CONSTAT SUR L’ACTUEL PLAN REGIONAL DE DEVELOPPEMENT (PRD)
Le PRD est l’outil de gestion pour la mise en œuvre et pour mettre en phase avec le pouvoir centrale sa politique au niveau régional. Toutefois le PRD présente des lacunes et problème quant à sa qualité de référence. Ci-après sont les constats qui ont été fait sur l’actuel Plan Régional de Développement de la région Boeny.
Problèmes d’approche
Il faut noter que le Plan Régional de Développement a été établi d’une manière participative reflétant ainsi les besoins des populations. Toutefois, même si l’approche participative a été utilisée, plusieurs communes se trouvant à quelques kilomètres des chefs lieux des districts n’ont pas été approchées, faute de temps, d’organisation ou de moyens financières.
La sensibilisation n’a pas été forte et les individus habitués aux travaux des champs pour la survie de leurs familles, n’ont pas beaucoup de temps pour discuter de la problématique de développement de leurs territoires. De plus, il faut noter que la plupart des Maires qui ont participé à la concertation déclarent n’avoir pas beaucoup à dire sur la manière dont les organismes d’appui ou partenaire-relais ont élaboré le PRD. Des doutes apparaissent ainsi sur la façon dont ces élus locaux vont exécuter les consignes conformément aux objectifs fixés dans le PRD.
Absence d’une vision pour long terme
Selon les dernières projections de l’INSTAT en 2004, la région Boeny comptait 543 222 habitants. La population de la région comme pour l’ensemble du pays est à majorité jeune. En effet, plus de la moitié (67,23 %) de la population de la région ont moins de 25 ans en 2004 (INSTAT). Avec un taux d’accroissement intercensitaire entre 1999 et 2004 de 2,9 % inférieur à celui du pays (3,1 %), cette population est passée de 467986 en 1999 (Projection de la population 1999, INSTAT) à 543 222 en 2004, à ce rythme, elle va certainement doubler à l’horizon 2015.
Par ailleurs, le PRD est caractérisée par l’absence d’une évaluation globale des actions prévues pour les dix ans à venir. Le document se limitant à donner les priorités régionales à travers des actions concises
En somme, Boeny est une région dont le rythme d’évolution de la population commande une clarté dans sa politique de développement tant en milieu urbain qu’en milieu rural et une répartition plus équilibrée des richesses.
PRD et le problème de gestion des ressources naturelles
Dans la plupart des communes rurales de la région, l’exploitation irrationnelle des ressources naturelles se fait non pas au profit d’une croissance économique villageoise, mais simplement en faveur du maintien des activités de subsistance ou de survie.
Les ressources végétales de la région sont en constante dégradation, de même ses ressources fauniques et halieutiques sont menacées de disparition à cause de l’augmentation du chômage.
L’exploitation des ressources minières de la région constitue une grande opportunité pour son développement toutefois elle est menacée par l’anarchie et la gabegie sur sa modalité d’exploitation. Le manque de transparence dans le partage de la ristourne constitue également une grande menace.
Les PRD n’abordent pas de manière explicite la problématique environnementale de la région surtout dans les communes les plus reculées. Le PRD ne mentionne pas de coûts spécifiques aux projets environnementaux. Le manque de norme, de canevas ou de guide sur l’intégration de la dimension environnementale dans le PRD est fortement ressenti.
Pourtant, le PRD devrait éclairer les autorités locales sur les modes de production viables à long terme, sur les méthodes et techniques à utiliser pour une exploitation rationnelle et équitable des ressources vis-à-vis des générations futures.
Opportunités
Le diagnostic a révélé que la région Boeny est une région charnière, dotée d’un cadre géographique, administratif, physique et naturel propice au développement du partenariat, favorable aux échanges économiques et à l’accélération de sa croissance économique.
Ce diagnostic a également mis en exergue le dynamisme de la région Boeny, un dynamisme lié à la diversité de ses potentialités. La région Boeny regorge de ressources naturelles et de potentialités agro-sylvo-pastorales immenses mais son économie tarde à produire des effets bénéfiques à la croissance tant attendue à cause de sa base infrastructurelle faible et de l’enclavement intérieur prononcé du territoire.
C’est une région où le dynamisme des acteurs de développement est incontestable et où le dialogue et la concertation sont de règle. Toutefois, les domaines d’actions prioritaires gagneraient à être clarifiés pour plus d’efficacité, plus de complémentarité et plus de synergie au service du développement socio-économique.
En plus des éléments sus mentionnés, Boeny a une position géographique stratégique du fait de son ouverture à la mer.
L’analyse des données du diagnostic fait ressortir qu’en matière de développement de la région, des efforts devraient être faits au niveau de :
• La promotion de la croissance agro-sylvo-pastorale ;
• La lutte contre la pauvreté économique et l’insécurité alimentaire des ménages ;
• L’amélioration de l’accès des populations aux services sociaux de base ;
• Le renforcement des capacités locales pour la réalisation des actions de développement.
Des transformations quantitatives et qualitatives doivent s’opérer dans ces domaines, aussi bien au plan des équipements productifs des biens et services, qu’au niveau des savoir-faire collectifs et individuels.
Depuis 2009, le fer de Soalala constitue l’un des gisements les plus importants de la Région Boeny. Avec le début d’industrialisation des sites notamment celui du Fer de Soalala, le secteur mine va jouer un rôle très important dans le développement socio-économique de la Région.
En somme, sur la base des enjeux et des opportunités de développement, il a été défini par le Conseil Régional, en conformité avec les documents cadres de politique nationale : DSRP, MAP, SDR, PRDR, TBE, etc.), une vision qui devrait permettre d’opérer dans les années à venir, des changements fondamentaux positifs sur le niveau de vie des communautés locales.
Principaux défis
Les principaux défis à relever lors de la définition des orientations pour les années à venir dans la région Boeny sont entre autres :
• L’atteinte d’une sécurité alimentaire durable ; le PRD doit mettre l’accent sur la manière d’obtenir une meilleure productivité des secteurs de production ;
• Une meilleure gestion des ressources naturelles : la région regorge de ressources dont la rationalisation est nécessaire en vue d’assurer une croissance équilibrée ;
• Une meilleure implication du secteur privé : le décollage économique de la région Boeny ne peut se faire sans mettre à contribution le secteur privé. C’est pourquoi le conseil régional doit faire appel à tous les opérateurs privés en fonction de leur secteur d’intervention ;
• Un meilleur accès des populations au crédit : la dynamisation de l’économie passe nécessairement par la disponibilité de ressources en vue de mettre en oeuvre les projets et microprojets initiés par les promoteurs. Aussi, est-il indispensable de promouvoir l’accès aux financements ;
• Le désenclavement de la région : les échanges sont un levier important de l’économie ; le PRD doit prendre en compte le développent du secteur routier en vue de favoriser les échanges commerciaux ;
• Une plus grande utilisation des techniques modernes de production : les techniques extensives de production doivent faire place à une production intensive ;
• Une meilleure prise en compte du genre : l’intégration systématique des femmes renforce le fondement démocratique. Si le conseil régional entend répondre tant aux besoins des femmes que des hommes, il doit s’appuyer tant sur les expériences des femmes que des hommes, à travers une représentation égale à tous les niveaux et dans tous les domaines de prise de décision.
Au regard de tout ce qui précède, le grand défi auquel fait face la région Boeny est celui d’un développement économique social et culturel durable. Bref, la région Boeny est à la croisée des chemins.
Futur PRD
L’élaboration d’un nouveau Plan Régional de Développement (PRD) est un des projets majeurs dont les responsables régionaux devraient y pencher. Ce plan devra être tout à la fois
Un plan durable
Dans un contexte économique difficile, le PRD devra relever des défis importants en matière de développement durable. Par développement durable, il faut entendre un développement socialement juste, économiquement stable et écologiquement responsable (tenant compte des différentes limites biophysiques de la Terre). Pour chaque thématique ou secteur de développement, il faudrait parvenir à établir des “seuils de durabilité” en-dessous desquels on ne peut descendre.
Un plan à court, moyen et long termes
Le PRD préparera l’avenir de la Région à moyen et long termes, en dessinant une vision et des axes stratégiques aux horizons 2020 à 2040. A court terme, pour cette législature, des lignes d’action et des mesures opérationnelles devraient être dégagées (indicateurs et tableaux de bord) pour permettre l’évaluation et l’adaptation du plan continuellement. Un plan pragmatique et régulièrement mise à jour. Outre ces indicateurs et tableaux de bord, le PRD devrait prévoir les conditions et moyens de mise en oeuvre des programmes et projets.
Il s’agira également de revoir les articulations entre ce plan régional global et les plans sectoriels ou locaux (PCD).
Un plan évalué au niveau environnemental
La région devra soumettre, un plan qui permet une évaluation des incidences environnementales. Cette évaluation permettra d’améliorer les propositions, suite à l’analyse de variantes ou alternatives envisageables. Comme le plan lui-même, l’évaluation des incidences sera effectuée de façon transversale. Le Plan Régional de Développement (PRD) entend répondre aux questions importantes pour l’avenir de la Région.
Nécessité d’adopter une nouvelle approche dans la conception du PRD
Actuellement la Région doit faire face à de nouveaux défis : l’essor démographique, l’environnement et le développement durable. L’adoption du PRD devrait permettre de dessiner les grands principes de la politique de développement du pays en général et de la région en particulier. De ce fait Il est nécessaire d’établir un PRD à une échelle thématique plus élargie et de lui adjoindre une nouvelle approche basée sur le SIG Système d’Information Géographique. Cette méthodologie permette de faire une mise à jour rapide des informations géographiques et permet également de faire des simulations avec des cartographies thématiques bien précises. Il suffit d’avoir un logiciel de travail et de personnel qualifié pour la manipulation. Ce genre d’approche permet à la région de gagner plus de temps, de minimiser les dépenses et d’éviter les tergiversations sur les ateliers.
Apports du SIG pour la limitation du risque érosif des terres agricoles : L’exemple du Bassin Versant Marovoay
Problématique
L’érosion des sols dans le BVM touche de nombreuses zones et plus particulièrement les parcelles agricoles (BVPI, 2005). Sur site, la perte de la couche superficielle du sol par l’érosion réduit sa fertilité et baisse le rendement agricole dans le secteur touché.
L’érosion engendre de lourdes dépenses pour le curage des canaux. Selon le rapport sur la statistique agricole basse Betsiboka du ministère de l’agriculture en 2001, les coûts associés au curage des canaux se chiffrent aux environs de 5 millions d’Ariary par an. La dégradation de l’environnement constitue un problème majeur dans le bassin versant de Marovoay.
La forte croissance démographique provoque une surexploitation et un épuisement des terres conduisant chaque année à l’abandon de cent cinquante à deux cent (150 à 200) d’hectares de terrain et à la disparition de deux (2.000) milles d’hectares de forêts tropicales (PLAE, 2004).
De cette dégradation résulte le déboisement inconsidéré et la culture excessive des terres. Il est nécessaire donc de localiser les secteurs de forte érosion nécessitant une intervention prioritaire.
Le but de cette étude est de montrer ce que l’on peut tirer d’une approche par S.I.G à la connaissance, à la gestion et à l’analyse d’un territoire. Cette étude constitue une approche dans l’identification des zones les plus érosives du bassin versants de Marovoay et aide à la compréhension des dynamiques actuelles de ce bassin versant, afin d’optimiser les cultures et de limiter le risque d’érosion.
Objectifs et les résultats attendus par la Région en 2015
Les grandes plaines de la Marovoay et du Ambato-Boeny, ainsi les zones de Mahajanga II et Mitsinjo, tout aussi vaste que fertile, d’une part, la présence d’un intense réseau fluvial et des conditions climatiques favorables, d’autre part, font de Boeny une Région à potentialité agronomique inestimable pouvant permettre la pratique d’une agriculture intensive et variée.
Toutefois, les résultats obtenus jusqu’ici en agriculture sont de très loin en dessous des potentialités du BVM. Il ne faut pas donc s’attendre à ce qu’il y ait une amélioration de la productivité sans la mise en place d’un plan d’aménagement approprier dans le BVM et dans les zones citées ci-dessus. Ce qui nécessiterait d’abord une spatialisation des zones d’intervention prioritaire pour atténuer les méfaits de la dégradation de l’environnement dans ces zones. En agissant ainsi, la région contribuerait à offrir à l’écosystème la possibilité de s’adapter naturellement aux changements induits par les actions de développement et améliorée l’essor économique de cette zone d’une manière durable.
Le secteur du Développement Rural incluant l’Agriculture, l’Elevage et la pêche a comme objectifs globaux :
• le désenclavement des zones productrices,
• la diversification des produits, …
• la réhabilitation de tous les réseaux hydroagricoles
• l’aménagement de nouveaux périmètres
• la construction de nouveaux barrages,
• la protection des bassins versants,
• la maîtrise de l’eau d’irrigation,
• la dynamisation et la responsabilisation des associations des usagers de l’eau pour la bonne gestion de l’eau,
• la sécurité en milieu rural.
• la résolution des conflits fonciers.
Les résultats attendus par la région en 2015 pour le BVM seront donc :
• une régression progressive des pressions sur l’environnement dans le Bassin Versant surtout celui de Marovoay ;
• une augmentation de 10% par an de la couverture forestière régionale;
• augmentation de la superficie cultivable aménagée de 30% dans le BVM ;
• augmentation de la production agricole pour atteindre l’autosuffisance alimentaire selon la vision de Présidentielle « Madagascar Naturellement » de 2007 ;
• augmenter le rendement global de la production rizicole de 3,5 t/ha par parcelle
agricole.
Description de la zone d’étude
Située sur 15°57’47“S à 16°28’48“S de latitude sud et 46°06’47“E à 47°06’49“E de longitude est dans la région Boeny, avec une altitude moyenne de 50 m, le Bassin Versant Marovoay est limitée à l’ouest par le district de Mitsinjo, au sud par le district d’Ambato- Boeny à l’est par le district de Maevatanana et au nord par le district de Mahajanga II.
Elle couvre une superficie d’environ 5 750 km² (figure 1).
Méthodologie
La première étape de la méthodologie est de réaliser un état des lieux de la région d’étude. Cet état des lieux est basé en priorité sur une étude bibliographique de façon à disposer des caractéristiques physiques du milieu, et de regrouper les données socioéconomiques disponibles (données économiques, agricoles, statistiques, météorologiques, images satellites, photos aériennes, cartes topographiques…) provenant de différentes sources, pour faire un bilan général de cette zone.
La deuxième étape de ce travail est basée sur la construction d’un Système d’Information Géographique, qui nous permet d’organiser les données collectées sous forme de tableaux liés à des cartes en format vectoriel. Le traitement de ces données doit nous permettre d’établir la carte du risque d’érosion et les propositions pour un aménagement agricole permettant de limiter le risque érosif. Les différentes étapes de la méthodologie sont représentées par le diagramme (figure 2) ci-dessous.
Détermination des zones à risque érosifs
Nous avons élaboré un modèle pour cartographier le risque d’érosion hydrique basé sur les facteurs classiques de Wischmeier et Smith, 1978, tout en modifiant le modèle pour l’adapter aux conditions spécifiques de notre zone d’étude et selon les données disponibles. Dans le cas de notre étude pour aborder l’érosion des sols nous avons étudié quatre facteurs : telles que la nature des sols, la géologie, la morphologie du terrain et la couverture des sols. Ces quatre facteurs ont été classifiés suivant leur aptitude à favoriser ou non l’érosion de 1 à 4, c’est-à-dire de faible à très fort en passant par moyen et fort. A noter que les zones urbanisées sont resté en dehors de l’étude. Nous n’avons pas pris en compte le facteur pluviosité en raison de l’absence des données climatiques continues fiables (faute de matériel au niveau de direction régionale du service météorologie).
Analyse des données
Géologie
La nature géologique du terrain est l’un de facteur qui favorise l’érosion. Les roches perméables permettent l’infiltration de l’eau et limitent le phénomène de l’érosion hydrique.
Les roches de faible cohésion comme les marnes sont très sensibles à l’érosion hydrique (FAO, 1994). Dans le cas du Bassin Versant Marovoay, les formations géologiques sont dominées essentiellement par les Grès et les Marnes, des dépôts alluvionnaires et du coulé basaltique (Henri Bésairie, 1972). Le tableau ci-après nous donne la relation entre les types de roches et l’érosion hydrique.
Couverture végétale du sol
Le couvert végétal du sol est compté comme efficace contre l’érosion hydrique lorsqu’il limite l’énergie cinétique des gouttes de pluie (Roose, 1994), surtout durant la période des précipitations les plus intensives de l’année. La couverture du sol, dans le bassin versant Marovoay comme dans toute zone fortement occupée par l’agriculture et peuplée n’est pas uniforme. On distingue à la fois des secteurs où les cultures laissent les sols à nu et des secteurs où les cultures et les végétations assurent la couverture et la protection. Le tableau suivant (FAO, 1994) propose une classification de sensibilité de l’occupation du sol à l’érosion hydrique.
Pente
Le relief favorise l’érosion, ce qui nous a conduits à utiliser le facteur gradient de pente. Celui-ci a été extrait du modèle numérique de terrain. En effet une forte pente favorise les écoulements aux dépens de l’infiltration donc sur les pentes forte l’eau de la pluie ruisselle vite et cause des incisions importantes (Roose, 1994). Pour le Bassin Versant Marovoay, nous avons divisé les pentes en cinq classes, selon la façon dont elles sont susceptibles de favoriser ou non l’érosion hydrique et nous avons dressé un tableau synthétique suivant.
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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE I : PLAN REGIONAL DE DEVELOPPEMENT DE LA REGION BOENY
CHAPITRE I : PRD DE LA REGION BOENY (PRD BOENY, 2004)
1.1. CONTEXTE DE L’ELABORATION DU PLAN REGIONAL DE DEVELOPPEMENT
1.2.METHODOLOGIES ET LES ETAPES PARCOURUES LORS DE L’ELABORATION DU PRD
CHAPITRE II: MONGRAPHIE SIMPLIFIEE DE LA REGION BOENY
2.1.MONOGRAPHIE ANALYTIQUE DE LA REGION BOENY
2.2.MONOGRAPHIE SOCIO-ECONOMIQUE DE LA REGION BOENY
CHAPITRE III: SYNTHESE DES POTENTIALITES ET CONTRAINTES DE DEVELLOPEMENT
3.1. SECTEUR DE PRODUCTION
3.2. SECTEURS DE SOUTIENT A PRODUCTION
3.3. SECTEURS SOCIAUX
CHAPITRE IV: AXES STRATEGIQUES DE DEVELOPPEMENT DU PRD
4.1. CADRE STRATEGIQUE
4.2. OBJECTIFS ET LES RESULTATS ATTENDUS
4.3. CADRE LOGIQUE ET BUDGET D’INTERVENTION
PARTIE II : LIMITES DU PLAN REGIONAL DE DEVELOPPEMENT
CHAPITRE V: CONSTAT SUR L’ACTUEL PRD
5.1. PROBLEMES D’APPROCHE
5.2. ABSENCE D’UNE VISION POUR LONG TERME
5.3. PRD ET LE PROBLEME DE GESTION DES RESSOURCES NATURELLES
5.4. OPPORTUNITES
5.5. PRINCIPAUX DEFIS
5.6. FUTUR PRD
5.7. NECESSITE D’ADOPTER UNE NOUVELLE APPROCHE DANS LA CONCEPTION DU PRD
5.8. ETUDE COMPARATIVE ENTRE L’APPROCHE SIG ET L’APPROCHE PARTICIPATIVE
PARTIE III: SIG OUTIL D’AIDE A L A DECISION
CHAPITRE VI. ÉTUDES DES CAS
6.1. APPORTS DU SIG POUR LA LIMITATION DU RISQUE EROSIF DES TERRES AGRICOLES : L’EXEMPLE DU BASSIN VERSANT MAROVOAY
6.2. APPORTS DU SIG POUR EVALUER LA POTENTIALITE EN EAU SOUTERRAINE
6.3. APPORT DU SIG POUR LA PROPOSITION DE NOUVEAU TRACE ROUTIER
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
LISTE DES ANNEXES
TABLE DES MATIERES
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