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Méthode et corpus
La méthode de la présente étude est contrastive, ce qui veut dire que les différences ainsi que les ressemblances entre les syntagmes participiaux et infinitivaux des textes originaux et leurs traductions sont examinées. Il faut cependant souligner que le résultat peut être influencé par le style particulier du traducteur, qui sans doute n’est pas toujours complètement objectif. Le texte de départ se reflète sur celui-là et sa traduction, ce qui peut se montrer dans la fréquence de certaines structures textuelles. De plus, le nombre de textes est limité. Au total, 212 exemples ont été relevés et catégorisés.
La prédominance du substantif en français est connue. La construction nominale est fréquente (V & D 1958 [1977] : 102), tandis que le suédois préfère souvent des tournures verbales. Sans doute ce fait est lié à la tendance du suédois à exprimer les actions et les états avec des verbes à l’état fini.
Les deux textes qui constituent la base pour mon analyse sont des extraits de :
– Gaillard, Jean-Michel. 2004. Les grands jours de l’Europe. 1950-2004. Paris : Éditions Perrin. (Texte de départ 1, ci-après TD1, pp. 127-137)
– Pallardy, Pierre. 2002. Et si ça venait du ventre? Paris : Éditions Robert Laffont. (Texte de départ 2, ci-après TD2, pp. 9-20)
Le premier texte se situe dans le genre politico-économique, racontant l’histoire de l’Union Européenne 1950-2004, tandis que le deuxième texte est un manuel médico-populaire. Les deux textes sont informatifs – avec le but d’être exacts et objectifs en se concentrant sur le contenu du message – mais ont aussi la tendance d’influencer le lecteur, en particulier ce dernier, ayant un trait impératif et appellatif (Ingo 2007 : 217) avec ses instructions et ses conseils. Si ce fait se montre dans les structures syntaxiques, cela reste à voir.
Ingo (2007 : 75) parle de la variété de la langue comme la manière de se servir des structures grammaticales pour rendre un message et qu’il est, par conséquent, important que le traducteur connaisse bien ces variétés dans le texte de départ pour réussir sa traduction.
En lisant les textes originaux, il est facile de constater que les syntagmes qui vont être étudiés sont nombreux dans tous les deux. Selon des études faites par Eriksson (1997) les syntagmes infinitivaux et participiaux sont les syntagmes les plus fréquents en français, tandis que le syntagme suédois le plus populaire est le syntagme adverbial.
Au cours de mon travail je m’appuie premièrement sur les études d’Eriksson, La phrase française. Essai d’un inventaire de ses constituants syntaxiques et Språk i kontrast. En jämförande studie av svensk och fransk meningsstruktur, mais aussi d’autres ouvrages – à côté des grammaires et des dictionnaires – ont été consultés, voir la bibliographie à la fin de ce mémoire.
Syntagme participe passé
Le syntagme participe passé se compose d’un participe passé seul ou de plusieurs mots autour de celui-ci. Dans la présente étude, la plupart des syntagmes participe passé ont été traduits par des subordonnées relatives (28 ou 50 %), mais il y a aussi des propositions principales (6 ou 11 %) et d’autres syntagmes (9 ou 16 %). Dans 13 des cas (23 %) aucune transposition n’a été faite, il s’agit ici d’une traduction plus ou moins littérale où le syntagme original a gardé sa forme dans le texte d’arrivée, ci-après TA.
Syntagme participe passé traduit par une subordonnée relative
La plupart des syntagmes participe passé trouvés dans les TD – 28 ou 50 % – ont été rendus par des subordonnées relatives :
Ex. 1 :
« Ainsi, avec cette réunification se clôt le XXe siècle, né en août 1914. » (TD1 lignes 9-10)
Ex. 2 :
« … cette Europe médiane restée en lisière des révolutions industrielles entre 1800 et 1950 … » (TD1 lignes 145-146)
Ex. 3 :
« Au fil des années […], j’ai conforté cette certitude fondée […] sur mon expérience personnelle … » (TD2 lignes 120-121)
Ex. 4 :
« … ma méthode […] constitue un apport significatif pour les malades traités par chimiothérapie ou radiations. » (TD2 lignes 335-338)
Les exemples 1-4 montrent un phénomène où les deux langues comparées se diffèrent l’une de l’autre ; qu’un syntagme participe passé français correspond souvent à une subordonnée relative suédoise. On peut aussi noter que le participe passé s’accorde toujours avec le nom auquel il se rapporte.
Syntagme participe passé traduit par une proposition principale
Seulement 6 (11%) des syntagmes participe passé ont été traduits par des propositions principales, ce qui paraît un peu étonnant. Selon Eriksson (1997 : 88) le suédois préfère souvent des propositions principales pour remplacer des syntagmes participe passé français.
Ex. 5 :
« Une guerre européenne, devenue mondiale, affrontement sans merci des nations que la paix de Versailles et le démembrement des empires ont arrêté un instant sans éteindre les flammes du ressentiment … » (TD1 lignes 33-37)
On voit dans la phrase du TD que le français insère souvent des remarques sous forme de syntagmes différents. Ici, j’ai préféré une proposition principale qui paraît plus naturelle en suédois.
Ex. 6 :
« Ses nations, devenues lilliputiennes dans un monde de géants, se sont retrouvés enrégimentées au sein des deux blocs qui se faisaient face. » (TD1 lignes 51-54)
Ex. 7 :
« Cela fait maintenant de nombreuses années que je me penche, en ma qualité de thérapeute, sur des patients atteints de troubles divers dans leur corps et Presque toujours dans leur esprit, en proie à des douleurs qui ne leur laissent pas de répit, parfois submergés par des souffrances incoercibles, qui leur privent de toute joie de vivre. » (TD2 lignes 1-7)
Comme on peut le voir, le participe passé s’accorde toujours en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte. Une alternative à la transposition faite dans l’exemple 6 serait de rendre le syntagme participe passé français par une subordonnée relative : « som blivit lilleputtländer i en värld av jättar, enrollerades … ». Cependant mon choix s’est porté sur la proposition principale, ce qui va aussi pour l’exemple 7.
Syntagme participe passé traduit par un syntagme participial
Dans 13 cas (23%), le syntagme participe passé a gardé sa forme originale, par exemple :
Ex. 8 :
« L’Europe brisée fut dépossédée de la maîtrise de son destin. » (TD1 ligne 50)
Ex. 9 :
« … l’espoir sans cesse renouvelé, … » (TD2 ligne 25)
Ex. 10 :
« … ses fonctions souvent altérées ou modifiées … » (TD2 lignes 206-207)
Dans les exemples 8-10 on peut voir que la traduction est plus ou moins littérale, sauf la différence qui concerne la position de l’épithète, en suédois avant le substantif, en français le plus souvent après le substantif. Ce qui est notable est aussi l’article défini de l’exemple 9 qui est devenu un article indéfini en suédois.
Syntagme participe passé traduit par un autre syntagme
Finalement dans cette catégorie il convient d’exemplifier quelques-uns des 9 cas – 16 % – où le syntagme participe passé des TD a été rendu par un autre syntagme.
Ex. 11 :
« Des crises répétées ont tendu leurs relations. » (TD1 ligne 26)
Dans l’exemple 11, le participe passé est devenu un participe présent en fonction d’épithète. Dans l’exemple 12 le syntagme participe passé est devenu un syntagme adverbial et dans l’exemple 13 le participe passé est devenu un syntagme adjectival.
Ex. 12 :
« … le fonctionnement codifié des institutions européennes … » (TD1 lignes 174-175)
Ex. 13 :
«Souvent, je déchiffre sur leur visage, sur leur peau, les signaux d’une sorte de déclin, d’un vieillissement prématuré. » (TD2 lignes 41-43)
L’exemple 12 est typique pour montrer que là où le français met l’accent sur le substantif, le suédois préfère une construction avec un verbe à l’état fini.
Dans l’exemple 14 on voit un syntagme participial français correspondant à un syntagme nominal. Une traduction littérale ici ne serait pas idiomatique de mon point de vue :
Ex. 14 :
« On mange trop vite, n’importe où, n’importe comment, des aliments sans valeur nutritive trop gras, trop sucrés. » (TD2 lignes 29-32)
Syntagme participe présent
Le syntagme participe présent se construit autour d’un participe présent. Le nombre de syntagmes participe présent trouvés dans les TD s’élève à 12, c’est-à-dire 6 % des syntagmes étudiés. La majorité de ceux-ci – 10 ou 84 % – ont été rendus soit par une proposition principale (6 ou 50 %) soit par une subordonnée relative (4 ou 34 %), 1 (8 %) par un autre syntagme et 1 (8 %) par une subordonnée circonstancielle.
Syntagme participe présent traduit par une proposition principale
Le participe présent exprime une action et se comporte comme un verbe, comme on peut le voir dans les exemples suivants. Six (50 %) des syntagmes participe présent trouvés dans les TD ont été rendus par une proposition principale :
Ex. 15 :
« Ceux-ci se sont donné rendez-vous pour écrire une nouvelle histoire ensemble et […] doit mobiliser les peuples et dynamiser les societies civiles, démontrant ainsi que la « vieille
Europe » a trouvé un nouveau souffle et s’apprête à vivre d’autres grands jours. »
(TD1 lignes 259-265)
« Je massais le ventre doucement, cherchant à dénouer un à un leurs plexus. » (TD2 lignes 95-97)
On peut noter que le participe présent dans sa fonction verbale ne s’accorde pas en genre et en nombre avec le sujet.
Syntagme participe présent traduit par une subordonnée relative
Quatre (34 %) des 12 syntagmes participe présent relevés des TD ont été traduits par des subordonnées relatives, par exemple :
Ex. 17 :
« … faire émerger une personnalité pesant sur la régulation des grands équilibres économiques, culturels et géopolitiques mondiaux, … » (TD1 lignes 104-106)
Ex. 18 :
« Cela augure d’une volonté partagée devant aboutir à trouver les compromis nécessaires. » (TD1 lignes 188-189)
Ex. 19 :
« … je préconisais la méthode d’oxygénation par la « respiration-détente » agissant directement sur le cycle d’assimilation-élimination. » (TD2 lignes 101-103)
La fonction dans les exemples 17-19 est celle d’une épithète et l’alternative française serait aussi une subordonnée relative, par exemple (ex. 17) : « … agissant directement sur … » > « … qui agit directement sur … ».
Comme le fait valoir Eriksson (1997 : 88) et comme on a pu le voir dans les exemples 15-19 sous les rubriques 5.2.1 et 5.2.2, le syntagme participe présent français subit très souvent une transposition et devient une proposition principale ou une subordonnée relative en suédois.
Syntagme participe présent traduit par une subordonnée circonstancielle
Il nous reste 2 exemples de syntagme participe présent dans les TD. Un seul de ceux-ci a été traduit par une subordonnée circonstancielle :
Ex. 20 :
« Très souvent, je suis parvenu à faire disparaître assez rapidement des troubles ou, au moins, à les rendre supportables améliorant l’état nerveux […] de mes patients. » (TD2 lignes 262-265)
Selon Eriksson (1997 : 305) cette transposition est rare et aboutit souvent à une subordonnée temporelle, comme dans l’exemple 20.
Syntagme participe passé traduit par une autre construction
Le dernier exemple de syntagme participe présent a été rendu par un syntagme prépositionnel. Ici il a fallu trouver une expression suédoise équivalente à la construction française.
Ex. 21 :
« Souvent, croyant bien faire, on pratique une gymnastique trop violente … » (TD2 ligne 32)
Syntagme gérondif
Le syntagme gérondif est une variante du syntagme participe présent, précédé par la préposition en. La plupart des syntagmes gérondif – 12 ou 67 % – ont été traduits par un syntagme infinitival et le reste – 6 ou 33 % – ont été traduits par une subordonnée complétive.
Syntagme gérondif traduit par un syntagme infinitival
Dans les exemples 22-24 le syntagme gérondif exprime le moyen, en suédois rendu par une construction avec genom att, notamment un syntagme infinitival précédé par genom :
Ex. 22 :
« L’Union européenne fournit un cadre […] en construisant une entité supranationale fondée sur le libre consentement de ses membres à y adhérer … » (TD1 lignes 236-239)
Ex. 23 :
« … les praticiens chinois interrogaient le ventre d’un patient en prenant son pouls et en auscultant son coeur. » (TD2 lignes 137-139)
Ex. 24 :
« En améliorant la quantité et, certainement la qualité des cellules constituantes de notre système immunitaire […] il est très vraisemblable que nous diminuons les possibilities d’attaques tumorales …» (TD2 lignes 327-331).
Syntagme gérondif traduit par une subordonnée complétive
Douze (67 %) des syntagmes gérondif du TD sont devenus des subordonnées complétives, par exemple :
Ex. 25 :
« … en retrouvant sa santé le ventre apportera équilibre, sérénité et joie de vivre. » (TD2 lignes 63-64)
Ex. 26 :
« En quelques séances de traitement manuel de son ventre, en supprimant ses six à sept cafés par jour, en obtenant qu’il mange régulièrement et lentement, et en lui faisant pratiquer ma respiration-détente […], j’obtins une amélioration dont il m’est encore reconnaissant. » (TD2 lignes 154-160) Les exemples 25 et 26 montrent que le gérondif se réfère au sujet. Les syntagmes gérondif des exemples expriment le moyen par lequel un résultat peut être obtenu. La construction correspondante suédoise est une subordonnée complétive précédée par la préposition genom.
Le TD2 contient plus de syntagmes gérondif que le TD1. Cela peut dépendre du style de celui-là qui, à côté d’être informatif, est appellatif et impératif. Par la traduction sans exception du syntagme gérondif dans ce texte par des constructions précédées par genom att j’ai transmis, selon mon interprétation, l’intention du texte original de convaincre et capturer le destinataire par une répétition de cette expression.
Syntagme infinitival
Le syntagme infinitival se forme autour d’un verbe à l’infinitif. Les syntagmes infinitivaux sont nombreux dans les textes originaux, au total 126. Une grande majorité – 102 ou 81 % – a été rendue de la même manière en suédois, 10 ou 8 % ont été traduits par une subordonnée complétive, 11 ou 9 % ont été traduits par une autre construction et 3 (2 %) ont été rendus par un autre syntagme.
Syntagme infinitival traduit par un syntagme infinitival
Ici aucune transposition n’a été faite. Pourtant, en voici quelques exemples :
Ex. 27 :
« Une guerre européenne, devenue mondiale, affrontement sans merci des nations que la paix de Versailles et le démembrement des empires ont arrêté un instant sans éteindre les flammes du ressentiment » (TD1 lignes 33-37)
Ex. 28 :
« Cette ambition est simple à définir … » (TD1 lignes 74-75)
Les traductions dans les exemples 27-28 exigent l’infinitif précédé par l’indice d’infinitif att. L’infinitif du TD1 de l’exemple 28 est accompagné de la préposition à.
Ex. 29 :
« Mais il ne faut pas se méprendre. » (TD1 ligne 91)
Dans des constructions avec falloir, l’infinitif est toujours seul, sans préposition, comme le montre l’exemple 29.
Syntagme infinitival traduit par une subordonnée complétive
Selon des études faites par Eriksson (1997 : 89) le syntagme infinitival se transforme souvent dans une subordonnée complétive. Dans mon travail il y en a 10 cas (8 %), par exemple :
Ex. 30 :
« À condition d’accepter de changer quelques petites habitudes, de manger et de respirer différemment, de se soumettre à des règles de comportement simples, de modifier le regard qu’on porte sur soi-même. Et de savoir que ces maux prennent naissance dans le ventre … » (TD2 lignes 57-62)
L’exemple 30 montre la prédilection du français d’enchâsser plusieurs syntagmes et propositions dans la même phrase. Souvent le suédois trouve d’autres solutions ; il peut être nécessaire de couper les phrases françaises avant de les rendre en suédois, afin d’améliorer la lisibilité pour le destinataire. Dans ce cas, cependant, il a été possible de garder les constructions dans la même phrase en suédois.
Ex. 31 :
« Au fil du traitement, je les sentais se détendre. » (TD2 ligne 97)
Une alternative à la transposition de l’exemple 31 serait « hur de slappnade av », c’est-à-dire une subordonnée interrogative.
Ex. 32 :
« Après avoir touché le fond de l’horreur, l’Europe brisée fut dépossédée de la maîtrise de son destin. » (TD1 lignes 49-50)
On peut noter que la forme active est devenue passive dans l’exemple 32. Une traduction alternative, gardant la forme active, serait « Efter att Europa nått botten av fasor, fråntogs det makten över sitt öde ».
Syntagme infinitival traduit par une autre construction
Sous cette rubrique il y a 11 constructions différentes (9 % des traductions). Par exemple on y trouve des constructions avec venir de, (exemples 36 et 37), la construction avoir beau faire qc (exemple 38), et, pour finir cette catégorie, deux exemples (39 et 40) qui montrent des constructions avec faire. On a ici à faire avec des collocations verbales.
Ex. 36 :
« Attentifs à leur souveraineté – ils viennent de la retrouver – ils s’attendent pour la déléguer à nouveau … » (TD1 lignes 195-197)
« De är måna om sin suveränitet – de har just fått den tillbaka – och väntar på att delegera den vidare … » (TA1 lignes 117-118)
Ex. 37 :
« Une équipe de l’université de Boston vient d’identifier dans l’estomac et l’intestin de la souris des récepteurs du goût amer ! » (TD2 lignes 200-202)
« Ett forskningslag på universitetet i Boston har nyligen identifierat receptorer för bitter smak i magen och i tarmen hos möss! » (TA2 lignes 105-106)
Venir de correspond en suédois à nyss (just, nyligen) ha, comme on peut le voir dans les exemples 36 et 37. De plus on peut noter dans la traduction de l’exemple 37 que l’ordre des mots a changé ; l’objet direct et l’objet indirect ont changé de place, ce qui semble le plus naturel.
Dans des expressions avec avoir beau faire qc le syntagme infinitival a la fonction d’objet. En suédois on se sert de l’adverbe förgäves pour rendre le sens du TD :
Ex. 38 :
« J’avais beau rappeler que, dans l’Antiquité, le ventre était considéré comme le siège de l’âme » (TD2 lignes 133-135)
« Förgäves påminde jag om att i Antiken ansågs magen vara själens boning. »
(TA2 lignes 69-70)
Les exemples suivants contiennent des expressions avec l’auxiliaire faire, souvent employé dans des collocations verbales :
Ex. 39 :
« Elle peut aussi […] faire émerger une personnalité … » (TD1 lignes 98-105)
Ex. 40 :
« … je faisais resurgir […] des émotions, des troubles, des traumatismes … » (TD2 234-236)
Dans les exemples 39 et 40 les infinitifs émerger et resurgir constituent des verbes principaux dans une construction composée, notamment une collocation, en suédois correspondant à un seul verbe ; un infinitif utveckla et un verbe conjugué väckte.
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Table des matières
1 Introduction
2 La traduction – quelques remarques
3 Méthode et corpus
4 Définitions
5 Analyse
5.1 Syntagme participe passé
5.1.1 Syntagme participe passé traduit par une subordonnée relative
5.1.2 Syntagme participe passé traduit par une proposition principale
5.1.3 Syntagme participe passé traduit par un syntagme participial
5.1.4 Syntagme participe passé traduit par un autre syntagme
5.2 Syntagme participe présent
5.2.1 Syntagme participe présent traduit par une proposition principale
5.2.2 Syntagme participe présent traduit par une subordonnée relative
5.2.3 Syntagme participe présent traduit par une subordonnée circonstancielle
5.2.4 Syntagme participe présent traduit par une autre construction
5.3 Syntagme gérondif
5.3.1 Syntagme gérondif traduit par un syntagme infinitival
5.3.2 Syntagme gérondif traduit par une subordonnée complétive
5.4 Syntagme infinitival
5.4.1 Syntagme infinitival traduit par un syntagme infinitival
5.4.2 Syntagme infinitival traduit par une subordonnée complétive
5.4.3 Syntagme infinitival traduit par un autre syntagme
5.4.4 Syntagme infinitival traduit par une autre construction
6 Conclusion
Bibliographie
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