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Conduite de l’alimentation des vaches laitières
Il existe deux périodes clés dans le cycle de production annuelle des vaches laitières à savoir le tarissement et le début de lactation qui exigent un suivi alimentaire particulier.
Pendant le tarissement
En pratique, dans le premier mois de tarissement dans le cas d’un rationnement individuel, les vaches taries ne reçoivent pas de concentrés.
En effet, dans un élevage en ration complète, le jour de son tarissement, la vache passe dans le lot des vaches taries et reçoit une ration complète mélangée, à volonté (ne contenant pas de concentré de production).
Durant le deuxième mois de tarissement, débute la période de transition entre le tarissement et le début de lactation. Cette transition doit être mise en place au minimum trois semaines avant le part (date présumée) (ENJALBERT, 1995).
L’objectif en ce moment est de permettre aux vaches d’atteindre un bon état corporel au vêlage pour qu’elles expriment correctement leur potentiel. Les réserves corporelles sont indispensables pour faire face aux déficits énergétiques importants en début de lactation (ARABA, 2006). Globalement, au niveau d’un troupeau, les vaches doivent vêler à une note d’état corporelle (sur une échelle de notation de l’état corporelle allant de 1 à 5) :
– de 3,5 à 4,0 pour les troupeaux à haut potentiel (plus de 6000 litres par vaches laitière et par lactation);
– de 3,0 à 3,5 pour les autres troupeaux.
Période de début de lactation
L’objectif premier de ce rationnement est de passer progressivement des quantités de concentrés distribuées au moment du vêlage à celles qui seront distribuées entre la troisième et la quatrième semaine de lactation au moment du pic de lactation, ce qui permet de diminuer l’importance du déficit énergétique et donc le risque de cétose, sans augmenter le risque d’acidose (WOLTER, 1997).
Alimentation des veaux
La maîtrise de l’élevage des génisses est indispensable à l’obtention des vaches laitières valorisant au mieux leur potentiel de production. Ceci commence dès le bas âge. C’est ainsi que l’alimentation et le sevrage du veau doivent être bien maitrisé pour éviter tout retard de croissance. Dans la Loire Atlantique et la Vendée en France, l’âge de sevrage est généralement de 10 semaines et dans la majorité des élevages, le veau est séparé de sa mère au moins une heure après sa naissance (BERTIN et CASTANIE, 1997). Au Sénégal, une étude faite sur la ferme de Niacoulrab a montré que les veaux ont été séparés de leurs mères dès leur naissance et que le sevrage a été fait à l’âge de 4 mois chez les races exotiques et à l’âge de 5-6 mois chez les métis (BA et al., 2006).
Des enquêtes réalisées en France sur le sevrage ont montré en 1997, que dans 95 % des élevages, les fourrages mis à la disposition des veaux sont du foin et de l’ensilage de maïs. Très peu d’éleveurs utilisent de l’ensilage d’herbe ou de la paille et la grande majorité des éleveurs distribuent du fourrage avant la cinquième semaine d’âge (BERTIN et CASTANIE, 1997).
Aliments utilisés en production laitière
Chez les ruminants, il existe deux types d’aliments généralement utilisés pour couvrir leurs besoins. Il s’agit de la ration de base (le fourrage) et du complément correcteur de la ration de base (concentré), nécessaire pour compenser les déséquilibres alimentaires des fourrages. Afin de disposer du fourrage en dehors de la période favorable à la végétation et assurer la couverture des besoins tout au long de l’année, les éleveurs constituent des réserves fourragères. Il s’agit du foin, de l’ensilage et de la paille.
GESTION DE LA SANTE DANS UN ELEVAGE LAITIER
Prendre soin de la santé d’un animal ne signifie pas seulement le soigner quand il est malade. Cela signifie aussi l’aider à ne pas tomber malade (PUCK et al., 1996). En cas de maladie, des précautions doivent être prises à savoir le traitement. Il faut bien se rendre compte que même si le traitement a éliminé de façon efficace la cause de la maladie, l’organisme a déjà été endommagé. Les effets de la maladie peuvent durer plus longtemps (s’ils disparaissent) que la maladie elle-même. Par conséquent, les pertes de production peuvent persister même si l’animal semble rétabli. Les pertes de production après une maladie sont par exemple un retard de croissance pour les veaux et une réduction de la production laitière pour les vaches. Les mesures de prévention des maladies sont souvent les mêmes que celles qui améliorent la production. Ainsi nous pouvons citer:
l’hygiène : nettoyage et désinfection ;
l’eau : assurez toujours un libre accès à l’eau propre et fraîche ;
la nourriture de bonne qualité et alimentation régulière ;
l’abri contre les intempéries (pluie, vent, froid ou soleil intense) ;
l’exercice léger et régulier ;
l’environnement paisible (éviter l’agitation et le stress) ;
la mise en quarantaine ;
la vaccination ;
le traitement préventif ;
la lutte contre les parasites ;
Il est utile, dans certains cas, de traiter les animaux avant que la maladie ne soit réellement déclarée, surtout quand il s’agit d’une maladie qui se déclare toujours à la même période de l’année (avec l’avis du vétérinaire). Il est conseillé, par exemple, d’administrer un traitement préventif contre les vers avant et après la saison des pluies (PUCK et al., 1996). Il n’existe pas de vaccinations contre toutes les maladies et on vaccine surtout contre les maladies qui sévissent dans la région d’élevage.
Enfin, la gestion sanitaire dans un élevage laitier est basée sur des préventions des maladies et les observations régulières du troupeau (BLAUW et al., 2008), car il vaut mieux prévenir que guérir.
GESTION DE LA PRODUCTION LAITIERE DANS UN ELEVAGE LAITIER
La lactation est l’ensemble des phénomènes physiologiques qui président à l’élaboration puis à la sécrétion du lait (HANZEN, 1996). La traite est un processus qui a pour but d’extraire le lait de la mamelle d’une femelle afin d’obtenir un lait d’excellente qualité, sans répercussion sur la santé de l’animal (MEYER ET DENIS, 1996). Elle peut être manuelle (extrait du lait de la mamelle par les mains) ou mécanique (extrait du lait de la mamelle à l’aide d’une machine). La fréquence de traite est généralement de deux fois par jour : la traite du matin et celle du soir. Il est conseillé de bien laver la mamelle avant et après chaque traite pour éviter les risques de mammites et pour avoir un lait de bonne qualité hygiénique et microbiologique.
Lactation d’une vache laitière
La durée de lactation chez la vache laitière est une période pendant laquelle la vache produit du lait. Schématiquement, l’intervalle entre 2 vêlages compte en moyenne 305 jours de lactation et 60 jours de tarissement. Une étude effectuée sur la ferme de Niacoulrab, en zone périurbaine de Dakar, a montré que sur l’ensemble du troupeau, la durée de lactation moyenne a été de sept mois et 16 % des vaches ont dépassé 15 mois de lactation (BA et al., 2006).
SARR (2011) a rapporté, une production moyenne journalière de 16 litres de lait par vache Holstein et vache Montbéliarde dans une ferme intensive (15 vaches en exploitation) à Dakar. Le tableau VI montre quelques performances de production laitière.
MATERIEL ET METHODES
SITE ET PERIODE D’ETUDE
Présentation de Rosso (Mauritanie)
Notre étude s’est déroulée à Rosso, ville du Sud de la Mauritanie située à la frontière avec le Sénégal. Rosso est également le chef-lieu du département de Rosso et la capitale de la région (wilaya) du Trarza située au sud-ouest de la Mauritanie. Cette ville est localisée entre les parallèles 16°30 et 18°30 et les méridiens 14° et 16°. Elle occupe une vaste superficie construite sur la plaine inondable. Elle est protégée par des digues. Vers l’est c’est le village Tounguène située à 7 km sur la piste Rosso-Boghé, au nord-est à 7 km sur la route Rosso-R’kiz, c’est le village de Garak, au nord à la sortie de la route Rosso-Nouakchott et à l’ouest commence la digue qui relie Rosso à Diama desservant des villages tout le long des 90 km (Keur Macène) et au sud c’est le Fleuve Sénégal.
Dans cette région, on trouve de larges dunes fixes et parallèles, orientées du sud-ouest au nord-est et séparées par des vallées à fond plat argileux. Son climat est chaud et sec. Il est saharien au nord de l’isohyète passant par Nouakchott et sahélien au sud de cette latitude. Cette région est caractérisée par une longue saison sèche d’octobre à juin et une courte saison humide de juillet à septembre. (KANKOU, 2004). Dans cette zone, nous avons noté la présence des mammifères sauvages tels que les phacochères, les singes et les écureuils.
Période d’étude
Le présent travail s’est déroulé du 03 octobre 2016 au 28 février 2017. Cette période était caractérisée par un climat sec dont l’évolution de la température a montré un maximum de 44,2 °C en octobre 2016 et un minimum de 28,2 °C en décembre de la même année. Cette période est caractérisée par des chasse-poussière, des chasse-sable et une visibilité dominante souvent réduite par des poussières en suspension dans l’air, non brassées par le vent (INFOCLIMAT, 2017).
Présentation de la ferme
La ferme dans laquelle nous avons effectué notre travail, s’appelle « Ferme CMK ». C’est une ferme privée à spéculation laitière située à 10 km de la ville de Rosso entre les villages de Garak et le petit village Taïba. Elle est desservie par des voies sablonneuses et a été construite loin de toute habitation.
L’objectif de la création de cette ferme est non seulement la recherche de profit mais aussi la réponse à une demande sans cesse croissante en lait et produits laitiers des populations de la ville de Rosso et de ses environs.
La ferme est implantée sur 40 ha de terre avec une surface réservée aux cultures fourragères égale à environ 22 ha. C’est une nouvelle ferme qui a importé un effectif de 32 génisses gestantes montbéliardes pour le démarrage de ses activités de production.
Par ailleurs, le propriétaire de cette ferme possédait également des bovins de race locale et des petits ruminants. Les bovins locaux étaient notamment les zébus Maures et les zébus Gobra utilisés pour la production laitière. Par contre, les petits ruminants sont élevés pour répondre aux événements sociaux comme l’accueil d’un nouveau membre, une source de protéines familiale et les grandes fêtes telles que la Korité et la Tabaski. De même, un quota d’animaux est annuellement vendu et dont le revenu est destiné aux œuvres de grâce. En outre, ces animaux de race locale sont confiés à trois bergers salariés qui campent à une centaine de mètres au nord-ouest de l’exploitation des Montbéliardes.
La gestion sanitaire des vaches locales et celle des Montbéliardes est assurée par le même agent technique d’élevage. Il arrivait parfois que les animaux de race locale, malades, soient amenés dans l’exploitation des Montbéliardes. En effet, sur le site d’élevage des Montbéliardes, deux béliers ont été introduits en février 2017 pour engraissement.
La ferme comporte 3 bâtiments repartis entre les vaches laitières, les veaux avant sevrage et les veaux sevrés. Parmi ces trois bâtiments, seul celui des vaches laitières était électrifié à l’aide d’une source d’énergie solaire. Cette énergie électrique n’était pas satisfaisante car elle n’illumine pas suffisamment l’étable.
Le propriétaire fait un élevage intégré, associé à la riziculture et la culture maraichère. Il a engagé un responsable technique et 4 autres personnes respectivement pour la traite des vaches, la distribution de l’alimentation, l’hygiène de l’étable et des nurseries et, la cuisine pour les ouvriers. Notons toutefois que, le responsable technique de cette ferme n’a reçu aucune formation de gestion d’élevage. Ce dernier est un proche du propriétaire qui a juste suivi un stage de 3 semaines en gestion d’une ferme bovine laitière. De même, il existe également une main d’œuvre fortement familiale qui accomplit des tâches diverses comme le renouvellement de la litière, la coupe des fourrages verts, le convoyage du lait trait au centre de collecte, etc.
MATERIEL
Matériel animal
Le matériel animal est constitué de 32 génisses gestantes montbéliardes (Figure 7) importées de la France par l’intermédiaire de la société AFRIVET. Les dates prévisionnelles de vêlage étaient comprises entre le 20 novembre et le 20 décembre 2016.
Les veaux à la naissance seront également suivis.
Notre travail a été facilité par l’utilisation d’un certain nombre de matériels qui sont décrits ci-dessous.
Fiche individuelle de suivi
Une fiche individuelle est conçue pour recueillir des informations sur chaque vache (annexe 1). Les informations individuelles sont : l’identification de l’animal, les vaccinations effectuées, la date du vêlage, le sexe et l’état du veau, l’état des mamelles, les symptômes et maladies suspectées et les traitements effectués.
Trousse de clinique
La trousse de clinique est composée essentiellement d’un stéthoscope, d’un thermomètre et d’une trousse de chirurgie.
Matériel du California Mastitis Test (CMT)
Il s’agit du matériel du test des mammites subcliniques.
Ruban barymétrique
Il a permis l’obtention des informations suivantes : le périmètre thoracique en centimètres et le poids en kg. Il est utilisé pour estimer le poids des veaux et des vaches. Il permet aussi de déduire la dose des médicaments à administrer aux animaux pendant certaines interventions et de suivre la croissance des veaux (Figure 9).
Le matériel comprend aussi un ruban gradué et un téléphone Samsung galaxie S7392 qui a servi à la prise des photos.
METHODES
Recherche documentaire
La recherche documentaire nous a permis de nous imprégner des notions spécifiques sur le thème de notre travail. Ainsi, nous avons exploité des documents rapportant des travaux antérieurs tels que les thèses et mémoires, les revues scientifiques et les pages web.
Suivi des vaches et des veaux
Dans le suivi des animaux, nous nous étions intéressés à leur santé et aux pratiques zootechniques effectuées dans la ferme.
Suivi sanitaire
Le suivi sanitaire a consisté à l’observation, l’examen clinique des vaches et des veaux et à la prise en charge des pathologies. Aussi, certains prélèvements ont été effectués pour des examens complémentaires.
Ainsi, le test de détection précoce des mammites subcliniques (CMT) a été utilisé.
California Mastitis Test (CMT):
– Principe et technique de réalisation
Le CMT est basé sur l’emploi d’un détergent tensioactif qu’est la solution de Teepol à 10 % et d’un indicateur coloré (pourpre de bromocrésol) sur le lait. Ce détergent tensioactif agit en provoquant la lyse des cellules présentes dans le lait. La destruction des parois cellulaires libère l’ADN (acide désoxyribonucléique) cellulaire qui forme ainsi un réseau emprisonnant les globules gras et autres particules. Cette réaction a pour effet d’augmenter la viscosité du lait, voire de provoquer un floculat dont l’importance et la consistance sont fonction de la teneur en cellules de l’échantillon de lait. L’indicateur coloré accélère le virage de la couleur verte qui évolue vers le violet. La réalisation du test est facile mais une bonne propreté est nécessaire. En pratique, au début, on élimine les premiers jets de lait puis on prélève un peu de lait de chaque quartier dans chacune des quatre (4) coupelles identifiées de la palette (Figure 10). On prélève le lait en tenant le manche de la palette et en maintenant les coupelles sous les quartiers. Après le prélèvement du lait, la palette est inclinée pour éliminer le lait en excès jusqu’au trait qui indique la quantité de lait nécessaire à la réaction (environ 2 ml). Après ajout de 2 ml de réactif Leucocytest® dans chaque coupelle, un mouvement circulaire est imprimé à la palette pendant quelques secondes pour mélanger le lait avec le réactif. On note enfin par transparence la présence et l’aspect du floculat.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : ELEVAGE LAITIER EN MAURITANIE
1. CONTEXTE ECO-CLIMATIQUE ET SYSTEMES D’ELEVAGE
1.1. contexte éco-climatique
1.2. Systèmes d’élevage
1.2.1. Systèmes pastoraux nomades
1.2.2. Systèmes pastoraux et agropastoraux transhumants
1.2.3. Systèmes agropastoraux à élevage sédentaire associé à l’agriculture
1.2.4. Systèmes extensifs urbains
1.2.5. Systèmes semi-intensifs
1.3. Races bovines exploitées
1.3.1. Races locales
1.3.2. Races exotiques
2. PRODUCTION LAITIERE EN MAURITANIE
2.1. Demande en lait et produits laitiers
2.2. Couverture des besoins
2.2.1. Offre de lait frais (local)
2.2.2. Offre de lait frais (local) transformé
a. Transformation et Reconditionnement industriels
b. Conservation et transformation traditionnelle du lait
2.2.3. Offre de lait et produits laitiers importés
a. Lait et dérivés non reconditionnés
b. Lait en poudre transformé et reconditionné
3. CONTRAINTES A LA PRODUCTION LAITIERE
4. APPROCHE POUR L’AMELIORATION DE LA PRODUCTION LAITIERE
CHAPITRE II : GENERALITES SUR LA RACE MONTBELIARDE
1. HISTORIQUE
1.1. Avant la Montbéliarde
1.2. Naissance de vache montbéliarde
2. SIGNALEMENT GENERAL DES MONTBELIARDES
3. QUELQUES COMPARAISONS ENTRE LES RACES MONTBELIARDE ET HOLSTEIN
3.1. RUSTICITE DE LA MONTBELIARDE
3.2. MODE D’UTILISATION
3.2.1. Productivité et valeur fromagère des laits
3.2.2. Reproduction
3.2.3. Performances bouchères
3.2.4. Systèmes d’élevage
CHAPITRE III : GESTION DU LOGEMENT, DE L’ALIMENTATION ET DE LA SANTE DANS UN ELEVAGE LAITIER
1. GESTION DU LOGEMENT DANS UN ELEVAGE LAITIER
1.1. Conception d’un bâtiment en élevage laitier
1.2. Effet des paramètres d’ambiance sur les performances de la vache laitière
1.3. Maitrise des paramètres d’ambiance et conséquences d’un mauvais logement
2. GESTION DE L’ALIMENTATION
2.1. Besoins nutritifs chez la vache
2.2. Conduite de l’alimentation des vaches laitières
2.2.1. Pendant le tarissement
2.2.2. Période de début de lactation
2.3. Alimentation des veaux
2.4. Aliments utilisés en production laitière
3. GESTION DE LA SANTE DANS UN ELEVAGE LAITIER
4. GESTION DE LA PRODUCTION LAITIERE DANS UN ELEVAGE LAITIER
4.1. Lactation d’une vache laitière
4.2. Courbe de lactation d’une vache
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
1. SITE ET PERIODE D’ETUDE
1.1. Présentation de Rosso (Mauritanie)
1.2. Période d’enquête
1.3. Présentation de la ferme
2. MATERIEL
2.1. Matériel animal
2.2. Matériel technique
3. METHODES
3.1. Recherche documentaire
3.2. Suivi des vaches et des veaux
3.2.1. Suivi sanitaire
3.2.2. Suivi zootechnique
3.2.2.1. Audit des bâtiments
3.2.2.2. Rationnement
3.2.2.3. Production laitière
3.2.2.4. Contrôle du GMQ des veaux
CHAPITRE II : RESULTATS
1. BATIMENTS D’ELEVAGE
1.1. Bâtiment d’élevage des vaches laitières et hygiène
1.2. Logement des veaux
2. SUIVI DES VACHES
2.1. Réception et période d’acclimatation
2.2. Alimentation
2.2.1. Nature des aliments distribués
2.2.2. Mode de rationnement
2.3. Production laitière
3. SUIVI DES VEAUX
3.1. Mise bas et hygiène des veaux
3.2. Alimentation
3.3. Croissance des veaux
4. CONDUITE SANITAIRE
4.1. Mesures prophylactiques
4.2. Pathologies rencontrées et traitements effectués
4.2.1. Pathologies métaboliques
4.2.2. Pathologie de la reproduction
4.2.3. Affections parasitaires
4.2.4. Pathologies virales
4.2.5. Affections néonatales
4.2.6. Autres pathologies
CHAPITRE III : DISCUSSION
1. MATERIEL ET METHODES
1.1. Zone d’étude
1.2. Matériel animal
2. METHODES
3. BATIMENTS D’ELEVAGE DES VACHES LAITIERES
4. LOGEMENT ET HYGIENE DES VEAUX
5. ALIMENTATION
4. PRODUCTION LAITIERE
5. CROISSANCE DES VEAUX
6. PATHOLOGIES RENCONTREES
6.1. Pathologies métaboliques
6.2. Pathologies de la reproduction
6.3. Pathologies parasitaires
6.4. Pathologies virales
6.5. Pathologies néonatales
6.6. Autres pathologies
CHAPITRE IV : LIMITES, CONTRAINTES ET RECOMMANDATIONS
1. LIMITES ET CONTRAINTES
2. RECOMMANDATIONS
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
WEBOGRAPHIE
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