Systématique et phases végétatives du riz

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

SITUATION SOCIO-ECONOMIQUE

Situation sociale

Situation démographique

La commune Rurale d’Ambodimanga Ramena comprend cinq quartiers : Anaborano Salama, Antseva, Ambodimanga Ramena et Antsahabe.
Le nombre total de la population dans cette cCommune est de l’ordre de 5115, dont les 415 se répartissent sur le quartier d’Anaborano Salama (recensement 2001).

Activité sociale

En 2003, la population d’Anaborano Salama a organisé une association dénommée «Fikambanan’ny Tantsaha Miara-miasa » ou FTM qui comprend toute la population. Cette association est bien structurée avec la mise en place des membres de bureau exécutif, des conseillers. C’est le problème concernant la riziculture qui pousse les paysans à créer cette association. Elle a pour mission de gérer, d’entretenir et de surveiller les réseaux hydroagricoles et aussi d’intensifier le développement agricole. Plus tard, avec la mise en place très récente du réseau OTIV à Ambodimanga Ramena, l’association prévoit également de se lancer dans la mutuelle d’épargne et de crédit.
L’association bénéficie déjà de quelques matérielsagricoles comme la charrue, la herse, la brouette…, de la part du PSDR d’Ambanja.

Situation économique

Les habitants du Quartier d’Anaborano sont réputésd’être des agro-éleveurs.

Systématique et phases végétatives du riz

Systématique

Du point de vu systématique le riz appartient au :
Règne : VEGETALE
Embranchement : SPERMAPHYTES
Sous-embranchement : ANGIOSPERMES
Classe : MONOCOTYLEDONE
Ordre : GLUMATES
Famille : POACEAE
Genre : Oryza
Espèce : sativa

Phases végétatives du riz

La connaissance sommaire des différentes phases de développement du riz est nécessaire pour mieux comprendre les conditions de développement et les exigences des plantes pour avoir le meilleur rendement. Le développement du riz comporte quatre phases : germination, tallage, épiaison-montaison et maturation.

Phase de germination

Les grains de riz peuvent germer quand ils renferment 15 % d’eau.
Les températures acquises pour la germination sont:
La température minimale est de 10 à 13°C, du début de germination vers le huitième à quatorzième jours de la germination. L’embryon ne peut pas vivre au dessous de 10°C et au dessus de 40°C (2) (18).
La température optimale est de 25 à 35°C, les plantes poussent rapidement et sont plus grandes à une température variant entre 25 et 35°C (4) (8). La température maximale est de 40 à 45°C, au dessus de 40°C, elle est nuisible aux plantes (4) (8).
Si les conditions de germination sont remplies, la radicule apparaît en 24 heures, puis lors du deuxième jour la tigelle commence à poindre. Vers le cinquième jour, la première feuille apparaît. Et vers le dixième jour, la deuxième feuille apparaît et le collet émet deux racines nouvelles.

Phase de tallage

C’est la période de croissance pendant laquelle la plante de riz a la possibilité d’émettre des tiges secondaires appelées talles, qui produisent autant de panicules (14). Cette phase commence trois à cinq semaines après le début de la germination. Pendant cette phase la plante de riz est sensible aux soins culturaux, en particulier aux sarclages et aux apports d’engrais (22). L’importance du tallage est fonctio n de la richesse du sol, de la température, de l’éclairement et du nombre de brin par touffe (6).

Phase d’épiaison-montaison

Cette phase commence deux à cinq semaines après le tallage. C’est pendant cette phase que la floraison, l’émission des panicules et la formation des grains s’effectuent. Le riz est très sensible au manque d’eau pendant cette phase.

Phase de maturité

Après la fécondation, le caryopse (fruit) prend rapidement son format définitif alors que sa texture reste laiteuse pendant une période qui peut s’étendre sur 20 à 30 jours. Ce sont les grains de la partie supérieure de la panicule qui mûrissent les premiers, la maturité se fait progressivement du haut vers le bas. On définit l’état de maturité par la couleur les glumelles (enveloppes externes des grains) et la dureté du grain (6) (22).
L’étude de la physiologie du riz nous a permis de connaître les quatre phases du cycle végétatif du riz : phase de germination, tallage, piaisoné-montaison et maturation. Ainsi, on peut facilement savoir les besoins des plantes pendant son développement.

MATERIELS ET METHODES

Comme notre étude se porte sur l’amélioration de lariziculture dans le quartier d’Anaborano Salama. Elle concerne les paysans, leurs méthodes culturales, les problèmes affectant la riziculture …Les méthodes préconisées pour la réalisation de notre étude sont :
études bibliographiques
descente sur terrain
enquêtes
observations
photographies

Etudes bibliographiques

De nombreux ouvrages ont été consultés, concernant:
la riziculture
la géographie de Madagascar
l’exportation du riz
la production rizicole

Descente sur terrains

Notre lieu d’étude (le quartier d’Anaborano Salama) se situe dans la province d’Antsiranana, sous-préfecture d’Ambanja, commune rurale d’Ambodimanga Ramena. Pour avoir toutes les informations nécessaires comme l’état de la riziculture, le lieu d’implantation du barrage, les méthodes culturales, … il nous faut une descente sur terrain.

Enquête s

Pour pouvoir apporter des propositions d’améliorations, nous devons avoir toutes les informations possibles sur la riziculture. C’est en interrogeant les paysans qu’on peut avoir tous les renseignements. C’est une des plus importantes techniques de sciences sociales, permettant de mesurer le rôle des phénomènes relationnels de la vie économique, politique, sociale, culturelle, … c’est un moyen de recherche et d’études (13).

Méthode de formulation des questionnaires

Les questionnaires ont été formulés à partir de quelques études bibliographiques. Des techniciens du SOA BEST sont déjà présents surterrain avant notre arrivée ; ce sont eux qui nous ont expliqué brièvement comment se comportent ces paysans vis à vis des étrangers. Il est prévu de faire les enquêtes orales. Les raisons de cette décision sont les suivantes :
Les paysans n’apprécient pas des questionnaires à remplir.
La plus part des gens ne savent pas ni lire ni écrire, ils vont avoir du mal à répondre aux questionnaires. Il y en a quand même peu de gens qui savent lire mais nous avons décidé de généraliser, donc de poser toutes les questionsoralement.
La différence de dialecte ne nous permet pas de réaliser les questionnaires écrit, et même oralement, nous (enquêteurs et enquêtés) avons du almà se comprendre, et dès fois nous devons reformuler plusieurs fois les questions pour qu’ils puissent comprendre. Pour avoir des réponses précises nous avons choisi les questionsfermées mais toujours oralement.

Pré-enquête

Pendant la visite de courtoisie, la pré-enquête consiste à déterminer les problèmes qui se posent pour chaque personne que l’on va interroger, de mieux saisir leur langage leur centre d’intérêt, leur préjugé (13). Elle se faiturtouts auprès du chef quartier, qui est à la fois président de l’association FTM.
Nous avons essayé de parler, de communiquer avec les gens, pour la conduction, le déroulement de nos propres enquêtes et pour nous habituer à leurs langages. Des fois, nous travaillons avec eux dans les champs afin de gagner leur confiance et leur attention, et même leur affection. C’est de cette façon que nous pouvo ns avoir toutes les informations nécessaires.
C’est aussi pendant cette période que nous nous renseignons plus sur toutes les cultures de la population, nous nous adressons aux Ray aman-dreny, aux gens plus âgés pour connaître les fady de la région.

Choix des participants

Les personnes concernées par notre enquête sont lesvrais participants (5), car nous ne pouvons pas interroger toute la population. Selon le recensement 2001, la population d’Anaborano compte 415 habitants. Nous avons décidéd’enquêter par famille, d’autant plus ils pratiquent les mêmes travaux culturaux.
L’étude peut se faire sur un échantillon représenta if lorsque la population est importante (5). Comme les habitants d’Anaborano sont nombreux : 415 soit environ 80 familles. Nous procédons à l’échantillonnage, et nous avons pris au hasard 35 familles.
Notre intégration dans cette société a été facilepar la présence des gens de haut plateaux sur le lieu.
En dépit des différences de dialecte, nous avons onstatéc que les gens ont fait beaucoup d’effort pour comprendre toutes les questions. Comme les questions se posent sur leurs rizicultures, ils tiennent à ce que leurs pro ductions rizicoles s’améliorent, ainsi, les questions les ont toutes intéressée.

Enquête proprement dite

Tout d’abord, elle consiste à s’adresser au chef q uartier, lui expliquant la raison de notre présence sur le terrain, et aussi le but de notre enquête, et il a procédé à une réunion des villageois pour leur communiquer les renseignements qu’ils doivent connaître au sujet de l’enquête. C’est ainsi que nous avons pu enquêteroits aux champs pendant qu’ils travaillent, soit à leur maison. Nous avons réalisé notre propreenquête pendant une dizaine de jours. Et après chaque question nous avons noté leurs réponse. Outre l’enquête, d’autres activités sont aussi réalisées.

Observations

En plus des questionnaires posés auprès des paysans, nous avons aussi visité la plaine pour pouvoir observer leurs méthodes culturales, la façon dont ils pratiquent la riziculture. Pendant notre présence, c’est la culture sur brûlis qui préoccupent les gens, et ils ont récolté la deuxième saison de la riziculture riguéeir.
C’est aussi à ce stade que nous pouvons voir, d’un e part, l’état actuel de la périmètre, les sources en eau, le canal qui dirige la plaine, et d’autre part les parties cultivables et non, les lieux des pépinières de lasaison de vary taona.
En même temps nous avons l’occasion d’observer le lieu où le barrage sera implanté, ainsi que le trajet des canaux que la population va construire pour amener l’eau de déviation vers la plaine.

Photographies

Pour la concrétisation de ces observations, nous avons pris quelques photos comme les parties de la plaine, les travaux culturales réalisés par les habitants…

RESULTATS ET DISCUSSIONS, INTERETS PEDAGOGIQUES, CONCLUSION GENERALE

RESULTATS ET DISCUSSIONS

RESULTATS

La descente sur terrain différents types de riziculture et cultures. à Anaborano Salama, nous a permis de constater les les méthodes culturales pratiqués. Voyons une à une ces

Types de rizicultures

La population d’Anaborano Salama pratique à la foi s deux types de cultures :
. riziculture pluviale (sur brûlis)
. riziculture irriguée (sur les plaines)
Nous allons voir brièvement la riziculture sur brûlis, mais nous allons nous étendre sur la riziculture irriguée. C’est ce dernier que le projet a financé, et en plus, les gens pensent abandonner la riziculture sur brûlis si le rendement obtenu par la riziculture irriguée augmente et peut assurer leurs besoins.

Riziculture sur brûlis

Appelée notamment « VARY TOMBOKA » par la population d’Anaborano. Elle dépend uniquement des eaux de pluie et ne nécessitepas la présence d’une nappe d’eau.

Milieu cultural

C’est à partir de 1975 que cette culture a pris so n essor. Elle se pratique sur les tanety, et les petites collines, les flancs inférieurs des montagnes, sur les terrains déjà cultivés, aux alentours immédiat du village, mais les paysansne brûlent plus les forêt sur les grandes montagnes.

Méthodes culturales

Du premier au quinze novembre, ils se débarrassent des mauvaises herbes qui poussent sur ces terrains par brûlis, puis ils attendent l’arrivée de la pluie. Il s’agit de faire coïncider exactement le cycle végétatif du riz avecla saison pluvieuse (7) (14).
Les paysans ne préparent pas le sol, c’est à dire, ils ne labourent pas. Tout de suite, après avoir débarrasser des végétaux qui poussenturs les terrains, ils procèdent aux semis directs.
Dès la première pluie, ils commencent à semer (les semences utilisées sont les variétés Menabe et Manongazato). Le semis se fait àl’aide d’un bâton de deux centimètres de diamètre et de 1,5 m de longueur, avec une extrémité plus ou moins pointue ; ils font des trous sur le sol, et y mettent quatre à cinq grains de pa ddy. Remarquons que ces grains ne se trouvent pas tous à l’intérieur des trous et, dès fois, ils sont tous à l’extérieur.
Les cultivateurs ne couvrent pas les semences après le semis. Quand les grains de paddy reçoivent l’humidité suffisante (15% de son poids) ils commencent à germer (13) (22).
Entre la germination et la maturation, ils ne fertilisent pas le sol, ni avec des engrais chimiques, ni avec des engrais organiques. Ils se contentent tout simplement des minéraux apportés par les cendres provenant de la brûlure des mauvaises herbes avant la culture. Le seul travail d’entretien que les gens réalisent, c’est le désherbage. Mais à ce propos, jusqu’à la phase de floraison du riz, les cultivateurs arrivent à faire trois fois le désherbage, à l’aide d’une petite bêche, chaque fois que les mauvaises herbes poussent.
A la maturation, quatre ou cinq mois après le semis, la récolte se fait par fauchage.

Riziculture irriguée

Tout au contraire de celle de culture sur brûlis, elle se fait en présence d’une nappe d’eau. Durant une année culturale, les paysans pratiquent déjà une double culture dans la plaine d’Ankeranabe : la première pendant la saison pluvieuse appelée « VARY TAONA », et la deuxième durant la saison sèche : «VARY SOSOKA »

Etat actuel du périmètre d’Ankeranabe

Dimension

La surface dominée est estimée à 70 ha avec une surface brute de 100 ha (21). Ces terrains sont séparés par des collines et dont la lusp grande partie est celui d’Ankeranabe. Elle se trouve à l’Est du quartier d’Anaborano Salama et constitue le 80% de la surface totale, c’est à dire 56 hectares. Mais les 40 hectares seul ement sont cultivés. La Figures 5 nous montre une partie de la plaine.

Source en eau

Il y a un cours d’eau permanent, le fleuve d’Ankaz o, mais il ne passe pas par la plaine. L’irrigation de cette plaine dépend uniquement des eaux de pluies traversant des nombreux bassins versants desservant la plaine. En effet, ni fleuve, ni rivière n’arrosent la plaine. Cependant il existe des petites sources d’eaux qui se trouvent en quelques endroits, mais qui ne sont pas suffisantes pour l’irrigation totale de la plaine. Seule une petite partie, à peine, la dixième de la superficie cultivée lors dela première saison de culture, est arrosée par ces sources pendant la deuxième saison.
Le périmètre ne dispose aucun ouvrage hydroagricole, les réseaux d’irrigations sont constitués par des canaux en mauvais état. Il estraversét d’amont en aval par un canal servant à la fois de drain et d’irrigation.
Bien que de nature irriguée, la riziculture actuele dépend donc de la précipitation annuelle durant la saison de pluie. C’est l’une de s causes de la baisse de production rizicole d’Anaborano, car la précipitation est très importante, la plaine est totalement inondée pendant le mois de janvier et février, alors les paysans font reculer leur périodes culturales. Voyons ensuite la fertilité du sol de la plaine d’Ankeranabe.

Nature du sol

Selon les recherches effectuées par SOA BEST, le sol est riche en complexe argilo-humique, donc fertile, favorable aux cultures. Ce complexe est à la fois le ciment qui permet la formation des agrégats dans un sol et lefacteur essentiel de sa fertilité (19) (24).
La nature fortement argileuse du sol, ainsi que la confection des diguettes permettent de stocker les eaux de pluies pendant quelques mois après la saison pluvieuse.
La nature du sol de la plaine est donc favorable à la riziculture. De toute façon, le riz peut s’adapter à la nature du sol. Mais il préfère toutefois les sols à texture fine contenant 40% d’argile, perméable, sans trop d’élément défavorable, de pH compris entre 5 et 8 (1) (2) (14).
Bien que le riz puisse résister à la salinité des terres, jusqu’à 30% de chlorure de sodium NaCl (6), la plaine d’Ankeranabe ne présente aucun risque de salinisation parce qu’elle se trouve dans la terre ferme de la Grande Ile. Donc la salinité de la mer ne peut pas affecter la plaine.

De plus, la quasi-inexistante des risques d’ensablements de la plaine d’Ankeranabe constitue un potentiel agronomique ; la Réserve spéciale de Manongarivo et de Tsaratanana, gérée par l’ANGAP à Ambanja, contribue d’une façon substantielle à la non-dégradation des ressources naturelles, et empêche surtout la dégradation forestière.
Nous pouvons en conclure que le sol est fertile, favorable à la riziculture. La fertilité du sol ne constitue pas l’origine du mauvais rendement d’Anaborano.

Variétés utilisées

Avant la formalisation de l’association FTM, la population d’Anaborano utilise des variétés locales : Menabe et Manongazato. Mais depuis l’année 2003, elle bénéficie les semences améliorées : IR 16. Presque toutes les familles l’utilisent, mais cela n’empêche pas l’utilisation des variétés locales. La variété IR 16 est une variété introduite, à court cycle (5 mois), à paille courte et résistante à la sécheresse.

Calendrier cultural

Les habitants d’Anaborano pratiquent déjà deux saisons de cultures (double culture).
La principale saison culturale du riz, appelée « VARY TAONA » s’étend de mars à juillet.
Presque la totalité de la plaine (40 hectares) est cultivée. La deuxième saison appelée « VARY SOSOKA » s’étend entre le mois d’août à décembre, pendant laquelle seulement quelques parcelles (environ 4 hectares) sont cultivables, grâce aux petites sources d’eaux qui rendent possibles leur irrigation. Le Tableau V indique l’organisation de cette double culture.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela rapport-gratuit.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITES
CHAPITRE I : PRESENTATION DU MILIEU D’ETUDE
I – 1 – Situation Géographique
I – 1 – 1 – Localisation
I – 1 – 2 – Milieu physique
I – 2 – Climat
I – 2 – 1 – Température
I- 2 – 2 – Pluviométrie
I – 2 – 3 – Diagramme ombrothérmique d’Ambanja
CHAPITRE II : SITUATION SOCIO-ECONOMIQUE
II – 1 – Situation sociale
II – 1 – 1 – Situation démographique
II – 1 – 2 – Activité sociale
II – 2 – Situation économique
II – 2 – 1 – Production animale
II – 2 – 2 – Production végétale
II – 3 – Systématique et phases végétatives du riz
II – 3 – 1 – Systématique
II – 3 – 2 – Phases végétatives du riz
II – 3 – 2 – 1 – Phase de germination
II – 3 – 2 – 2 – Phase de tallage
II – 3 – 2 – 3 – Phase d’épiaison-montaison
II – 3 – 2 – 4 – Phase de maturité
DEUXIEME PARTIE : MATERIELS ET METHODES
II – 1 – Etudes bibliographiques
II – 2 – Descente sur terrains
II – 3 – Enquêtes
II – 3 – 1 – Méthode de formulation des questionnaires
II – 3 – 2 – Pré-enquête
II – 3 – 3 – Choix des participants
II – 3 – 4 – Enquête proprement dite
II – 4 – Observations
II – 5 – Photographies
TROISIEME PARTIE : RESULTATS ET DISCUSSIONS, INTERETS PEDAGOGIQUES, CONCLUSION GENERALE
A – RESULTATS ET DISCUSSIONS
CHAPITRE I – RESULTATS
I – 1 – Types de rizicultures
I – 1 – 1 – Riziculture sur brûlis
I – 1 – 1 – 1 – Milieu cultural
I – 1 – 1 – 2 – Méthodes culturales
I – 1 – 2 – Riziculture irriguée
I – 1 – 2 – 1 – Etat actuel du périmètre d’Ankeranabe
I – 1 – 2 – 1 – 1 – Dimension
I – 1 – 2 – 1 – 2 – Source en eau
I – 1 – 2 – 1 – 3 – Nature du sol
I – 1 – 2 – 2 – Variétés utilisées
I – 1 – 2 – 3 – Calendrier cultural
I – 1 – 2 – 4 – Modes culturales
I – 1 – 2 – 4 – 1 – Vary taona
a – Préparation de la pépinière
b – Semis
c – Préparation de la rizière avant repiquage
d – Repiquage
e – Entretien
f – Récolte
I – 1 – 2 – 4 – 2 – Vary sosoka
a – Préparation de la pépinière
b – Semis
c – Préparation de la rizière avant repiquage
d – Repiquage
e – entretien et récolte
I – 2 – 1 – Problèmes d’eau
I – 2 – 1 – 1 – Sur la saison de vary taona
I – 2 – 1 – 2 – Sur la saison de vary sosoka
I – 2 – 1 – 3 – Diminution de la surface cultivable
I – 2 – 2 – Manque des techniciens agricoles et des vulgarisateurs
I – 2 – 2 – 1 – Méthodes traditionnelles
CHAPITRE II : AMELIORATION DE LA RIZICULTURE
II – 1 – Améliorations envisagées par la population
II – 1 – 1 – Création de l’association FTM
II – 1- 2 – Installation du barrage hydraulique
II – 2 – vulgarisation des techniques nouvelles
II – 2 – 1 – Formations techniques
II – 2 – 1 – 1 – Pépinière
II – 2 – 1 – 2 – Semis
II – 2 – 1 – 3 – Repiquage
a- Age des plantes à repiquer
b- Espacement entre les plantes
II – 2 – 1 – 4 – Entretien
a – désherbage
b – fertilisation
c- Maîtrise d’eau
II – 2 – 2 – Formations pratiques
B – INTERETS PEDAGOGIQUES
C – CONCLUSION GENERALE
RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *