapitre I – PRESENTATION DU PROJET
Section 1 – Historique
Section 2 – Caractéristiques du projet
Chapitre II – ETUDE DU MARCHE VISE
Section 1 – Description du marché visé
Section 2 – Analyse de l’offre
Section 3 – Analyse de la demande
Section 4 – La concurrence
Section 5 – Analyse de l’environnement général
Chapitre III – THEORIE GENERAL SUR LES OUTILS ET LES CRITERES D’EVALUATION
Section 1 – Les outils d’évaluation
Section 2 – Les critères d’évaluation du projet
DEUXIEME PARTIE : CONDUITE DU PROJET
Chapitre I – TECHNIQUE DE PRODUCTION
Section 1 – Identification des matériels
Section 2 – Planification des voyages
Section 3 – Le système de rotation des chauffeurs
Chapitre II – CAPACITE DE L’OFFRE DE SERVICE ENVISAGE
Section 1 – Capacité du véhicule et de l’offre
Section 2 – Prévision de vente
Section 3 – Le système de contrôle qualité
Chapitre III – POLITIQUE MARKETING
Section 1 – Stratégie de produit
Section 2 – Stratégie de prix
Section 3 – Stratégie de publicité
Section 4 – Service après vente
Chapitre IV – ETUDE ORGANISATIONNELLE
Section 1 – Structure organisationnelle
Section 2 – Organisation du travail
Section 3 – Calendrier de réalisation
TROISIEME PARTIE : ETUDE FINANCIERE DU PROJET
Chapitre I – COUT D’INVESTISSEMENT
Section 1 – Coût des investissements
Section 2 – Tableau d’amortissement
Section 3 – Tableau de remboursement des dettes
Section 4 – Les comptes de gestion
Chapitre II – ETUDE DE FAISABILITE
Section 1 – Les comptes de résultats prévisionnels
Section 2 – Le plan de trésorerie prévisionnel
Section 3– Le bilan prévisionnel
Chapitre III – EVALUATION DU PROJET
Section 1 – Evaluation financière
Section 2 – Evaluation économique
Section 3 – Evaluation sociale
CONCLUSION GENERALEANNEXES
BIBLIOGRAPHIE
TABLE DES MATIERES
Télécharger le rapport complet