Société, environnement et état sanitaire au Néolithique récent

Le Midi méditerranéen

   En France, il existe quelques hypogées dans le Midi méditerranéen, où trois groupes géographiques se distinguent ; l’un se trouve en Languedoc oriental, l’autre en Basse Provence, dans la région d’Arles, et le dernier dans le nord du Vaucluse et la Drôme méridionale. En tout, ce sont une vingtaine de cavités artificielles qui se répartissent de part et d’autre de la Basse vallée du Rhône. Le Languedoc oriental rassemble une dizaine d’hypogées, peut-être plus, localisés à l’ouest de la vallée du Rhône, entre les départements du Gard et de l’Hérault, de la vallée de l’Ardèche à celle de la Mosson. Creusées dans des grès tendres et des sables consolidés, ces tombes à la superficie inégale (de quelques m2 à une vingtaine de m2 ) offrent un plan irrégulier comprenant un couloir, ou exceptionnellement un puit d’accès (Aiguèze), conduisant à une salle unique vaguement circulaire ou rectangulaire, ou bien à une chambre principale ouvrant sur une à deux salles aux dimensions plus réduites (hypogées du Devois de l’Estang et des Pujols à Tresques ; Colomer, 1979). Les plus anciennes de ces tombes remonteraient au Néolithique final, au groupe de Ferrières (Serre de Bernon), mais certaines ont livré uniquement du mobilier plus tardif, attribuable au plein Âge du cuivre, au faciès Fontbouisse (Devois de l’Estang, Pioch Redon) ; elles ne connaîtront pas d’occupations postérieures. La condamnation des couloirs d’accès, comblés par des pierres, marque la fin de leur utilisation. Les hypogées d’Arles, quatre monuments aussi connus sous le nom d’hypogées de Fontvieille, sont des tombes uniques dans tout le sud de la France, à la fois par leurs qualités architecturales et leurs dimensions imposantes. Ces monuments, parfois qualifiés de pseudo-hypogées, se singularisent par une architecture hybride, empruntant des éléments propres aux hypogées, aux allées mégalithiques et aux dolmens. En effet, la chambre funéraire, excavée dans la roche, se présente sous la forme d’une galerie très allongée (10 à 25 m), rectangulaire ou en léger trapèze, couverte de dalles mégalithiques. Précédée d’un long couloir d’accès en pente ou en escalier, elle prenait en outre place au centre d’un imposant tertre circulaire aujourd’hui en partie disparu (Arnal et al., 1953 ; Guilaine, 1998, 2003, 2015). Les hypogées d’Arnaud-Castellet, de la Source et de Bounias, tous trois situés sur la colline du Castellet, partagent des dimensions proches : de 16 à 20 m séparent le début du couloir du fond du caveau et la chambre funéraire proprement dite se développe sur une longueur de 10 à 12 m, pour une largeur de 2 m environ. Le quatrième monument, aménagé au sommet de la montagne de Cordes, est de loin le plus imposant. Cet hypogée, appelé grotte des Fées ou Épée de Roland, offre un plan proche des précédents mais ses dimensions en sont doubles. D’une longueur totale de 42 m, le monument comprend un couloir d’accès en escalier de 10 m de longueur, conduisant à une antichambre longue de 9 m qui communique elle-même, par l’intermédiaire d’un couloir de 5 m de long, avec une galerie de 25 m de développement, 3 m de largeur et 4 m de hauteur. L’ensemble était recouvert d’un tertre d’environ 70 m de diamètre. Outre son monumentalisme, l’autre singularité de ce monument est qu’il semble n’avoir jamais livré aucun reste humain ni mobilier. Sa vocation funéraire est donc – légitimement – encore discutée (Arnal et al., 1953 ; Guilaine, 1998). En revanche, celle des tombes du Castellet ne fait aucun doute, même si leur fonctionnement reste largement méconnu, leur contenu ayant été vidé sans ménagement au XIXe siècle. Les vestiges recueillis alors, poteries et autres artefacts, se rattachent pour les plus anciens au Néolithique final (groupe de Ferrières), mais ces tombes ont connu une utilisation prolongée, sinon des réutilisations ponctuelles, jusqu’à l’époque campaniforme (Guilaine, 2003, 2015). Enfin, le Nord du Vaucluse et la Drôme méridionale rassemblent un petit groupe de neuf cavités artificielles, excavées dans des collines molassiques (Courtin, 1974 : 177-184). Minées par l’érosion et mutilées par les terrassements, la plupart de ces tombes ont vu leur plafond s’effondrer et leur entrée détruite, de sorte que seule leur morphologie générale est connue. Il s’agit de monuments à chambre unique, de plan rectangulaire ou ovale, aux dimensions très variables : aux 12 m2 de la tombe des Boileau à Sarrians (Vaucluse ; Mahieu, 1987) s’opposent les 130 m2 de surface originelle de l’hypogée du Capitaine à Grillon (Vaucluse), le plus vaste monument de ce type connu en France (Sauzade, 1983). Moins étendu, quoique d’une superficie peu égalée, l’hypogée des Crottes (Roaix, Vaucluse) atteignait environ 40 m2 et celui de Perpétairi (Mollans, Drôme) près de 50 m2 (Courtin, 1961, 1974 : 177 sqq.). Ces tombes semblent avoir vu le jour à la charnière entre le IVe et le IIIe millénaire, mais certaines ont fonctionné durant le Chalcolithique (Roaix, Sarrians) et, exceptionnellement, jusqu’à l’époque campaniforme (hypogée de Perpétairi ; Guilaine, 2003).

Une exceptionnelle concentration de tombes

   Les hypogées de la Marne forment un groupe d’environ 150 cavités artificielles, creusées dans la craie locale (Crétacé), qui occupent le piémont oriental de la Côte d’Île de France, entre Reims et le sud-ouest de l’actuel département de la Marne. Les hypogées se répartissent en deux zones géographiques principales formées l’une par la région des marais de Saint-Gond et l’autre par la Côte des Blancs. La plus grande concentration, qui rassemble quelques 120 hypogées, est située sur un territoire peu étendu circonscrit par les collines dominant les marais de Saint-Gond et la vallée du Petit-Morin, seule rivière assurant le drainage des marais (Fig. 4). Les tombes ont été creusées à flanc de coteau sur les reliefs formant les bordures septentrionale et méridionale de cette vaste zone humide et tourbeuse, qui s’étend actuellement sur 20 km d’est en ouest, pour une largeur maximale de 3 km environ. Dans cette aire géographique, les tombes sont le plus souvent rassemblées au sein de véritables nécropoles, dans lesquelles les monuments, qui sont très rapprochés les uns des autres (de l’ordre de quelques mètres), s’organisent suivant des rangées étagées suivant la pente du terrain (Le Razet à Coizard ; Fig. 5). Les nécropoles sont surtout localisées au nord des marais de Saint-Gond, avec les ensembles du Razet à Coizard (37 hypogées), des Houyottes (10 ou 11 hypogées) et des Vignes-Basses (11 tombes) à Courjeonnet, de La Crayère (4 sépultures) à Vert-la-Gravelle (Vert-Toulon), ainsi que les hypogées de La Craïère (5 hypogées), de La Pierre-Michelot (5 à 6 tombes), des Ronces (22 hypogées) et des Vignes-Basses (6 tombes), sur la commune de Villevenard (Bailloud, 1974 : 169, 249 sqq. ; Martineau et Charpy, 2013). La marge méridionale et occidentale de cette principale concentration est occupée par les groupes d’hypogées d’Oyes, qui, selon G. Bailloud (1974 : 274-275), se répartissaient en trois ensembles distincts, dont la nécropole de La Butte du Moulin (ni le nombre, ni la localisation de la plupart des sépultures ne sont précisément connus). La seconde aire de répartition des hypogées, qui compte une vingtaine de tombes, se superpose à l’actuel terroir viticole de la Côtes des Blancs. Ce secteur géographique forme un étroit bandeau, perpendiculaire à la vallée du Petit-Morin et aux marais de Saint-Gond, qui s’étend sur près de 20 km du sud d’Epernay au sud de Sézanne : de la butte de Saran à Chouilly, où sont localisées les nécropoles de La Grifaine et Les Ronds Buissons (11 et au moins 2 hypogées, respectivement), à la butte excentrée du Mont-Aimé à Valdes-Marais (2 hypogées), en passant par le Mesnil-sur-Oger (3 hypogées, au lieu-dit Les Mournouards) et Avize (hypogée des Dimaines) (Bailloud, 1974 : 147 ; Martineau et al., 2016).

Les non-adultes

   Pour les enfants et les adolescents, c’est-à-dire les sujets immatures (de la naissance à 19 ans révolus), l’estimation de l’âge au décès à partir du squelette repose sur des processus biologiques de croissance et de maturation osseuse ou dentaire, pour lesquels il existe de nombreuses données de références dans les populations actuelles (Scheuer et Black, 2000). Les critères suivants ont été utilisés :
 L’âge des individus décédés en période périnatale (fœtus et nouveau nés) a été estimé au moyen des longueurs diaphysaires (essentiellement), en utilisant les équations de I. G. Fazekas et F. Kósa (1978, révisées par Sellier 1993), établies sur la collection ostéologique de fœtus de l’institut médico-légal de Szeged, en Hongrie.
 L’âge au décès des enfants de la période post-natale à 14 ans révolus a été estimé indépendamment (les squelettes sont disloqués), en utilisant les critères suivants :
1) La maturation dentaire : le développement dentaire humain, en s’inscrivant sur une longue durée (plus de vingt ans ; Scheuer et Black, 2000 : 151-152), de la phase de constitution de la dentition temporaire à la maturation complète de la dentition permanente, permet d’estimer avec une relative fiabilité l’âge au décès des enfants, de la période post-natale à la préadolescence. Dans cette perspective, le développement des arcades dentaires maxillaires et mandibulaires a été observé à partir de radiographies panoramiques (CHU de Toulouse). Les stades de formation des dents (édifications coronaire et radiculaire) ont été évalués au moyen des critères définis par C. Moorrees et collaborateurs (1963a, 1963b ; référentiel moderne d’origine nord-américaine). Assortis d’un intervalle de confiance de 95 %, les intervalles chronologiques correspondants ont été établis pour les huit dents mandibulaires permanentes composant chacune des hémi-arcades dentaires (Moorrees et al., 1963a), ainsi que pour deux dents maxillaires permanentes (incisives centrales et latérales ; Moorrees et al., 1963a) et trois dents déciduales (canine, première molaire et seconde molaire ; Moorrees et al., 1963b).
2) La croissance osseuse : l’âge au décès a été estimé au moyen des longueurs diaphysaires et du référentiel établi par M. Maresh (1970, cité par Scheuer et Black, 2000), en tenant compte des amplitudes maximales fournies pour chaque sexe. Plusieurs longueurs diaphysaires ont été mesurées au membre supérieur (humérus et radius) et au membre inférieur (fémur et tibia).
 L’attribution à la classe d’âge des adolescents (15-19 ans) s’est faite d’après la maturation osseuse (fusion des points d’ossification secondaire à leur centre primaire ; Scheuer et Black, 2000) de chaque élément squelettique individualisé au moment de l’étude.

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Table des matières

Introduction – les morts rassemblés
Chapitre I – Des tombes creusées dans la roche
1. Les tombes en hypogée : un phénomène méditerranéen
1.1. Méditerranée centrale et péninsule Ibérique
1.2. Le Midi méditerranéen
1.3. Ailleurs en France
2. Le particularisme champenois : les hypogées de la Marne
2.1. Une exceptionnelle concentration de tombes
2.2. Deux siècles de découvertes : 1806-2016
2.2.1. Les débuts
2.2.2. L’après Joseph de Baye
2.3. Architecture des tombes : variation sur un même thème
2.3.1. Le couloir d’accès
2.3.2. Le dispositif de fermeture
2.3.3. L’antégrotte
2.3.4. La chambre funéraire
2.4. Attribution chrono-culturelle : le Néolithique récent du Centre-Nord de la France
2.5. Les pratiques funéraires
2.5.1. Le recrutement des défunts
Les effectifs inhumés
Recrutement selon l’âge et le sexe
2.5.2. Le traitement des morts
Les modes de dépôt
Position et disposition des corps
2.5.3. Les dotations mobilières
Un mobilier abondant et varié
Distinction identitaire : l’équipement individuel
Représentation collective
2.5.4. Le fonctionnement des tombes
2.5.5. Symbolisme et mythe : l’art figuratif
2.6. Les groupes humains inhumés : état sanitaire et environnement
2.6.1. Anthropologie et paléopathologie
2.6.2. Archéologie des occupations domestiques
Chapitre II – Matériel et méthodes
1. Documentation
1.1. Sources écrites et iconographiques
1.2. Les assemblages osseux
2. Méthodes d’étude du recrutement
2.1. Le dénombrement des individus
2.2. Identification biologique individuelle
2.2.1. Estimation de l’âge au décès
Les adultes
Les non-adultes
2.2.2. Diagnose sexuelle
2.3. Analyse de la composition par âge et par sexe
3. Méthodes d’étude des pratiques funéraires
3.1. Nature des dépôts
3.1.1. Dépôt primaire et dépôt secondaire
3.1.2. Représentation anatomique : les profils ostéologiques
3.2. Analyse spatiale
3.2.1. Relevés planimétriques
3.2.2. Liaisons ostéologiques
4. Méthodes d’étude de l’état sanitaire
4.1. État bucco-dentaire
4.2. Indicateurs de stress biologiques
4.2.1. Hypoplasie de l’émail dentaire
4.2.2. Hyperostose poreuse, cribra orbitalia et lésions endocrâniennes
4.2.3. Les réactions périostées
4.3. Pathologie traumatique
4.4. Hernies nucléaires intra-spongieuses et ostéochondrites disséquantes
4.5. Arthrose
4.6. Remodelage osseux des enthèses
4.7. Traitement statistique
Chapitre III – Les hypogées du Mont-Aimé 
1. Situation géographique et circonstances des découvertes
1.1. La butte du Mont-Aimé : un point dominant
1.2. Des tombes découvertes intactes
2. L’Architecture : deux tombes jumelles
2.1. Des chambres funéraires bipartites
2.2. Des tombes singulières
3. Le remplissage des tombes
3.1. L’hypogée I
3.1.1. La chambre funéraire
3.2. L’hypogée II
3.2.1. L’antégrotte
3.2.2. La chambre funéraire
4. Attribution chrono-culturelle
4.1. L’hypogée I
4.1.1. Datations absolues
4.1.2. L’assemblage mobilier
L’industrie lithique
Les objets de parure
La céramique
L’outillage en matière dure animale
4.2. L’hypogée II
4.2.1. Datations absolues
4.2.2. L’assemblage mobilier
L’industrie lithique
Les objets de parure
L’outillage en matière dure animale
4.3. Ancienneté des tombes
Chapitre IV – Le recrutement des défunts 
1. Le recrutement selon l’âge et le sexe des défunts
1.1. L’hypogée I
1.1.1. Dénombrement des individus
1.1.2. Composition par âge et par sexe du groupe humain inhumé
Le groupe des non-adultes
Le groupe des adultes
1.2. L’hypogée II
1.2.1. Dénombrement des individus
1.2.2. Composition par âge et par sexe du groupe humain inhumé
Le groupe des non-adultes
Le groupe des adultes
1.3. Hypothèse de deux groupes humains contemporains
1.4. Une sélection des défunts
1.4.1. Les enfants morts en bas âge
1.4.2. Les adolescents et les jeunes adultes : surmortalité ou sélection ?
2. Des tombes pour qui ?
2.1. Les effectifs inhumés
2.2. Les assemblages mobiliers : un critère discriminant ?
2.3. Rôle de la parenté biologique
Chapitre V – Le traitement et le devenir des morts
1. L’hypogée I 
1.1. Mode de dépôt
1.1.1. Représentation anatomique
1.1.2. Discussion
1.2. Gestion de l’espace sépulcral
1.2.1. Répartition des vestiges archéologiques
Vue d’ensemble
Des indices de mouvements
1.2.2. Scénario de fonctionnement
Une ultime réorganisation
Quelle configuration initiale ?
2. L’hypogée II
2.1. Des cadavres entrent, des ossements sortent
2.1.1. Des dépôts primaires remaniés ?
Représentation anatomique : ossements et dents
Discussion
2.1.2. Le prélèvement des têtes osseuses
2.2. Les ossements humains brûlés : traitement funéraire ou événement(s) fortuit(s) ?
2.2.1. Caractéristiques de l’assemblage osseux
2.2.2. Interprétation contextuelle des altérations thermiques
2.3. Structuration et gestion de l’espace sépulcral
2.3.1. Répartition des vestiges archéologiques
Vue d’ensemble
Une histoire mouvementée
2.3.2. Hypothèses sur le fonctionnement
2.3.3. Répartition et disposition des corps
3. Des tombes collectives ?
Chapitre VI – Approche épidémiologique des groupes humains du Mont-Aimé
1. Le groupe humain de l’hypogée I
1.1. État bucco-dentaire
1.1.1. Représentativité de l’échantillon
1.1.2. Caries dentaires
1.1.3. Pertes dentaires ante mortem
1.2. Indicateurs de stress biologiques
1.2.1. Hypoplasies de l’émail dentaire
1.2.2. Lésions poreuses de la voûte crânienne et lésions endocrâniennes
Hyperostose poreuse
Cribra orbitalia
Lésions endocrâniennes
1.2.3. Réactions périostées
Topographie et aspect des atteintes
1.3. Séquelles d’origine traumatique
1.3.1. Nature et topographie des atteintes
1.3.2. Mécanismes lésionnels
1.3.3. Pseudarthrose congénitale de l’avant-bras
Présentation paléopathologique
Discussion
1.4. Hernies nucléaires intra-spongieuses et ostéochondrites disséquantes
1.4.1. Nodules de Schmorl
1.4.2. Ostéochondrites disséquantes
1.5. Arthrose appendiculaire
1.6. Remodelage osseux des enthèses
1.7. Spondyloarthrite axiale
1.7.1. Le concept de spondyloarthrite
1.7.2. Présentation paléopathologique
1.7.3. Discussion
Diagnostic rétrospectif
Diagnostic différentiel
2. Le groupe humain de l’hypogée II
2.1. État bucco-dentaire
2.1.1. Représentativité de l’échantillon
2.1.2. Caries dentaires
Distribution des caries
Sévérité des atteintes
Localisation des lésions
2.1.3. Pertes dentaires ante mortem
2.2. Indicateurs de stress biologiques
2.2.1. Hypoplasies de l’émail dentaire
2.2.2. Lésions poreuses de la voûte crânienne et lésions endocrâniennes
Hyperostose poreuse et Cribra orbitalia
Lésions endocrâniennes
2.2.3. Réactions périostées
Localisation des atteintes
La tuberculose : un diagnostic possible ou improbable ?
2.3. Séquelles d’origine traumatique
2.3.1. Nature et topographie des atteintes
2.3.2. Mécanismes lésionnels
2.3.3. Autres cas d’étiologie traumatique possible
2.4. Hernies nucléaires intra-spongieuses et ostéochondrites disséquantes
2.4.1. Nodules de Schmorl
2.4.2. Ostéochondrites disséquantes
2.5. Arthrose appendiculaire
2.6. Remodelage osseux des enthèses
3. Analyse transversale et comparative
3.1. Santé bucco-dentaire
3.1.1. Les groupes humains du Mont-Aimé
3.1.2. Situation à l’échelle du Bassin parisien
3.2. Indicateurs de stress biologiques
3.2.1. Situation au Mont-Aimé
Hypoplasies de l’émail dentaire
Cribra orbitalia et hyperostose poreuse
Réactions périostées
3.2.2. Comparaison avec d’autres groupes humains
3.3. Pathologie traumatique
3.3.1. Fréquence et topographie lésionnelle
3.3.2. Comparaisons et hypothèses étiologiques
3.4. Nodules de Schmorl et ostéochondrites disséquantes
3.4.1. Nodules de Schmorl
Les groupes humains du Mont-Aimé
Facteurs étiologiques
3.4.2. Ostéochondrites disséquantes
Les groupes humains du Mont-Aimé
Facteurs étiologiques
3.5. L’arthrose
3.5.1. Situation épidémiologique au Mont-Aimé
3.5.2. Facteurs étiologiques : considérations générales
Arthrose du membre supérieur
Arthrose du membre inférieur
3.5.3. Comparaison avec d’autres populations
3.6. Le remodelage osseux des enthèses
3.6.1. Comparaison des groupes du Mont-Aimé
3.6.2. Facteurs étiologiques et comparaisons
3.7. Contribution à l’histoire des spondyloarthrites
Chapitre VII – Synthèse
Conclusion – entre vivants et morts
Bibliographie
Liste des figures
Liste des tableaux

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