Symptômes des TAA chez les équidés 

LES ANES

HISTORIQUE

Les ancêtres de l’âne domestique se trouvent en Afrique du Nord-est (Égypte, Soudan, Somalie, Éthiopie, Érythrée) où l’animal aurait été domestiqué deux fois, (La Science, 2004). Des traces retrouvées en Égypte suggéraient que la domestication avait eu lieu il y a environ 5000 ans, mais où ? L’équipe dirigée par Albano Beja-Pereira a établi un arbre phylogénétique de la famille des ânes à partir de l’ADN mitochondrial de 427 ânes domestiques de 52 pays du Vieux Continent (L’ADN mitochondrial est transmis uniquement par les femelles lors de la fécondation et contient beaucoup d’informations sur de courtes séquences. Il permet de réaliser des études phylogénétiques fiables). Elle les a comparés avec deux espèces sauvages d’Asie et deux autres espèces aujourd’hui disparues d’Afrique à savoir l’âne sauvage de Nubie (Equus africanus africanus ) et son parent somalien (Equus africanus somaliensis ). D’après leurs résultats, les baudets d’aujourd’hui ne descendent pas de la branche asiatique, mais de la branche africaine. L’analyse précise des ADNmt révèle que l’âne nubien et l’âne somalien ont été domestiqués à part. Cette domestication répondrait à de nouveaux besoins de transport des sociétés pastorales du Nord-Est de l’Afrique, confrontées à la désertification du Sahara (il y a entre 5000 et 7000 ans), suggèrent les chercheurs. Les populations pastorales qui vivaient dans cette région ont du se déplacer plus fréquemment pour rechercher des sources d’eau et de la verdure pour leurs animaux, ce qui a pu les inciter à domestiquer de nouveaux animaux, comme les ânes, (La Science, 2004).
Cependant d’autres auteurs comme Doutressoule cité par Kaboret (1984), décrivent six variétés d’ânes en Afrique occidentale. Les ânes du Burkina Faso font partie de l’unique famille raciale appelée « âne local du Burkina » (CAPES, 2006). Néanmoins de concert, tous ces auteurs reconnaissent la grande diversité des robes.
Les robes sont noires, bai (marron) ou bai brun (marron foncé), gris cendré ou gris souris, parfois blanches ou pies (fond blanc avec de grosses taches brunes), très rarement alezan (fond blanc avec de grosses taches rousses). Beaucoup d’ânes ont le bout du nez très clair, ainsi que le ventre. Ceux qui ont le bout du nez sombre sont bouchards. La figure 1 donne un aperçu de cette diversité.

Caractères généraux des ânes

L’âne est un équidé asin, contrairement au cheval qui est un équidé équin. Parmi les équidés, on différencie aussi les zèbres, les onagres et les hémiones. L’âne est un vertébré de la Classe des mammifères, de l’ordre des Périssodactyles appartenant à la famille des équidés du genre Equuset de l’espèce asinus.

L’apparence extérieure

La tête est souvent grosse, forte et charnue. Les naseaux sont assez petits. Le nez est une bande étroite entre les narines. Les yeux ont des apophyses très saillantes, les paupières épaisses et les cils très longs au dessus de l’œil. L’apophyse forme la salière qui se creuse avec l’âge. La bouche a des lèvres épaisses. La lèvre inférieure pend lorsque l’âne dort, ou s’il est très vieux. L’encolure est droite, courte et puissante. Les crins sont courts et raides. Le garrot est peu prononcé. La croupe est plate et devient saillante chez les vieux (le rein se creuse aussi). La queue est longue mais peu fournie en crins qui forment au bout un pinceau. Le poitrail est étroit. Les muscles pectoraux s’appellent les ars. Le ventre est généralement assez développé. Quand aux organes génitaux, le pénis est beaucoup plus gros chez l’âne que chez le cheval. Le manchon est l’excroissance de chaque côté du fourreau. Les membres sont moins élégants que ceux du cheval, mais très solides. L’épaule est droite et courte. La taille est très variable, d’à peine 0,80 m pour les nains à plus de 1,50 m. Une bonne majoritéd’ânes ont entre 1 et 1,20 m.

Les allures

Le pas : les ânes marchent au pas le plus souvent. Le pas « normal » est une allure diagonale, mais beaucoup marchent de façon latérale droite, puis latérale gauche (comme les girafes ou les éléphants).
Le trot: lors de jeux ou escapades, ou à l’attelage : diagonal droit, puis diagonal gauche, etc.
Le galop: rare et inélégant. L’âne galope très rarement à quatre temps, le plus souvent à trois temps : antérieur droit, diagonal gauche, postérieur droit, ou l’inverse. Quand l’âne galope pour échapper à un danger (chien, etc.) il garde la tête de côté pour regarder derrière lui.

Intérêt économique

L’âne est l’animal domestique le plus remarquable par sa sobriété, sa rusticité, son endurance au travail, sa vigueur. Il est avec le bœuf et le cheval, le transporteur par excellence de la brousse. Il est intelligent, d’entretien facile, familier. Les charges qu’il porte, peuvent atteindre 80 à100 kg.
Au Burkina Faso, les asins, sont utilisés pour l’exhaure de l’eau, la traction des charrettes et la culture attelée dans les zones agricoles. Sa viande est aussi appréciée par les consommateurs. Egalement, ces animaux représentent une source de revenu pour le paysan propriétaire. En ville, ils sont utilisés pour la collecte des ordures par les associations et groupements de femmes, pour les déménagements et le transport de différents matériels et biens lorsqu’on n’a pasles moyens de louer un véhicule motorisé.

Traction des charrettes

C’est l’activité principale des asins en milieu rural burkinabé et même en zone urbaine. Ces charrettes sont des instruments spécialement conçus pour la traction asine. En général, elles sont utilisées pour les transports familiaux (sable, bois dechauffe, produits de récolte etc.) et très souvent sur de longues distances.

Culture attelée

Dans le cadre de l’intégration Agriculture-Elevage, les asins sont également exploités, pour la culture attelée. De tous les animaux domestiques, l’âne est celui qui peut développer le plus grand effort de traction par rapport à son poids: 1/5 à 1/6 de son poids (Coulomb et al ; 1982) .Ainsi un âne de 150 kg fournit en moyenne le même effort qu’un bœuf de 260 kg (Béré, 1981). Son jumelage reste difficile à réaliser et son gabarit est de plus en plus modeste. En outre, il a été démontré qu’il est difficile de maintenir un âne au travail pendant plus de 3 heures 30 minutes voire 4 heures quelle que soit la durée de temps de repos accordé. C’est pourquoi au Burkina Faso, il est souvent utilisé seul et adapté avec une charrue conçue pour la traction asine. L’avantage indéniable qu’apportent les asins en agriculture, a conduit à une très grande exploitation des charrues à âne.

Production de viande

Au Burkina Faso, les asins comme les autres espèces animales constituent une réserve nationale disponible en viande de boucherie. En effet, les ânes sont exploités dans certaines provinces pour leur viande beaucoup appréciée par lesconsommateurs.

TRYPANOSOMOSES ANIMALES AFRICAINES (TAA)

Aperçu sur les trypanosomoses et les tsé-tsé au Burkina Faso

Les TAA représentent le principal frein au développement de l’élevage en Afrique Subsaharienne infestée de tsé-tsé. Les effets de la maladie sur le bétail se traduisent par des mortalités de 10 à 20%, la diminution de la production de viande de 30%, du lait de 40%, du taux de mise-bas de 11 à 20% et de la puissance de travail du tiers (Swallow, 1997). Le retard de croissance chez les jeunes et les avortements chez les vaches gestantes sont également rapportés dans la littérature. Les pertes économiques dues à l’ensemble des pathologies animales au Sud du Sahara s’élèveraient à 6 milliards d’Euros par an, dont le quart est attribuable aux seules TAA (Itard, 2000). Par ailleurs, le coût des traitements est onéreux. Au moins 25 à 30 millions de doses de trypanocides sont utilisées chaque année, et cela constitue un coût annuel de 30 millions d’Euro (Bouyer, 2006 ; Vreysen, 2006). Sans la trypanosomose 90 millions de bovins supplémentaires pourraient être élevés (Pangui, 2001).
En Afrique, les trypanosomes pathogènes du bétail sont essentiellement Trypanosoma vivax (Ziemann, 1905), T. congolense(Broden, 1904) et T. brucei brucei (Plimmer et Bradford, 1989). Le parasite est transmis à l’hôte vertébré généralement par un insecte hématophage qui peut être soit un vecteur biologique (ce sont les glossines ou mouches tsé-tsé), soit un vecteur mécanique (comme les tabanidés et les stomoxyinés). Les mouches tsé-tsé sont les vecteurs les plus importants qui constituent les hôtes intermédiaires de ces parasites. Mais de nos jours on observe une instabilité des habitats naturels des glossines due aux effets des changements climatiques et à la pression anthropique (Van den Bossche et al. , 2010). Ce qui entrainera à long terme une autre approche de la maladie.
Le défi majeur auquel reste confronté le Burkina Faso est la réduction de la pauvreté par l’augmentation de la productivité, dans le but d’améliorer la sécurité alimentaire et les revenus des populations tout en préservant les ressources naturelles. L’agriculture et de l’élevage qui occupent plus de 80 % des populations, sont les mieux indiqués pour parvenir à bout de ce défi. Les trypanosomoses animales constituent à ce jour une contrainte majeure, qui entrave le développement de l’élevage. L’impact socioéconomique de la trypanosomose animale est important mais difficile à évaluer avec exactitude.
Toutefois, selon le Ministère des Ressources Animales du Burkina, 2,6 millions de doses de trypanocides préventifs ou curatifs sont utilisées par an pour le maintien sanitaire du bétail sensible à la maladie dans des zones enzootiques de latrypanosomose (MRA, 2008). En estimant la dose à 1,5 US$, les perteséconomiques liées à l’achat des trypanocides s’élèveraient à 3,9 millions US$ l’an (Sow et al , 2010). L’estimation des autres coûts directs et indirects liée à la dite maladie nécessite des études élargies sur l’ensemble de la zone géographique des tsé-tsé. De nombreuses études scientifiques et socioéconomiques ont été effectuées afin de dégager des méthodes appropriées de lutte et l’application des résultats obtenus ont permis de réduire l’incidence et la prévalence des TAA mais aussi de réduire la pression glossiniènne. Les études épidémiologiques actuelles concernent encore majoritairement les trypanosomoses avec comme variantes la prise en compte d’autres espèces mammifères comme les ânes, la distribution des vecteurs en fonction de l’écologie et de la dégradation des paysages et la présence de la chimiorésistance dans la zone d’étude (CIRDES, 2005).
La phase pilote du PATTEC regroupe six pays participants dont trois (03) pays Ouest Africains à savoir, le Ghana, le Mali et le Burkina Faso et trois (03) pays d’Afrique de l’Est que sont, le Kenya, l’Ethiopie et l’Ouganda. La phase pilote du Burkina est officiellement fonctionnelle depuis le 13 octobre 2006 et qui a son siège à Bobo-Dioulasso. De grands progrès ont été faits dans la lutte contre les TAA grâce à ce programme. L’objectif général de la PATTEC est la création de zones durablement libérées de la mouche tsé-tsé et de la trypanosomose au Burkina. Cette structure, depuis sa création, collabore avec des institutions et organismes nationaux et internationaux pour l’élaboration des stratégies et programmes pour l’éradication du fléau. La PATTEC Burkina inscrit son plan d’action dans les priorités du pays. La phase I de la PATTEC Burkina, d’une durée de six ans est arrivée à son terme en 2012. Mais elle a obtenue une prorogation de 2 ans car même si la prévalence et l’incidence des TAA ont fortement diminué dans sa zone d’intervention, elles demeurent toujours d’actualité avec la présence des gîtes glossinienes, et le phénomène grandissant des chimiorésistances dont des cas ont été révélés déjà dans la zone d’intervention de la PATTEC au Burkina (Sow et al ., 2011).

Les vecteurs

Les principaux vecteurs des trypanosomoses typiquement africains sont les mouches tsé-tsé ou glossines. Les glossines forment le genre Glossina. Elles appartiennent à la famille des glossinidés, de l’ordre des diptères (mouches et moustiques) avec 31 espèces ou sous-espèces connues. Cette mouche, ou glossine, dotée d’une trompe piqueuse, transmet à l’Homme ou à l’animal, en Afrique sub-saharienne, des agents pathogènes appelés trypanosomes. Chez les tsé-tsé, le mâle comme la femelle est hématophage (se nourrit de sang). En fonction de leurs rencontres et de leurs périodes de «chasse» (en moyenne 35 minutes par jour seulement), elles piquent les oiseaux, les reptiles, les mammifères (dont l’Homme) auxquels elles transmettent des trypanosomes. Les trypanosomes effectuent au préalable une partie de leur cycle dans le tube digestif des glossines ce qui fait d’elles des vecteurs biologiques. Cependant certains d’entre eux, en particulier Trypanosoma vivaxet T. evansi peuvent être transmis par d’autres insectes hématophages (taons, stomoxes par exemple). Ces insectes hématophages ne font qu’une transmission mécanique ce qui leur prévaut le qualificatif de vecteurs mécaniques. Par contre, T. equiperdum est transmis par voie sexuelle au cours du coït chez les chevaux, les ânes et les chameaux.
Les tsé-tsé se déplacent généralement par petits vols successifs. Elles vivent en Afrique subsaharienne. Leur répartition régionale dépend de facteurs écologiques telles : la température, l’humidité, l’existence d’ombre, mais aussi de la présence d’animaux à piquer qu’ils repèrent par la vue et l’odorat. Certaines espèces piquent plus volontiers les mammifères sauvages (antilopes), d’autres le bétail ou les autres animaux domestiques. Les principales espèces responsables de la transmission de la maladie du sommeil sont Glossina palpalis, G. fuscipes, G. morsitans et G. tachinoides .

Les trypanosomoses animales africaines (TAA)

Ce sont des maladies infectieuses, inoculables, non contagieuses, transmissibles par les insectes hématophages à l’exception de la dourine. Elles sont causées par les parasites du genre Trypanosoma, localisés dans la lymphe, le sang, le muscle cardiaque, le liquide céphalo-rachidien des mammifères. Elles évoluent sous une forme chronique avec une symptomatologie variable suivant les espèces animales et agents en cause. En fonction de l’espèce de trypanosome et de l’espèce animale en cause, trois (3) types de trypanosomoses sont décrites chez les animaux en Afrique.

Nagana

C’est un ensemble des trypanosomoses sévissant au sud du Sahara. Elle est due à Trypanosoma congolense, T. vivax, T brucei transmises uniquement par les glossines. Elle est strictement africaine, son aire de répartition est superposée à celle des glossines (au Sud du Sahara jusqu’au Zimbabwe 14°N – 25°S).
Cependant T. vivax déborde de cette aire de répartition car elle peut être transmise par d’autres insectes.

Surra

La surra est due à T. evansi. Elle est transmise par les insectes hématophages (vecteurs mécaniques) comme les stomoxes, les tabanidés, les stomoxes. Elle affecte les dromadaires et les équidés et évolue sous forme chronique. On larencontre surtout en Afrique du Nord, Asie et Amérique latine.

Dourine

La dourine quand à elle, est due à T. equiperdum qui n’affecte que les équidés surtout en Afrique du Nord et du Sud. Elle se transmet lors du coït. Elle se manifeste cliniquement par 2 phases successives : vasculaire dont les symptômes apparaissent essentiellement au niveau des organes génitaux et nerveuse avec des troubles nerveux commençant par un syndrome en hyper et évoluant vers la paralysie puis la mort.

Symptômes des TAA chez les équidés

Contrairement aux autres espèces animales, le diagnostic clinique des Trypanosomoses paraît plus facile chez le cheval et l’âne, à cause surtout de deux signes souvent nets : l’œdème déclive et la kératite. Le trypanosome le plus pathogène pour les équidés est T. brucei et cause chez eux une maladie généralement aiguë ou subaiguë, caractérisée par une hyperthermie assez marquée. L’animal maigrit rapidement et est prostré ; les symptômes caractéristiques apparaissent, seuls ou associés : œdème des parties déclives du thorax, des membres, de l’abdomen et des parties génitales ; congestion oculaire évoluant vers la kératite ; écoulement nasal. On constate aussi, maintes fois, des placards urticaires au niveau du cou, sur les flancs ou le dos de l’animal mais ces signes ne sont pas stables et peuvent disparaître en quelques heures ou quelques jours.
A la phase finale d’évolution, certains animaux sont paralysés ou présentent une ataxie ou bien une parésie. La maladie due à T .vivax est le plus souvent chronique chez les équidés ; elle peut durer plusieurs mois, mais on discerne les mêmes signes que ceux déjà évoqués. Quant à T. congolense , l’espèce conduit rapidement à l’anémie et à l’opacité cornéenne, par contre les œdèmes sont rarement observés.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières
SIGLES ET ABREVIATIONS
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES FIGURES
INTRODUCTION 
PREMIERE PARTIE: SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : GENERALITES
I. Aperçu sur l’élevage au BURKINA
II. LES ANES
II.1. HISTORIQUE
II.2. Caractères généraux des ânes
II.2.1. L’apparence extérieure
II.2.2. Les allures
II.3. Importance des ânes
II.3.1. Intérêt social
II.3.2. Intérêt économique
II.3.2.1. Traction des charrettes
II.3.2.2. Culture attelée
II.3.2.3. Production de viande
CHAPITRE II. TRYPANOSOMOSES ANIMALES AFRICAINES (TAA)
I Aperçu sur les trypanosomoses et les tsé-tsé au Burkina Faso
II. Les vecteurs
III. Les trypanosomes
III.1. Etude du parasite
III.2. Cycle biologique
IV. Les trypanosomoses animales africaines (TAA)
IV.1. Nagana
IV.2. Surra
IV.3. Dourine
IV.4. Symptômes des TAA chez les équidés
IV.5. Diagnostic
IV.5.1. Diagnostic clinique
IV.5.2. Diagnostic différentiel
IV.5.3 Diagnostique parasitologique
IV.5.3.1. Examens microscopiques directs
IV.5.3.2. Autres techniques de diagnostics de laboratoire
V. Les trypanocides
V.1. Dérivés de diamine
V.2. Dérivés de phénanthridine
V.2.1. Chlorure d’isométamidium
V.2.2. Homidium
V.3. Dérivés de l’arsenic
V.4. Traitements de soutien
CHAPITRE III. PARASITES GASTRO-INTESTINAUX DES EQUIDES
I. Les parasites gastro-intestinaux
II. Parasitoses gastro-intestinales asine
II.1 Généralités
II.3 Diagnostic
II.3.1. Diagnostic clinique
II.3.2. Diagnostic de laboratoire
II.4 Les vermifuges
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : ETUDE EXPERIMENTALE
I. Matériels et méthodes
I.1. Site d’étude et animaux
I.1.1 Présentation de la Boucle du Mouhoun
I.1.2 Présentation de la de la province du Kénédougou
I.2 Matériel animal
I.3. Médicaments vétérinaires
I.3.1. Trypanocide : le Chlorure d’isométamidium
I.3.2. Déparasitants : Ivermectine (EQVALAN ® et IVOMEC-D ®)
II.4. Matériels et consommables de laboratoire
II.4.1. Prélèvement sanguin et technique de buffy coat
II.4.2. Examen coprologique
I.5. Méthodologie (cf ANNEXE 1)
I.5.1. Identification des ânes
I.5.2. Traitement à l’Ivermectine
I.5.3. Examen parasitologique de la trypanosomose
I.5.4. Examen coprologique
I.5.5. Suivi des animaux sélectionnés
I.5.6. Analyse statistique
CHAPITRE II : RESULTATS
I. Description de la population d’étude
II. Résultats des analyses parasitologiques de trypanosomose
II.1. Hématocrite
II.2 Examen BCT
II.3. Prévalences et Incidences
III. Résultats des traitements à l’Isometamidium
IV. Résultats du déparasitage à l’ivermectine
IV.1. Résultats au jour J0
IV.2. Résultats au jour J14 (après le premier déparasitage)
IV.3. Résultats au jour J28 (après le deuxième déparasitage)
IV.4. Résultats obtenus sur toute l’étude
CHAPITRE III : DISCUSSION
Discussion sur la méthodologie
I.1 Choix du site
I.3 Médicaments utilisés
I.4 Moyens de diagnostic parasitologique
II. Discussion sur les résultats
II.1 Examens parasitologiques
II.2 Evolution de l’hématocrite
II.3 Effet curatif de l’isométamidium
II.4 Effet du déparasitage à l’ivermectine.
III RECOMMANDATIONS
CONCLUSION GENERALE
ANNEXES 

Lire le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *