Style parental, modes et fréquence des soupers en famille et leurs impacts

Environnement familial

Le protocole d’entrevue

Le protocole d’entrevue est basé sur le contexte de référence et le questionnaire est présenté dans l’Appendice B. Le canevas comporte huit grandes sections. La première section porte sur les informations sociodémographiques. Les deux autres sections suivantes portent sur les soupers, plus spécifiquement sur la fréquence de ceux-ci et leurs modes. Par la suite, la participation parentale comporte des sections sur les interactions parents-adolescents axées sur le quotidien scolaire et sur la consommation de légumes et de fruits, le soutien affectif axé sur le quotidien scolaire et sur la consommation de légumes et de fruits ainsi que sur la communication parents adolescents.
S’en suivent des questions concernant les dimensions du style parental soit l’engagement et l’encadrement parentaux ainsi que l’encouragement à l’autonomie. Les sections suivantes sondent les habitudes de consommation de légumes et de fruits des adolescents ainsi que la participation parentale spécifique aux habitudes alimentaires. L’avant-dernière section aborde l’approfondissement de la relation entre la fréquence et les modes de soupers en famille, les interactions parents adolescents, les résultats scolaires des jeunes et leurs habitudes alimentaires selon la perception des jeunes. Et finalement, la réussite scolaire est estimée selon les résultats en français et en mathématique.

La validation du protocole d’entrevue

Le protocole a été testé auprès de neuf élèves (quatre gars, cinq filles) entre 13 et 15 ans à l’école secondaire où nous travaillons. Le temps prévu accordé à l’entrevue n’a pas été évalué. Nous avons préféré demander aux volontaires de reformuler les questions et dire ce qu’ ils en comprenaient, dans le but de clarifier avec eux certaines questions. Nous n’avons ajouté ou retiré aucune question pour la version définitive du protocole d’entrevue suite aux recommandations de ces élèves, cependant nous avons reformulé plus simplement une question de la section sur les informations sociodémographiques. La description du processus de validation fait écho au cadre de
référence qui a conduit à la formulation des questions.

Fréquences des soupers en famille

Les recherches américaines menées pendant la dernière décennie suggèrent que les repas familiaux jouent un rôle important au niveau de la réussite scolaire (CASA, 2003, 2005, 2006, 2007) et de la consommation de légumes et de fruits (Fulkerson, Neumark-Sztainer et Story, 2006a; Videon et Manning, 2003). Selon Miller, Waldfogel et Han (2012), les données auto-révélées par les adolescents pour évaluer la fréquence de repas en famille sont fiables. Nous avons donc demandé aux participants d’évaluer la fréquence des soupers en famille en demandant aux participants combien de fois habituellement dans une semaine (sept jours) toute la famille des membres vivant dans la maison, soupent ensemble (Berge, 201 Ob; Bisakha, 2010; Fulkerson, 2006a). De plus, nous les avons aussi interrogés à savoir si une personne de la famille a une activité ou finit plus tard de travailler, si les autres membres de la famille l’attendent pour souper tous ensemble. Ensuite, la fréquence a été catégorisée sous trois niveaux, soit élevée (entre cinq et sept fois par semaine), modérée (entre trois et quatre fois par semaine) et faible (entre zéro et deux fois par semaine).

Modes de souper

Quant aux questions relatives aux modes de souper, le protocole d’ entrevue est basé sur les caractéristiques déterminant les tensions primaire, secondaire et tertiaire qui s’expriment lors des repas familiaux (Better Together, 2009c). La tension primaire entre la routine des repas et la fragmentation de la vie s’exprime dans la définition des temps, lieu et durée des soupers ainsi que dans l’ambiance générale ressentie par les adolescents lors de cette activité commensale. Nos questions de recherche sont inspirées de ces particularités et mettent en évidence les contrastes entre les soupers chaleureux et structurés et les soupers rapides et individuels. La tension secondaire entre la recréation et les traditions suggère un écart entre la recherche de plaisir et de détente lors des soupers et la poursuite des traditions avec rigidité. L’ambiance des repas étant ici aussi un indicateur révélant les situations tendues sous-jacentes. La tension tertiaire s’ illustre à travers la di ssonance entre la réponse à des demandes individuelles lors des soupers, à titre d’exemple qui requiert une préparation de plusieurs repas différents, rapides et fonctionnels afin d’éviter les discordes et la mésentente au sein de la famille, et une harmonie et une perfection quasi plastique au détriment de la recherche de relations saines et profondes c’est-à-dire que l’on emploie l’ évitement relationnel en présentant par exemple, des mets rapides du commerce consommés devant la télévision. Plus précisément, les questions portaient sur l’ambiance vécue lors des soupers partagés en famille, les discussions animées, la répartition de la nourriture, les structurations temporelle, sociale et s patiale. À cet égard, voir le tableau 3 qui donne une vue d’ ensemble.
Dans ce contexte du processus de validation, il importe d’expliquer plus les modes de souper afin de comprendre les enjeux qui ont guidé la formulation des questions. Les participants dont les soupers sont en mode « doux foyer» mangent dans des atmosphères calmes ou de joie et d’amusement. Les discussions, généralement agréables, si elles sont parfois animées ou argumentatives, ne sont pas agressantes mais constructives. La préparation des repas est planifiée et elle permet à toute la famille de partager le même repas et la répartition de cette nourriture se fait sans anicroche. Il arrive à l’occasion que lors d’un même repas, les membres de la famille mangent des mets différents, lorsqu’il y a des restes de nourriture qui ne sont pas en quantité suffisante pour toute la famille et une fois de plus, la répartition des mets se fait dans le calme, parfois avec certains compromis, mais toujours dans le plus grand intérêt des adolescents. De plus, Il y a structuration temporelle, sociale et spatiale lors des repas du soir. JI s’agit ici d’un acte commensal dans lequel la dimension sociale du mangeur s’exprime à l’ intérieur de cette expérience collective.
En ce qui a trait aux soupers en mode « routine constante », ceux-ci se déroulent dans une ambiance calme, voire fonctionnelle. La grande caractéristique de ce mode étant la déstructuration sociale, c’est-à-dire que les repas se prennent devant la télévision sans trop communiquer, ou que les repas sont pris sans parler afin de remplir la fonction biologique du repas c’est-à-dire que le mangeur biologique satisfait son gout, ses besoins physiques et sa satiété. Les discussions lors des soupers planifiés et partagés dans la bonne entente, peuvent aussi être animées quoi que agréables. Et les structurations temporelle et spatiale sont importantes.
Ce qui est primordial pour les soupers en mode « plats de moindre résistance », c’est la recherche d’ harmonie et l’évitement des tensions inhérentes à la prise de repas structurés et planifiés à l’intérieur d’un temps, d’un ordre social, d’un espace. Les repas sont souvent des réponses individuelles parentales aux préférences alimentaires, sans temps précis, sans échange et dans tous les lieux possibles à la maison. Ce qui est recherché, c’est faire plaisir et effectivement, les soupers se vivent dans le calme, la joie et l’amusement, sans avoir par contre une dimension sociale reliée à ces plaisirs. JI peut y avoir des structurations temporelle, sociale et spatiale si cela n’occasionne pas de déplaisir. JI n’est pas question ici de confrontation, mais du désagrément lié au respect de structures temporelle, sociale et spatiale. Les familles dans lesquelles il peut y avoir habituellement ou à l’occasion des structurations liées à la prise de soupers partagés ne vivent pas de tensions reliées à la définition précise d’un temps et d ‘une durée de repas, aux échanges lors de l’ acte commensal et au lieu réservé aux soupers.
De plus, comme les repas sont des réponses individuelles aux préférences alimentaires, la répartition des mets n’est pas un problème.
Et finalement, les repas en mode « loi de la jungle » se déroulent dans des climats fonctionnels, lourds, stressants et même agressants, atmosphère qui est soutenue par des échanges offensifs qui, entre autres choses, peuvent à l’occasion être provoqués par une mauvaise entente lors de la répartition de la nourriture. Il n ‘y a pas de structuration temporelle, sociale ou spatiale, ce qui explique en partie les réponses individuelles aux préférences alimentaires par un auto service au réfrigérateur.

Style parental

En ce qui concerne le style parental qui documente l’engagement, l’encadrement et l’encouragement parental, il est basé sur le questionnaire élaboré par Steinberg et ses collègues (1992), traduit et validé par Deslandes (1996) et utilisé par la suite dans de nombreuses études. Ainsi, à l’instar des travaux menés dans les états uniens (pour une synthèse, voir Steinberg, 2011) et au Québec (voir Deslandes, 2005, 2010, 2012) la dimension de l’engagement parental a évalué la perception des adolescents quant à la chaleur, la sensibilité et l’implication des parents ressentie par leurs jeunes. La dimension de l’encadrement parental établit le niveau de supervision et de limites fixés par les parents. Et la dimension de l’encouragement à l’autonomie évalue la perception
des adolescents de la discipline parentale démocratique et de l’encouragement à exprimer son autonomie dans la famille.
Afin d’analyser le climat familial en fonction de la fréquence des soupers familiaux, nous avons dans un premier temps établi le climat familial à l’ intérieur duquel les participants évoluent. Nous avons utilisé une méthode exploratoire puisqu ‘ habituellement, les styles parentaux sont établis à partir de données quantitatives et que notre étude est exclusivement qualitative. Toutefois, notons que toutes les questions et sous-questions liées aux styles parentaux sont basées sur les questionnaires des études de Steinberg et ses collègues (1989, 1992) et Deslandes (1996, 2005). Trois dimensions composent le style parental, soit les dimensions de l’engagement parental, l’encadrement parental et l’encouragement à l’ autonom ie. Lors des entrevues, plusieurs sous questions, concernant chaque dimension ont été posées afin d’enrichir le corpus permettant une analyse et une classification plus adéquates quoiqu’exploratoires.
La dimension de l’engagement parental a été considérée élevée lorsque les jeunes mentionnaient ressentir l’intérêt que leurs parents leur portent par exemple quand ces derniers engagent la conversation ou démontrent leur sensibilité aux changements d’humeurs et de comportements des adolescents qui vivent des problèmes personnels.
Ajoutons les parents qui invitent leur jeune à faire de son mieux, qui favorisent le développement du jugement critique de leur adolescent et qui les accompagnent dans la réalisation de leurs projets; ces parents ont aussi été évalués comme ayant un engagement parental élevé. De plus, les parents qui se gardent du temps pour discuter avec leur jeune et leur proposent des activités familiales ont aussi des attitudes favorables à l’engagement parental de haut niveau.
Pour faire suite, voici les comportements parentaux qui ont été estimés comme étant modérés. À titre d’exemple, l’ intérêt parents-adolescents qui s’exprime au plus quelques fois par semaine ainsi que l’ aide que leur jeune reçoit et qui se vit uniquement en situation d’ urgence, a été classifié au niveau modéré de l’engagement parental. De plus, lorsque les parents encouragent occasionnellement leur jeune à faire de son mieux, acceptent les opinions de leur adolescent sans toutefois démontrer de l’intérêt ou les écoutent parler de leurs projets sans offrir du soutien, ces conduites parentales ont aussi été ordonnées au niveau modéré. Et finalement en ce qui a trait à l’engagement parental modéré, les parents peuvent aussi conserver du temps pour discuter avec leur jeune mais les échanges sont centrés sur les parents et les activités familiales proposées sont désadaptées par rapport à l’âge des adolescents.
Terminons avec la présentation de la dimension de l’engagement parental estimé faible, avec par exemple un intérêt parental démontré et perçu par les adolescents comme rare ou inexistant. De plus, les jeunes évaluent que les invitations à faire de leur mieux sont suscitées à leur propre demande d’appréciation, que les rares partages d ‘opinions et échanges sur les projets personnels ne sont pas entendus par les parents.
Ajoutons que les discussions spontanées peuvent se produire devant la télévision lors des annonces et que l’ intérêt ressenti par les jeunes est réduit. Notons aussi que les parents ne proposent pas d’activités familiales.
La dimension de l’encadrement parental a été questionnée dans un seul élan et sous trois aspects soit, les déplacements chaque soir, les activités lors des temps libres et l’ après-midi après l’école. Les réponses diversifiées et riches nous ont permis d’ ordonner les catégories comme suit, encadrement parental élevé, modéré et faible .
Lorsque les parents s’enquièrent auprès des adolescents de leurs allées et venues, de leurs activités, de leurs fréquentations, ces comportements sont perçus comme étant ceux d’un encadrement parental élevé. Pour les parents dont l’encadrement est modéré, les renseignements livrés à ces derniers quant aux allées et venues des jeunes, le sont sous l’ initiative des jeunes, le cellulaire jouant parfois un rôle sécurisant pour les parents. Et enfin, les échanges rares ou inexistants concernant les allées et venues des jeunes sont classés comme faisant état d’un encadrement parental faible. Certains jeunes perçoivent ce peu d’ intérêt quant à leurs allées et venues, basé sur la confiance qu’ils inspirent à leurs parents, comme étant dangereux.
Critères de décision des résultats pour les dimensions de l’engagement, l’encadrement parental ainsi que de l’encouragement à l’autonomie
Rappelons que le protocole d’entrevue lié aux dimensions des styles parentaux est basé sur un questionnaire déjà validé mais que les critères de décision des résultats sont issus d’une méthode exploratoire. Pour la dimension du style parental d’ engagement, chaque comportement de parent a été évalué selon une échelle à niveaux élevée, modérée ou faible. Tandis que p~ur la dimension de l’octroi d ‘autonomie, les comportements parentaux ont été classés comme étant élevés ou faibles. Si tous les comportements des parents selon les questions et pistes, ont été perçus par les jeunes comme étant élevés, nous avons classé cette dimension comme étant élevée. Il en est de même pour les parents dont les comportements ont tous été perçus comme étant faibles. Selon la perception des jeunes, aucun parent n’a eu uniquement que des comportements considérés comme étant modérés pour la dimension engagement.
À titre d’exemple, pour la dimension octroi à l’autonomie, la participante 60-11 a répondu à six questions qui ont toutes été classées comme étant élevées.

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Table des matières

INTRODUCTION 
Chapitre 1 : PROBLÉMATIQUE 
1.1 Identification du problème – Environnement familial
1.2 Importance de la recherche – Soupers en famille
1.3 Pertinences sociale et scientifique
1.4 Originalité de la recherche
1.5 Questions de recherche
Chapitre 2 : CONTEXTE DE RÉFÉRENCE
2.1 Définitions de quelques concepts
2.1.1 Fréquence des soupers familiaux
2.1.2. Modes de souper
2.1.3. Saines habitudes alimentaires
2.2. Contexte théorique
2.2.1. Fréquence, mode de soupers familiaux et bénéfices recensés
2.2 .2. Interactions parents-adolescents sous l’angle du style et de la participation parentale axée sur le suivi scolaire ainsi que de la participation parentale spécifique aux habitudes alimentaires
2.2.2.1. Style parental, pratiques parentales et réussite scolaire
2.2.2.2. Style parental, pratiques parentales et les habitudes alimentaires des adolescents
2.2.2.3. Style parental, modes et fréquence des soupers en famille et leurs impacts
2.3. Objectifs de recherche
2.3.1. Objectif général
2.3.2. Objectifs spécifiques
2.3.2.1. Objectif 1
2.3.2.2. Objectif 2
Chapitre 3 : MÉTHODOLOGIE
3.1 La recherche qualitative
3.2 La posture épistémologique
3.3 L’échantillonnage
3.3 .1 Le plan d’échantillonnage
3.3.2 Principales caractéristiques des adolescents
3.3.3 Milieu
3.4 L’entrevue semi-dirigée
3.5 Le déroulement et la collecte des données
3.6 Le protocole d’ entrevue
3.7 La validation du protocole d’entrevue
3.7.1 Fréquences des soupers en famille
3.7.2 Modes de souper
3.7.3 Style parental
3.7.4 Critères de décision des résultats pour les dimensions de l’engagement, l’encadrement parental ainsi que de l’encouragement à l’autonomie
3.7.5 Critères de décision pour ordonnancer les styles parentaux
3.7.6 Participation parentale
3.7.6.1 Participation parentale au suivi scolaire
3.7.6.2 Participation parentale à la consommation de légumes et de fruits
3.7.6.3 Participation parentale spécifique aux habitudes alimentaires
3.7.7 Critères de décision du classement par niveau de la participation parentale axée sur le suivi scolaire
3.7.8 Critères de décision du classement par niveau de la participation parentale axée sur la consommation de légumes et de fruits
3.7.9 Critères de décision du classement par niveau de la participation parentale spécifique aux habitudes alimentaires dont la consommation de légumes et de fruits
3.7.10 Habitudes de consommation de légumes et de fruits
3.7.11 Approfondissement de la relation entre la fréquence et les modes de soupers en famille, les interactions parents-adolescents, les résultats scolaires des jeunes et leurs habitudes alimentaires
3.7.12 Réussite scolaire
3.8 L’ analyse
Chapitre 4: PRÉSENTATION DES RÉSULTATS
4.1 Fréquence et modes de souper ainsi que participation parentale au suivi scolaire en fonction du style parental
4.1.1 Fréquence de souper
4.1.2 Modes de souper
4.1.3 Participation parentale au suivi scolaire
4.1.3.1 Interactions axées sur le suivi scolaire
4.1.3.2 Soutien affectif axé sur le suivi scolaire
4.1.3.3 Communication parents-adolescents
4.1.4 Style parental
4.1.5 Style parental et fréquence
4.1.6 Style parental et modes de souper
4.1.7 Fréquence et modes de souper en fonction du style parental
4.1.8 En bref – Fréquence et modes de souper ainsi que participation parentale au suivi scolaire en fonction du style parental
4.2 Fréquence et modes de souper ainsi que consommation de légumes et de fruits en fonction du style parental
4.2.1 Consommation de légumes et de fruits
4.2.2 Consommation de légumes
4.2.3 Consommation de fruits
4.2.4 Consommation de légumes et de fruits
4.2.4.1 En bref – Fréquence, modes de souper et consommation de légumes et de fruits en fonction du style parental
4.3 Fréquence et modes de souper ainsi que participation parentale à la consommation de légumes et de fruits en fonction du style parental
4.3.1 Participation parentale à la consommation de légumes et de fruits
4.3.1.1 Interactions parents-adolescents axées sur la consommation de légumes et de fruits
4.3 .1.2 Soutien affectif parents-adolescents axé sur la consommation de légumes et de fruits
4.3.2 En Bref – Fréquence et modes de souper ainsi que participation parentale à la consommation de légumes et de fruits en fonction du style parental
4.4 Fréquence et modes de souper ainsi que participation parentale spécifique aux habitudes alimentaires dont la consommation de légumes et de fruits en fonction du style parental
4.4.1 Participation parentale spécifique aux habitudes alimentaires
dont la consommation de légumes et de fruits
4.4.1.1 Modélisation à l’égard de la consommation de légumes et de fruits
4.4.1.2 Modélisation à l’égard de l’art de cuisiner
4.4.1.3 Renforcement à la consommation de légumes et de fruits
4.4.1.4 Enseignements liés au Guide alimentaire canadien
4.4.1.5 Encouragements liés aux choix alimentaires faits à la maison
4.4.1.6 Encouragements liés aux choix alimentaires faits à l’ épicerie
4.4.2 Fréquence et modes de souper ainsi que modélisation à l’égard de la consommation de légumes et de fruits en fonction du style parental
4.4.3 Fréquence et modes de souper ainsi que modélisation à l’égard de l’art de cuisiner en fonction du style parental
4.4.4 Fréquence et modes de souper ainsi que renforcement à la consommation de légumes et de fruits en fonction du style parental
4.4.5 Fréquence et modes de souper ainsi qu’enseignements liés au Guide alimentaire canadien en fonction du style parental
4.4.6 Fréquence et modes de souper ainsi qu’encouragements liés à la consommation de légumes et de fruits
4.4.7 Fréquence et modes de souper ainsi qu’encouragements liés au choix faits à la maison en fonction du style parental
4.4.8 Fréquence et modes de souper ainsi que l’encouragement lié aux choix fait à l’épicerie en fonction du style parental
4.4.9 En bref-Fréquence et modes de soupers ainsi que participation parentale spécifique aux habitudes alimentaires en fonction du style parental
4.5 Fréquence et modes de souper en fonction des résultats scolaires
4.5.1 Résultats scolaires en français et en mathématique
4.5.2 En bref – Fréquence et modes de souper en fonction des résultats scolaire
4.6 Fréquence et modes de souper en fonction des habitudes de consommation de légumes et de fruits
Chapitre 5 : DISCUSSION
5.1 Fréquence et modes de souper ainsi que participation parentale au suivi scolaire en fonction du style parental
5.2. Fréquence et modes de souper ainsi que consommation de légumes et de fruits en fonction du style parental
5.3. Fréquence et modes de souper ainsi que participation parentale à la consommation de légumes et de fruits en fonction du style parental
5.4. Fréquence et modes de souper ainsi que participation parentale spécifique aux habitudes alimentaires dont la consommation de légumes et de fruits en fonction du style parental
5.5. Fréquence et modes de souper ainsi que résultats scolaires
5.6. Fréquence et modes de souper ainsi qu’habitudes de consommation de légumes et de fruits
5.7. Les forces et les limites de l’étude
CONCLUSION 
RÉFÉRENCES
APPENDICES

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