Syndrome général d‟adaptation (SGA)

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SYNDROMES D’ADAPTATION

Syndrome général d’adaptation (SGA)

En 1946, H. Selye décrit le syndrome général d‟adaptation. Celui-ci représente toutes les modifications non spécifiques, c‟est à dire indépendantes du type de stresseur, qui se développent dans l‟organisme et dans le temps au cours de l‟exposition continue à un stresseur. Le SGA touche l‟organisme tout entier : il correspond au syndrome de stress. C‟est la réponse apportée au facteur de stress. Elle se traduit par un ensemble de modifications biologiques responsables des différentes manifestations symptomatiques fonctionnelles et organiques.
Le SGA se déroule dans sa forme typique en trois phases :
– une phase d‟alarme,
– une phase de résistance,
– une phase d‟épuisement.
Il n‟est pas nécessaire que ces trois phases interviennent pour que l‟on puisse parler de SGA.

Seul un stress très grave peut aboutir à l‟épuisement et à la mort.
Nous présentons, ci-après, les trois phases citées précédemment. Elles s‟expriment par une répercussion au niveau neurobiologique et somatique, et au niveau comportemental et psychologique (Bensabat, 1980 ; Selye, 1946).

La phase d‟alarme

 Au niveau neurobiologique et somatique
Elle s‟exprime d‟une part par des manifestations neurovégétatives intenses et stéréotypées comme en témoignent l‟accélération du rythme cardiaque, l‟hypertension artérielle, l‟hypersudation, et d‟autre part par une hyperactivité des systèmes catécholaminergiques et de l‟axe hypothalamo-hypophyso-cortico-surrénalien (HHCS). Cette phase ne dure pas longtemps, de quelques minutes à quelques heures tout au plus. C‟est la réaction de stress proprement dite, identique quel que soit l‟agent agresseur. Elle s‟exprime de la même façon chez tous les individus. Seule son intensité varie. L‟hyper activation des systèmes sympathique et corticotrope a pour seul but la mobilisation énergétique pour assurer l‟effort
adaptatif. Elle met à disposition les réserves de glucose par glycogénolyse d‟abord et par lipolyse ensuite. Une oxygénation optimale est assurée par l‟accélération du rythme respiratoire et de la fréquence cardiaque responsable d‟une augmentation du débit sanguin. Cette énergie est principalement orientée vers les organes qui interviennent dans l‟effort adaptatif (tissu cérébral et muscles). Parallèlement à cette hyper activation, les fonctions qui n‟ont aucun rôle dans la réponse de stress sont mises au repos. Les hormones sexuelles et thyroïdiennes sont ainsi inhibées.
 Au niveau comportemental et psychologique
Les situations de stress engendrent une série de comportements le plus souvent désordonnés et associés à une exacerbation de la vigilance et de l‟état émotionnel. Il peut s‟agir d‟une accélération des activités automatiques avec engagement irréfléchi dans des gestes et mouvements exécutés en vitesse mais sans but et sans précision. Ailleurs, une suspension voire une inhibition des activités avec vide de la pensée, trous de mémoire, impression de paralysie et d‟incapacité seront observées. D‟autres fois, les modifications émotionnelles réaliseront un état d‟anxiété et d‟affolement important ou un état de panique amenant à des activités stéréotypées et inefficaces. L‟expression verbale peut être accélérée avec un discours plus ou moins cohérent qui peut se rapporter à l‟événement en cause et à la signification qu‟il prend dans la vie du sujet. L‟intérêt attribué aux propos tenus par le sujet peut, plus tard aider à comprendre le sens de la réponse de stress et être intégré dans la prise en charge thérapeutique. D‟autre fois, le sujet est peu bavard, voire muet. Cette éventualité est souvent associée à un état d‟inhibition motrice. Dans tous les cas, le sujet ressent ces phénomènes comme une rupture d‟ordre psychologique (Boudarene et al., 1997).

La phase de résistance

 Au niveau neurobiologique et somatique
Elle accentue l‟activité des systèmes noradrénergique et corticotrope. Elle met en jeu l‟ensemble des systèmes hormonaux selon des modalités propres à chaque individu. C‟est l’état de stress. Il correspond à une intensification de la mobilisation énergétique de l‟organisme qui doit soutenir l‟effort pour s‟adapter à la situation nouvelle. Le niveau de fonctionnement y est plus élevé. C‟est « l‟hétérostasie », terme employé par H. Selye pour quantifier cet état par opposition avec le concept d‟homéostasie. Des troubles psychiques et psychosomatiques apparaissent durant cette phase. Le stade de résistance varie en intensité, en modalité d‟expression et en durée selon les situations et les individus.
 Au niveau comportemental et psychologique
Pendant cette phase, des maladies somatiques et psychosomatiques peuvent se manifester avec plus ou moins de gravité. Les affections cardio-vasculaires accompagnent le plus souvent les sujets « sur engagés » dans la lutte (troubles du rythme et infarctus sont les affections les plus fréquentes). Ces troubles sont habituellement rapportés à un dysfonctionnement du système catécholaminergique. Les affections digestives (ulcère, colite, dyspepsies et troubles fonctionnels), les affections dermatologiques et immunitaires, notamment les déficiences, se rencontrent chez les sujets qui ont un comportement de « vaincus ». Le stress serait également impliqué dans les syndromes de fatigue chronique (SFC). Il faciliterait la synthèse et la libération des cytokines par les cellules impliquées dans le processus immunitaire et serait responsable des troubles comportementaux et psychiques observés : retrait social avec indifférence, fatigue importante et baisse de l‟intérêt pour l‟alimentation.
L‟hyper activation des processus immunitaires serait due principalement à une altération de l‟axe corticotrope dont le rétrocontrôle négatif sur le système immunitaire ne se ferait plus. Le résultat serait le syndrome de fatigue chronique.
Le syndrome de stress post-traumatique est un autre cas particulier. Son incidence augmente proportionnellement à la multiplication des fléaux sociaux : agressions physiques, viols, prises d‟otages, hold-up, accidents. Il survient aussi à la suite de catastrophes naturelles ou de guerres. Il est l‟exemple d‟une situation aiguë, grave d‟emblée, qui risque d‟évoluer pour son propre compte et de réaliser une situation chronique. Sur le plan clinique, son expression est variable mais toujours grave. Son évolution chronique peut être à l‟origine d‟une désinsertion sociale et professionnelle du sujet (Boudarene et al., 1997).

La phase d‟épuisement

Elle marque la fin de la période de résistance avec épuisement des ressources et abandon de l‟effort. Dans les situations les plus graves le risque vital est présent (Boudarene et al., 1997).

REPONSE NEUROENDOCRINE

Quel que soit la forme de stress, il existe une réponse neuroendocrinienne de l‟organisme. Elle participe à l‟adaptation de l‟organisme aux diverses modifications de l‟homéostasie et aux facteurs de stress.

Axe hypotalamo-hypophysaire

Le système limbique 

Le système limbique comprend des structures corticales et sous-corticales. Il contrôle le comportement, les émotions, la motivation. Il intervient également dans la régulation de conditions internes de l‟organisme telles que la température corporelle, la sensation de faim et de soif, l‟équilibre osmotique, le contrôle du poids… Ces fonctions végétatives sont en relation étroite avec le comportement (Hazard et Perlemuter, 1990 ; Cambier et al., 1995 ; Mignée, 1991).
Le cortex limbique reçoit et analyse les informations de régions corticales et sous-corticales multiples. Il est en connexion neuronale étroite avec un groupe de noyaux sous-corticaux dont font partie l‟amygdale et l‟hippocampe. D‟autre part, le système limbique dispose de voies de communication avec l‟hypothalamus (Fontaine, 1996).
L‟amygdale est considérée comme une zone de perception du comportement à un niveau semi conscient. Elle projette dans le système limbique la situation présente, confrontée à l‟environnement et aux pensées pour permettre une réponse comportementale adaptée à chaque condition. Elle joue par exemple un rôle dans la réponse aux stimuli provoquant la peur et l‟anxiété. L‟hippocampe est une structure à travers laquelle un signal sensoriel peut conduire à une réaction comportementale appropriée. Il paraît jouer un rôle important dans les voies de récompense et de punition et dans les phénomènes d‟apprentissage et de mémoire.

L‟hypothalamus 

L‟hypothalamus se trouve régulé par le système limbique. Il joue un rôle primordial dans les fonctions végétatives et endocrines de l‟organisme, ainsi que dans les comportements émotionnels. Il intervient dans le maintien de l‟homéostasie hormonale et dans les réponses adaptatives du système endocrine face aux situations stressantes de tous ordres (Conte-Devolx et al., 1993). Sous l‟effet d‟un stress, l‟hypothalamus est stimulé au niveau des noyaux para ventriculaires dont les neurones disposent de propriétés neurosécrétoires. Certains sont en connexion avec les centres du système nerveux autonome au niveau bulbaire et spinal. D‟autres sont en relation avec l‟éminence médiane de l‟hypothalamus. Le corticotropin-releasing factor (CRF) est libéré au niveau de l‟éminence médiane. Le CRF s‟accompagne de la sécrétion d‟un autre neuropeptide hypothalamique : arginine vasopressine (AVP), principal cofacteur qui a une action synergique du CRF. L‟ocytocine est également sécrétée à ce niveau, elle a une action inhibitrice. Ces deux substances permettent une action modulatrice de la sécrétion d‟ACTH et de cortisol (Fontaine, 1996).
La libération de CRF est stimulée par certains neurotransmetteurs dont l‟acétylcholine, la sérotonine, les catécholamines. La GABA intervient en tant qu‟inhibiteur (Szafarczyk et al., 1993). La sécrétion de l‟AVP est stimulée par les récepteurs béta-adrénergiques et cholinergiques, elle est freinée par les récepteurs alpha1-adrénergiques (Olivier et al., 1997).

L‟hypophyse antérieure

Elle constitue le troisième niveau d‟action du stress. Le CRF stimule la sécrétion d‟ACTH au niveau antéhypophysaire par le biais du système porte hypothalamo-hypophysaire. En effet, il active à ce niveau la production d‟une prohormone : la proopiomélanocorticotropine (POMC), qui se clive ensuite en ACTH et en hormone mélanostimulante (MSH). Elles sont co-sécrétées et la MSH paraît avoir un rôle potentialisateur de l‟effet de l‟ACTH sur le cortex surrénalien. L‟ACTH agit au niveau du cortex surrénalien en stimulant la production et la sécrétion de cortisol.
La libération de cortisol exerce un rétro-contrôle négatif aux trois niveaux cérébraux (Fig. 5): limbique, hypothalamique et hypophysaire (Fontaine et al., 1996).
A côté du CRF et de l‟AVP, d‟autres peptides peuvent stimuler la sécrétion de l‟ACTH : l‟ocytocine, l‟angiotensine II, l‟adrénaline. L‟atrial natriuretic factor (ANF) intervient comme inhibiteur (Paulmyer-Lacroix et al., 1995 ; Szafarczyk et al., 1993).

Fonction somatotrope et prolactine

La sécrétion de l‟hormone de croissance GH et à un moindre degré de la prolactine, s‟effectue selon un rythme nycthéméral (pics de sécrétion plus fréquents et plus amples au cours du sommeil). La sécrétion de la GH est sous la double dépendance de deux neurohormones hypothalamiques : la somatocrine GRF, stimulatrice, et la somatostatine SRIF, inhibitrice. Elle est stimulée par les agents catécholaminergiques et cholinergiques d‟origine hypothalamiques. L‟augmentation de la GH observée au cours de stress est toujours présente en cas de stress physique, elle peut être absente en cas de stress psychologique.
Il est actuellement difficile de dire si cette augmentation est liée à l‟augmentation du GRF et/ou à la diminution du SRIF. Le stress entraîne les mêmes effets sur la sécrétion de prolactine. Elle est régulée par l‟activité inhibitrice exercée par la dopamine hypothalamique (prolactin inhibiting factor) (Conte-Devolx et al., 1993).

Fonction gonadotrope

La gamétogenèse et la stéroïdogenèse gonadiques sont sous le contrôle des gonadotrophines hypophysaires : folliculostimuline FSH, et lutéotrophine LH.
La sécrétion pulsatile de LH est sous la dépendance de la sécrétion de gonadolibérine LHRH hypothalamique. Toute altération de la sécrétion pulsatile des neurones LHRH entraîne une abolition de la pulsatilité de la sécrétion de LH et de FSH. Les stress de tous ordres, suffisamment prolongés sont responsables d‟une diminution de la pulsatilité de LH contemporaine d‟une altération de la pulsatilité de LHRH. Les conséquences cliniques peuvent être des anomalies du cycle menstruel jusqu’à l‟aménorrhée, des hypogonadismes hypo-gonadotropes supra-hypophysaires chez l‟homme.
De la même façon, l‟augmentation du CRF par l‟intermédiaire de l‟ACTH et des autres peptides dérivés de la POMC, induit une inhibition de la fonction gonadotrope (diminution de la fréquence de pulsatilité de LH et LHRH) (Conte-Devolx et al., 1993).

Système sympathique

Le stress stimule également la sécrétion des catécholamines. Il s‟agit de la réponse immédiate à  un stimulus bref mais aussi de la phase initiale d‟une exposition prolongée à un stresseur. La réponse catécholaminergique fait intervenir la noradrénaline, l‟adrénaline, et la dopamine (Borghini et al., 1991, Klimaschewski et al., 1996).
La noradrénaline est libérée par la fibre post-ganglionnaire sympathique. Elle agit ensuite sur l‟effecteur. La synthèse de la noradrénaline se fait à partir de la tyrosine, sous la dépendance de la tyrosine-hydroxylase. La noradrénaline peut inhiber l‟activité de cette enzyme en réalisant un rétro-contrôle négatif. La noradrénaline est également présente dans la médullosurrénale. A ce niveau, la transformation de la noradrénaline en adrénaline s‟effectue grâce à la méthyl-transférase. L‟adrénaline est ensuite libérée. A l‟état basal, il existe une sécrétion physiologique en dehors de toute excitation nerveuse. Elle est surtout d‟origine surrénalienne. Certaines molécules endogènes : glucocorticoïdes, insuline, glucagon, agissent sur l‟activité de la méthyl-transférase pour ajuster le rapport adrénaline / noradrénaline.
L‟action de ces catécholamines, sur les effecteurs, s‟exerce par l‟intermédiaire de récepteurs -stimulante prédominante alors que l‟adrénaline présente une action mixte en partie α-stimulante et en partie β-stimulante.
La dopamine, autre catécholamine qui intervient dans le stress, a des effets périphériques connus. Elle agit par l‟intermédiaire des récepteurs dopaminergiques. Ils sont mis en évidence dans les territoires rénaux, mésentériques et cérébraux. La dopamine provoque, à ce niveau pour de faibles concentrations, une vasodilatation. Les récepteurs sont particulièrement nombreux au niveau du système nerveux central. Les voies métaboliques sont analogues à celles des autres catécholamines. L‟effet global des catécholamines est une mobilisation de l‟énergie qui prépare l‟organisme à la lutte ou à la fuite lors d‟une réponse à un stimulus bref. Elles facilitent la transmission de l‟influx nerveux et la contraction musculaire. L‟hypersécrétion de catécholamines se traduit par une vasoconstriction avec hypertension artérielle, tachycardie, tremblements, contractions musculaires, horripilation, mydriase, hyperglycémie. Il existe une augmentation des catécholamines circulantes et des métabolites urinaires dont l‟acide vanylmandélique. La mise en jeu des catécholamines est différente en fonction du stress.
La mise en jeu de l‟adrénaline serait plus en rapport avec l‟anxiété, avec l‟intensité de l‟émotion, et serait plus sollicitée dans les états de peurs, de dépression, d‟incertitude et d‟attente.

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Table des matières

I- INTRODUCTION
II- RAPPELS BIBLIOGRAPHIQUES
1. Le STRESS
1.1. Définition
1.2. Facteurs de stress
1.3. Stress aigu et stress chronique
1.4. Stress biologique et psychique
1.5. Etat de stress
2. SYNDROMES D‟ADAPTATION
2.1. Syndrome général d‟adaptation (SGA)
3. REPONSE NEUROENDOCRINE
3.1. Axe hypothalamo-hypophysaire
3.1.1.Le système limbique
3.1.2 L‟hypothalamus
3.1.3 L‟hypophyse antérieure
3.2. Fonctions cibles
3.2.1 Fonction corticotrope
3.2.2 Fonction somatotrope et prolactine .
3.2.3 Fonction gonadotrope
3.3. Système sympathique
3.4. Fonction thyréotrope
3.5. Conséquences cliniques
4. MALADIES DE STRESS
4.1.Stress et pathologies psychiatriques
4.1.1. Stress et Anxiété
4.1.2. Stress et dépression
4.1.3. L‟état de stress post-traumatique
5. STRESS ET XENOBIOTIQUES
5.1. Métabolisme des xénobiotiques
5.2. Isoformes du cytochrome P450 (CYP)..
5.3. Pharmacogénétique et toxicologie de l‟environnement
6. LE STRESS OXYDANT
6.1. Les dérivés actifs de l’oxygène
6.1.1. Définition
6.1.2. Formation des dérivés actifs de l’oxygène
6.2. Les cibles des dérivés actifs de l’oxygène
6.2.1. Les cibles lipidiques
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11
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31
31
32
32
32
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356.2.2. Les cibles non lipidiques
6.3. Les systèmes de protection
6.3.1. Les antioxydants enzymatiques
6.3.2. Les antioxydants non enzymatiques
6.4. Le glutathion
6.4.1. Généralités
6.4.2. Métabolisme du GSH
6.4.3. Les fonctions du GSH
III- MATERIEL ET METHODES
1. ELEVAGE
2. L‟APPROCHE EXPERIMENTALE
2.1. Traitements
2.1.1. Traitement au méthyle parathion
2.1.2. Traitement à la taurine
2.1.3. Traitement à la vitamine E
2.1.4. Traitement à la yohimbine :
2.1.5. Le stress de contention
2.1.6. Canulation carotidienne
2.1.7. Prélèvements sanguins :
2.1.8. Prélèvements des organes
2.1.9. Analyse statistique des résultats :
PROTOCOLES DE TRAVAIL
1ère PARTIE
1ère Protocole : Traitement au méthyle parathion suivie d‟un stress de contention
2ème PARTIE
1ère Protocole : Traitement au le méthyle parathion
2ème Protocole : Traitement à la taurine et la vitamine E
3ème Protocole : Traitement à la yohimbine
3. LES DOSAGES DES PARAMETRES HORMONAUX, ENZYMATIQUES
ET BIOCHIMIQUES
3.1. Dosage des hormones par Electro-chimio-luminescence (ECLIA)
3.1.1. Dosage de la TSH, T4
3.1.2. Dosage de l‟insuline
3.2. Dosage de la corticostérone par Radio-Immuno-Assay (RIA)
3.3. Les dosages enzymatiques et biochimiques
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38
38
40
42
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43
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63
63
64
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673.3.1 Dosage de l‟acétylcholinestérase (AChE) au niveau hépatique
3.3.2 Dosage de l‟acétylcholinestérase (AChE) au niveau cérébrale
3.4. Préparation de l‟homogénat
3.5. Dosage des protéines totales
3.6. Dosage du glutathion hépatique
3.7. Dosage de l‟activité des GSTs
3.8. Dosages enzymo-colorimétriques
3.8.1. Le glucose plasmatique
3.8.2. Les triglycérides plasmatiques
3.8.3. Le cholestérol plasmatique
VI- RESULTATS
1ER PARTIE
1- Effet du méthyle parathion sur les teneurs de la corticostérone plasmatique
2- Effet du méthyle parathion sur les teneurs de l‟acétylcholinestérase au niveau du
cerveau
3- Effets du méthyle parathion sur le poids corporel et les glandes surrénales
2ème PARTIE
I/1- Effet du méthyle parathion sur les teneurs de l‟acétylcholinestérase au niveau du
foie
2-Effet du méthyle parathion sur les teneurs en TSH et en T4
3- Effet du méthyle parathion sur les bio marqueurs du stress oxydatif
4- Effet du méthyle parathion sur le métabolisme glucidique et lipidique
5- Effet du stress de contention sur le système de détoxification
6- Effet du stress de contention sur le métabolisme glucidique et lipidique
II/ 1- Effet de supplément en taurine et en vitamine E sur le système de détoxification
chez les animaux traités au MPT
2- Effet de supplément en taurine et en vitamine E sur le métabolisme glucidique et
lipidique chez les animaux traités au MPT
III/ 1- Effet d‟un bloquant α2-adrénergique « la yohimbine » durant un stress oxydatif
(MPT et stress de contention) sur le système de détoxification
2- Effet d‟un bloquant α2-adrénergique « la yohimbine » durant un stress oxydatif
(MPT et stress de contention) sur le métabolisme glucidique et lipidique
V-DISCUSSION
1. Effet du méthyle parathion sur les variations de l‟acétylcholinestérase et la
67
69
70
70
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75
76
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82
83
83
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87
90
92
93
95
97
101corticostérone
1.1. Effet du méthyle parathion sur les concentrations de l‟acétylcholinestérase
1.2. Effet du méthyle parathion sur les variations de la corticostérone
2. Méthyle parathion et génération d‟un stress oxydant
2.1. Effet du méthyle parathion sur les biomarqueurs du stress oxydant
2.2. Réponse de l‟axe thyréotrope au méthyle parathion
2.3. Effet du méthyle parathion sur le métabolisme glucidique et lipidique
3. Effet de la taurine et de la vitamine E sur le stress oxydant provoqué par le méthyle
parathion
4. Effet d‟un α2 bloquant adrénergique « la yohimbine » lors d‟un état de stress
VI- CONCLUSION ET PERSPECTIVES.
VII- REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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