Structures et dynamiques spatiales de la répartition de la population par sexe 

LES DONNÉES ET LA REPRÉSENTATION CARTOGRAPHIQUE

Cette première partie porte à la fois sur la collecte de données et la représentation cartographique.
La création d’une base de données issue de diverses sources nous permet par la suite d’effectuer une analyse statistique ainsi qu’une étude cartographique. Au préalable de cette dernière, il est important de prendre en compte les enjeux et les limites de la cartographie, nous les évoquerons plus en détail à la fin de cette partie.

Les principales sources de données

Les données démographiques peuvent être issues de diverses sources, tels que les enregistrements, les registres, les enquêtes par sondage et les recensements.

Le recensement : un outil adapté à l’étude de l’évolution des populations

Qu’est-ce que le recensement ?

Le recensement « consiste à un dénombrement exhaustif d’une population dans ses principales caractéristiques démographiques, économiques, sociales, culturelles » [CHESNAY J-C., 1990].
C’est également une opération qui permet d’avoir un dénombrement officiel de la population d’un territoire. Il permet donc d’avoir une vision de la population à intervalles réguliers. Les Nations Unies recommandent d’effectuer un recensement tous les dix ans. De par son côté officiel et exhaustif, c’est un outil favorisé par les pouvoirs publics et dans les études démographiques. De plus, il permet d’avoir différentes informations, comme la structure de la population par exemple, à une échelle infranationale.

Le s principales recommandations des Nations Unies

Afin d’accompagner au mieux tant dans l’organisation pré-recensement que dans la réalisation, les Nations Unies ont mis à disposition un manuel de recommandations internationales. Ce manuel peut connaître quelques rectifications suite à des difficultés rencontrées lors de la mise en place du recensement ou bien à la mise en place de nouvelles techniques de recensement.
Ces modifications ont pour objectif d’optimiser et de garantir une meilleure qualité du recensement.
La figure suivante expose les différentes phases du recensement proposées par les Nations Unies afin de garantir une organisation optimale lors du recensement. La planification est la pièce maîtresse d’une organisation optimale et doit interagir tout au long du processus. La qualité d’un recensement s’appuie entre autres sur trois critères : le respect du coût, le respect des délais et la qualité des données. En outre, un suivi des opérations et une évaluation à la fin de chaque phase jouent un rôle considérable dans la qualité du recensement.
Les buts, les objectifs et les budgets nécessaires sont établis par les pays selon leurs propres besoins. Toutefois, les directives des Nations Unies ont pour objectif d’établir une certaine harmonisation des données afin de pouvoir comparer de manière plus légitime les données de recensements de plusieurs pays. Cette concordance des données passe par une méthode de recensement identique dans toutes les régions du pays et dans chaque pays ainsi qu’une définition claire et précise de certains termes, proposées par les Nations Unies, dans les Principes et recommandations concernant les recensements de la population et des logements.

Les recensements dans notre aire d’étude

Le recensement yougoslave

Le premier recensement a eu lieu en 1921. Dans le but d’avoir un recensement tous les dix ans, le second a eu lieu en 1931. Avec la Seconde Guerre mondiale, le troisième a eu lieu 17 ans après, en 1948. Celui-ci a permis de recueillir les premières informations sur la population d’après-guerre, dans la nouvelle république fédérale construite en 1945. Les recensements suivants ont eu lieu en 1953, 1961, 1971, 1981 et en 1991. Ce dernier a été réalisé sur la majorité du territoire, hors Kosovo et une partie de la Macédoine. Bien que le contenu des recensements de population n’ait guère évolué dans le temps, de nouvelles questions sont insérées. D’autres recensements ou méthodes de dénombrement sont ajoutés au recensement de la population. En 1971, s’est ajouté au recensement de la population un recensement des logements. De plus, la même année, sont comptabilisées dans le recensement de la population, les personnes travaillant de manière temporaire à l’étranger. En 1981, une unité est ajoutée au recensement : les exploitations agricoles. Sur la même année, les membres de famille vivant avec les personnes qui travaillent temporairement à l’étranger sont pris en compte.
Il est important de prendre en compte, pour notre étude, que les données des recensements de 1981 et 1991 connaissent un risque de sur-dénombrement mais également de sousdénombrement. Le sur-dénombrement est lié au fait de comptabiliser les personnes vivant à l’étranger. La couverture incomplète des deux derniers recensements engendre un effet de sousdénombrement principalement de la population vivant dans de grandes agglomérations. La majorité de la population vivant au Kosovo ou en Macédoine est albanaise. Celle-ci a refusé de participer et de donner les informations nécessaires lors du recensement [SEKULIC L., 1996].
Le recensement était effectué à l’aide de questionnaires
Les recensements sont structurés à partir de différents thèmes. Pour le recensement de 1991, les thèmes sont:
Les individus : données démographiques (sexe, âge, état matrimonial…), données éducatives (degré d’instruction…), données sur les migrations (lieu de naissance…) et données économiques…
Les ménages : liens de parenté entre les membres du ménage…
Les logements : les conditions de logements des ménages. Considérés comme une unité de recensement depuis 1971.
Les unités dérivées.
La famille.
L’exploitation agricole : unité de recensement depuis 1981. Elle recense les informations sur les fonds agricoles, la capacité des exploitations agricoles…

Le recensement de 2011

Il s’est effectué entre le 1er et le 28 avril 2011, selon la situation au 31 mars 2011 à minuit. Il tient compte de la loi sur le recensement de la population, des ménages et des logements en République de Croatie de 2011 ainsi que de la Conférence des statisticiens européens de la population et des logements de 2010. Environ 17 000 personnes ont participé à la mise en œuvre du recensement. Les données du recensement de 2011 ne sont pas directement comparables à celles de 2001, en raison d’une modification de la définition statistique de la population totale. En effet, pour répondre aux normes internationales, celle-ci a dû être partiellement modifiée. (c) Le Kosovo.
Bien que son indépendance en 2008 soit contestée, son premier recensement a eu lieu en 2011.
Il s’est déroulé du 1 er Avril au 19 avril 2011 ; selon la situation du 31 mars 2011 à minuit.
Environ 5 200 personnes sont réparties par secteur pour couvrir l’ensemble du territoire. Des observateurs européens ont assuré le bon déroulement du recensement. Une partie de la population serbe a refusé d’y participer [MRDJEN S., 2013]. Seules les personnes pour lesquelles un questionnaire individuel a été complété sont prises en compte dans le total de la population du Kosovo. Lors du recensement, sont pris en compte sur une autre liste les ménages qui ont vécu plus d’un an à l’étranger.

La République de Macédoine

L’indépendance de la République de Macédoine date du 8 septembre 1991.
Depuis son indépendance, deux recensements ont été effectués l’un 2002 l’autre 2011. Ce dernier recensement n’est pas disponible.

Le recensement de 2002

Le recensement de 2002 s’est déroulé du 1 er au 15 novembre 2002, selon la situation du 31 octobre 2002 à minuit. Il a été effectué conformément à la loi sur le recensement de la population, des ménages et des logements dans la République de Macédoine de 2001 et selon les recommandations des Nations Unies et du Service statistique de l’Union Européenne (EUROSTAT).

Le recensement de 2011

Comme le suggère le règlement du Parlement européen du Conseil du 9 juillet 2008 sur le recensement de la population et du logement, les méthodes de collectes de données sont propres aux États membres de l’Union Européenne. La décision de la République de Slovénie est donc de baser sa méthode de collecte et de traitement sur les registres. Les registres sont une enquête statistique régulière traitée par l’Office Statistique de la République de Slovénie. Peu de pays européens basent leur recensement sur les registres. Comme nous l’avons dit précédemment, les registres sont quasi-inexistants ; c’est pourquoi très peu de pays élaborent leur recensement à partir des registres. Les pays qui fondent leur recensement sur des registres sont principalement des pays d’Europe du Nord : Danemark, Finlande, Pays-Bas, Islande… Baser son recensement sur les registres permet de réduire de manière considérable le budget nécessaire à un recensement traditionnel.

Les autres sources de données

L’état civil et les registres de populations sont les systèmes d’enregistrement les plus connus.
Les enregistrements découlent d’une inscription des principaux événements de la vie (naissances, décès, mariages, divorces). La qualité de l’enregistrement des naissances varie en fonction des pays, il peut être considéré comme parfait ou être inexistant. Il est obligatoire dans les pays développés. Dans le reste du monde, l’enregistrement peut ne pas être effectué de manière systématique, il peut être alors incomplet voire inexistant.
Le registre peut être défini comme un « répertoire général des personnes physiques » [CHESNAY J-C., 1990]. Bien que les registres soient la meilleure source de données pour suivre de manière constante les mouvements de populations, ceux-ci sont quasiment inexistants, et quand ils existent, ils sont loin d’être une source de données considérée comme parfaite.
L’enquête, contrairement aux autres données, répond à un objectif précis. Deux enquêtes peuvent traiter un même thème mais la manière d’aborder le sujet, le but, le budget requis et la taille de l’échantillon peuvent amener ces deux enquêtes à des résultats totalement différents. Il est intéressant d’utiliser les enquêtes pour avoir plus de détails sur un sujet.

Le traitement des données

Les données principalement utilisées sont la répartition par sexe et par âge des populations à différentes échelles : nationale, régionale et communale. Une fois, les données collectées, via les différentes sources présentées précédemment, un travail a été effectué afin de construire la base de données essentielle à notre étude.
La mise en forme des données sur les sites web des offices statistiques n’est pas uniforme. Elles varient selon les États et parfois même d’un recensement à l’autre. Un vaste travail de mise en forme a dû être accompli afin d’obtenir des données exploitables et uniformes pour construire notre base et pouvoir l’alimenter au fur et à mesure. Certains recensements sont disponibles sous forme de fichiers tableaux compatibles avec un tableur, tels que le recensement 2013 de la Bosnie-Herzégovine. Dans ce cas présent, le travail de mise en forme n’est pas très long. En revanche, d’autres données ne sont disponibles que dans des publications : c’est le cas pour le recensement de 2002, de la Macédoine. Dans ce cas, un travail d’extraction de données et d’uniformisation des données est nécessaire afin d’obtenir des données exploitables.
C’est le recensement yougoslave de 1981 qui a demandé sans doute le travail le plus important. En effet, celui-ci n’était pas représenté sous forme de tableau mais sous forme de texte. Les données présentes, dans ce fichier, portent sur la répartition de la population par sexe et par âge quinquennal jusqu’à 65 ans. Les données sont disponibles pour la Yougoslavie, pour les six Républiques (Bosnie-Herzégovine, Croatie, Macédoine, Monténégro, Slovénie et Serbie), pour les deux régions autonomes (Kosovo et Voïvodine), à l’échelle des municipalités et à l’échelle des localités. Dans le cas de notre étude, les données nécessaires sont celles à l’échelle des Républiques, des régions autonomes et des municipalités. Les données de la région autonome de Voïvodine ont été agrégées à celles de la Serbie.
Pour avoir des données utilisables il a fallu dans un premier temps exporter tout le document dans un tableur – malgré la fonction « convertir » du tableur – il n’a pas été possible d’obtenir un tableau correct sans effectuer des modifications manuellement. Par exemple, certains noms étaient dans le fichier texte sur deux lignes, il a fallu modifier ces noms à la main, afin d’avoir le nom complet dans une seule cellule. À propos des noms, les caractères spéciaux n’ont pas été pris en compte dans le fichier texte, il a également été nécessaire de rechercher quel caractère correspondait à quel accent. En parallèle il a fallu supprimer tout ce qui était superflu pour notre base. L’extraction des données à l’échelle des Républiques et des régions autonomes s’est fait assez rapidement. La tâche s’est avérée plus difficile pour les municipalités. En effet, il n’a pas été possible de se baser sur les noms des recensements plus récents, car dans la plupart des cas, les noms ne sont pas écrits de la même façon (problèmes d’accents, caractères spéciaux…). De plus, certaines municipalités ont changé de nom entre temps. Par exemple, la ville de Novi Travnik, située dans le canton central de la Fédération de Bosnie-Herzégovine, fondée en 1949,prit le nom de Pucarevo entre 1980 et 1992. Le découpage territorial a été revu à la suite de la guerre. C’est en Croatie, Slovénie et Macédoine que les modifications territoriales ont été les plus importantes, nous allons les étudier plus en détail par la suite.
Ainsi, nous avons dû procéder à une analyse des données et une recherche minutieuse pour différencier les municipalités des localités. En parallèle – de ce travail – chaque fond de carte est modifié afin qu’il corresponde à l’époque des données. Dans la partie qui suit, nous allons approfondir la méthode mise en place dans la représentation cartographique … au traitement cartographique

La méthodologie employée

La représentation cartographique permet d’observer la répartition spatiale d’un phénomène et s’il y a des structures spatiales du phénomène étudié, il est important de faire un bref point sur les différentes limites et difficultés de la cartographie.
Le MAUP (Modifiable Areal Unit Problem) met en évidence l’influence portée sur les résultats d’un découpage territorial. L’utilisation de différentes unités surfaciques peut engendrer des biais dans les résultats de l’analyse. Il existe ainsi une multitude de façons de découper l’espace ce qui entraîne des variations dans les résultats, Stan OPENSHAW définit cela par « l’effet de zonage » (1979). Pour limiter les différents biais liés au maillage, l’idéal serait d’utiliser un zonage propre à chaque étude [DOIGNON Y., 2011].
Ce zonage idéal est qualifié par Jean-Pierre LE GLÉAU de « zonage de savoir ». Il définit ce dernier par une mise en place de limites spécifiques à chaque étude. Il l’oppose au « zonage de pouvoir », appelé également zonage administratif ou zonage institutionnel. Celui-ci n’a pas pour vocation de servir dans une étude spécifique, il est plutôt créé dans le but de gérer et d’agir sur l’ensemble d’un territoire. Deux autres types de zonages existent le zonage d’intervention et le zonage d’action. Ce dernier permet de « gérer dans la continuité un type particulier de problème » [Le GLÉAU J-P, 1998, P.38]. Le zonage d’intervention permet quant à lui une délimitation d’intervention selon une réglementation afin de définir les zones qui peuvent percevoir certaines aides, telles que par exemple, les délimitations des parcs naturels…
Le concept de MAUP, exposé par OPENSHAW et Taylor en 1979, met en évidence un second effet : l’effet d’échelle. Les résultats d’une analyse varient en fonction du degré d’agrégation.
Les valeurs extrêmes sont alors gommées, les données sont lissées lors de l’agrégation des données.

L’élaboration de fonds de cartes

Les fonds de cartes utilisés pour cette étude sont issus du site Internet http://www.gadm.org, qui met à disposition des fonds de cartes pour chaque pays. Toutefois, nous ne connaissons pas la date des fonds de cartes disponibles. Ayant pour objectif de faire correspondre le fond de carte avec l’année des données étudiées, une recherche a dû être effectuée pour connaître la date du fond de carte et apporter les modifications nécessaires (agrégation ou désagrégation d’entités).
Pour créer les fonds de cartes de 1981, nous nous sommes appuyés sur le recensement de cette même année. Dans ce recensement, les données sont hiérarchisées : République ou régions autonomes, municipalités et localités. L’élaboration de la base de données nous a permis de recenser toutes les municipalités, ainsi grâce à cette liste, nous avons pu observer les différences entre le fond de carte et les données. Pour les communes présentes sur le fond de carte mais inexistantes dans le recensement de 1981, une recherche rigoureuse a été effectuée pour savoir s’il s’agit d’un changement de nom ou d’une nouvelle commune. Par la suite, un travail de jointure a été exécuté afin de pouvoir cartographier les données.

L’agrégation d’entités

Le maillage des municipalités des années 2000 est plus fin que celui de 1981 ; ainsi il a fallu agréger certaines entités afin d’obtenir le fond de carte adéquat à chaque période étudiée.

LE CONFLIT YOUGOSLAVE : À L’ORIGINE DE NOUVELLES FRONTIÈRES

Dans leur ouvrage Les conflits relationnels, Dominique PICARD et Edmond MARC définissent le conflit comme « une situation relationnelle structurée autour d’un antagonisme. Celui-ci peut être dû à la présence simultanée de forces opposées : à un désaccord, à une rivalité lorsque les acteurs souhaitent […] posséder le même objet (territoire…) » (P. 7).
La guerre peut être considérée comme un rapport de forces en présence sur le terrain ; c’est le cas pour une situation de guerre entre États ou au sein d’un État.
De manière générale, le conflit a des répercussions sur la dynamique et l’évolution des structures de population. En effet, lors de conflits les structures des populations sont modifiées par les pertes humaines : « Une guerre modifie la masculinité dans toutes les générations touchées par les mobilisations » [HENRY L., 1948]. Elles sont également modifiées par les migrations massives et inattendues, provoquées. Selon le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés, le nombre de personnes déplacées à cause de la guerre augmente, de 37,5 millions en 2005 à 59,5 millions en 2014.
La guerre d’ex-Yougoslavie est la plus meurtrière d’Europe depuis la Seconde Guerre Mondiale. Cette guerre est une succession de conflits violents sur l’ensemble du territoire yougoslave entre 1991 et 1995 et 1998-1999 pour le Kosovo. La mort de TITO – en 1980 – a affaibli la Fédération. C’est dans un contexte de fin de communisme – en 1991 – que la Fédération yougoslave éclate. Le résultat recherché par les différentes politiques est d’instaurer une continuité territoriale. Le moyen mis en place pour arriver à des « territoires ethniquement purs » [MOROKVASIC M., 1992] est d’effectuer une purification ethnique. Celle-ci passe par un nettoyage ethnique.
Cette notion de « nettoyage ethnique » est utilisée pour la première fois lors de la guerre de Bosnie-Herzégovine. Michel Roux, géographe français, définit le « nettoyage ethnique » comme une politique « d’homogénéisation nationale forcée d’un territoire par expulsion (et accessoirement massacre) des éléments jugés indésirables » [ROUX M., 1992]. Ce sont les populations civiles qui sont visées, celles-ci sont soit déplacées de force soit tuées. Dans le cas de la guerre de Yougoslavie, le nettoyage va à l’encontre de l’héritage laissé par les empires [GARDE P., 1994, P.79].
Cependant, cette volonté de purification de territoire se retrouve également en 1878. Celle-ci est plutôt d’ordre confessionnel qu’ethnique [GARDE P., 1994] Avant la guerre : une population pluriethnique répartie sur l’ensemble du territoire
Selon le dernier recensement yougoslave – en 1991 – la population était de 18 764 000. Lors de ce recensement, la population était libre de choisir son appartenance nationale, le territoire compte 19 nationalités. La figure 8 reprend les principales nationalités citées . Les « Yougoslaves »représentent les populations qui avaient choisi d’appartenir à la nationalité yougoslave.

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Table des matières
CARTE DE SITUATION 
REMERCIEMENTS 
AVANT-PROPOS 
INTRODUCTION 
CHAPITRE 1 
LE RAPPORT DE MASCULINITÉ : DÉFINITION ET TRAVAIL INITIAL 
I. LE RAPPORT DE MASCULINITÉ : UN OUTIL NÉCESSAIRE À L’ÉTUDE DE LA STRUCTURE PAR SEXE D’UNE POPULATION
II. LES DONNÉES ET LA REPRÉSENTATION CARTOGRAPHIQUE
CHAPITRE 2 
LE CONFLIT ET LES TRANSFORMATIONS DÉMOGRAPHIQUES 
I. LE CONFLIT YOUGOSLAVE : À L’ORIGINE DE NOUVELLES FRONTIÈRES
II. ÉVOLUTION DE LA POPULATION
CHAPITRE 3 
STRUCTURES ET DYNAMIQUES SPATIALES DE LA RÉPARTITION DE LA POPULATION PAR SEXE 
I. DU RAPPORT DE MASCULINITÉ GLOBAL INFRANATIONAL AU RAPPORT DE MASCULINITÉ PAR ÂGE À ÉCHELLE NATIONALE
II. UNE RÉPARTITION SPATIALE HÉTÉROGÈNE DES POPULATIONS LES PLUS JEUNES ET DES PLUS ÂGÉES
CONCLUSION 
TABLE DES ANNEXES 
BIBLIOGRAPHIE 
TABLE DES FIGURES 
TABLE DES CARTES 
TABLE DES TABLEAUX 
TABLE DES MATIÈRES

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