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CONTEXTES GEOGRAPHIQUES ET ETUDE DE L’ENVIRONNEMENT
Madagascar est une île très étendue qui a une superficie de 587.041 km², sur une longueur totale de 1 500 km du Nord au Sud et une largeur de 600 km d’Est à l’Ouest. Elle se divise en six provinces autonomes dont nous trouvons : Diégo, Mahajanga, Toamasina, Antananarivo, Fianarantsoa et Tuléar. Ceux qui ne cessent pas d’évoluer, de développer pour améliorer l’économienationale.
Donnée de base géographique et démographique
Soucieux des problèmes politico-économiques qui ontsubi dernièrement notre pays, le promoteur bâtit l’Entreprise à Antananari vo, là où l’on trouve beaucoup de véhicules roulants et même une grande partie des voitures de la province passent par Antananarivo. Ne serait ce que d’aller d’une provin ce à l’autre pour affaire ou pour une visite familiale, évidement pour réparer. Donc nousavons choisi l’emplacement du Centre dans le Fokontany d’Ankazomanga, il a une superficie de 2.500m² et qui est au bord de la route nationale n°4, reliant Antananariv o – Mahajanga.
Etude de l’environnement
Nous avons indiqué à plusieurs reprises, l’importance pour l’Entreprise d’une bonne compréhension du monde qui l’entoure. C’est l’une des responsabilités majeures d’un promoteur de surveiller en permanence l’enviro nnement afin d’y détecter de nouvelles possibilités.
De nos jours, nous vivons justement une époque de grands changements due à des nouvelles réalisations scientifiques et techniques toujours plus performantes cela signifie que l’environnement change à tout instant, celui d’hier ou d’aujourd’hui ne pourra pas forcement être le succès ou la vie du lendemain.
L’Entreprise évolue avec ses fournisseurs, ses intermédiaires, ses clients, ses concurrents et ses publics.
Les macro- environnements sont composés des facteurs incontrôlables aux quels le centre doit s’adapter.
On doit étudier les critères de l’environnement :
– Environnement démographique
– Environnement économique
– Environnement technologique
– Politique sectorielle
Environnement démographique
On a obtenu les renseignements auprès de l’INSTAT qu’il y a un accroissement tangible de la population et les besoins ou les demandes non plus ne cessent d’augmenter pour le rapport population automobile car la motorisation est un facteur vital au quotidien de l’humanité.
Environnement économique
D’après le D.C.P.E (Document Cadre de Politique Economique), le gouvernement a défini au début de l’année 1994, unestratégie pour la libération de l’économie, en particulier des produits alimentaires, des transports, des télécommunications et les secteurs du pétrole.
Dans presque tous les domaines, l’économie exerce aujourd’hui une influence importante, ainsi qu l’étude de l’environnement économique, est basé sur les informations du revenu, du pouvoir d’achat, de l’épargne de la population. Cette étude permet d’évaluer le prix du service vendu sur le marché.
Environnement technologique
Si on veut s’introduire dans le monde professionnel, il faut que nous soyons à la hauteur de l’évolution technique qui se déroulera de plus en plus vite. La société doit y faire face et pour être supérieure à ses concurrents devra se préoccuper dès à présent des problèmes ou des projets futurs.
C’est par cette voie seulement qu’elle pourra présenter des solutions justes et adoptées au marché selon ces nouvelles tendances.
Pour cela, elle doit avoir une banque d’information sur les tendances générales, les événements ou évolutions futures et faire un anningpl anticipé car l’évolution technologique est vitale pour l’Entreprise.
Politique sectorielle
D’après la période de crise économique et politiqueenregistrée de 1990 à 1993, le gouvernement Malagasy a fait connaître les nouvelles options envisagées destinées à relancer les activités de l’économie nationale dans tous les domaines.
Reconnaissant qu’un secteur des transports efficients est indispensable pour le développement de toutes activités économiques.
Donc, il est nécessaire que le matériel de transporutilisé soit entretenu et bien réparé.
ETUDE DE MARCHE
A l’exemple de la connaissance qui ne se limite plus aux simples lettres échangées, elle a évolué aux télécommunications trèrapides par satellite.
La vitesse n’est plus aux deux roues mais à réacteurs ou encore les archives ou les stocks ne sont plus sur registre manuscrite mais mémorisés sur ordinateur.
L’essor atteint aussi le secteur commercial qui se tient toujours prêt à satisfaire les moindres besoins des consommateurs par collecte d’informations sur un tel ou tel produit ou service qui répondent à leurs aspirations.
Donc la création de ce centre de réparation automobile nécessite avant tout une étude de marché qui consiste à collecter beaucoup d’informations dont l’analyse est utile au promoteur. De celles-ci nous pouvons déterminer soit les stratégies nécessaires ou les décisions à prendre. L’Etude de marché est très vitale pour l’entreprise, dicte l’exécution de son potentiel de développement, permet de prévoir, limiter et annuler les risques d’échecs que le centre peut courir.
LE DEROULEMENT DE L’ETUDE
Le déroulement de l’étude de marché est l’étape leplus délicate à réaliser, elle impose souvent de formuler un véritable diagnostic marketing, afin de construire le projet d’étude.
Puisque nous avons déjà énoncé que l’étude de marché est un moyen utilisé par l’entreprise pour collecter des informations.
Il y a deux techniques de recherche d’informations :
– l’étude documentaire ;
– l’étude sur terrain.
L’étude documentaire
L’étude documentaire est une étude secondaire menéeà partir des informations existantes, disponibles auprès de sources diverses : Administrations, organismes parapublics, syndicats professionnels, sociétés d’études, presses spécialisées, banque de données…
Nous avons fait cette étude auprès du Ministère desTravaux Publics sur la densité du trafic national surtout à Antananarivo, et l’état de l’infrastructure routière à Madagascar.
De cette étude dégage ce constat : Plus la route est bonne, large, bitumée plus il y a d’accidents de circulations entraînant chocs et heurts endommagent surtout le châssis – carrosserie, ou aussi des éléments mécaniques, quand au moteur il est même bonifié et préservé, l’usure pneumatique plus rapide. Si la route est secondaire, ce sont les éléments mécanique qui soufrent des trépidations (crémaillères, bras, roulement, suspension, transmission) les nids de poules affectent le moyen, les rotules, les amortisseurs, les pneus, etc.
L’embouteillage endommagé l’organe du moteur par surchauffe comme la culasse et son joint, le radiateur peut s’éclater, le thermostat de refroidissement détérioré donc absence de ventilation du moteur.
Au Centre Immatriculation du Faritany d’Antananarivo nous a permis qu’il serait très difficile de dénombrer exactement le parc roulant d’Antananarivo car la voiture est toujours en mouvement, au cours de sa vie, elle peut être immatriculée deux ou trois fois dans la capitale après deux ou trois immatriculations en province. Mais on l’estime à 80.000 voitures si on tient compte de l’ INSTAT énonçant qu’en 2004 7% des ménages d’Antananarivo possèdent chacune une voiture particulière et c’est dans la capitale qu’on rencontre le plus de voitures.
Etude sur terrain
L’étude sur terrain est toute recherche d’information à caractère qualitatif et quantitatif n’ayant pu être obtenu par une source documentaire et devant faire l’objet d’une observation spécifique d’un ou plusieurs groupes d’intervenant sur le marché.
Etude qualitative
L’étude qualitative permet de connaître, en réponse aux attentes des consommateurs leurs motivations, leurs attitudes et même leurs comportements vis-à-vis de la qualité de service offert. 100% des personnes interrogées dans le courant du mois d’Août dernière l’ont observé, elles ont affirmé que bonne finition est égale survie et prospérité, 70% ont précisé une bonne finitionansd le délai de service convenue. 30% ont demandé le rapport suivant.
Moindre coût mais bonne qualité finale (que le coûtsoit moindre ou élevé, la qualité doit être toujours à la hauteur du prestigedu centre). On dit que « l’amour est beau et qu’un travail bien fait l’amour rendu visib le »
L’étude qualitative présente aussi quelque spécifitéc que nous allons brièvement présenter.
Test du produit ou de service
Des propriétaires des voitures peuvent tester notreservice, en visualisant notre savoir-faire, notre sérieux; pour qu’il puisse juger notre service à ses manières. Nous acceptons les critiques positives pour rectifier tout défaut, erreurs et améliorés tout ce qui est moyen.
Dans ce cas, ils peuvent valoriser notre existence, notre compétence pour les rassurer et rendre une naissance de confiance entre nous et les propriétaires de voitures.
Entretien
Il est important de chercher à nouer des contacts a vec des personnes ayant rapport à notre activité pour un échange d’idées oude conceptions et dont l’entretien pourra apporter une donnée nouvelle intéressante oucapitale. Ces points de vue exprimés permettent aussi de vérifier la véracitée dcertaines informations. D’un entretien les questions ouvertes sont très efficaces pour glaner un maximum d’informations.
Etude quantitative
C’est la recherche d’information chiffrée elle est nécessaire pour décrire une situation et la préciser. Cela permet d’analyser les résultats d’une action pour établir une prévision et prendre une décision. Nous allons effectuer une enquête par sondage dans TANA ville et nous pouvons interroger 200 personnes concernées notre étude.
Donc pour avoir des informations fiables, l’étude comprend 4 phases :
Délimitation de la base de sondage (1re phase)
La base de sondage correspond à la population mère concernée par l’étude du marché. Elle est composée d’éligibles, c’est-à-direde personnes susceptibles d’être interviewées parce qu’elles ont les caractéristique définies par l’objectif de l’étude.
Un échantillon est un groupe d’éligible que l’on extrait de la population mère en utilisant une méthode de tirage.
La délimitation de la base de sondage n’est pas aussi simple qu’il y parait au premier abord. Une erreur à ce niveau biaise les résultats ultérieurs. Cela peut être catastrophique pour une population donnée, alors que dans la réalité on a l’extrait d’échantillon d’une autre population, différente de celle recherchée au départ. Les généralisations faites seront erronées.
Tirage de l’échantillon (2e phase)
On ne peut pas interroger toute la population mère on prend quelques échantillons dans certaines localités d’Antananarivo. C’est le cas de sondage par quota que le centre a utilisé, celui-ci consiste à reconstituer une population mère miniaturisée au sein de l’échantillon et qui sera considérée come présentatif de la population mère.
Elaboration du questionnaire (3e phase)
La construction d’un questionnaire relève une méthodologie précise. Pour pouvoir connaître les attentes ou les besoins des propriétaires de véhicules, il faut les enquêter par le biais d’un questionnaire bien formulé pour que les personnes interrogées puissent répondre facilement à nos questions. Nous utilisons deux sortes de questions.
Les questions ouvertes sont des questions sans propositions de réponses mais on laisse l’interlocuteur s’exprimer librement de f açon détaillée.
Les questions fermées: elles proposent un choix de réponses à la personne interrogée.
Le dépouillement (4 phase)
Le dépouillement des questionnaires sert à obtenir les résultats pour pouvoir disposer des informations recherchées. Le centre peut tirer des avantages sur ces résultats, en jugeant les avantages de prendre lesdécisions qui en découlent.
ANALYSE DE L’OFFRE
La concurrence au niveau du marché évolue rapidement dans la capitale car beaucoup d’étudiants ont embrassé la filière technique surtout automobile, Tana est une ville composée à fortes proportions de jeunes. Vu le nombre de voitures circulant à Tana, les plus nantis et fraîchement émoulus ouvrent leurs garages de réparations, ceux là s’ajoutent aux autres garagistes concurrents qui font un total de 150 garages.
Le centre espère la part de marché à sa taille c’est-à-dire offrir la réparation d’un lot qu’il peut entreprendre selon sa possibili té.
Si on tient compte des périodes de vaches maigres,en moyenne un garage peut réparer 5 voitures par jour pour des travaux rapides. Dans un mois il peut réparer 6 à 7 voitures et redresser 3 à 4 fortement endommagées en plus de 5 à révisionner mécaniquement: en un mois, 14 à 16 voitures peuvent sortir réparées d’un garage.
Le centre ambitionne d’égaler ou surpasser ces produits finis mais à son début nous nous contentons de finir 6 retapages complets, 2 voitures fortement endommagées, ajoutées de 4 autres réviser et réparer mécaniquement. Pour les travaux rapides nous pourrions recevoir 4 ou 5 voitures par jour.
ANALYSE DE LA CONCURRENCE
L’analyse des actions des concurrents est la condition préalable pour la stratégie de notre société. Elle nous permet de mesurer leurs propres forces ou leurs propres faiblesses. Nous devons juger d’une façon t rès réaliste les points forts et les points faibles de nos concurrents, leurs potentiels et leurs objectifs actuels ou futures et d’agir en conséquence: orienter sa stratégie dans al direction où les concurrents sont les plus faibles pour en faire notre arme, puis ne pas imiter simplement ses forces mais les dépasser en les améliorant.
Avant toute action commerciale ou exploitation, on doit identifier qui et où sont ses concurrents, directs ou indirects.
Identification de la concurrence
Puisque nous serons nouveaux dans le secteur l’identification de la concurrence, les entreprises déjà existantes, est très importante pour le centre. Pour cela, nous devons au préalable nous informer de leur force et de leur faiblesse par établissement d’une enquête. Après discernement deleur réalité nous pourrions établir et tracer une autre ligne d’action nous menant dans la réussite et la survie du projet.
Etant donné qu’Andraharo est ses environs sont presque des zones industrielles multinationales. Nous ne citerons pas ici les industries textiles et autres y implantés mais nous nous contenterons de cibler nos concurrents; les réparateurs automobiles tels que MADAGASCAR AUTOMOBILE, SODIAMA, OCEANTRADE, SICAM, LANDIS, MATERAUTO, …
Elles sont presque toutes concessionnaires de grandes marques Automobiles mais dotées aussi chacun d’un garage de réparation.
Tandis qu’AREMEC, AMECA, ATELEMEC, FRAISE sont spécialistes en Tour et Fraise ou Electricité automobile.
A part ceux là, il y a aussi des garages comme VATO MANGA, ARMETO, MANDA, ROGER, etc.…, on ne peut pas tous les citer car ils sont très nombreux.
Mais en marge de tous ceux qui font office de garage, il y des ouvriers spécialisés en tout genre. Ils sont experts soit mécanique, en tôlerie, en électrique auto ou simplement réparateurs d’accessoires tels que plaquettes de frein, radiateur, amortisseurs, pare-chocs en plastique, batteries, vulcanisateurs, capitonneur.
Nous venons de faire le tour du monde de réparationautomobile, mais pour ce qui est de nos concurrents directs, ce sont les vrais garages PME comme nous qui font la réparation complète sans les pneumatiques ou lescapitonnages.
Identification des stratégies de la concurrence
Le succès et pérennité dans une entreprise commerciale ou de service dépendent beaucoup de l’analyse avec justesse de ceux qui sont considérées comme concurrents importants directs ou indirects de « GARAGE LAFATRA » que nous les avons cités ci-dessus. Mais quelles sont leurs ressources et leurs compétences ?
* Premièrement, les grandes firmes étrangères et leurs garages :
Ce sont des concessionnaires qui ont obtenus de leurs firmes mères, les droits et privilèges exclusifs dans la vente de leurs voitures, pièces détachées et accessoires y afférentes dans une autre région ou dans un autre aysp tel Madagascar.
Ils sont aussi distributeurs exclusifs, des pièces et accessoires adéquats à leurs marques, aux détaillants de pièces détachées dansoute l’île.
Ils ne se contentent pas d’être représentants vendeurs mais ils ont étendus leurs activités dans la réparation et l’entretien de leurs marques de voitures respectives et exclusives.
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Table des matières
INTRODUCTION
Première partie : IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I : PRESENTATION DU PROJET
Section 1 : Historique
1.1. Caractéristique du projet
1.1.1 Nature de l’activité
1.1.2. La définition de l’automobile
1.1.3. Intérêts du projet
1.1.4 Objectif du projet
1.2 Statut juridique
1.2.1 Forme juridique
1.2.2 Dénomination de la société
1.2.3 Capital social
1.2.4 Statut des associés
1.2.5. Obligations du gérant
Section 2 : Contextes géographiques et étude de l’environnement
2.1 Donnée de base géographique et démographique
2.2 Etude de l’environnement
2.2.1 Environnement démographique
2.2.2 Environnement économique
2.2.3. Environnement technologique
2.2.4 Politique sectorielle
CHAPITRE II : ETUDE DE MARCHE
Section 1: Le déroulement de l’étude
1.1 L’étude documentaire
1.2 Etude sur terrain
1.2.1 Etude qualitative
1.2.1.1 Test du produit ou de service
1.2.1.2 Entretien
1.2.2 Etude quantitative
1.2.2.1 Délimitation de la base de sondage (1re phase)
1.2.2.2 Tirage de l’échantillon (2e phase)
1.2.2.3 Elaboration du questionnaire (3e phase)
1.2.2.4 Le dépouillement (4e phase)
Section 2: Analyse de l’offre
Section 3 : Analyse de la concurrence
3.1 Identification de la concurrence
3.2 Identification des stratégies de la concurrence
3.3. Les objectifs de la concurrence
3.4.1 Evaluation de leurs forces et de leurs faiblesses
3.4.1.1 Etude de la force des concurrents
3.4.1.2 Etude de la faiblesse des concurrents
Section 4 : Analyse de la demande
4.1 Détermination des cibles
4.2 Les besoins
4.3 Motivation
CHAPITRE III : THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS ET LES CRITERES D’EVALUATION
Section 1 : Les outils d’évaluation
1.1 La Valeur Nette Actualisée(VAN)
1.1.1 La définition
1.1.2 Formule
1.1.3 Interprétation
1.2 Le Taux de Rentabilité Interne(TRI)
1.2.1 Définition
1.2.2 Formule
1.2.3 Interprétation
1.3 Le délai de récupération des capitaux investis (DRCI)
1.3.1 Définition
1.3.2 Formule
1.4. L’indice de profitable(IP)
1.4.1 Définition
1.4.2 Formule
1.4.3 Interprétation
Section 2 : Les critères d’évaluation du projet
2.1 La pertinence
2.2 L’efficacité
2.3 L’efficience
2.4 Durée de vie du projet
2.5 L’impact du projet
Deuxième partie : CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : TECHNIQUE DE PRODUCTION
Section 1 : Le site d’implantation du projet
1.1. Localisation
1.2 Raisons du choix d’implantation
1.3. Impact sur l’environnement
Section 2 : Travaux de constructions immobilières
2.1. Terrain
2.2 Construction immobilière
Section 3: Identification des matériels
3.1 Le matériel pour tôlerie
3.2 Le matériel pour peinture
3.3 Le matériel pour les réparations des organes mécaniques
3.4 Le matériel roulant
3.5. Les matériels informatiques et bureautiques
CHAPITRE II : ETUDE ORGANISATIONNELLE
Section 1 : Organisation interne
1.1 Structure organisationnelle
2.1 Structure fonctionnelle
1.2.1 Organigramme de la société
1.2.2. Description des tâches
1.3 Effectifs du personnel
Section 2 : Production envisagée
2.1 Les différents services de production
2.2 Description de la production envisagée
2.3. L’organisation de la production dans les ateliers
2.4. Planning de production
2.5 Organigramme des actions
Section 3 : Le chronogramme
3.1 Le chronogramme de l’année 1 ou démarrage
3.2 Le chronogramme de production envisagée
CHAPITRE III : LA STRATEGIE MARKETING
Section 1 : Marketing mix
1.1 Politique de produit
1.2 Politique de prix
1.3 Politique de distribution
1.4 Politique de communication et de promotion
1.4.1 La communication
1.4.1.1. La publicité médiatique
1.4.1.2. La publicité hors média
1.4.1.3. La force de vente
1.4.2 La promotion
1.4.2.1. Promotion par prix
1.4.2.2. Promotion par service
Section 2 : Stratégie adoptée par le centre de réparation automobile
2.1 Positionnement
Troisième partie : ETUDE FINANCIERE
CHAPITRE 1 : LES COÜTS DES INVESTISSEMENTS
Section 1 : Les investissements nécessaires
1.1 Immobilisation
1.1.1Terrain
1.1.2 Construction
1.1.3 Matériels et outillages
1.2. Frais d’établissement
1.3 Matériel de transports
1.4 Matériel informatique et bureautique
1.5 Investissements industriels
Section 2 : Amortissement
2.1 Le processus d’amortissement
2.2. Tableau d’amortissement
2.2.1 Amortissement financier
2.2.2 Amortissement des immobilisations
Section 3 : Le plan de financement
3.1 Le fonds de roulement initial
3.1.1 Autres charges d’externes
3.1.2 Les charges du personnel
3.1.3 Approvisionnements
3.2. La répartition du plan de financement
3.3. Tableau de remboursement de l’emprunt
Section 4 : Les comptes de gestion
4.1. Les produits
4.1.1. Recette de l’année1
4.1.2. Les recettes pendant 5ans
4.2. Les charges
4.2.1. Les achats des matières consommables
4.2.2 Les charges du personnel
4.2.3. Les charges externes et les charges d’exploitation
4.2.4 Les charges financières
4.2.5 Les fournitures de bureau
4.2.6. Les dotations aux amortissements et provisions
4.2.7 Impôts et taxes
4.2.8 Récapitulation des charges
CHAPITRE II : ETUDE DE FAISABILITE
Section 1 : Compte de résultats prévisionnels
Section 2 : Tableau de la grandeur caractéristique de gestion ou TGCG
Section 3 : Bilan prévisionnel
3.1. Le bilan d’ouverture de la société
3.2. Le bilan prévisionnel de l’année 1
3.3 Le bilan prévisionnel de l’année 2
3.4 Le Bilan prévisionnel de l’année 3
3.5 Le bilan prévisionnel de l’année 4
3.6 Le bilan prévisionnel de l’année 5
Section 4 : Plan de trésorerie
CHAPITRE III : EVALUATION ET IMPACTS DU PROJET
Section 1 : Evaluation économique du projet
1.1. La valeur ajoutée
1.2. Les Ratios d’activités
1.2.1. Productivité de travail
1.2.2. L’efficacité de l’investissement
1.2.3. Ratio de l’excédent brut d’exploitation
1.2.4. Ratio du résultat
Section 2 : Evaluation sociale
Section 3 : Evaluation financière
3.1 Selon les outils d’évaluation
3.1.1 La valeur actualisée nette (VAN)
3.1.2 Le taux de rentabilité interne (TRI)
3.1.3 L’indice de profitabilité
3.1.4 Le délai de récupération des capitaux investis
3.2 Selon les critères d’évaluations
3.2.1 Pertinence
3.2.2 Efficience
3.2.3 La durabilité du projet
Section 4 : Les impacts du projet
4.1 Les impacts économiques
4.2 Impacts sociaux
4.3 Impacts Financiers
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
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