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ETUDES BIBLIOGRAPHIQUES
La bibliographie constitue la première étape de notre étude, l’existence de plusieurs ouvrages sur les expériences de WaterAid en matière d’AEPA nous a été des plus profitables et nous a aidé sur l’orientation de l’étude.
De même, une incursion aux archives de SAF concernant les projets réalisés dans la zone d’étude a été essentielle pour compléter les données de terrain. Enfin, la consultation des ouvrages traitant l’hydraulique était primordiale.
ENQUETES ET OBSERVATIONS DE TERRAIN
Tous les projets d’AEPG cités dans cette étude ont fait l’objet d’enquêtes et de descente de terrain, l’essentiel de nos enquêtes s’est adressé directement aux techniciens locaux, aux membres du comité de l’eau et à la population locale. Elles ont des formes diverses allant des recueils de données par approches participatives : emploi des outils d’approche participative comme les cartes communautaires, les interviews semi-structurées, les visites environnementales, jusqu’aux recours aux questionnaires.
Les observations directes et les diagnostics sur l’état physique des ouvrages ont été effectué en compagnie des techniciens locaux ou des membres du comité de l’eau. Ces observations doivent êtres fines et délicates, moyennant d’une liste de contrôle (voir annexe I ) et en employant des mesures métriques si nécessaire.
Disposant d’un simple vélo tout terrain, nous n’avons pas pu faire que la visite des villages beaucoup plus proche des chefs lieux de commune, mais nous sommes quand même convaincus que ce modeste moyen de déplacement se prêtait mieux à des enquêtes qualitatives fines auprès des villageois. En outre, nos quelques séjours au village pendant les travaux d’évaluation ont accéléré notre intégration au sein des communautés villageoises facilitant ainsi les observations sur l’hygiène et les changements de comportement vis à vis de l’eau.
En outre, des entretiens avec les responsables de SAF (Ingénieurs et techniciens) ,des visites de chantiers en cours et des travaux d’ études ont été essentiels à la réalisation de cette évaluation
UTILISATION DES CARTES ET DU S.I.G
Les cartes nous ont permis de faciliter nos itinéraires. Citons notamment les cartes topographiques (1/100 000), les cartes géologiques (1/100 000), la carte des ressources en eau (1/500 000), qui nous ont permis aussi de mener à bien notre étude.
L’utilisation du S.I.G comme un outil de réflexion et de représentation de l’espace nous a paru nécessaire
CHOIX DES INDICATEURS D’EVALUATION
Plusieurs indicateurs quantifiables ou non, regroupés en 10 paramètres, ont fait l’objet d’évaluation, leur choix réside sur les propriétés d’être des facteurs influençant la durabilité et l’efficacité des projets d’AEPG ; ainsi les évaluations se portent essentiellement sur :
– L’aspect général du système d’AEPG adopté par SAF. La connaissance générale du type de système adopté permet déjà de connaître aussi bien l’avantage que l’inconvénient de ce système sur le plan technique, social et économie. Cette évaluation se base donc sur des enquêtes et documentation de bureau, néanmoins, ceux ci doivent être vérifiés sur le terrain.
– Les différentes phases de projets de SAF. L’existence ou non d’un cycle de projet bien défini a un impact considérable sur la gestion du projet pour que celui ci soit mené à terme de façon efficace et pérenne
– La méthodologie d’étude des projets: Cette évaluation est nécessaire puisque la méthodologie d’étude est une des phases les plus importantes d’un projet, en effet une quelconque erreur de dimensionnement ou l’acquisition de fausses données de base peut conduire à l’inefficacité, à un gaspillage ou même à une détérioration rapide du système installé.
– Aspect des réalisations et fonctionnement des ouvrages: C’est une évaluation basée sur des observations directes des ouvrages, suivies des enquêtes auprès des usagers concernant le bon ou le mauvais fonctionnement du système : détermination des pannes les plus fréquentes, les accidents et les destructions ainsi que leurs causes. Concernant les problèmes d’ordres hydrauliques, des incursions aux archives de SAF concernant les fiches techniques, les profils en long et les feuilles de calcul s’il y en a, sont entreprises.
– La quantité de l’eau: Consiste à déterminer la disponibilité des ressources en eau à satisfaire les besoins pour l’alimentation humaine, animale et si possible pour les cultures maraîchères pendant toute l’année. Les mesures de débit sont alors de mise, en procédant à l’aide d’un chronomètre et d’un récipient de volume connu, ainsi que les recensements ou les estimations sur le nombre de population pour chaque projet afin de faire une adéquation ressources-besoins. Ceci nécessite aussi la connaissance des ressources : caractéristiques des sources, des bassins versants, types de nappes, types de captages.
– La qualité de l’eau: L’eau a été analysée pour apprécier leur potabilité à chaque niveau du système : au niveau des captages, des réservoirs ainsi qu’au niveau du stockage. Pour se faire, deux appareils portables d’analyse de l’eau ont été employés : un KIT d’analyses bactériologues (DELAGUA) permettant de déterminer la présence de germes témoins de contamination fécale tel que les coliformes fécaux, un KIT d’analyses physico-chimique permettant d’avoir quelques paramètre tels que le pH, la température, la turbidité et la teneur en Fer. (Les caractéristiques de ses appareils sont décrites en annexe II ).
Malheureusement, vu le temps et le moyen de transport que nous disposons ainsi que les caractéristiques de ses appareils : fragilité et besoin d’électricité pour recharger les batteries, seuls quelques projets réalisés dans la région d’Arivonimamo ont fait l’objet d’une appréciation sur la qualité de l’eau.
Néanmoins, ceci est complété par des enquêtes concernant les maladies hydriques et des observations de terrain pour détecter les possibilités de pollutions.
– Le rythme d’exécution des projets: Cette évaluation est faite dans le but de pouvoir mesurer les actions entamées par SAF.
– Gestion et maintenance: Appréciation de l’organisation des bénéficiaires, de leur capacité de gestion, d’entretien et de réhabilitation des installations. Cette évaluation se base sur la capacité technique locale, sur la gestion des caisses de l’eau et la transparence des comptes.
– Changement de comportement en matière d’hygiène et assainissement: Estimation de la consommation journalière, de l’utilisation de l’eau, des comportements vis à vis de l’eau, de l’emploi de détergents et de l’hygiène corporelle en générale.
L’assainissement se focalise sur la présence et le nombre d’infrastructures d’évacuation d’excréta, de déchet solide et des eaux usées domestiques.
CHOIX DE LA ZONE D’ETUDE
Le choix de la zone d’étude se base en premier lieu sur l’expérience de SAF en matière d’AEPG qui présente une nette supériorité du nombre d’interventions dans les quatre Fivondronampokontany à savoir : Arivonimamo, Miarinarivo, Soavinandriana et Tsiroanomandidy. En effet, par rapport à toutes les actions sur le territoire national, depuis 1987 à 2002, environ 90% des projets réalisés par SAF se trouvent dans ces 4 Fivondronana. D’où le choix de cette zone dit de « Moyen Ouest ». De plus cette zone peut être représentative de la population rurale des hautes terres de Madagascar en parcourant du centre vers l’ouest des hauts plateaux.
CARACTERISTIQUES DE LA ZONE D’ETUDE
La connaissance de la géographie humaine prend une place de plus en plus importante dans la conduite des projets de développement communautaire. En effet, que ce soit du côté technique, social ou économique, toutes les décisions ou les approches à entreprendre dépendent directement ou indirectement des caractéristiques de la population bénéficiaire : de leur répartition dans le terroir, de leurs activités, de leur niveau de vie ou encore de leur histoire, us et coutumes.
Géomorphologie et Hydrographies
Appartenant au socle cristallin d’altitude élevée, le paysage caractéristique montre des collines latéritiques arrondies où l’eau ruisselle assez rapidement, ainsi que des plaines alluviales formées par des vallées, des dépressions topographiques ou par des bas–fonds où l’eau peut s’accumuler.
L’ossature des hauts plateaux est formée par des plis serrés, en partie arasés formant une surface d’érosion découpée par les vallées, parfois des sommets plus élevés subsistent en remarquant la présence des massifs volcaniques.
Dans la zone d’étude, les 4 Fivondronana présentent leur propre relief et réseaux hydrographiques
– pour Arivonimamo, le relief est généralement plat à l’exception du Sud-Est dont le relief est montagneux étant un prolongement de l’Ankaratra. Trois principaux cours d’eau traversent le Fivondronana : l’Onibe, l’Ombifotsy et la Kitsamby.
– pour Miarinarivo, les deux bastions d’Ambatomanjaka au Nord (1500m d’altitude) et la montagne de Manja au Sud (1765m d’altitude) forme un alignement granitique de direction méridienne et constituent une ligne de partage des eaux, la Mazy est le principal cours d’eau traversant cette région.
– pour Soavinandriana, le relief est caractérisé par les massifs volcaniques de l’Itasy : formé de cônes de scories avec leurs coulées des dômes trachytiques des cratères d’explosion. Ces reliefs «postiches » hauts de 250 à 300m ont poussé sur une topographie préexistante déjà très différenciée dans les gneiss et les granites. L’apparition du volcanisme a perturbé le réseau hydrographique, les coulés de laves ont constitué des barrages de retenue occasionnant la formation des lacs dont l’Itasy. Ces lacs sont d’importante réserve d’eau douce exploitable par pompage, parfois par gravité.
– pour Tsiroanomandidy, le relief est dominé par des vastes pénéplaines avec quelques chaînes montagneuses : Bongolava, Ampananina ainsi que par des massifs isolés tel que l’Ambohiby et le Bevato.
En général, le relief s’abaisse d’est en ouest en pente douce depuis les massifs volcaniques de l’Itasy jusqu’au Bongolava.
Ces conditions hydrologiques, géologiques et géomorphologiques régissent le régime hydrographique de la région, les eaux de surface sont abondantes, conséquence de l’imperméabilité du socle et du peu de perméabilité du recouvrement latéritique. Malheureusement, ces eaux de surface en abondance, constituant pour la plupart des points d’eau fréquentés par les villageois présentent l’inconvénient d’être exposées aux pollutions et contaminations de tous ordres nécessitant des traitements coûteux, de même leur captage nécessite un ouvrage de prise plus ou moins compliqué, parfois le pompage et même le refoulement.
Ce sont alors les conditions locales et les besoins en eau qui amèneront à choisir entre les eaux de surface et les eaux souterraines, mais les eaux souterraines en dépits de leurs inconvénients sont préjugées favorables et même parfois considérées comme la solution idéale.
Environnement et couverture végétale des bassins versants
La grande partie des bassins versants est couverte par des steppes (ou Bozaka), des savanes et des prairies permettant l’élevage des bovidés ; quelques arbustes ou des forêts galeries longent les cours d’eau et des îlots clairs dans les vallons humides. La présence des forêts naturelles de Tapia est à remarquer dans la région d’Arivonimamo.
La zone d’étude est fortement déboisée et les parties reboisées ne présentent pas grande chose : 8 492 ha seulement de périmètres de reboisement contre 176 829 ha de surface brûlée et déboisée. Avec le passage répété des feux de brousses, le phénomène d’érosion des collines par lavakisation devient de plus en plus inquiétant.
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Table des matières
INTRODUCTION
GENERALITES
ROLE DE L’EAU
SITUATION DE L’AEPA A MADAGASCAR
PRESENTATION DE WATERAID ET SAF
PREMIERE PARTIE EVALUATION DES PROJETS D’ALIMENTATION EN EAU POTABLE PAR SYSTEME GRAVITAIRE MIS EN PLACE PAR S.A.F
I- OBJECTIFS DE L’ETUDE
II- METHODOLOGIE
II.1-ETUDES BIBLIOGRAPHIQUES
II.2-ENQUETES ET OBSERVATIONS DE TERRAIN …
II.3-UTILISATION DES CARTES ET DU S.I.G
II.4-CHOIX DES INDICATEURS D’EVALUATION
II.5- CHOIX DE LA ZONE D’ETUDE
III- CARACTERISTIQUES DE LA ZONE D’ETUDE
III.1- GEOGRAPHIE HUMAINE
III.1.1-Population et démographie
III.1.2-Activités socio-économiques
III.1.3-Potentialités économiques et problèmes majeurs
III.2-GEOGRAPHIE PHYSIQUE
III.2.1-Hydrologie et climat
III.2.2-Géologie
III.2.3- Géomorphologie et Hydrographies
III.2.4-Environnement et couverture végétale des bassins versantsErreur ! Signet non défini.
III.2.5-Hydrogéologie :
III.2.5.1-Types de nappes aquifères
III.2.5.2-Type de source
IV- PRESENTATION DES VILLAGES RETENUS POUR L’ETUDEErreur ! Signet non défini.
V- RESULTATS DE L’EVALUATION
V.1-ASPECT GENERAL DU SYSTEME D’AEPG ADOPTE PAR SAFErreur ! Signet non défini.
V.2-LES DIFFERENTES PHASES DES PROJETS D’AEPG DE SAFErreur ! Signet non défini.
V.3-METHODOLOGIE D’ETUDE DES PROJETS DE SAF . Erreur ! Signet non défini.
V.3.1-Etude du besoin en eau
V.3.1.1-Détermination du nombre de population bénéficiaireErreur ! Signet non défini.
V.3.1.2-Projection démographique
V.3.1.3-Besoin en eau
V.3.2-Etude de la ressource en eau
V.3.3-Adéquation ressource-besoin
V.3.4-Levé topographique
V.3.5- Etude des ouvrages
V.3.5.1- Captage
V.3.5.2- Bassin collecteur, brise charges et ouvrage de partageErreur ! Signet non défini.
V.3.5.3-Réservoir
V.3.5.4-Conduites
VI-3-5.5-Bornes fontaines
V.4-EVALUATION SUR L’ASPECT DES REALISATIONS ET L’ETAT DE FONCTIONNEMENT DES OUVRAGES
V.4.1-Le captage :
V.4.2-bassin collecteur
V.4.3-Brise charge
V.4.4-Ouvrages de partages
V.4.5-Réservoirs
V.4.6-Les conduites
V.4.7-Les bornes fontaines
V.4.8-Les robinets et les vannes
V.4.9-Remarque général concernant le fonctionnement des ouvragesErreur ! Signet non défini.
V.5-EVALUATION SUR LA QUANTITE DE L’EAU : ..
V.5.1-Tarissement des nappes phréatiques
V.5.2-Insuffisance de l’eau liée au captage
V.5.3-Insuffisance de l’eau due à des fuites dans les ouvragesErreur ! Signet non défini.
V.5.4-Insuffisance de l’eau due à une augmentation trop rapide de la populationErreur ! Signet non défini.
V.5.5-Insuffisance de l’eau suite à des conflits fonciers
V.6-EVALUATION SUR LA QUALITE DE L’EAU
V.7-RYTHME D’EXECUTION ET MOYENS DE REALISATION DES PROJETSErreur ! Signet non V.8-EVALUATION SUR LA MAINTENANCE ET LA GESTION COMMUNAUTAIRE DU SYSTEME
V.9-EVALUATION SUR LE CHANGEMENT DE COMPORTEMENT EN MATIERE D’HYGIENE ET ASSAINISSEMENT
V.9.1-Hygiène corporelle :
V.9.2- Hygiène environnementale
V.9.3-Assainissement
V.10-EVALUATION DE L’ETENDUE ET LES AUTRES IMPACTS DES PROJETSErreur ! Signet non V.11-ESSAIS DE CLASSIFICATION
V.11.1-Classification suivant les paramètres étudiés
V.11.2-Pourcentage des problèmes techniques les plus rencontrésErreur ! Signet non défini.
V.11.3-Classification selon la durabilité et l’efficacité des projetsErreur ! Signet non défini.
VI- SUGGESTIONS
VI.1-SUR L’ASPECT GENERAL DU SYSTEME D’AEPG ADOPTEErreur ! Signet non défini.
VI.1.1- Traitement des eaux captées par barrage avec un système de filtrationErreur ! Signet non défini.
VI.2-SUGGESTIONS CONCERNANT LES DIFFERENTES PHASES DES PROJETS
VI.2.1-Avants projets sommaires et détaillés
VI.2.2-Réhabilitation et intensification du suivi -évaluation Erreur ! Signet non défini.
VI.2.3-Assainissement et promotion de l’hygiène
VI.3-SUGGESTIONS SUR LA METHODOLOGIE D’ETUDEErreur ! Signet non défini.
VI.3.1-Etude du besoin en eau
VI.3.1.1-Determination du nombre de population bénéficiaireErreur ! Signet non défini.
VI.3.1.2-Projection démographique
VI.3.1.3-Besoin en eau
VI.3.2-Etude de la ressource en eau
VI.3.3- Adéquation ressource-besoin
VI.3.4- Etude topographique
VI.3.5- Suggestions sur l’étude et la réalisation des ouvragesErreur ! Signet non défini.
VI.3.5.1-Captage
VI.3.5.2-Bassin collecteur
VI.3.5.3-Brise charge
VI.3.5.4-Ouvrage de partage
VI.3.5.5-Réservoir
VI.3.5.6-Conduites
VI.3.5.7-Les bornes fontaines et robinets
VI.4-SUGGESTIONS POUR PRESERVER OU AMELIORER LA QUALITE DE L’EAU
VI.4.1- Traitement ou conservation de l’eau à domicile
VI.4.1.1-Stockage de l’eau
VI.4.1.2-Ebullition
VI.4.1.3-Désinfection chimique
VI.5- SUGGESTIONS SUR LE RYTHME D’EXECUTION DES PROJETSErreur ! Signet non défini.
VI.5.1-Multiplication des efforts
VI.5.2-Rapport nombre de personnes desservies/nombre de projets réalisésErreur ! Signet non défini.
VI.6-SUGGESTIONS SUR LA GESTION ET MAINTENANCEErreur ! Signet non défini.
VI.6.1-Recouvrement des coûts
VI.6.1.1-Coût d’un projet
VI.6.1.2-Les charges
VI.6.1.3-Modalité de paiement
VI.6.2-Structure de gestion
VI.6.3-Retombée de l’application de ces frais
VI.6- SUGGESTIONS SUR L’ASSAINISSEMENT ET PROMOTION DE L’HYGIENE
VI.8- SUGGESTIONS POUR AVOIR DES IMPACTS BEAUCOUP PLUS ETENDUSErreur ! Signet VI.9-RECOMMANDATIONS GENERALES
VI.9.1- Constitution d’une base de données
VI.9.2-Vulgarisation et mise en application du code de l’eau dans le milieu ruralErreur ! Signet non CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
DEUXIEME PARTIE APPLICATION DES SUGGESTIONS DANS L’ETUDE DE L’ALIMENTATION EN EAU ET ASSAINISSEMENT DU VILLAGE D’AMBONIVOHITRA
I- IDENTIFICATION DU PROJET
II-CARACTERISTIQUES DE LA ZONE DU PROJET
II.1- GEOGRAPHIE HUMAINE
II.1.1- Historique
II.1.2- Population et démographie
II.1.3-Activités socio-économiques
II.1.4-Infrastructures existantes
II.2–GEOGRAPHIE PHYSIQUE
II.2.1 – Hydrologie et climat
II.2.2 – Géologie et hydrogéologie
II.2.3 – Géomorphologie et hydrographie
II.2.4 – Environnement et couverture végétale des bassins versantsErreur ! Signet non défini.
II.3 – SITUATION ACTUELLE EN EAU, ASSAINISSEMENT ET HYGIENEErreur ! Signet non défini.
II.3.1– Situation en eau
II.3.2– Situation de l’assainissement
II.3.3- Situation en hygiène
II.3.4- Prévalence des maladies
III- ALIMENTATION EN EAU POTABLE
III.1- ETUDE DU BESOIN EN EAU
III.1.1- Projection démographique
III.1.2- Dotation en eau et valeur du besoin en eau
III.1.2- Coefficient de pointe et débit de pointe
III.2- ETUDE DES RESSOURCES EN EAU
III.2.1- Débit et comportement des sources
III.2.2- Adéquation ressources besoin
III.2.3- Qualité de l’eau de la source d’Andidy
III.3-LES OUVRAGES A CONSTRUIRE
III.3.1-Le captage
III.3.1.1-Forme et dimension du captage
III.3.1.2- Protection du captage
III.3.2- Bassin collecteur
III.3.3-Ouvrage de partage
III.3.4-Réservoirs
III.3.4.1-Emplacements
III.3.4.2-Capacité des réservoirs
III.3.4.3-Classification et forme des réservoirs
III.3.4.4-Dimensions
III.3.4.5-Equipements et fontainerie
III.3.5-Les conduites d’amenée et de distribution
III.3.5.1-Type de réseau de distribution
III.3.5.2-Type de tuyau
III.3.5.3-Choix des diamètres
III.3.5.4-Débits
III.3.5.5-Perte de charge
III.3.5.6-Limitation des pressions et des vitesses
III.3.5.7-Hauteurs piézometriques
III.3.5.8-Profil en long
III.3.5.9-Pose des conduites
III.3.6-Les bornes fontaines
IV – ASSAINISSEMENT ET PROMOTION DE L’HYGIENE (APH)Erreur ! Signet non défini.
IV. 1- TECHNIQUE D’APPROCHE
IV.1.1- Approche participative : SARAR et 3H
IV.1.2- Méthode « l’enfant pour l’enfant » de l’UNICEF …. Erreur ! Signet non défini.
IV.2-EVACUATION DES EXCRETA
V- COUT DU PROJET
VI- STRUCTURE DE GESTION
VII- ETUDE D’IMPACT ENVIRONNEMENTAL
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
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