Stratégie pour une économie à forte croissance

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

Base de la croissance économique 

La base de la croissance économique a toujours évolué parallèlement avec l‟histoire de l‟humanité ; quelques soient les stratégies proposées par les différents pensé économique cela n‟est jamais sortie du cadre de ce qu‟est la richesse pour l‟homme. Ainsi suivant l‟histoire de l‟homme, la pensé physiocrate nait des thèses et de l‟article « Fermiers » in encyclopédie de Diderot de Quesney, F.il a démontré que la base de la croissance économique était l‟accroissement de la production du secteur agriculture. Cette pensé est comme une dérive de l‟histoire de l‟humanité depuis son apparition qui cherchait au départ à produire ce qu‟elle devait consommer et élever des animaux pour survivre. Avec la découverte des métaux précieux, les auteurs de la pensé mercantiliste tel Ortiz (1558) et John Law avait proposé que les métaux précieux tel l‟or ou l‟argent étaient la source de la richesse donc il était indispensable d‟en avoir le plus de stock possible. C‟est à partir de la pensé classique dirige par A Smith, Ricardo, Malthus, ont tous proposé que la croissance venait du travail, c‟est le temps incorporer dans la production d‟un bien qui procure la valeur à ce bien donc source de richesse. Les pensé qui se succéderont tous après admettrons que la valeur d‟un bien est en fonction de son utilité. Cette principe est la base de la pensé néoclassique même, donc pour avoir une croissance économique il faut produire des biens utiles à la population.

Les étapes de la croissance 

Dans les années 1950 le courant libéral considérait le sous-développement des pays du tiers monde comme étant un simple retard par rapport au pays développés et qu‟il devaient juste copier le modelé des pays développer pour rattraper cette retard et cette vision serra matérialisé par les travaux de l‟économiste américain Walt Whitman Rostow(Les étapes de la croissance économique :un manifeste anti-communiste,1960) qui affirmait que le processus de développement devait passé par cinq étapes : la société traditionnel dans laquelle la production est surtout agricole servant à l‟autosubsistance et les échange était rare ce qui provoquait une très faible croissance économique ou une stagnation de l‟économie ; les condition préalables au développement : phase dans laquelle les individués cherchent à s‟enrichir marque par le début de l‟industrialisation et la naissance d‟une commerce plus évolué, cette étapes fait surtout état de rapport des sociétés européenne du XVIème et XVIIème siècles ; le « take off » ou décollage qui est marqué par le début de la révolution industriel du pays et d‟en faire un pilier de l‟économie traduisant la transformation d‟une société dominé par l‟agriculture et l‟artisanat en sociétés commercial et industriel , ainsi le taux d‟épargne et d‟investissement se trouve grandement accrue, cette étapes fait référence à la révolution industriel européenne du XIXème siècles ; la marche vers la maturité : au cour du quelle le progrès technique est diffuser dans tous les autre secteurs économique et on commence à parlés de l‟accroissement des gains de productivités ; la phase final est la consommation de masse : le revenu et le niveau de vie de la population connait une croissance élève lui permettant une consommation de masse et l‟apparition du société de consumérisme. Pour Rostow le développement a donc un schéma bien défini qui doit passer par ces cinq étapes et l‟exemple type du pays ayant applique ce modèle est la Coré du Sud. Et Solow vas fortifier cette thèse selon laquelle le sous-développement est un simple retard dans son modèle de croissance où il prédit la « convergence » de tous les pays du monde vers l‟état stationnaire.
L‟économiste Alexander Gerschenkorn (Economic Backwardess in Historal Perspective, 1962) va donner une autre approche affirmant que l‟industrialisation des pays sous-développés peut ne pas se faire de la même manière que les pays développés et ne sont pas obligées de suivre les étapes de Rostow, car selon son approche le développement économique est avant tout « historique » et qu‟il est plus primordiale pour les PSD d‟importé les technologies moderne en provenance des pays avancés pour amorcé immédiatement la révolution industriel.

Le commerce international 

Initialiser par Adam Smith (Richesses des Nation), il avait déjà anticipé l‟indispensabilité pour un pays de commercer avec l‟étrange afin d‟en tirer une maximum de profit ; en se spécialisant selon le principe de l‟avantage absolu qu‟a un pays sur la production d‟un bien économique par rapport à d‟autre. Les travaux de Smith vas ouvrir la voie à David Riccardo (Des principes de l‟économie politique et de l‟impôt, 1817), qui vas démontrer et prôner la nécessité absolue de la libre échange du fait que l‟ouverture au commerce avec l‟étrange est indispensable pour la survie et le bien-être de l‟économie d‟un pays ; cette thèse de Ricardo sur le libre-échange et les avantages comparatif se fera prolonge par le théorème HOS3(Heckscher en 1919, Ohlin en 1933 et P.A. Samuelson en 1941, 1948 et 1949) qui transformera le libre-échange en commerce international, leur thèse étant que les PSD doivent se spécialiser dans un secteur où il possède une grande portion de facteur de production mais l‟avantage comparatif doit être présent dans ce secteur et que la spécialisation dans le commerce international est la route pour le développement et que contrairement au argument de Ricardo pour eux les écart de cout comparatif est due aux différences international de dotation. Jacob Viner (The Custom Union Issue, 1950) et Gottfried Von Haberler (Theory of International Trade, 1936) vont faire un nouvel prolongement des avantages comparatifs de Ricardo en affirmant que les PSD doivent se spécialiser plus précisément dans l‟exportation des produits primaire pour les PD. Le prolongement moderne se fera ensuite par Bella Balassa(1961), Anne Krueger et Jagdish Bhagwati(1971) pour la théorisation de l‟ouverture commercial des années 1980 proposé par la FMI et la BM ainsi que les IBW afin de venir en aide aux PED W. Leontiev(1953) vas démontrer que les produit exportés par les PED sont plus riche en facteur travail que capital ce qui conduirait à fausser le théorème HOS mais ses résultats final font finalement vont s‟avérer être un support à ce dernier car il avait conclu que les pays riche disposaient d‟une main d‟ouvre plus qualifié donc d‟une dotation factoriel plus élevé.

Les pionniers de l’économie de développement 

L‟approche d‟Artur Lewis sur le développement (Developement With Unlimite Supplies of Labour, 1954), est d‟une contribution majeur et sans doute la plus importante dans l‟économie de développement ; grâce à ses travaux il a fait de l‟économie de développement un domaine d‟étude spécialisé. Il explique le constat qu‟il existe dans l‟économie des pays sous développer qui est due à l‟existence d‟un dualisme5 entre le secteur primaire et secondaire: le secteur primaire peut productif détient une très grande partie des capacités de production et le secteur productif (notamment l‟industrie) n‟utilise que d‟une petite part de main d‟oeuvre ce qui fait que la croissance ne profite qu‟a une minorité de personne donc A. Lewis proposait qu‟il fallait rompre se dualisme en transférant les mains d‟ouvre du secteur traditionnel vers le secteur industriel productif et plus profileuse ; il préconisait(The Industrial Developement of the Caraibean, 1957) que les pays pauvre se spécialisent dans la fabrication des produits manufacturé en démontrons l‟avantage comparatif des pays disposant d‟un surplus de mains d‟ouvre dans la manufacturassions.
Au côté de Lewis se trouve Gunnar Myrdal (le drame de l‟Asie : Une enquête sur la pauvreté des nations, 1968 et Le Défi du monde pauvre. Un programme de lutte sur le plan mondial, 1970)) ayant travail sur l‟Asie du sud-Est pendant plus de 15 ans quand il s‟est engagé pour « Twentieth Century Fund », considéré lui aussi comme un des pionniers de l‟économie de développement, viendra défendre que pour pouvoir se développé les PED doivent d‟abord avant tout lutter contre les institutions qui rende la propagation du croissance apporté par les secteurs riche vers les secteurs pauvres à cause du libre jeu du marché et des institution archaïque non favorable aux développement et qu‟il fallait une reforme social. Ces analyse et nouveau concept apporté par Lewis et Myrdal implique que le développement n‟est pas qu‟une question de chiffre mais aussi socioculturel c‟est-à-dire que son blocage peut être d‟origine social ou c‟est la culture existante dans le pays même qui le bloque. Et Amartya Kumar Sen poursuivra en introduisant une dimension philosophique et morale au développement ( ) car étant un expert dans le domaine de la famine (Poverty and Famine:
Essay on Entitlement and Deprivation, 1981) il explique d‟abord que la famine est juste due à une incapacité à avoir axé au ressource de nourriture alors qu‟elle existe et que de la même maniéré même, si les stratégie de développement assure la distribution des ressources c‟est la capabilité des individués et de leur libertés à améliorer leur bien être et avoir accès aux ressources ; et que les stratégies de développements doivent éliminer les obstacle à la liberté des individués. Il a créé une méthode pour comparer le niveau de développement de diffèrent pays en introduisant cette fois les différents aspects du niveau de vie de la population et avec la collaboration du PNUD et la BM ils ont sorti l‟IDH.et la thèse de Myrdal sera prolongé par Douglas North (Institution, Journal of Economics Perspective, 1991) en confirmant et soulignant l‟importance des institutions favorables qui soutienne l‟économie afin d‟assurer une croissance propice pour tous les secteurs.

Le développement soutenable 

Le développement durable ou soutenable est la nouvel façon ou concept au quelle un pays doit se soumettre dans la recherche de sa croissance économique. En 1972 une conférence sur «l‟environnement humain » à Stockholm est organisée par l‟ONU et conduit à la création du PNUE et pose une nouvelle approche du développement « l‟écodéveloppement », mais ce n‟est qu‟en 1983 que l‟ONU crée une Commission mondial pour l‟environnement et le développement dirigé par la première ministre norvégienne Gro Harlem Brundtland qui dans le rapport « Our Common future » (notre avenir à tous) donne une définition assez complété du DD c‟est : « un développement qui répond aux besoins des génération du présent sans la capacité des génération s futures à répondre aux leurs ». Le DD a trois piliers, composantes fondamentale interdépendantes qui sont la dimension environnementale, sociale et économique ; elle doit donc être économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement tolérable. Elle doit à la fois avoir une équité intergénérationnelle : une distribution équitable des ressources entre les générations présente tout en privilégiant en priorité les plus démunies et une équité intergénérationnelle : prendre en compte le potentiel de développement de la génération future. Dès lors de sa création le volet écologique du DD a été repoussé et refuser par les PED en raison de la recherche de la croissance et du développement économique par l‟exploitation des ressources et richesses naturel minières, forestières, aquatiques ; depuis ses dernières années elle a connu une grande amélioration grâce surtout aux boycottages des PD dont l‟UE en tête de liste par contre le volet social et économique sont quelque peu oublier en l‟occurrence dans les PED.

Le commerce international comme base 

Inspirer par les études des avantages comparatifs et des principes de la théorie libérale certain pays va choisir de passé à une participation croissante dans le commerce international. Et les stratégies de développement ayant comme base le commerce international sont les stratégies de développement extraverti.
Les pays disposant de grande quantité de ressource naturel tel les gaz et le pétrole vont de leur cote favorise l‟exportation de ses produits en raison, de leur forte demande sur le marché mondial, c‟est donc une spécialisation dans l‟exportation des produits primaires et les ressources financières issue de ses exportation serviront à l‟achat des biens d‟équipements et cette stratégie vas faire le tremplin du développement économique pour les pays membres de l‟OPEP mais sera une échec pour les pays tel le Nigéria.
Les pays asiatique, Hong Kong et Singapour vont ouvrir un autre voie dans la spécialisation au commerce international dans les années 1950 en ouvrant la route pour la promotion aux exportation qui consiste en quelque sorte à écouler les production national sur le marché international au lieu de privilégier le marché interne du pays.il „agit de produire d‟abord des produits primaire ensuite de forme progressivement les mains d‟ouvre pour la fabrication des produits plus élaboré et de substitué les produits primaire aux produits plus élaborés avec la remonté de filière. La Corée du Sud et la Taiwan vas aussi l‟appliqué dans les années 1960 et formerons les quatre dragons ou les NPIA avec ses deux prédécesseur, et le Brésil, la Chili dans les années 80, la Chine et d‟autre pays qui formeront les nouveaux pays émergeant l‟adapterons aussi, ses pays en plus d‟une spécialisation dans le commerce international vont à la fois développer leur exportation et les IDE pour les transferts technologique.

Les PAS 

La crise de la dette dans la fin des années 80 à cause des emprunts faits par les PED au sein des organismes international qu‟ils n‟ont pas réussi à rembourse car les stratégies de développement sont très couteuse et certain nécessite un protectionnisme à l‟encontre des pays riche qui sont les sources de financement des pays pauvres va marquer le tournant du model libéral. Les IBW vont en effet choisir de d‟efface la dette des pays qui accepteront de suivre le modèle économique proposé par ses institution, l‟ensemble des conditions nécessaire, pour bénéficier de cette allégement de la dette en plus de déblocage de nouvel fond supplémentaire qui leurs seront accordé, est rédigé dans le consensus de Washington. En effet l‟analyse libérale considère que les stratégies de développement ont échoué à cause d‟une trop grande imprégnation de l‟Etat dans l‟économie et vont proposer le document cadre de politique économique qui serra le model appliqué par toutes les PED qui accepterons de roulé avec la BM et le FMI qui vont ajouter à leur objectif initiaux le faits de sortir les PED de la pauvreté. Les exigences des IBW sur les pays pauvres peuvent être résumées comme étant la libéralisation de l‟économie, la privatisation des industries et sociétés appartenant à l‟Etat et la dérégulation du marché. Mais les PAS vont être d‟un effet dévastatrice dans leur pays d‟accueil dans les années 90 car elles vont créer des hyperinflations et un plus grand écart social entre la population car elle va en effet creuser un fossé pour les pauvres et vont rendre la situation économie de ses pays plus désastreuse qu‟elle ne l‟est.

L’intégration économique 

Dans le but de promouvoir un développement homogène pour une région donné, car il est plus facile d‟avoir plus croissance sur une population, pays, continent riche. Les pays se trouvent sur un même territoire géographique donné ont créé une alliance afin donné la possibilité aux pays moins puissant que les autre de rattraper leur retard plus facilement. Cette technique serra appelé l‟intégration économique pouvant être définie comme le fait que plusieurs pays se regroupe pour développer le commerce entre eux dans le but d‟accélérer leur croissance économique et de crée une nouvel entité économique et politique à long termes ; connue aussi sous les termes de l‟intégration régional. Cette intégration présente diffèrent étapes qui sont : en premier lieu la mise en place d‟un zone de libre échange en supprimant les barrière tarifaire sur les droits de douane entre les pays membres ; ensuite l‟installation d‟une union tarifaire commune pour tout produits venant du reste du monde entrant sur la zone ; une union douanière qui est la mise en oeuvre d‟un même législation douanière concernant les produits autorisé à circuler sur les douanes et les procédures d‟exportation et d‟importation ; l‟installation d‟un marché commun entre les pays afin d‟assurer une libre circulation sans contrainte des hommes et des capitaux dans le but de rendre plus fluide les activité et échange économique entre les agents ; la mise en oeuvre d‟une union économique en appliquant une politique économique commune pour tous les pays membres, entrainant une examen de la politique que veut appliquer un pays par l‟ensemble de l‟union ; ensuite l‟utilisation d‟une politique monétaire commune, les pays utilisent une même unité monétaire dans leurs échange, une banque central commune, et la politique budgétaire d‟un pays doit être valider par l‟union avant son application ; enfin l‟étape final qui est l‟objectif absolue de la mondialisation, c‟est l‟union politique où tous les pays abandonne leur souveraineté pour crée une seul nouvel nation. L‟exemple types des pays ayant réussi leur développement grâce à cette technique sont les pays membres de l‟union européenne qui se trouve tous dans la liste des 50 pays les plus riche et développer du monde, tel le Danemark la France, l‟Allemagne,…Il y a aussi les pays de ASEAN qui sont actuellement membres presque tous membres des NPE tel les 5 dragons, , et la chine qui a pris la place du premier puissance économique mondial à la place des Etats Unis d‟Amérique en 20146. L‟ALENA aussi a grande favoriser le développement du Mexique car elle a fait passe son IDH de 1994 qui était de 0,67 à 0,762 en 2015 le placent au rang du 77 pays sur 188.
Mais cette stratégie n‟a presque eu aucune impact sur certain pays du monde, surtout les pays Africain en particulier l‟Afrique subsaharien car ils sont reste dans un niveau de sous-développement permanent, qui sont en partie due au grand nombre de communauté économique auxquelles ils font partie et que ces communauté veulent immédiatement sauter des étapes sans passé par d‟autre, tel est le cas de Madagascar et des pays de l‟Afrique central.

Réforme et priorité 

Afin d‟atteindre dans les délais les buts du Plan d‟Action de Madagascar une série de réforme et de stratégie ont été prévue :
– finance publiques : il s‟agit de faire atteindre une pression fiscale de 15% pour l‟année 2012 contre 10% pour 2005. Il a été constaté que l‟investissement du pays dépendait trop des bailleurs de fond d‟où il est nécessaire de faire une révision des lois sur la fiscalité pour augmenter les recettes publics.
– l‟investissement : afin d‟attiré plus d‟investisseurs il a été mis en place une loi qui sécurise les investissement en particulier pour les activité de soutien aux industries à vocation exportatrice, manufacturières, agro-alimentaire et minières.
– révolution agricole : pour assurer le développement rural il est indispensable de fournir des semences, engrais et les formation nécessaire au paysans pour augmenter leur production et productivités afin de satisfaire le demande local en produits agricole, surtout le riz ; et de renverse ensuite le tendance du pays en ce qui concerna les importation en le rendant en seulement quelque année en tant que pays exportateurs de produits agricole et de riz grâce à une révolution verte.
– sécurité publique : renforce la lutte contre les « dahalo » dans les zones rurales et le sud du pays pour garantir une meilleure sécurité à la population. Lutte contre les contre bandage des pierres précieuses, des bois précieux, des pêches illégales car il ne fond que détruire l‟environnement et pille le pays. Ce renforcement de sécurité profitera aussi au secteur touristique.
– planning familiale : le nombre d‟enfant par ménage trop élevé, recenser à 7à 10 enfants par ménage dans les zones ruraux, il faut réduire cette taille pour réduire les charge des parents et rendre le lutte contre le paludisme et le VIH/SIDA plus efficace. Dans cette voie il consiste à fournir une moustiquaire à chaque individu en 2ans, et d‟empêcher la propagation du VIH-SIDA car elle n‟est encore que de 1% contre 30% en Afrique du Sud.
– réforme du système judicaire : amélioré un système judicaire corrompue hautement corrompue en faisant des révisions des procédures et des lois pour renforcer la confiance du peuple Toutes ces réformes n‟ont qu‟un seule objectif, celle d‟une économie à forte croissance.

Stratégie pour une économie à forte croissance 

Pour une économie à forte croissance le MAP envisage l‟ouverture du pays à l‟économie mondial. Pour se faire le pays est passé à l‟intégration régionale, comme marque de première étape, en rejoignant divers Accords de Partenariat Economique ; ce qui nous rend membres des plusieurs organisations régionales tels le COMESA le SADEC, la COI… pour le commerce extérieur il s‟agit d‟abord du secteur agricole, textile et artisanal. Ensuite il y la sécurisation foncière et l‟amélioration de l‟accès aux crédits surtout pour les ménage à faibles revenue afin de doubler la production alimentaires pour assurer la sécurité alimentaire et de faire une diversification de culture pour se lancer dans l‟exportation pour les café, vanilles. La favorisation du développement du secteur miniers car selon les estimations elles peuvent contribuer à hauteur de 30% du PIB, pour cela la Lois sur les Grand Investissements Miniers a été adopter pour toute investissement dépassant les 200 millions de dollar ; ce qui ont attiré l‟exploitation de nickel et cobalt par le Sherritt à Ambatovy qui continue encore à produire jusqu‟à aujourd‟hui et d‟autre projet que nous ne citerons pas. Enfin l‟amélioration du secteur touristique en attirant de grande chaine hôtelières international et de redynamiser les PME et l‟artisanat afin d‟incité la transition du secteur informel vers le formel.

Les 3 secteurs principaux de l’économie 

Le secteur primaire pour l‟année 2000 représentait 31,9% de la valeur ajouté total crée par le pays, pour une total de 148,8 milliards d‟Ariary. Elle a connu une augmentation de 1% par rapport à l‟année précédente et une croissance de 4% pour l‟année à venir, qui est l‟une des plus hautes observées depuis plusieurs années et le restera pour les années à venir. Ce secteur est aussi le seul qui sera le moins impactée par les conséquences de la crise de 2002 car elle ne montrera qu‟une régression de l‟ordre de 1,3%. Ce secteur a surtout été épargne en raison du fait que plus de 80% de la population se trouve dans le secteur agricole et élevage et que la production est surtout vivrière, et aussi que la production agricole de l‟année est déterminé l‟année précédente en raison de la particularité de ce secteur et que ce sont les aléas climatique qui l‟influence le plus. Le secteur primaire est donc bien partie pour redémarrer un accroissement de sa production pour l‟année suivante car elle est la seule qui dépassera sa production en volume de 2001 même si sa croissance n‟est que très faible, pour la même année sa valeurs ajouté se situe à 154,8 milliards d‟Ariary avec une part de 32,66% du PIB, qui a connu une baisse car elle était de plus de 35% pour l‟année 2002. A partir de 2003 le secteur primaire vas toujours connaitre une croissance réel de 3,1%, 2,51%, 2,14% jusqu‟en 2006 par contre sa part de contribution à la richesse total crée par le pays ne fera que chuté aux détriments des deux autre secteurs. La valeur ajoutée crée par ce secteur au terme de l‟année 2006 est de 167,1 milliard d‟Ariary qui représente une croissance global de 12,3% par rapport à celle de l‟an 2000 et une croissance moyenne annuel moyenne annuel de 2,14%.
Pour le secteur secondaire, elle a connu une croissance de 8,14% en 2000 pour un total de 46,6 milliards d‟Ariary. Elle va continuer sa croissance pour 7,42% l‟année suivante mais sa part aux PIB est presque restée la même. Pour l‟année 2002 ce secteur sera le plus impacté par la crise en raison du peu d‟industrie qui existe dans le pays, sa valeur ajoutée va diminuer de 21,05%. Comme les autres secteurs d‟activités elle va enregistrer une augmentation pour l‟année suivante, croissance qui sera la plus faible pour ce secteur car elle n‟est que de 15% suivit de 6,51% et 2,9% pour les deux années qui suivent. Ce n‟est qu‟en 2006 qu‟elle va atteindre et dépassé sa production de 2001 grâce notamment à l‟industrie de boisons, pour atteindre un total de 62,7 milliards d‟Ariary, qui représente une croissance de 1,48%. Sur la période de 2000 à 2006, le secteur secondaire a connu une croissance globale de 19,79% et une moyenne annuelle de 3,06% d‟accroissement. Ce secteur est aussi la seule qui a vu sa part au PIB resté au même niveau de 11,5% pour sa part au PIB depuis la crise de 2002 à 2006.
Enfin le secteur tertiaire qui on le sait est le plus lucratif dans tout pays en voie de développement. Elle affichait déjà une croissance de 4,7% en 2000 pour un montant de 225,4 milliards d‟Ariary, et affichera une augmentation de 6,12% pour l‟année 2001 mais sa part PIB est par contre resté le même. Très touchés par la crise de l‟année qui en suit, elle affiche une dégradation de 15,05% et sa part y chutera à 47,1% par rapport au PIB. Ce secteurs d‟activités vas affichée une croissance de 10,63 et 5,96% pour les années qui vont suivre mais elle ne dépassera sa production en volume de 2001 qu‟en 2005 pour une croissance de 5,69% avec une valeur de 252,8 milliards d‟Ariary. L‟année 2006 elle va atteindre les 271,5 milliards d‟Ariary pour une croissance global de 26,15% par rapport à 2000, affichant un accroissement moyen annuel de 3,95% durant ses 6 ans. Sa part dans le PIB a repris sa place l‟année 2005 et ce secteur est aussi la seule à affiché une part croissante dans ce dernier dans la même période.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

CHAPITRE I REVUE DE LITTERATURE
Section I.1 La croissance économique
I.1.1.La croissance équilibrée
I.1.2.La croissance endogène
I.1.3.Base de la croissance économique
Section I.2 Théorie du développement
I.2.1.L‟analyse libérale du développement
I.2.1.1Les étapes de la croissance
I.2.1.2Le commerce international
I.2.2.D‟autre approche du développement
I.2.2.1.L‟analyse centre périphérie
I.2.2.2.Les pionniers de l‟économie de développement
I.2.2.3.Le développement soutenable
Section I.3 Un constat des stratégies de développements appliqué par les PED
I.3.1.Les stratégies basées sur l‟industrie
I.3.2.Le commerce international comme base
I.3.3.Les PAS
CHAPITRE II LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE
Section II.1 Mesure de la pauvreté
II.1.1.L‟indicateur par la revenue
II.1.2.L‟IDH
II.1.3.L‟IPH et l‟IPM
Section II.2 Les politiques de lutte contre la pauvreté
II.2.1.Les DSRP
II.2.2.Les aides monétaires
II.2.3.Les IDE
II.2.4.L‟intégration économique
CHAPITRE III MADAGASCAR ET LE MAP
Section III.1 présentations global
III.1.1.Présentation du pays
III.1.2.Présentation du MAP
III.1.2.1.Engagement
III.1.2.2.Réforme et priorité
III.1.2.3.Stratégie pour une économie à forte croissance
Section III.2 Impact du MAP sur l’économie
III.2.1Situation économique avant son utilisation
III.2.1.1PIB
III.2.1.2.Les 3 secteurs principaux de l‟économie
III.2.2.Situation économiques Sous le régime du MAP
III.2.2.1.Le produit intérieur brut
III.2.2.2.Les sources du PIB
III.2.2.3.Autre domaine de l‟économie
CHAPITRE IV DEBAT THÈORIQUE ET PROPOSITION
Section IV.1 débat théorique
Section IV.2 critique du MAP
IV.2.1.Construction du document
IV.2.2.Financement
IV.2.3.Exécution
Section IV.3 Suggestion
IV.3.1.La création monétaire
IV.3.2.Amélioration de la redistribution
CONCLUSION
Bibliographies

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *