Théorie des acteurs et de son dynamisme dans le contexte du développement local

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Notre zone d’intervention de recherche

Il convient de présenter notre zone d‟étude avant de passer directement à la présentation des résultats recueillis au moyen de l‟enquête.

Monographie de la Commune Rurale d’Analavory

Analavory, une Commune Rurale qui se situe à 111 km d‟Antanarivo sur la Route National numéro 1 (RN1), elle se localise précisément sur le croisement de la latitude et la longitude : 18° 35‟S et 46°26‟E. Elle est limitée par :
– Au nord: AnosibeIfanja, SarobaratraIfanja, Andolofotsy et Ambatomanjaka.
– Au sud : Ampefy et Ankaranana.
– A l‟ouest : Alatsinainikely et Ankadinondry Sakay.
– A l‟Est : Miarinarivo II et Manazary.

Les moyens d’existence de la population de la Commune

La Commune dispose d‟un potentiel en terre cultivable de 3 500 ha. Le sol est de type volcanique, riche en minéraux. La quasi-totalité des ménages qui représentent 84,06% (56 693 habitants) de l‟effectif global de la population disposent des exploitations agricoles qui constituent le principal moyen d‟existence.
La population du Fokontany vit dans des conditions difficiles face aux divers problèmes concernant
 Les difficultés d‟accès des ménages aux moyens d‟existence .
 L‟insécurité grandissante au niveau des Fokontany fragilise la population locale .
 Les dégradations multiformes de l‟environnement : celles occasionnées par les crues à la rivière Mazy en période de pluie, celles par les feux de brousse et du changement climatique en général, constituent un frein au développement de la localité .
 le Chef Fokontany et ses collaborateurs éprouvent de difficultés à bien cerner la globalité du Fokontany due à l‟immensité de sa superficie qui s‟étend sur 6 km2 à l‟éparpillement entre les hameaux et inversement certaine sensation d‟isolement par des populations des hameaux, à cause des distances qui les séparent du Fokontany .
 le manque d‟ouvrage d‟affranchissement au niveau de la rivière Mazy oblige la population locale de faire le contour de l‟un des secteurs pour aller dans l‟autre.
 L‟on a en outre noté, l‟importance de taux de déscolarisation chez les enfants.
Par ailleurs, une frange de population exerce dans d‟autres secteurs, tels que : l‟administration, le commerce, le transport, l‟activité de pêche, le tourisme, l‟artisanat, des projets ruraux ou ONG en tant que supports au développement local.

Les réseaux d’intercommunalité au sein de la Région Itasy L’Association 3A Miroso

L‟Association 3A Miroso, couvre l‟intercommunalité qui comprend : Analavory, Anosibe Ifanja et Ampefy. Une Association d‟économie sociale à but non lucratif régie par l‟ordonnance 60-133 du 03 octobre 1960.Son siège social se trouve dans le chef-lieu de la Commune d‟Analavory.
Les objectifs de l‟Association visent la contribution au développement de ses membres, telle que l‟amélioration des conditions d‟accès à l‟eau potable, d‟assainissement, d‟éducation, de protection de l‟environnement, d‟éducation sportive aux jeunes, en leur offrant de divertissement et de loisir. Selon le registre de l‟Association, un accord de coopération entre la Région Itasy et à la Région d‟Aquitaine en France fut réalisé le 12 octobre 2007. La base de cet accord est d‟entreprendre un développement progressif de la Région d‟Itasy.
Le programme de développement 3P2I (Programme Pilote pour la Promotion de l‟Intercommunalité en Itasy) est mis en oeuvre. Il vise à renforcer le rôle et la place des Communes comme relais de la population à la Région, d‟élaborer une démarche novatrice en faveur de la décentralisation en créant des Associations de base dans les Fokontany, de rechercher l‟appropriation des acquis par une participation plus forte des acteurs communaux et finalement de promouvoir les intercommunalités de la Région.
Les Intercommunalités concernées sont celles de : Soamahamanina, Miarinarivo I, MiarinarivoII, Manazary et d‟Antoby Est dénommée MAMISOA. Ensuite, celle de : Analavory, Anosibe Ifanja et Ampefy dénommée 3A Miroso. Celle de : Soavinandriana, Ampary et Antanetibe dénommée ASA et enfin celle de : Arivonimamo I et II, Imeritsiatosika, Ambatomirahavavy dénommée 3AI.
La coopération entre ces Association est importante, le partage et les échanges des informations entre les Association de base dans les Fokontany des communs membres des est effectué régulièrement il se fait entre deux à quatre CDF designer des intercommunalités. Ils sont choisis par rapport à l‟exécution de leur plan de développement. Ces échanges d‟information et d‟expérience sont sous la direction des CAPA (Chargé d‟Appuie Planification/Animation) de chaque intercommunalité qui participe à l‟échange.
Visite des CDF dites pilote vue leur dynamise, leur réalisation du plan d‟action annuelle. Ces visitent est effectuer par les responsables de toutes les intercommunalités de la Région afin d‟avoir une diffusion rapide des faits marquants réalisé dans un Association de base des intercommunalité d‟un Commune, mais aussi pour faire augmenté le dynamisme et la motivation des membres des CDF visité.

Le développement local, comme un principe émanant de la Décentralisation

La Région est un des échelons territoriaux du découpage juridique de l’espace national. Elle joue un rôle primordial dans la planification et dans l’aménagement du territoire. Leur impact sur le développement local est réel. La région s’affirme dans les faits comme l’échelon de référence du développement industriel, comme niveau administratif de coordination et d’action. L’intervention économique locale est donc considérée comme étant de la compétence de la Région, à laquelle les Districts et les Communes auront vocation à s’associer. Entre les enjeux nationaux et les réalités locales, la planification appuie les leviers locaux du développement, en faisant participer les acteurs locaux à l’élaboration du plan régional, et en aidant à la formulation de projets de développement local. Le contenu du contrat plan répond à la volonté de traiter des problèmes de développement, même si cela ne correspond pas tout à fait à la distribution juridique des compétences.
Il a été constaté que les « entrées en économie » des entreprises associatives ont connu beaucoup de succès au développement local (Revue PROJET consacrée au centenaire de la loi 1901, page 88-89)

Le développement participatif

Le développement participatif se définit par : La dimension humaine du développement renforce les opportunités et les capacités de faire vu l’universalité de droit, d’exprimer des choix et de transformer ces choix en actions et en résultats. En effet, l’aptitude des personnes à participer à la prestation de services et à la gouvernance locale n’est pas seulement déterminée par leurs ressources individuelles (argent, informations, compétences, etc.) mais aussi par le capital social qui fournit la base permettant à l’action collective de répondre à leurs préoccupations communes. Le développement participatif désigne, dans le champ de l’aide au développement, une approche opérationnelle qui cherche à susciter l’implication des récipiendaires de l’aide dans la conception et la mise en oeuvre des interventions.(…)Par extension, sert à qualifier de manière normative le processus de changement social beaucoup plus large qui est censé en résulter, en termes de convergence vis-à-vis de certaines valeurs de démocratie, d’éradication de la pauvreté, de bonne gouvernance, etc. »26

Une approche systémo-solidaire

Une approche systémo-solidaire. Une approche où l‟Etat partage certaines de ses compétences avec les autres acteurs de développement tout en maintenant un rôle déterminant dans le pilotage stratégique du développement local. Une approche systémique qui met un accent particulier sur le rôle des acteurs au niveau local et les conditionnalités de partenariat entre eux et une approche solidaire qui s‟appuie principalement sur l‟initiative des populations locales. Alors que la première privilégie le partenariat public-privé et conséquemment préconise la présence de l‟Etat à toutes les phases du processus devant conduire à une meilleure coordination des actions de développement local, la seconde favorise la négociation qui suppose le partage des décisions. Dans ce dernier cas, le pilotage de développement local est réservé prioritairement aux organisations de la société civile et prend très peu en compte les autorités locales et l‟Etat dans le processus.

Théorie des acteurs et de son dynamisme dans le contexte du développement local

Le mot groupe vient de la langue italienne« groppo »dont le sens était noeud, le terme groupe désigne une réunion de personnes à une origine récente (XVIII°) et n‟apparait lentement qu‟au cours de l‟histoire de la pensée.
Une enquête est menée dans les années 60 et montre que « … la notion de groupe est inexistante pour la plupart des sujets. Le groupe est éphémère, dominé par le hasard. Seules existent les relations interindividuelles ».
Le Groupe désigne ainsi, un rassemblement de plusieurs personnes dans un lieu précis et partageant des points de vue communes, poursuivant des objectifs et partageant des mêmes intérêts.

L’approche genre et développement

Dans chaque société, les statuts et les rôles assignés aux hommes et aux femmes sont déterminants pour leur participation au développement de leur communauté. L‟inégalité en termes de rapports de pouvoir ou de participation à la prise de décision est l‟une des causes structurelles de l‟instabilité politique et sociale qui engendrent la pauvreté27. Selon Elisabeth HOFMANN« Aborder le développement sous l‟angle du genre, c‟est admettre que les rapports sociaux de sexe sont déterminants dans tout processus social et donc dans le développement de toute société ».Cet argument fait allusion à la nécessité des relations sociales favorables au développement, devant être vécues par les personnes de sexe masculin et celles de sexe féminin, dans chaque communauté au monde.
L’approche genre et développement se fonde sur les relations femmes / hommes que détermine la société et non plus sur les femmes en tant que groupe. L‟approche est centrée sur les forces sociales, économiques, politiques et culturelles qui déterminent la façon dont les hommes et les femmes peuvent participer à un projet, en profiter et contrôler ses ressources et ses activités.

Structure d’organisation

Selon H. Mintzberg « L‟organisation se définit comme une action collective à la poursuite de la réalisation d‟une mission commune ».
Une structure suivant une logique propre pour atteindre un but précis. On parle alors de la société dans sa globalité ou de l’organisation d’une partie de l’effectif de la société visant la résolution d’un problème ou l’accomplissement d’une tâche. L‟organisation désigne aussi l’ensemble des responsabilités, pouvoirs et relations entre les personnes permettant à un organisme d’atteindre ses objectifs.

Règlement statutaire de l’Association

Du 06 au 15 décembre 2014, avec l‟appui technique de3A Miroso, des membres se réunissaient autour de l‟élaboration des projets de textes internes de statuts, du règlement intérieur et de la convention collective (dina) de l‟Association. Les textes internes ont pour but, de définir des modalités pratiques du fonctionnement organique, et des mesures d‟autoréglementation. Les statuts définissent les généralités sur l‟Association telles que, sa dénomination, sa localisation, son but, son objet et ses objectifs de développement, les conditions d‟adhésion des membres, la disposition organique et leur mode de fonctionnement respectif, les ressources de l‟Association. Le règlement intérieur définit les modalités pratiques sur la mise en oeuvre des statuts. , à savoir, entre autres, la périodicité de la mise en oeuvre des activités et des réunions, les modalités pratiques à adopter pour la prise des décisions. Les textes internes ont eu l‟approbation à l‟unanimité de tous les membres qui ne sont autres que la population du Fokontany.

Niveau de maturité institutionnelle et organisationnelle de l’Association

C’est l’organe de délibération de l’Association. L‟Association KFF d‟Ambohimanana fonctionne avec deux types d‟assemblée générale : l‟assemblée générale celle ordinaire et l’assemblée générale celle extraordinaire.
L’Assemblée Générale Ordinaire (AGO) se réunit tous les trimestres, Elle sert aux présentations et approbations du programme des activités à réaliser et du rapport moral. Par ailleurs, elle sert à l‟examen des actes de gestion importants (achats, ventes, orientation des activités, montant des cotisations, …), etc.
L’Assemblée Générale Extraordinaire (AGE) par la convocation spéciale du Conseil d‟Administration ou par la demande de plus de deux commissions de l‟Association est convoquée afin d‟entériner des grandes décisions à caractère d‟urgence.
Depuis sa création, elle a effectué 2 AG, la première le 21 mars 2015 et la deuxième le 27 juin 2015.C‟est perçu comme des moments de convivialité entre les membres. C‟est aussi l‟occasion de faire un bilan des actions entreprises suivies des évaluations des atouts comme des faiblesses, comme des impacts positifs ou négatifs. C‟est l‟occasion de poser librement des questions autour du bilan ou d‟autres choses et de présenter des actions à mener pour les trois mois à venir.

Le vice-président

Il remplace temporairement le président en cas d‟absence de ce dernier sauf dans les questions de finance. Comme sa collaboration avec le Président est très proche, il en résulte qu‟il maîtrise la vie associative du KFF au même titre que ce dernier.

Le Ray aman-Dreny ou notable en tant que conseiller

Selon le dicton malagasy: « aza mitsako alohan’ny vazana » qui signifie qu‟il ne faut oser faire quelque chose sans être passé par la consultation des anciens , du fait que la culture malagasy donne beaucoup de respects, de valeurs sécurisantes et d‟égard à ses doyens d‟âge.
Pour l‟Association d‟Ambohimanana, on a recensé trois notables qui occupent une place de conseiller du président et du vice-président de l‟Association. Les notables sont érigés au statut des personnes ressources à toute action de développement promue par 3AMiroso, si bien que les valeurs du développement sont bien accueillies par la population locale. Au cours des Assemblées Générales, les notables prennent en premier lieu la parole en renforçant la confiance entre les responsables de KFF et ses membres. A dire que cette structure traditionnelle joue le rôle de gardien de valeurs et de garant pour la mise à diapason des responsable de KFF ses membres.

Le trésorier

Le trésorier partage souvent avec le président la charge de tout ce qui concerne la gestion financière de l‟Association. A ce titre, il appose avec le président, sa signature aux chèques de l‟Association. Il effectue les paiements des dépenses à réaliser, recouvre les recettes qui proviennent des membres. Il est responsable de la tenue correcte selon la règle de l‟art des documents comptables. Il rend compte de sa gestion devant l‟assemblée générale.
Avec le président de l‟Association, il est mandaté au poste de signataire du compte bancaire de l‟Association, à chaque AG, le trésorier de l‟Association établit et présente le rapport des dépenses et des recettes effectuées lors de l‟exécution. C‟est par ce rite que le trésorier fasse régner la transparence au sein de l‟Association.

Les commissions de l’Association

Les commissions de l‟Association oeuvrent au niveau de sept thématiques qui concernent toute la population du Fokontany Ambohimanana, à savoir : la santé, l‟éducation, la sécurité de la localité, l‟eau potable, l‟infrastructure, la jeunesse et le sport ainsi que l‟économie.
Les membres des commissions au niveau des hameaux ou villages, jouent aussi un rôle de représentant de proximité du bureau exécutif. Les membres des commissions conduisent des animations de sensibilisation. Ils vérifient les activés réalisées dans leur localité. Ils servent à la fois de contrôleurs, en tant qu‟organe connexe au Bureau Exécutif, et d‟exécutants, en tant que commissions à missions thématiques.
Elles servent aussi comme rapporteur lors des réunions trimestrielles, ils évaluent les actions réalisées par rapport au plan d‟action établi.

Niveau d’opérationnalité

En vue d‟atteindre les objectifs de la structure, un Plan d‟action triennal fut élaboré sous l‟appui technique de 3A Miroso. A la fin de chaque année, les membres du bureau élaborent un Programme de Travail Annuel (PTA) qu‟ils appellent : « Plan du Développement de Fokontany » ou PDF. Toute la population du Fokontany est consultée dans l‟élaboration de ce plan annuel.
Ce document a été multiplié en trois exemplaires dont un exemplaire est remis à la Commune d‟Analavory Itasy, un autre est envoyé à 3A Miroso et un troisième est gardé par l‟Association en guise d‟archive.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
Question de départ
L‟objectif global
Choix du terrain
Ière PARTIE : CADRAGE CONTEXTUEL, CONCEPTUEL ET METHODOLOGIQUE
Chapitre 1 :ETAT DES LIEUX ET PRESENTATION DE LA ZONE D‟ETUDE 
Section I : Etat des lieux international
Section II : Etat des lieux national
Section III : Notre zone d‟intervention de recherche
1. Monographie de la Commune Rurale d‟Analavory
a. L‟effectif de la population d‟Analavory
b. Les moyens d‟existence de la population de la Commune
N° 1 : Tableau de la liste des Associations dans la Commune
N° 2: Tableau de la liste des ONG
2. Les réseaux d‟intercommunalité au sein de la Région Itasy
Chapitre 2 : REPERES THEORICO-CONCEPTUELS ET METHODOLOGIE DE RECHERCHE
Section I : Origines et définitions théorique des concepts
1. La notion de « local »
2. Le développement local
3. Le développement local, comme un principe émanant de la Décentralisation
4. Le développement participatif
5. Une approche systémo-solidaire
6. Théorie des acteurs et de son dynamisme dans le contexte du développement local
8. Structure d‟organisation
9. La dynamique de groupe
10. Association
11. La démocratie et la règle démocratique dans le mode de gestion de l‟Association
Section II : Problématisation
1. Problématique
2. Les hypothèses
3. Méthodologie d‟investigation sur le terrain
a. Documentation bibliographique
b. Collecte des données
c. Des méthodes de diagnostic participatif
d. Méthode de focus group
e. Méthode d‟entretien privilégie
f. L‟entretien participatif
g. Méthode d‟analyse, dépouillement et traitement des tenues documentaires 31
IIème PARTIE : APPLICATION DES CHOIX THEORIQUES SUR LE TERRAIN 
Chapitre 3 : RESULTATS DES OBSERVATIONS SUR LE MODE DE MISE EN PLACE, CELUI DE MISE EN FONCTIONNEMENT ET SUR LA MISE EN OPERATIONNALITE DE LA STRUCTURE
Section I : Le KFF d‟Ambohimanana
1. Les motivations autour du réseautage
N°3: Tableau sur les motifs d‟adhésion des membres
N°4 : Tableau sur l‟effectif désagrégé des responsables
2. Règlement statutaire de l‟Association
Section II : Niveau de maturité institutionnelle et organisationnelle de l‟Association
1. L‟Assemblé Générale (AG)
N°5: Tableau sur la tenue des AG de l‟Association
N°11: Tableau de l‟hiérarchisation des principaux motifs d‟absence:
a. Le président
b. Le vice-président
c. Le Ray aman-Dreny ou notable en tant que conseiller
d. Le trésorier
e. Le secrétaire
f. Le Conseil d’Administration
2. L‟organe de contrôle interne
3. Les commissions de l‟Association
Section III : Niveau d‟opérationnalité
N°6 : Tableau du Plan de d‟action triennal
1. Les activités à moyen terme
N° 7: Tableau des activités à moyen terme
2. Activité à long terme :
N° 8 :Tableau des activités à long terme
N°9 : Tableau résumant les activités déjà mises en oeuvre
3. Sur le plan financier de l‟Association
N°10 : Tableau des multiples ressources financières de l‟Association KFF Ambohimanana
Chapitre 4 : ANALYSE ET BILAN DE LA RECHERCHE
L‟appropriation des différentes valeurs par les membres
Section I : Sur le mode de mise en place de la structure d‟organisation
Section II : Sur le mode de fonctionnement de la structure d‟opération
Section III : Sur la mise en opérationnalité de la structure d‟organisation
Section IV : Vérification des hypothèses
IIIème PARTIE : APPROCHE PROSPECTIVE DE LA RESOLUTION DE LA PROBLEMATIQUE
Chapitre 5: INTERVENTION DES AUTRES ENTITES EXTERNES DE L‟ASSOCIATION
Section I : De la part de l‟Etat
Section II : De la part des structures d‟organisation externe qu‟interne de la Commune
Section III : De la part de la population bénéficiaire
Chapitre 6: SUGGESTIONS D‟AMELIORATIONET SUGGESTION PROFESSIONNELLES
Section I : La maîtrise des responsabilités et l‟effective adhésion des membres
1. Le président
2. Les Ray aman-dReny ou les notables
3. Le trésorier
4. Les secrétaires
5. Les commissions
6. Les membres
Section II : Un appui externe permanent mais dégressif
Section III : L‟acquisition de culture socio-organisationnelle par les membres de la structure
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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