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Répartition géographique
Les trypanosomoses ont une répartition superposée à celle des glossines. Trois continents (l’Afrique, l’Amérique du sud, l’Asie) sont victimes des trypanosomoses animales. Mais c’est le continent africain qui paye un lourd tribut au Nagana, maladie transmise par les glossines.
T. congolense et T.brucei ssp sont limités à la zone de distribution des glossines (Afrique sub-saharienne) ; T.evansi sévit en Afrique noire, en Afrique du nord, au Proche Orient, au Moyen Orient, en Asie centrale, en Asie orientale jusqu’aux Philippines, en Amérique du sud ; T.vivax sévit pour sa part en Afrique, dans et hors des zones à glossines, en Amérique centrale et en Amérique du sud. En somme le Nagana sévit dans presque tous les pays situés entre le désert d’Afrique australe et le Sahara, soit une superficie de dix (10) millions de km2 soit l’équivalent du tiers du continent. Mais la répartition de l’infestation dans cette bande de dix (10) millions de km2, et même à l’intérieur des pays, n’est pas homogène. Elle varie en effet en fonction de la climatologie, de l’écologie, et même de l’importance de la lutte. Ainsi, la trypanosomose bovine touche 37 pays en Afrique sub-saharienne et parmi eux douze (12) sont complètement infestés (Figure 1).
Etude des trypanosomes
Taxonomie
La position taxonomique des trypanosomes proposée par HOARE (1972)
cité par ITARD et coll. (1981) est la suivante :
– Embranchement : Protozoa, GOLDFUSS, 1918 ;
– Sous-embranchement : Sarcomastigophora, HONIGBERG et BALMUTH, 1963 ;
– Super classe : Mastigophora, DIESING, 1866 ;
– Classe : Zoomastigophora, CALKINS, 1909 ;
– Ordre : Kinétoplastida, HONIGBERG, 1963 ;
– Famille : Trypanosomatidae, DOFLEIN, 1901 ;
– Genre : Trypanosoma, GRUBY, 1843.
Le genre Trypanosoma est divisé en deux sections :
• La section Stercoraria : comporte les trypanosomes à évolution postérograde chez le vecteur. Leur transmission chez l’hôte vertébré s’effectue par déjection contaminante.
• La section Salivaria : comporte les trypanosomes à développement antérograde chez le vecteur. La transmission est effectuée par inoculation, lorsque le vecteur injecte sa salive au moment de la piqûre qui précède immédiatement la prise d’un repas sanguin. Cette section comprend tous les trypanosomes pathogènes d’Afrique, dont la plupart sont transmis par les mouches tsé-tsé, ou glossines, qui constituent leur hôte intermédiaire véritable.
Espèces pathogènes
Chez les bovins d’Afrique, les trypanosomes pathogènes appartiennent à la section des Salivaria. Les trypanosomes de cette section accomplissent leur cycle évolutif dans les portions antérieures du tube digestif du vecteur (intestin moyen, proventricule, trompe, glandes salivaires) ; ils ont donc une évolution antérograde.
Ces différentes espèces sont regroupées en trois sous-genres comme l’indique le tableau I.
Nutrition et métabolisme (EUZEBY, 1986)
• Nutrition
Leur alimentation s’accomplit par pinocytose des grosses molécules du milieu ambiant. La pinocytose ne se réalise qu’au niveau du flagelle.
L’existence de phosphatases acides dans la poche du flagelle suggère, en ce point, une digestion extra-cellulaire. Les nutriments essentiels des trypanosomes sont des glucides et spécialement le glucose absorbé au niveau de sites membranaires particuliers. Les trypanosomes ne font pas de réserves glycogéniques car ils trouvent du glucose en abondance dans le sang et dans les sérosités interstitielles de leur habitat.
• Métabolisme
Le métabolisme glucidique des trypanosomes est aérobie ; les enzymes responsables de ce métabolisme oxydatif sont situées dans des lysosomes particuliers, les glycosomes (hexokinase, phospho-fructokinase, 3-phosphoglycérate-kinase, aldolase). Mais chez certains trypanosomes tels que les formes minces et grêles de T. brucei, le catabolisme n’utilise pas l’oxygène et s’arrête au stade acide pyruvique avec de petite quantité de glycérol.
Quant au métabolisme protidique, il utilise les acides aminés présents dans le sang notamment le tryptophane et l’hématine, facteur de croissance des parasites.
L’importance du métabolisme glucidique est capitale car les trypanosomes sont de très gros consommateurs de glucose et l’inhibition de leur chaîne métabolique est à la base de l’étude des substances trypanocides. Mais le métabolisme des autres substances est aussi important du point de vue de la pathologie :
− Un produit du catabolisme du tryptophane, l’indole-éthanol, exerce un effet immunodépresseur et est responsable du tuphos observé chez le sommeilleux ;
− la formation d’acides gras libres, détermine également de l’immunodépression et favorise les thromboses ainsi que le développement de lésions myocardiques ;
PATHOLOGIE DE LA TRYPANOSOMOSE BOVINE
Les trypanosomoses sont des affections à évolution généralement chronique, de durée et de symptomatologie variables en fonction de l’espèce animale affectée et de l’agent pathogène en cause.
Pathogénie
Action pathogénique des trypanosomes
Diverses opinions expliquant le mécanisme de la mort dans les trypanosomoses ont été développées. Chez le bétail, la première réaction visible à la piqûre d’une glossine infectée par des trypanosomes est la formation d’une réaction cutanée localisée, connue également sous le nom de chancre. Il s’agit d’une réaction inflammatoire de la peau associée à un gonflement et à un afflux de cellules (NAESSENS et coll., 2003).
Dans le cas de la trypanosomose bovine, d’après (URQUHART, 1988), elle dépendrait de trois facteurs essentiels : l’anémie, les lésions tissulaires, surtout la myocardite et la myosite, et une action immunodépressive.
L’anémie
L’anémie est l’un des aspects pathologiques les plus importants dans la trypanosomose bovine aiguë.
L’évolution de l’anémie est fonction de la sévérité et de la gravité de la parasitémie. L’anémie se manifeste principalement en conséquence d’une destruction accélérée des érythrocytes extravasculaires. Les indications disponibles montrent que des facteurs hémolytiques biologiquement actifs dégagés par les trypanosomes à l’autolyse aussi bien que des facteurs immunologiques jouent un rôle dans l’évolution de l’anémie. Davantage d’indications montrent que l’évolution de l’anémie pourrait dépendre aussi de la présence de neuraminidases et des phospholipases dégagées par les trypanosomes pendant des périodes de fortes parasitémie (SAROR, 1983).
Les lésions tissulaires
Les lésions tissulaires les plus communes sont la myocardite et la myosite, mais leur étiologie est assez mal connue. Toutefois T. brucei qui a une localisation plus extravasculaire va former des amas dans les tissus conjonctif et parenchymateux, provoquant ainsi des lésions nécrotiques. Mais quelle que soit la cause de ces lésions, la mort de l’animal résulte le plus souvent d’un arrêt du cœur (MURRAY et coll., 1985).
Action immunodépressive des trypanosomes
Le mécanisme de l’immunodépression relève de plusieurs facteurs :
− L’action de l’indol-éthanol ou d’acides gras libres sur les lymphocytes. En effet l’acide linoléique détruit l’architecture normale des nœuds lymphatiques et de la rate et qu’aux périodes ultimes des trypanosomoses, ces organes sont quasi vides de cellules immuno-compétentes : lymphocytes et plasmocytes.
− Cependant, l’immunodépression se manifeste pendant la première phase de l’infection alors qu’une hyperplasie lymphocytaire et plasmocytaire est très nette. A ce stade, le phénomène peut s’expliquer par l’action d’immun complexe bloquant l’activité des macrophages, ou par la fixation d’antigènes circulants sur les lymphocytes B, empêchant ces cellules de réagir à la stimulation par d’autres antigènes.
Ainsi, l’immunodépression accompagnant les trypanosomoses agit à la fois sur l’immunité humorale et sur l’immunité cellulaire ; mais son mécanisme essentiel repose sur l’inhibition de la sécrétion de globulines et sur l’augmentation du catabolisme de ces globulines.
En somme, les trypanosomes sont à l’origine d’un effet immunodépresseur grave chez l’organisme infecté, responsable d’une grande sensibilité des animaux aux affections intercurrentes virales, bactériennes et parasitaires. En l’absence de thérapeutique la mort est fatale, le système immunitaire de l’hôte finissant par être débordé par les antigènes successifs élaborés par les trypanosomes (CADEAU, 2003).
Symptômes et lésions
Symptômes
Phénomènes locaux
Chez les animaux, le chancre d’inoculation passe généralement inaperçu, faute d’un examen assez précoce.
Symptômes généraux
Au terme d’une période d’incubation variable de quelques semaines à quelques mois, ces symptômes se manifestent en deux temps :
– la première phase se caractérise par de fortes poussées fébriles séparées par des poussées d’apyrexie, des altérations sanguines avec notamment une anémie, de la splénomégalie, des polyadénites (inguinale, préscapulaire, précuriale) très banales chez tous les animaux. On note également des symptômes oculaires notamment une conjonctivite unilatérale ou bilatérale purulente et kératite interstitielle accompagné parfois d’uvéite ;
– dans la seconde phase de la maladie, lorsque le parasite se localise dans le liquide céphalorachidien, la maladie évolue sur un tableau d’encéphalomyélite, avec des troubles nerveux de type parésie des membres postérieurs, pica, hyperesthésie, somnolence, coma. La détresse physiologique conduit à l’amaigrissement, la cachexie et la mort.
La maladie évolue sous forme de crise, correspondant aux phases de parasitémie. Elle revêt différentes formes, suraiguë (issue fatale en moins d’une semaine), aiguë (accès de 3 à 6 jours, et périodes de rémissions de 6 à 8 jours, issue fatale en deux (2) mois), chronique (accès légers, longues périodes de rémissions et issue fatale en quelques mois).
Chez les femelles, cette évolution s’accompagne d’avortements et de tarissement de la sécrétion lactée et, de l’infertilité chez les taureaux infectés à T. congolense suite à son effet sur le temps de réaction (temps d’éjaculation) qui augmentait de manière significative et à la destruction de l’épithélium germinal qui provoque une mauvaise qualité du sémen (SEKONI et coll., 1988).Chez les jeunes on note des retards de croissance et, un manque d’ardeur au travail chez les animaux de trait. Il a été en effet observé une corrélation entre le degré d’anémie et la baisse de la productivité des animaux (ILCA, 1986).
Lésions
Elles sont inconstantes, peu spécifiques et sans signes pathognomoniques. Dans les conditions expérimentales on observe un chancre au point d’inoculation. Ces lésions sont essentiellement liées aux troubles du compartiment sanguin. Dans les organes profonds, les lésions sont de type inflammatoire, accompagnées de dégénérescence et de nécrose. Les lésions seront plus ou moins accusées suivant la durée d’évolution de la maladie et l’espèce animale affectée. Elles se traduisent par :
– une atteinte du système sanguin avec de l’anémie liée à une érythrophagocytose par les macrophages et une hémolyse par les métabolites des parasites ou par des complexes antigènes anticorps à la surface des globules rouges. On observe également un ictère systématique ;
– des lésions vasculaires : foyers de nécrose touchant le artérioles ;
– des oedèmes sous-cutanés et dans la medullaire du rein;
– des lésions cardiaques, dans les formes chroniques, avec myocardite congestive en plage associée parfois à de l’hydro-péricardite. La myocardite est parfois dégénérative avec des foyers de nécrose ;
– une polyadénite avec hypertrophie, parfois des pétéchies sous-capsulaires ;
– des atteintes dermatologiques par défaut de vascularisation. On observe un mauvais état du pelage ou une perte de poils. L’inflammation chronique du derme pouvant se traduire par des papules et des pétéchies sur les muqueuses ;
– une kératite interstitielle, une uvéite, parfois une conjonctivite purulente unilatérale ou bilatérale pouvant conduire à la cécité ;
– des lésions de type congestives et hypertrophiées atteignant les poumons (plages d’atélectasie, congestion des lobes apicaux), la rate (évoluant vers l’atrophie et l’hyperplasie), le foie, les reins ou d’autres organes ;
– des troubles endocriniens dus au dysfonctionnement de l’axe hypothalamo-hypophysaire caractérisant l’infection par T. congolense ou T. vivax. Ils seraient liés à des lésions hypophysaires (MASSAKE, 1980 ; ABEBE et ELEY, 1992 ; BOLY et coll., 1991). Des lésions dégénératives des gonades peuvent contribuer à l’altération des différentes composantes de la fonction sexuelle des taureaux infectés par T. congolense ou T. vivax (SEKONI, 1990).
Diagnostic
Le diagnostic des trypanosomoses animales fait appel à différentes méthodes présentées ci-dessous.
Le diagnostic clinique
Dans les trypanosomoses les signes cliniques sont peu spécifiques : fièvre intermittente, anémie, hypertrophies ganglionnaires, larmoiement, oedèmes, troubles nerveux avec parésie et pica. Cette expression clinique peu spécifique prête à confusion avec plusieurs autres hémoparasitoses et certaines helminthoses. Un diagnostic différentiel est donc nécessaire pour éviter toute confusion avec les theilérioses, l’ehrlichiose bovine, la cowdriose, l’anaplasmose, les babésioses et les helminthoses anémiantes.
Toutefois, le diagnostic de certitude repose sur le diagnostic parasitologique (BOYT, 1986).
Le diagnostic parasitologique
Certaines techniques parasitologiques peuvent être utilisées pour la détection des trypanosomes.
L’examen microscopique direct
Les trypanosomes sont principalement présent dans le sang des mammifères infectés même si on les trouve également dans la lymphe, le liquide céphalorachidien et l’humeur aqueuse de l’œil. L’observation microscopique des parasites dans les échantillons biologiques constitue un diagnostic de certitude.
Examen direct à l’état frais
Pour l’examen sanguin, le prélèvement à l’oreille est plus sensible que celui réalisé dans les veine jugulaire ou caudale (DESQUESNES, DIA et BENGALY, 2004).
On observe directement les trypanosomes dans une goutte de sang frais entre lame et lamelle, au microscope. Mais on peut aussi prélever le suc ganglionnaire ou le liquide céphalorachidien. L’examen doit être réalisé rapidement après le prélèvement, au microscope à fond noir. A l’état frais, les trypanosomes présentent des mouvements plus ou moins vifs. T. vivax présente la particularité de traverser rapidement les champs du microscope alors que les autres parasites ont plutôt des déplacements plus limités ou effectuent des mouvements sur place. T. brucei est reconnaissable à sa membrane ondulante bien développée qui forme des « poches de lumière ». T. congolense, de taille plus petite, ne possède pas de flagelle libre et sa membrane ondulante est peu visible.
A la lumière de ce qui précède on peut noter que l’examen direct à l’état frais permet parfois l’identification du parasite sur les critères de morphologie et de motilité.
Examen d’un frottis coloré (DESQUESNES, DIA et BENGALY, 2004)
Il est réalisé par observation au microscope d’un frottis fixé au méthanol et coloré au Giemsa. Le sous-genre auquel appartiennent les trypanosomes est identifié sur des critères de morphologie et de morphométrie. L’examen de frottis est donc relativement spécifique, mais sa sensibilité est faible, de l’ordre de 104 à 105 parasites/ml.
L’examen d’une goutte épaisse partiellement étalée sur une lame à l’aide du coin d’une autre lame est une variante qui ne requiert pas de fixation au méthanol mais une simple coloration au Giemsa. L’examen est plus sensible mais l’identification plus délicate.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I: GENERALITES SUR LES TRYPANOSOMOSES ANIMALES AFRICAINES
I. Définition et importance
I.1. Définition
I.2. Importance
II. Répartition géographique
III. Etude des trypanosomes
III.1. Taxonomie
III.2. Espèces pathogènes
III.3. Morphologie et structure
III.3.1. Morphologie
III.3.2. Structure
III.3.3. Biologie
III.3.3.1. Habitat
III.3.3.2. Mobilité
III.3.3.3. Nutrition et métabolisme
III.3.3.4. Multiplication
III.3.3.5. Cycle biologique du parasite chez l’hôte Mammifère
CHAPITRE II : PATHOLOGIE DE LA TRYPANOSOMOSE BOVINE
I. Pathogénie
I.1. Action pathogénique des trypanosomes
I.1.1. L’anémie
I.1.2. Les lésions tissulaires
I.1.3. Action immunodépressive des trypanosomes
II. Symptômes et lésions
II.1. Symptômes
II.2. Lésions
III. Diagnostic
III.1. Le diagnostic clinique
III.2. Le diagnostic parasitologique
III.2.1. L’examen microscopique direct
III.2.2. Examen microscopique après concentration
CHAPITRE III : TRAITEMENT DE LA TRYPANOSOMOSE BOVINE
I. Traitement parasitologique
I.1. Trypanocides vétérinaires
I.2. Les trypanopréventifs vétérinaires
II. Le traitement adjuvant
II.1. Les anti-oedémateux
II.2. Le glucose
II.3. L’apport vitaminique
II.3.1. Vitamine C
II.3.2. Vitamines B1 et B6
II.4. La vitamine B12 ou cobalamine
II.4.1. Structure chimique
II.4.2. Propriétés physico-chimiques
II.4.3. Métabolisme
II.4.3.1. Absorption
II.4.3.2. Distribution
II.4.3.3. Elimination
II.5. Effets de la vitamine B12
II.5.1. Synthèse de méthionine à partir de l’homocystéine
II.5.2. Transformation du méthylmalonyl-CoA en succinyl-CoA
II.5.3. Métabolisme de l’acide Propionique
II.6. Apports alimentaires
II.7. Carences
II.8. Diagnostic
II.9. Traitement
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
I. Introduction
I.1. Objectif général
I.2. Objectifs spécifiques
II. Matériel
II.1. Le matériel animal
II.2. La souche de parasite
II.3. Produits utilisés
II.3.1.Le SANGAVETN
II.3.1.1. Composition
II.3.1.2. Propriétés physiques et chimiques
II.3.1.3. Pharmacocinétique
II.3.1.4. Mécanisme d’action
II.3.1.5. Toxicologie
II.3.1.6. Usages thérapeutiques
II.3.2. Le VERIBENND
II.2. Le matériel technique
III. Méthodes
III.1. Zone de l’essai
III.2. Protocole expérimental
III.2.1. Choix et identification des animaux
III.2.2. Déparasitage des animaux
III.2.3. Formation des lots
III.2.4. Infestation des rats et préparation de l’inoculum
III.2.5. Pesées et Infestation des animaux
III.2.6. Suivi parasitologique des animaux
III.2.7. Traitement des animaux infestés
III.2.7.1. Administration de la formulation standard (VERIBENND)
III.2.7.2. Administration de la nouvelle formulation (SANGAVETND)
III.2.8. Paramètres mesurés lors du suivi des animaux
III.2.8.1. Le poids vif
III.2.8.2. Examens cliniques
III.2.8.3. Parasitémie
III.2.8.4. Hématocrite
III.2.9. Examen post mortem
III.2.10. Analyses statistiques des résultats
CHAPITRE II : RESULTATS
I. Examen clinique des animaux suite à l’infestation
II. Résultats d’autopsie d’animaux morts
III. Tolérance des animaux vis à vis des traitements trypanocides
IV. Efficacité thérapeutique
V. Evolution de l’hématocrite des animaux
VI. Evolution pondérale
VI.1. Croissance pondérale
VI.2. Evolution du gain pondéral moyen
CHAPITRE III : DISCUSSION
I. Conduite de l’expérience
I.1. Choix du site
I.2. Choix des animaux
I.3. Présence du lot témoin
I.4. Produits utilisés
II. Résultats
II.1. Examen clinique
II.2. Efficacité thérapeutique
II.3. Evolution de l’hématocrite des animaux
II.4. Evolution du gain pondéral
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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