TECHNIQUES MIMO ET COMMUNICATIONS A HAUT DEBIT

Chaine de transmission numรฉrique

ย  Une chaine de transmission numรฉrique reprรฉsente lโ€™ensemble des traitements reliant une source (dรฉlivrant le message ร  transmettre) ร  un destinataire, ร  travers un canal de transmission, dans le but de transmettre ร  distance des informations de maniรจre fiable et ร  coรปt rรฉduit.Lโ€™รฉmetteur convertit sous une forme adaptรฉe au canal le flux dโ€™information qui est numรฉrique cโ€™est-ร -dire quโ€™il est codรฉ par des sรฉquences de 0 et de 1 fourni par la source. Le rรฉcepteur reรงoit le signal et le convertit en information utilisable pour le fournir au destinataire en effectuant les opรฉrations inverse rรฉalisรฉs ร  lโ€™รฉmission. Le canal de transmission est un support permettant la propagation du signal de lโ€™รฉmetteur au rรฉcepteur et perturbant le signal, il diffรจre selon le type dโ€™application envisagรฉe. Dans le cadre de notre รฉtude, nous envisagerons plutรดt les transmissions radio mobiles, qui utilisent lโ€™onde radioรฉlectrique comme support de transmission. Quel que soit le support employรฉ lors de la propagation du signal, celui-ci subit des dรฉgradations dโ€™origine diverse, comme les รฉvanouissements propres ร  la propagation, le bruit thermique gรฉnรฉrรฉ par les appareils รฉlectroniques ou encore des perturbations รฉlectriques dues aux brouilleurs, parasites et ร  la foudre. Des techniques de traitement du signal, de codage et de modulation ont รฉtรฉ dรฉveloppรฉes ces derniรจres annรฉes pour amรฉliorer la robustesse des liaisons vis-ร -vis du bruit. La Figure I.1 dรฉcrit une vue de diffรฉrents รฉlรฉments de base dโ€™une chaine de communication numรฉrique. Le systรจme MIMO prรฉsentรฉ dans cette figure emploie un codage espace-temps qui exploite les dimensions spatiale et temporelle apportรฉes par le canal MIMO. Dans ce systรจme, lโ€™รฉmetteur comprend les fonctions de codage de canal, de conversion bit/symbole et de codage espace-temps. Quant au rรฉcepteur, il comprend les fonctions symรฉtriques, ร  savoir : la dรฉtection MIMO, la conversion symbole/bit et le dรฉcodage de canal. Avant de dรฉfinir ce quโ€™est un canal multi-antennes, nous allons tout dโ€™abord aborder le canal mono-antenne.

Bruit radio รฉlectrique

ย  Lโ€™รฉlรฉment perturbateur majeur dโ€™une communication est le bruit. Ainsi, il se dรฉfinit comme tout signal ne contenant pas dโ€™information utile et vient perturber le signal dรฉsirรฉ. Il est indรฉpendant du signal รฉmis. Les origines de ce bruit sont le milieu de transmission (bruit externe), ou les dispositifs รฉlectroniques utilisรฉs dans le rรฉcepteur (bruit interne). Ce bruit possรจde une puissance et permet dโ€™introduire un paramรจtre de rรฉfรฉrence : le rapport signal sur bruit (RSB) dรฉfini comme le rapport de la puissance du signal utile sur la puissance du bruit. Un des intรฉrรชts des communications numรฉriques est de proposer une sensibilitรฉ au bruit infรฉrieure ร  celle des communications analogiques. Le bruit est prรฉsent dans toute transmission, sur tout rรฉseau. Ses origines sont diverses :
๏‚ท Ronflement dรป au secteur (50 Hz),
๏‚ท Perturbations atmosphรฉriques
๏‚ท Diaphonie (mรฉlange de voies),
๏‚ท Parasites industriels,
๏‚ท Bruit de fond cosmique
๏‚ท Bruit thermiqueโ€ฆ
Le bruit est une valeur stochastique que ni lโ€™รฉmetteur ni le rรฉcepteur ne peuvent contrรดler. Il est nรฉcessaire dโ€™attribuer un modรจle statistique au bruit et celui classiquement utilisรฉ est de considรฉrer un bruit (notรฉ n) blanc additif gaussien (BBAG) de valeur moyenne nulle et de variance ??2.

Diversitรฉ spatiale

ย  Connue aussi sous le nom de diversitรฉ dโ€™antennes. Consiste ร  utiliser plusieurs antennes ร  lโ€™รฉmission et/ou ร  la rรฉception adรฉquatement espacรฉes pour que lโ€™onde transmise subisse un รฉvanouissement indรฉpendant. Pour ce faire, les antennes ne doivent pas รชtre trop proches pour que les signaux ne soient pas corrรฉlรฉs. Ces antennes doivent รชtre sรฉparรฉ dans lโ€™espace dโ€™au moins la distance de cohรฉrence [8], qui correspond ร  la sรฉparation minimale des antennes garantissant un รฉvanouissement indรฉpendant et dรฉpend donc de lโ€™angle de dรฉpart et/ou dโ€™arrivรฉe des multi trajets. Cette distance de cohรฉrence est liรฉe ร  la hauteur de lโ€™antenne dโ€™une station debase par exemple [9]. Elle dรฉpend de la longueur dโ€™onde et diffรจre entre les antennes รฉmettrices et rรฉceptrices. Contrairement aux techniques de diversitรฉ temporelle et frรฉquentielle, la diversitรฉ spatiale nโ€™introduit aucune perte dโ€™efficacitรฉ spectrale. Cette propriรฉtรฉ est trรจs intรฉressante pour les futurs systรจmes de communication sans fils haut dรฉbit [5]. Il existe plusieurs techniques (autres que la rรฉpรฉtition) pour exploiter la diversitรฉ prรฉsentรฉe par le canal. En effet, les techniques de codage, qui seront dรฉtalais dans le chapitre suivant, peuvent รชtre utilisรฉes afin dโ€™exploiter cette diversitรฉ en transmission et/ou en rรฉception. Le codage peut se faire ร  plusieurs niveaux, cependant il est possible de distinguer deux grandes catรฉgories [7] :
๏ƒ˜ Le codage du canal numรฉrique a pour but de transformer la sรฉquence dโ€™information utile en une sรฉquence discrรจte nommรฉe mot de code, il peut รชtre binaire ou non binaire. Le dรฉfi du codage de lโ€™information numรฉrique est de rรฉussir ร  bien rรฉcupรฉrer lโ€™information ร  la rรฉception, le moins possible affectรฉe par les bruits du canal de transmission [10].
๏ƒ˜ Le codage espace-temps est associรฉ aux systรจmes MIMO. Il consiste ร  exploiter la diversitรฉ spatiale et/ou temporelle en introduisant dans le domaine spatial et temporel de la redondance ou de la corrรฉlation entre les symboles transmis. Lโ€™intรฉrรชt des systรจmes MIMO est justement quโ€™ils apportent une dimension supplรฉmentaire (spatiale) au systรจme de transmission

Introduction aux systรจmes multi-antennaires

ย  La saturation des ressources radiofrรฉquences dans les lieux de forte population et la pรฉnalisation des transmissions via le canal radio-mobile par les รฉvanouissements du signal, dus ร  la fois aux trajets multiples et aux interfรฉrences entre symboles ont motivรฉes lโ€™apparition des techniques MIMO. Lโ€™utilisation de ces techniques peut servir ร  amรฉliorerย  la fiabilitรฉ de transmission en rรฉduisant la probabilitรฉ d’erreur (gain en diversitรฉ) et ร  augmenter le dรฉbit de transmission (gain de multiplexage). Partant du point de vue de la thรฉorie de lโ€™information, deux chercheurs des laboratoires Bell, Foschini [11] et Teletar [12] ont indรฉpendamment montrรฉ que la capacitรฉ des systรจmes multi-antennes augmentait linรฉairement avec le nombre dโ€™antennes รฉmettrices. Ces dรฉcouvertes sont ร  lโ€™origine des systรจmes MIMO qui consiste ร  complรฉter la dimension temporelle (naturelle) dโ€™une transmission par une dimension spatiale en utilisant plusieurs antennes ร  lโ€™รฉmission et ร  la rรฉception. Les systรจmes MIMO permet ร  la fois une augmentation du dรฉbit et un gain de diversitรฉ [2]. Ils sont trรจs efficaces car ils peuvent utiliser toutes les techniques des transmissions SISO, en plus des techniques qui leurs sont propres. Les systรจmes SISO emploient deux techniques de diversitรฉ : la diversitรฉ temporelle et la diversitรฉ frรฉquentielle alors que les systรจmes MIMO peuvent adopter ces deux formes de diversitรฉ en plus de la diversitรฉ spatiale.

Performances des prรฉcodeurs considรฉrรฉs dans la thรจse

ย  Les deux prรฉcodeurs Max-dmin et POSM prรฉsentรฉs prรฉcรฉdemment reprรฉsentent une famille des techniques MIMO qui exploite la CSI ร  lโ€™รฉmission ร  fin dโ€™optimiser les performances du systรจme. Le prรฉcodeur Max-dmin applique la SVD pour diagonaliser le canal en optimisant le critรจre de la distance Euclidienne minimale. Dโ€™autre part, le prรฉcodeur POSM qui nโ€™applique pas la SVD pour diagonaliser le canal mais propose une autre philosophie de prรฉcodage prรฉsentรฉ prรฉcรฉdemment. Lorsque le ??=2 le POSM transmit b=2 voies dโ€™information indรฉpendantes comme le prรฉcodeur Max-dmin, et si ??หƒ2, le prรฉcodeur POSM doit utiliser la mรฉthode de sรฉlection dโ€™antennes. Dans cette partie, notre contribution consiste ร  proposer une nouvelle concatรฉnation des prรฉcodeurs optimisant la distance Euclidienne minimale (P-OSM et Max-dmin), ร  une forme soft du dรฉtecteur a maximum de vraisemblance maximale (Soft-MV) [43]. Lโ€™objectif est de garder, au minimum, les mรชmes performances obtenues dans [41] et [44], avec une rรฉduction de la complexitรฉ du rรฉcepteur. Les taux dโ€™erreur des prรฉcodeurs Max-dmin et P-OSM en fonction de RSB seront dโ€™abord comparรฉs avec le prรฉcodeur OSM et la technique de multiplexage spatiale dans un canal de Rayleigh pour une CSI parfaite. Ensuite, nous allons montrer lโ€™avantage apportรฉ par la concatรฉnation des prรฉcodeurs Max-dmin et POSM avec la mรฉthode dโ€™รฉgalisation MV-Soft ร  la rรฉception. Nous considรฉrons deux flux de donnรฉes (? = 2) ce qui donne une efficacitรฉ spectrale de 4 ????/?/??, les modulations 4QAM, 16QAM sont utilisรฉes. Pour limiter le temps de calculs et simplifier la prรฉsentation des rรฉsultats, au long de cette thรจse nous limitons la plage du TEB ร  10โˆ’4 en faisant varier le RSB. Les simulations sont rรฉalisรฉes dans un environnement MATLAB qui dispose d’une bibliothรจque riche pour les calculs matriciels.

Codage de canal

ย  Le codage canal est un รฉlรฉment essentiel des systรจmes de communication numรฉrique, il permet dโ€™amรฉliorer la qualitรฉ de transmission sur un canal. Bien que les techniques de modulation et dโ€™รฉgalisations avancรฉes existantes permettent de combattre les diffรฉrentes dรฉgradations rรฉsultantes du bruit introduit par le canal de propagation, le codage canal reste incontournable pour lโ€™obtention de performances acceptables dans un systรจme rรฉel. Ainsi une faible complexitรฉ de calcul, une faible latence, un faible coรปt et une plus grande flexibilitรฉ sont souhaitรฉs pour le schรฉma de codage. De plus une รฉnergie par bit rรฉduite et une efficacitรฉ amรฉliorรฉe sont nรฉcessaires pour supporter des dรฉbits de donnรฉes plus รฉlevรฉs. Le codage canal permet dโ€™assurer une certaine diversitรฉ temporelle tout en ajoutant de lโ€™information redondante ร  la trame transmise. Le dรฉcodeur sous certaines conditions liรฉes ร  la structure du code doit รชtre capable dโ€™exploiter cette diversitรฉ afin de rรฉcupรฉrer lโ€™information originale de lโ€™รฉmetteur. ร€ part les systรจmes de tรฉlรฉcommunications, le codage canal est prรฉsent dans dโ€™autres applications comme les systรจmes de transfert et de stockage de donnรฉes pour garantir la fiabilitรฉ et lโ€™intรฉgritรฉ de lโ€™information. Les enjeux sont trรจs diffรฉrents en fonction de lโ€™application visรฉe et le codage canal choisi doit sโ€™y adapter. ร€ titre dโ€™exemple, dans un systรจme de tรฉlรฉcommunication radio mobile, durant un temps trรจs petit, le dรฉcodeur permet dโ€™amรฉliorer la qualitรฉ perรงue de la voix avec un taux dโ€™erreur raisonnable par rapport ร  la qualitรฉ de service requise. Cependant dans un systรจme de stockage, les erreurs sont beaucoup plus critiques, mais la contrainte de temps dโ€™encodage/dรฉcodage est moins importante. Claude Shannon dans ces bases de la thรฉorie de lโ€™information proposรฉ en 1948, a รฉtabli les limites thรฉoriques du dรฉbit dโ€™information (capacitรฉ) quโ€™on peut transmettre sur un canal. Il a aussi dรฉmontrรฉ que la thรฉorie de lโ€™information permet dโ€™รฉvaluer quantitativement le contenu dโ€™un signal porteur dโ€™un message et de dรฉterminer la capacitรฉ dโ€™un systรจme de communication ร  acheminer des informations. Un code correcteur dโ€™erreurs permet dโ€™amรฉliorer la qualitรฉ de transmission sur un canal. Depuis, la recherche de codes correcteurs fonctionnants prรจs de la limite de Shannon a commencรฉ.

Turbo codes

ย  Les Turbo-codes, aprรจs leurs inventions en 1991 ont รฉtรฉ prรฉsentรฉs ร  la communautรฉ scientifique en 1993, par une รฉquipe de lโ€™Ecole Nationale Supรฉrieure des Tรฉlรฉcommunications de Brest dirigรฉe par Claude Berrou et Alain Glavieux. Ces codes sont construits ร  partir dโ€™une concatรฉnation parallรจle de deux codes convolutifs sรฉparรฉs par un entre laceur afin dโ€™assurer une certaine dรฉcorrรฉlation entre les entrรฉes des deux codeurs et assurer ainsi une meilleure diversitรฉ temporelle [49]. Le principal intรฉrรชt des Turbo-codes est dans le schรฉma de dรฉcodage lequel introduit un รฉchange itรฉratif de lโ€™information permettant dโ€™exploiter au mieux la diversitรฉ temporelle. Ils ont รฉtรฉ adoptรฉs par toutes les agences spatiales mondiales, et sont utilisรฉs dans la transmission des donnรฉes du nouveau standard de tรฉlรฉphonie mobile qui succรจde au GSM. Toutefois, tous les rรฉsultats concernant ces codes nโ€™ont รฉtรฉ รฉtablis pour le moment que de maniรจre expรฉrimentale [55]. Une autre classe de codes linรฉaires trรจs utiliser actuellement dans les systรจmes de transmission numรฉrique est la classe des codes LDPC (Codes Low Density Parity Check). Ce type de code nous intรฉresse plus particuliรจrement pour une association avec des systรจmes MIMO prรฉcodรฉs. Ces codes seront abordรฉs en dรฉtail dans la section suivante.

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Table des matiรจres

Table des matiรจres
DEDICACE
REMERCIEMENTS
RESUME
ABSTRACT
ู…ู„ุฎุต
TABLE DES MATIERES
LISTE DES FIGURES
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES ACRONYMES
INTRODUCTION GENERALE
CHAPITRE I : TECHNIQUES MIMO ET COMMUNICATIONS A HAUT DEBIT
I. 1. Introduction
I. 2. Chaine de transmission numรฉrique
I. 3. Introduction aux systรจmes multi-antennaires
I.3.1 Algorithmes dโ€™รฉmissions associรฉs aux systรจmes MIMO
I.3.1.1 Systรจmes MIMO ร  boucle ouverte
I.3.1.2 Systรจmes MIMO ร  boucle fermรฉ
I.3.2 Algorithme de rรฉception associes aux systรจmes MIMO
I.3.2.1 Technique de forรงage ร  zรฉro (ZF)
I.3.2.2 Minimisation de lโ€™erreur quadratique moyenne (EQMM)
I.3.2.3 Rรฉcepteur ร  Maximum de Vraisemblance (MV)
I.3.2.4 Annulations successives dโ€™interfรฉrences ordonnรฉes (V-BLAST)
I. 4. Conclusion
CHAPITRE II : ALGORITHMES DE PRECODAGE ET SYSTEMES MIMO
II.1 Introduction
II.2 Principe du prรฉcodage linรฉaire
II.2.1 Transformation en canal virtuel
II.2.2 Rรฉsultat du canal virtuel
II.2.3 Prรฉcodeurs diagonaux
II.2.3.1 Prรฉcodeur Max-SNR
II.2.3.2 Prรฉcodeur Water-Filing (WF)
II.2.3.3 Prรฉcodeur dโ€™Erreur Quadratique Moyenne Minimale (EQMM)
II.2.3.4 Prรฉcodeur QoS
II.2.3.5 Prรฉcodeur Erreur Egale (EE)
II.2.4 Prรฉcodeurs non-diagonaux
II.2.4.1 Prรฉcodeur max-dmin
II.2.4.2 Prรฉcodeur POSM
II.3 Performances des prรฉcodeurs considรฉrรฉs dans la thรจse
II.3.1 Paramรจtres de simulations
II.3.2 Rรฉsultats et Discussions.
II.3.2.1 Influence du nombre dโ€™รฉlรฉment dโ€™antennes
II.3.2.2 Influence de la mรฉthode de dรฉcision (Soft/Hard) et de lโ€™ordre de modulation
II.4 Conclusion
CHAPITRE III : CODES LDPC DANS LES SYSTEMES MIMO
III.1 Introduction
III.2 Codage de canalย 
III.3 Codes linรฉaires
III.3.1 Codes en bloc
III.3.2 Codes convolutifs
III.3.3 Turbo codes
III.4 Codes Low Density Parity Check (LDPC)
III.4.1 Reprรฉsentation des codes LDPC
III.4.1.1 Graphe de Tanner
III.4.1.2 Matrice de paritรฉ
III.4.1.3 Cycle et Circonfรฉrence du code
III.4.1.4 Codes LDPC rรฉguliers et irrรฉguliers
III.4.2 Construction des codes LDPC
III.4.2.1 Construction pseudo alรฉatoire
III.4.2.2 Constructions structurรฉes
III.4.2.3 Construction de MacKay et Neal
III.4.2.4 Constructions basรฉes sur les gรฉomรฉtries finies
III.4.3 Principe dโ€™encodage LDPC
III.4.3.1 Codage conventionnel basรฉ sur lโ€™รฉlimination de Gauss-Jordan
III.4.3.2 Codage par approximation triangulaire infรฉrieure
III.4.4 Principe de dรฉcodage LDPC
III.4.4.1 Algorithme de dรฉcodage par propagation de confiance (BP).
III.5 Code LDPC pour Systรจme MIMO
III.5.1 Prรฉsentation du systรจme
III.5.2 Rรฉsultats et discutions
III.6 Conclusionย 
CHAPITRE IV : ASSOCIATION DES CODES NB-LDPC AUX SYSTEMES MIMO PRECODES
IV.1 Introduction
IV.2 Travaux connexes et contributions
IV.3 Chaรฎne de transmission MIMO-LDPC prรฉcodรฉ
IV.4 Prรฉsentation globale du modรจle simulรฉ
IV.4.1 Chaรฎne dโ€™รฉmission
IV.4.1.1 Gรฉnรฉration des donnรฉes
IV.4.1.2 Codage LDPC
IV.4.1.3 Entrelacement
IV.4.1.4 Conversion bits vers symboles
IV.4.1.5 Multiplexage Spatiale
IV.4.1.6 Prรฉcodeur Max-dmin
IV.4.2 Canal de transmission
IV.4.3 Chaรฎne de rรฉception
IV.4.3.1 Dรฉcodeur ML
IV.4.3.2 Conversion symboles vers bits
IV.4.3.3 Dรฉsentrelacement
IV.4.3.4 Dรฉcodage LDPC
IV.4.4 Taux dโ€™erreur binaire et rapport signal sur bruit
IV.5 Rรฉsultats et discussions
IV.5.1 Paramรจtre de simulation
IV.5.2 Multiplexage spatial et code LDPC
IV.5.3 Prรฉcodeur Max-dmin et code LDPC
IV.5.4 Comparaison des deux systรจmes SM-LDPC et Max-?min-LDPC
IV.6 Conclusion
CONCLUSION GENERALE
ANNEXE A : NOTIONS SUR LES CORPS DE GALOIS GF(Q)
ANNEXE B : CALCULE DE LLR
BIBLIOGRAPHIE
LISTE DES PUBLICATIONS ET COMMUNICATIONS

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