Taxonomie et identification des mycobacteries

Les mycobactรฉries de l’environnement sont des microorganismes hรฉtรฉrotrophes communs dans tous les types de milieu naturel tel que le sol et les eaux. Quelques espรจces peuvent รชtre ร  lโ€™origine des infections semblables ร  la tuberculose chez les hommes et les animaux. Les patients immunodรฉprimรฉs et les autres individus prรฉdisposรฉs sont exposรฉs aux infections ร  mycobactรฉries sรฉvรจres. Comparรฉes aux autres espรจces bactรฉriennes, les mycobactรฉries de lโ€™environnement sont exceptionnellement rรฉsistantes ร  certains produits conventionnels de dรฉsinfection comme le chlore (CARSON et al, 1978 ; KUBALEK et KOMENDA, 1995). A cet effet, elles peuvent รฉchapper aux traitements de dรฉcontamination du rรฉseau de distribution d’eau et du rรฉseau de canalisation.

Aprรจs la recrudescence du SIDA et des infections opportunistes associรฉes dont les infections ร  mycobactรฉries, les sources de contamination et les rรฉservoirs de mycobactรฉries ont attirรฉ l’attention des scientifiques. D’aprรจs la littรฉrature, les systรจmes de distribution d’eau qui alimentent les hรดpitaux ou des complexes hรดteliers figurent parmi les sources privilรฉgiรฉes de contamination. Les infections ร  mycobactรฉries sont aussi รฉvoquรฉes suivant lโ€™exposition aux systรจmes plus simples comme les baignoires chaudes (MANGIONE et al, 2001 ; WATANDO et al, 2001).

Ces derniรจres dรฉcennies, les scientifiques rapportent que les biofilms formรฉs ร  la surface du rรฉseau de canalisation ont un impact majeur sur la qualitรฉ microbienne des eaux du systรจme. Aussi, les microorganismes potentiellement pathogรจnes peuvent se multiplier ou survivre dans ces biofilms qui leur offrent convenablement des conditions trophiques favorables et de protection contre la dรฉsinfection (PERCIVAL et al, 2000 ; SZEWZYK et al, 2000). La corrรฉlation entre la formation de biofilms et lโ€™occurrence des mycobactรฉries de lโ€™eau est aussi dรฉmontrรฉe (HALL STOODLEYET al, 1999 ; SCHULZE-ROBBECKE et FISCHEDER, 1989).

SYNTHESES BIBLIOGRAPHIQUESย 

HISTORIQUE

Au dรฉbut du XIXe siรจcle, LAENNEC individualise la tuberculose. En 1865, VILLEMIN montre qu’il s’agit d’une maladie inoculable ร  l’animal et transmissible d’un animal ร  l’autre. Le bacille responsable de la tuberculose, Mycobacterium tuberculosis, est isolรฉ en 1882 par Robert KOCH, qui dรฉmontre pour la premiรจre fois quโ€™une bactรฉrie est responsable dโ€™une pathologie dรฉfinie. De plus, il rรฉussit ร  colorer celui-ci dans les lรฉsions tuberculeuses et ร  le cultiver en 1884 sur milieu de sรฉrums coagulรฉs. Quelques annรฉes plus tard, en 1887, ROUX et NOCARD montrent que la croissance du bacille tuberculeux est stimulรฉe quand la glycรฉrine est ajoutรฉe dans le milieu.

En 1873, Armauer HANSEN dรฉcouvre lโ€™agent รฉtiologique de la lรจpre sans pour autant lโ€™isoler sur un milieu de culture. De nos jours, le bacille de la lรจpre ou Bacille de Hansen (Mycobacterium leprae) nโ€™est toujours pas cultivable sur milieux artificiels. Quant au bacille de la tuberculose aviaire (Mycobacterium avium), il est mis en รฉvidence ร  la suite des travaux de RIVOLTA et MAFFUCI.

Les travaux de SMITH de 1896 ร  1898 aboutissent ร  la dรฉcouverte en 1902 du bacille tuberculeux bovin (Mycobacterium bovis) qui est diffรฉrent du bacille de la tuberculose humaine. Au cours de la mรชme pรฉriode, Mycobacterium paratuberculosis, synonyme de Mycobacterium johnei (agent de lโ€™entรฉrite hypertrophiante des bovidรฉs), est รฉgalement dรฉcrit. (JOHNE et FROTHINGHAM, 1895) Cependant, jusquโ€™en 1950, les seules espรจces considรฉrรฉes comme pathogรจnes chez lโ€™homme sont M. leprae et M. tuberculosis. Par la suite, les travaux sur les mycobactรฉries se multiplient. ZIEHL et NEELSEN amรฉliorent la technique de coloration mise au point par Paul EHRLICH, qui mettait en รฉvidence lโ€™acido-alcoolo rรฉsistance de ces bactรฉries. A. CALMETTE et C. GUERIN mettent au point en 1921 le vaccin contre la tuberculose qui portera leur nom, le bacille de Calmette et Guรฉrin ou BCG. CASTETS, BOISVERT, GRUMBACH, BRUNEL et RIST en 1968 dรฉcrivent une variรฉtรฉ des bacilles tuberculeux isolรฉs chez les Africains. Cette espรจce prend le nom Mycobacterium africanum.

La tuberculose devient un problรจme majeur de Santรฉ Publique avec la rรฉvolution industrielle qui crรฉe les conditions idรฉales pour lโ€™expansion de la maladie : elle est responsable notamment dโ€™un dรฉcรจs sur trois en France (Paris) en 1850. Selon les donnรฉes actuelles de lโ€™OMS, la morbiditรฉ et la mortalitรฉ dues ร  la tuberculose sโ€™รฉlรจvent ร  8 millions de nouveaux cas et prรจs de 2 millions de dรฉcรจs par an au niveau mondial. Dรจs le dรฉbut du XXรฉme siรจcle, avec lโ€™amรฉlioration de lโ€™hygiรจne et le dรฉveloppement des sanatoriums, le taux de mortalitรฉ due ร  la tuberculose diminue rรฉguliรจrement, du moins dans les pays industrialisรฉs. La dรฉcouverte des antibiotiques antituberculeux ร  partir des annรฉes 1950 contribue considรฉrablement ร  faire diminuer les taux de mortalitรฉ et lโ€™incidence dans ces pays.

Cependant la dรฉgradation des conditions sanitaires et sociales liรฉes ร  la crise รฉconomique des annรฉes 1980, lโ€™apparition de souches rรฉsistantes et la pandรฉmie du SIDA donnent lieu ร  une augmentation de lโ€™incidence de la tuberculose au niveau mondial et en particulier en Europe dans les pays de lโ€™ex-URSS. ร€ lโ€™opposรฉ, la polychimiothรฉrapie antilรฉpreuse instaurรฉe au niveau mondial ร  partir de 1985 fait chuter le nombre de cas de lรจpre de 20 millions ร  moins de 2 millions en 1997.

Le terme ยซ mycobactรฉries atypiques ยป est appliquรฉ en 1935 par PINNER pour caractรฉriser des mycobactรฉries autres que les bacilles de la tuberculose et de la lรจpre pouvant provoquer des pathologies chez lโ€™homme ou chez lโ€™animal. De nombreux autres termes sont รฉgalement utilisรฉs : ยซ mycobactรฉries non tuberculeuses ยป, ยซ mycobactรฉries opportunistes ยป et ยซ mycobactรฉries de lโ€™environnement ยป. Par la suite, des mycobactรฉries atypiques responsables dโ€™infections chez lโ€™homme sont caractรฉrisรฉes : M. ulcerans en 1948 (MAC CALLUM et al, 1948), M. marinum en 1951 (LINELL et al, 1954). En 1953, de nouvelles infections ร  mycobactรฉries sont dรฉcrites : M. abscessus (MOORE et al, 1953), M. kansasii (BUHLER et al, 1953), M. avium-intracellulare (KARLSEN et al, 1953).

Les mycobactรฉrioses dues aux mycobactรฉries atypiques sont difficiles ร  estimer car ces maladies ne sont pas ร  dรฉclaration obligatoire. Il sโ€™agit dโ€™infections non transmissibles, acquises de lโ€™environnement, le plus souvent pulmonaires chez lโ€™adulte, ganglionnaires chez lโ€™enfant, ostรฉo-articulaires et cutanรฉes ร  la suite de traumatisme ou de gestes chirurgicaux. Chez les personnes immunodรฉprimรฉes, en particulier chez les patients atteints de SIDA, les infections sont gรฉnรฉralement dissรฉminรฉes. Contrairement ร  la tuberculose et ร  la lรจpre pour lesquelles il existe des traitements spรฉcifiques bien รฉtablis, les mycobactรฉrioses restent des pathologies difficiles ร  traiter du fait de la rรฉsistance des mycobactรฉries atypiques ร  la plupart des antibiotiques antituberculeux.

TAXONOMIE ET IDENTIFICATION DES MYCOBACTERIESย 

LE GENRE Mycobacteriumย 

Le genre Mycobacterium est un des plus vieux genres bactรฉriens : il est dรฉcrit par LEHMAN et NEUMAN en 1896. Il est รฉgalement un des mieux dรฉfinis. Ce genre fait partie du sous-ordre des CORYNEBACTERINEAE, dans lโ€™ordre des ACTINOMYCETALES. Il est le seul reprรฉsentant de la famille des MYCOBACTERIACEAE (STACKENBRANDT et al, 1997). Les Corynebacterineae comprennent des micro-organismes dโ€™รฉcologie et de morphologie diverses qui produisent des acides mycoliques et comprennent les genres Rhodococcus, Nocardia, Gordonia, Mycobacterium, Dietzia, Tsukamurella et Corynebacterium, (EMBLEY et al, 1994 ; GOODFELLOW et al, 1984 ; RAINEY et al, 1995). Un autre nouveau genre, prรฉsentant aussi des acides mycoliques, est dรฉcrit sous le nom de Skermania gen. Nov (CHUN, 1997).

Les acides mycoliques confรจrent aux bacilles une propriรฉtรฉ dโ€™acido-alcoolo rรฉsistance plus ou moins marquรฉe selon leur poids molรฉculaire. Lโ€™acido-alcoolo rรฉsistance est rarement rencontrรฉe chez les corynรฉbactรฉries qui possรจdent des acides mycoliques courts. Elle est irrรฉguliรจre chez les Nocardia et constante chez les mycobactรฉries qui prรฉsentent des acides mycoliques de plus haut poids molรฉculaire, de 60 ร  90 atomes de carbone.

Le terme gรฉnรฉrique Mycobacterium dรฉsigne initialement un groupe dโ€™organismes qui croรฎt en pellicule comme des moisissures sur des milieux liquides. Cette forme de croissance ne se retrouve pas sur les milieux utilisรฉs aujourdโ€™hui. Les colorants usuels colorent difficilement les mycobactรฉries qui apparaissent alors positives aprรจs la coloration de Gram. Lโ€™utilisation de fuchsine phรฉniquรฉe selon la mรฉthode de Ziehl-Neelsen permet lโ€™entrรฉe du colorant et sa rรฉtention malgrรฉ lโ€™action dโ€™acides diluรฉs et dโ€™alcool (DAVID et al, 1989). Au dรฉbut du XXรฉme

siรจcle, les caractรจres dรฉfinissant les mycobactรฉries reposent sur lโ€™absence de mobilitรฉ, la morphologie des bacilles et lโ€™acido-alcoolo rรฉsistance (WAYNE et al, 1986). Cependant ces critรจres morphologiques ne sont pas suffisants pour caractรฉriser le genre Mycobacterium. La chimiotaxonomie reposant sur lโ€™รฉtude des acides mycoliques permet de mieux caractรฉriser le genre grรขce ร  deux critรจres : la longueur de la chaรฎne de la molรฉcule totale et la longueur de la chaรฎne des esters de pyrolyse. Les premiรจres รฉtudes gรฉnรฉtiques, menรฉes sur les mycobactรฉries, portent sur la dรฉtermination de la taille du gรฉnome et du pourcentage de guanine et de cytosine (BAESS et al, 1984 ; BRADLEY et al, 1973 ; CROWTHER et al, 1986 ; IMAEDA, 1987). Le gรฉnome des mycobactรฉries, comme celui des autres actinomycรจtes, comporte un haut pourcentage en paire de bases guanine et cytosine (GC %) qui varie de 62 ร  70 % (sauf pour M. leprae dont le GC % est 50%). Actuellement la classification des Mycobacterium repose sur trois critรจres principaux : lโ€™acido-alcoolo rรฉsistance, un GC % compris entre 58 et 71 %, et la synthรจse dโ€™acide mycoliques de 60 ร  90 atomes de carbone libรฉrant des esters de pyrolyse de 22 ร  26 atomes de carbone (LEVY-FREBAULT et al, 1992).

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Table des matiรจres

INTRODUCTION GENERALE
Chapitre I: SYNTHESES BIBLIOGRAPHIQUES
HISTORIQUE
TAXONOMIE ET IDENTIFICATION DES MYCOBACTERIES
I- LE GENRE Mycobacterium
I-1- Les espรจces mycobactรฉriennes
I-2- Les mycobactรฉries de la tuberculose
I-3- Les mycobactรฉries atypiques
II- LES METHODES Dโ€™IDENTIFICATION CLASSIQUES
III- LA CHIMIOTAXONOMIE
III-1- La paroi mycobactรฉrienne
III-2- Lโ€™analyse chimiotaxonomique
IV- Lโ€™IDENTIFICATION PAR BIOLOGIE MOLECULAIRE
IV-1- Les sondes spรฉcifiques dโ€™espรจces
IV-2- Les sondes commercialisรฉes
IV-3- Lโ€™amplification dโ€™un gรจne conservรฉ suivi dโ€™une restriction enzymatique (PCR-RFLP)
IV-4 โ€“ Le sรฉquenรงage
IV-5- La biologie molรฉculaire et lโ€™identification informatisรฉe
ECOLOGIE DES MYCOBACTERIES
I- LES BACILLES DE LA TUBERCULOSE
I-1- Habitat et transmission de lโ€™infection
I-2- Pathogenรจse
II- ECOLOGIE DES MYCOBACTERIES ATYPIQUES
II-1- Le rรฉservoir animal
II- 2- Le rรฉservoir hydro-tellurique
II-2-1- Facultรฉ dโ€™adaptation
II-2-2- Influence des conditions environnementales sur la rรฉpartition des mycobactรฉries
II-2-3- Biodรฉgradation
LES MYCOBACTERIOSES
I- TRANSMISSION DES MYCOBACTERIOSES ET MODES DE CONTAMINATION PRIVILEGIES
I-1- Transmission par des aรฉrosols
I-2- Transmission direct par lโ€™eau
I-3- Autres modes de transmission
II- PATHOGENICITE ET SIGNES CLINIQUES
II-1- Manifestations cliniques
II-1-1- Chez les patients immunocompรฉtents
II-1-1-1- Infections pulmonaires et dissรฉminรฉes
II-1-1-2- Infections extra-pulmonaires
– Ulcรจre de Buruli
– Infection ร  M. marinum
– Adรฉnites mycobactรฉriennes
– Infections cutanรฉes
– Bursites et tรฉnosynovites
II-1-2- Mycobactรฉrioses et SIDA
II-2- Diagnostic
II-3- Traitement de la mycobactรฉriose
II-3-1- Les diffรฉrents types de traitement
– Antibiothรฉrapie
– Chirurgie
– Abstention thรฉrapeutique
II-3-2- Stratรฉgies thรฉrapeutiques
– Cas dโ€™infection ร  M. marinum
– Cas de gommes et abcรจs
– Cas de bursites et tรฉnosynovites
– Cas dโ€™infection ร  M. ulcerans
– Cas dโ€™adรฉnites
III- EPIDEMIOLOGIE DES MYCOBACTERIOSES
BUT DE LA RECHERCHE
Chapitre II: LES MYCOBACTERIES ATYPIQUES DES EAUX EN MILIEU URBAIN
I- PRESENTATION DE Lโ€™ETUDE
I-1- ETUDE DE Lโ€™OCCURENCE DES MYCOBACTERIES
I-2- APPROCHE ECOLOGIQUE DES SITES Dโ€™ETUDE
II โ€“ LES MYCOBACTERIES DES RESEAUX DE CANALISATION DANS LES VILLES Dโ€™ANTANANARIVO ET DE TOAMASINA
II-1- INTRODUCTION
II-2- MATERIELS ET METHODES
II-2-1- Echantillonnage et isolement
II-2-2- Dรฉnombrement des colonies dโ€™un รฉchantillon
II-2-3- Caractรฉrisation biochimique
II-2-3-1- Le type respiratoire des souches mycobactรฉriennes (DAVID HL, 1991)
II-2-3-2- Lโ€™influence des agents chimiques et des antibiotiques
II-2-3-3- Les diffรฉrentes activitรฉs physiologiques
II-2-4- Technique dโ€™identification par biologie molรฉculaire
II-2-4-1-Amplification du gรจne codant lโ€™ARNr 16S
II-2-4-2- Amplification du gรจne hsp 65
II-2-4-3- Sรฉquenรงage de nuclรฉotide
II-2-4-4- Analyse et alignement des sรฉquences
II-3- RESULTATS
II-3-1- La frรฉquence de mycobactรฉries dans les rรฉseaux
II-3-2- Nomenclature et classification des mycobactรฉries isolรฉes
II-3-3- Distribution des souches isolรฉes dans les rรฉseaux
II-4- DISCUSSION
III- CORRELATION ENTRE Lโ€™OCCURRENCE DES MYCOBACTERIES ET LES FACTEURS ECOLOGIQUES DU SITE Dโ€™ETUDE
III-1- INTERET DE Lโ€™ETUDE
III-2- MATERIELS ET METHODES
III-2-1- Etude des facteurs รฉcologiques des sites
III-2-1-1- Collecte des donnรฉes climatiques
III-2-1-2- Analyses des paramรจtres physico-chimiques
III-2-1-3- Analyse des autres facteurs chimiques
III-2-1-4- Analyses microbiologiques
III-2-2- Analyse mycobactรฉriologique
III-2-3- Mรฉthode dโ€™analyse statistique des corrรฉlations
III-3- RESULTATS
III-3-1- Facteurs รฉcologiques
III-3-1-1- Donnรฉes climatiques
III-3-1-2- Paramรจtres physico-chimiques
III-3-1-2- Les autres facteurs chimiques
III-3-1-3- Les bactรฉries hรฉtรฉrotrophes
III-3-1-4- Les mycobactรฉries potentiellement pathogรจnes
III-3-2- Corrรฉlations entre les diffรฉrents facteurs รฉtudiรฉs
III-3-2-1- Corrรฉlation entres les facteurs climatiques et les paramรจtres physicochimiques des sites dโ€™รฉchantillonnage
III-3-2-2- Corrรฉlation entre les facteurs รฉcologiques et les microorganismes dans les sites dโ€™รฉchantillonnage
III-3-2-3- Corrรฉlation entre les facteurs physico chimiques des sites et lโ€™occurrence des mycobactรฉries
III-4- DISCUSSION
Chapitre III : EFFET ANTIBIOTIQUE DE SUBSTANCES NATURELLES DE MADAGASCAR SUR LES MYCOBACTERIES
I โ€“ CRIBLAGES DE Lโ€™ACTIVITE ANTI-MYCOBACTERIENNE DES SUBSTANCES NATURELLES DE MADAGASCAR
I-1- INTERET DE Lโ€™ETUDE
I-2- MATERIELS ET METHODES
I-2-1- Investigation des donnรฉes ethno-pharmacologiques
I- 2- 2- Prรฉparation des substances ร  tester
I-2-2-1- Extraction hydro-alcoolique
– Cas des spermaphytes
– Cas des champignons
– Cas des algues marines et des organismes marins
I-2-2-2- Extraction par lโ€™entraรฎnement ร  la vapeur
– Extraction ร  lโ€™รฉchelle du laboratoire
– Extraction sur le terrain
I-2-3 – Test dโ€™activitรฉ inhibitrice de la croissance in vitro des mycobactรฉries
I-2-3-1- Mise au point de la technique de criblage
I-2-3-2- Les activitรฉs inhibitrices sur la croissance mycobactรฉrienne des extraits bruts de substance naturelles
– Test dโ€™inhibition de M. bovis var. BCG1173-P2 par des extraits bruts
– Test dโ€™inhibition de mycobactรฉries non tuberculeuses (MNT) par des extraits bruts
I-2-3-3- Les activitรฉs inhibitrices des huiles essentielles de plantes malgaches sur la croissance de mycobactรฉries
– Activitรฉ inhibitrice des huiles essentielles sur la croissance in vitro de M. bovis var. BCG 1173-P2
– Activitรฉ inhibitrice des huiles essentielles sur la croissance in vitro de M. intracellulare
I-3- RESULTATS
I-3-1- Collectes des matรฉriels ร  รฉprouver
I-3-2- Lโ€™activitรฉ inhibitrice sur la croissance des mycobactรฉries
I-3-2-1- Les activitรฉs inhibitrices des extraits bruts de substance naturelle sur la croissance de mycobactรฉries
– Lโ€™inhibition sur M. bovis var. BCG 1173-P2
– Lโ€™inhibition sur le complexe M. intracellulare (MAC)
I-3-2-2- Les activitรฉs inhibitrices des huiles essentielles sur la croissance de mycobactรฉries
– Activitรฉ inhibitrice de la croissance in vitro de M. bovis var. BCG1173-P2
– Activitรฉ inhibitrice de la croissance in vitro de complexe M. intracellulare
I-4- CONCLUSION
IIโ€“ ETUDE DE Lโ€™ACTIVITE ANTI-MYCOBACTERIENNE DE Lโ€™HUILE ESSENTIELLE DE Phellolophium madagascariensis Baker (APIACEAE)
II-1- INTRODUCTION
II-1-1- Cadre de lโ€™รฉtude
II-1-2- Matรฉriel dโ€™รฉtude
II-1-2-1- Description botanique
II-1-2-2- Le genre Phellolophium et ses intรฉrรชts biologiques
II-1-2-3- Lโ€™huile essentielle et ses compositions chimiques
II-2- MATERIELS ET METHODES
II-2-1- Collecte et รฉtude chimique du matรฉriel dโ€™รฉtude
II-2-2-Test dโ€™inhibition in vitro de la croissance
II-2-3-Isolement et purification de composรฉs actifs
II-2-4-Activitรฉ anti-mycobactรฉrienne de lโ€™huile de P. madagascariensis
II-3- RESULTATS
II-3-1- Extraction et fractionnement de lโ€™huile essentielle
II-3-2- Inhibition in vitro de la croissance de M. intracellulare
II-3-3- Isolement et purification de composรฉs actifs
II-3-4- Activitรฉ anti-mycobactรฉrienne du terpinรจne-4-ol et du linalol isolรฉs du produit oxygรฉnรฉ de lโ€™huile de P. madagascariensis
II-4- DISCUSSION
II-5- CONCLUSION
CONCLUSION GENERALE

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