Situation sanitaire dans une commune rurale

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Situation sanitaire à Madagascar

Les indicateurs sanitaires malgaches font encore frémir. Le contexte malgache reste caractérisé par une forte prévalence de maladies transmissibles et une mortalité maternelle qui se monte à 478 sur 100 000 naissances vivantes (ENSOMD 2015). Ce taux stagne depuis une dizaine d’années. En comparaison la mortalité maternelle en Suisse se situe à 8 sur 100 000 naissances. La proportion d’accouchements assistés par du personnel qualifié se situe à 44,4%, dont uniquement 38% se pratique dans des établissements de santé. A cela s’ajoute le fait que 31,5% des filles entre 15 et 19 ans ont déjà accouché. (ENSOMD 2015).
Au niveau de la mortalité infanto-juvénile, c’est-à-dire le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans, l’évolution est nettement plus significative, puisque il est passé de 159‰ en 1997, à 72% en 2009 pour atteindre actuellement 62% (ENSOMD 2015). Afin de garantir la santé des enfants et en même temps réduire la mortalité infantile, il faudrait instaurer une couverture universelle par des interventions essentielles, à la fois efficaces et peu coûteuses, notamment les soins du nouveau-né, la vaccination, la prévention et la prise en charge des cas d’infections respiratoires aigus, de fièvre et de diarrhée. Plusieurs paramètres expliquent les résultats de l’Enquête Nationale sur le Suivi des indicateurs des Objectifs du Millénaire pour le Développement (ENSOMD) mené en 2015. Les chiffres globaux mentionnés ci -dessus doivent d’ailleurs être pris avec des pincettes, puisqu’ils cachent une disparité notable entre le milieu urbain et rural.
Il y a donc encore un long chemin pour assainir le domaine de la santé à Madagascar et spécialement en milieu rural. La faiblesse de la couverture sanitaire, l’infrastructure défaillante, le manque de personnel qualifié et la faiblesse des investissements publics ne présagent guère une amélioration de la situation à moyen terme. Les communes n’ont pas les moyens financierspour pallier à ces manques.

Situation sanitaire dans la commune rurale d’Ambohimangakely

La commune d’Ambohimangakely est forte en taux de natalité qui suit l’accroissement de la population tandis que le taux de mortalité varie entre 5-12%.
60% de la population choisit de naitre au centre et les autres préfèrent le « reninjaza », et le CSB II Antanambao seulement suit la santé des femmes enceintes, et les nouveaux nés. Le taux de vaccination est 70%.
Les maladies les plus affectées sont la diarrhée due aux stockages des ordures à Andralanitra, ils prétendent jusqu’à 12% , ainsi les maladies respiratoires due aussi à la brulure des ordures tous les jours, ils affectent jusqu’à 9% de la population , la paludisme prétend jusqu’à 20%, la hypertension est de 13% , la malnutrition est de 12% , la maladies d’estomac qui affecte 11%, on peut dire que les maladies sexuellement transmissible sont rares car ils affectent seulement 1% de la population, et le reste sont les intoxications.

METHODOLOGIE DE LA REALISATION

APPROCHE GLOBAL DE L’ETUDE

Objectifs du sujet

Pour la conception de la base de données, il faut faire des inventaires des données existantes, après, on collecte les données afi n de les classer, les structurer, et les transférer et enfin on l’ intègre et le traite pour constituer la base de données spatiales en vue de mettre en place un système d’information à l’usage des services communaux pour la gestion de son domaine d’intervention et son développement.
Pour la construction d’un nouveau centre de santé, on trouve un emplacement surs suivant la norme pour construire en prenant compte les nombres des populations ainsi les distances en traitant avec la méthodologie du système d’information géographique (SIG).

Les critères demandés à la construction

Cette étude consiste à trouver un endroit pour la construction d’un centre de santé suivant quelques critères :
• Distance entre deux CSB II
La distance entre deux centres de santés est basée sur la norme national en vigueur pour la répartition des infrastructures sanitaires mais on prend compte ainsi le nombre de population (population desservie: 5.000 à 10.000habitants). Donc nous choisissons la distance 700m, pour n’est pas très loin ou très proche, ainsi cette distance est suffisant par rapport à la situation sur terrain et son poids démographiques.
• Accessibilité,
Pour que le centre soit très accessible aux habitants, facile à voir, donc on trouve un emplacement bord de la route.
• Pente du terrain
Il faut bien étudier l’emplacement du centre, il ne doit pas situer dans une zone inondé ou dans une zone accidentée (forte pente), le mieux c’est d’avoir la pente entre 5 à 15% pour la possibilité de construire
• Poids démographiques.
Il faut analyser les nombres des populations de chaque fokontany de la commune, le fokontany le plus peuplés, le fokontany le plus immigré.

METHODE DE TRAITEMENT

Le logiciel ArcGIS est utilisé pour le traitement. Leur répartition est appréciée par foko ntany et suivant le poids démographique de chaque localité.

La Méthode ZONE TAMPON

La zone tampon (Buffer) ou selon Harang (2007) est une méthode d’analyse spatiale qui consiste à créer une zone d’extension, aux dimensions définies par l’opérateur, autour d’un poi nt, d’une ligne ou d’un polygone.
Des zones tampons (buffer) sont réalisées afin d’apprécier la distribution spatiale et de déterminer l’endroit où l’on aménage le nouveau centre de santé. Cette technique permet de visualiser les espaces où la couverture des infrastructures sanitaire, donc l’accessibilité physique très bonne.
Le tracé d’une zone tampon autour des infrastructures sanitaire (CSB II Antanambao) constitue une méthode des plus répandues. La zone tampon permet ainsi de mettre en évidence des lie ns de proximité entre chaque infrastructure et son espace environnant.
La difficulté de cette technique est de déterminer la taille du rayon autour de l’infrastructure CSB II. Comment définir une distance pertinente ? Cette analyse est basée sur la norme national en vigueur pour la répartition des infrastructures sanitaires mais on prend compte ainsi le nombre de population (population desservie: 5.000 à 10.000habitants). Une autre analyse de proximité est réalisée pour apprécier la zone (comme, zone à peu près plat, pas loin de la route national, environnement calme, l’orientation, suit l’art de l’urbanisme…) et a permis de générer une zone tampon de 700 m autour de l’infrastructure CSB II Antanambao.

Méthode PENTE (SLOP)

On mesure la disposition du territoire en termes des terrains bâtissables par rapport au degré d’inclinaisons
Pour avoir l’information sur la pente, il faut avoir la courbe de niveau de la commune et après le traitement on a le MNT ou Modèle Numérique de Terrain.
Un essai de classification du territoire selon l’inclinaison des pentes est donné dans le tableau

Les domaines d’application

Les domaines d’application des SIG sont aussi nombreux que variés. Citons cependant de la tourisme (gestion des infrastructures, itinéraires touristiques); la Marketing (localisation des clients, analyse du site); la planification urbaine (cadastre, voirie, réseaux assainissement) ; la protection civile (gestion et prévention des catastrophes); le transport (planification des transports urbains, optimisation d’itinéraires) ; l’Hydrologie ; le forêt (cartographie pour aménagement, gestion des coupes et sylviculture) ; la géologie (prospection minière) ; la biologie (études du déplacement des populations animales); la télécoms (implantation d’antennes pour les téléphones mobiles).

Avantages d’utilisation SIG

Que les informations sont stockées de façon claire et définitive ; il peut gérer une multiplicité d’informations attributaires sur des objets ; comprendre les phénomènes, prévoir les risques (simulations) ; établir des cartographies rapides ; localiser dans l’espace et dans le temps ; réagir rapidement après des évènements ayant un impact sur le territoire ; calculé des coûts ou des bénéfices ; associer un plus grand nombre de partenaires aux choix d’aménagement ; et fournir des itinéraires, des plans adaptés.
Les Systèmes d’Informations géographiques permettent de disposer les objets dans un système de référence géoréférencé, de convertir les objets graphiques d’un système à un autre, de facilite la superposition de cartes de sources différentes, d’extraire tous les objets géographiques situés à une distance donnée d’une route, de fusionner des objets ayant une caractéristique commune (par exemple : toutes les maisons raccordées à un réseau d’eau potable), de déterminer l’itinéraire le plus court pour se rendre à un endroit précis et de définir des zones en combinant plusieurs critères (par exemple : définir les zones inondables en fonction de la nature du sol, du relief, de la proximité d’une rivière.

Eléments importants d’un SIG

• Importance de la précision de localisation
D’une part, la précision de localisation intervient lorsqu’on veut par exemple superposer des documents de différentes natures, comme un plan cadastral et un plan topographique à grande échelle, il est toujours possible d’effectuer un calage local. Mais les positionnements relatifs des détails figurant sur un document graphique sont souvent plus importants que les positionnements absolus en détail. Le positionnement relatif des objets d’un SIG est déduit de leur localisation dans un système de coordonnée. Il est correcte que si la précision de localisation, exemple l’échelle de saisie, est suffisante. D’autre part, l’utilisation d’un SIG demande une très grande rigueur dans la gestion de localisation. Toutes les informations localisées de même couche doivent être cohérentes au niveau de la géométrie et au niveau sémantique (caractéristiques/attributs d’objet).

Conception de la base de données

Une base de données est une structure bien définie dans laquelle on peut stocker des données informatiques ; elle s’appelle aussi masse d’information déjà rangée et stockée dans un disque dur. Il doit satisfaire cinq critères dont la bonne présentation, non redondance de l’information, l’indépendance des programme d’application par rapport à la base de données, la sécurité et confidentialité des données et la performance des applications et des requêtes.

Méthode de développement

La méthode orientée objet
Les systèmes informatiques devenant de plus en plus complexes, l’utilisation des méthodes s’avèrent nécessaire. En plus des éléments de modélisation et de leurs représentations graphiques, une méthode définit des règles de mise en œuvre décrivant l’articulation des différents points de vue, l’enchaînement des actions, l’ordonnancement des tâches et la répartition des responsabilités. L’ensemble de ces règles définit un processus dont le rôle est d’assurer l’harmonie au sein d’un ensemble d’éléments coopératifs et d’expliquer comment il convient de se servir de la méthode.
Notre démarche se positionne dans un processus de développement dont la finalité est de produire une application de qualité qui répondre aux besoins des utilisateurs dans le temps et les coût s prévisibles. Nous optons pour une méthode objet. A cet effet, nous utilisons la méthode MERISE pour la modélisation des données et de traitements.
La méthode orientée objet s’intéresse aux relations entre le processus et les données. L’approche orientée objet permet d’appréhender le système en centrant l’analyse et les traitements à la fois par le concept d’objets et leurs fonctions (méthodes) : cette approche considère que le système étudié est un ensemble d’objets coopérant pour réaliser les objectifs des utilisateurs. Elles a pour avantage d’être fondée sur la modularité, la flexibilité et surtout la réutilisabilité qui favorise la maintenance et l’évolution des applications.

MATERIELS

Les matériels utilisés sont les GPS pour avoir les coordonnées, la carte commune pour repérer et référer et les ordinateurs.
Pour mieux comprendre, parlons un peu le propos du GPS GLOBAL POSITIONING SYSTEM (GPS)
On peut avoir une précision centimétrique grâce à la méthode différentielle, quand les deux récepteurs se communiquent.

Description et méthode d’utilisation du GPS

Le GPS se présente en trois secteurs :
 Le secteur spatial :
Les orbites des satellites sont choisies de façon que l’on puisse observer toujours un minimum de quatre satellites avec une élévation d’au moins 15° en tout point de la planète et en tout instant. Les six plans orbitaux sont inclinés à 55° sur l’équateur. Un satellite GPS parcours son orbite en 12 heures avec une vitesse environ de 4 Km/s, soit 14 000 Km/h. on peut schématiser un satellite GPS comme étant une horloge de très haute précision tournant autour de la terre à une vitesse et une altitude bien définies (soit à une altitude d ’environ 20 200Km). Ces horloges émettent et reçoivent en permanence des ondes radioélectriques, dans le domaine des micro – ondes, qui peuvent être captées par des récepteurs placés à terre.
 Le secteur de contrôle
Le secteur de contrôle est constitué de 5 s tations de poursuite au sol/ les observations recueillies permettent de calculer la position des satellites sous formes d’éphéméride.
Les stations de poursuite sont équipées, entre autres, des récepteurs GPS stationnés sur des points géodésiques dont les c oordonnées sont précisément connues.
 Le secteur utilisateur
Le composant usager comprend les récepteurs utilisés pour se positionner. Ces récepteurs passifs ne font que recevoir les signaux transmis par les satellites.
Ces récepteurs ont pour fonctions de mesurer des distances entre l’antenne-réceptrice et les satellites-émetteurs ; de décoder les messages radiodiffusés qui contiennent les éphémérides servant aux calculs de la position des satellites au temps d’observations, et de calculer la position de l’utilisateur.

Paramétrage du GPS

Le système de référence par défaut des GPS est le WGS 84. Parce qu’on veut travailler dans un système de la projection Laborde, on a trois solutions pour le paramétrage on peut paramétrer le «Map datum » et la position du format pour la projection Laborde Madagascar, ou on peut être paramétré par rapport à un point géodésique (au plus loin 50 Km de la zone), ou bien on peut être le paramétré par rapport au plan de repérage (la plus grande échelle).
Déroulement du paramétrage :
On choisit un point bien identifiable sur l’ortho est sur le terrain puis on prend les coordonnées du point sur le plan de repérage et enfin on prend les coordonnées GPS des points sur terrain.
Correction
Corriger les fausses abscisses et fausses ordonnées dans le GPS (user grid)
Si on a un point géodésique (Xg, Yg, Zg), ont levé ce point par le GPS et on aura des coordonnées calculées ou affichées (Xc, Yc, Zc), puis on calcul la différence
DXo= Xc-Xg
DYo= Yc-Yg
Et on introduit dans la fausse abscisse la valeur DXo et dans l’ordonnée la valeur DYo. Voici les listes des centres de santés dans la commune d’Ambohimangakely

Spatialisation

Préparation des données dans PostgreSQL 

BASE DE DONNEES SPATIALES
Une base de données spatiale est une base de données optimisée pour stocker et requêter des données reliée à des objets référencés géographiquement, y compris des points, des lignes et des polygones. Alors que les bases de données classiques peuvent comprendre différents types de données numériques et caractères, des fonctions additionnelles ont besoin d’être ajoutées pour traiter les types de données spatiales.
Celle-ci est typiquement appelées géométrie ou caractère. L’OGC ou Open Geospatial Consortium a créé les spécifications des caractéristiques simples et les standards pour compléter les systèmes de gestion de base de donnée s avec les fonctionnalités des gestions de données spatiales.

Connexion à la base de données

Pour connecter à la base de données, il faut entrer le mot de passe créer durant l’installation
du logiciel postgreSQL.

Création de la base de données spatiale

Pour créer une base de données spatial es, nous allons présenter une base de données relationnelles qui est bonne pour le stockage et l’interrogation de données même s’il ne peut pas effectuer des opérations complexes sur les données spatiales, donc il convient d’utiliser le POSTGIS qui est une extension spatiale de logiciel PostgreSQL.
D’abord, on va créer une base de données, puis on utilise cette base de données crée comme source de données dans QGIS, pour le client de base de données, on va utiliser le pgAdmin III. Figure de la Création de la base de données spatial es (voir annexe)
PostgreSQL fournit ce que l’on appelle des modèles de base de données qui peuvent être utilisés lors de la création d’une nouvelle base. Cette nouvelle base contiendra des copie de tout ce qui est présent dans le modèle. Durant l’installation du logiciel PostGIS, une base de données template_postgis a été crée e et si on l’utilise comme modèle lors de la création de notre nouvelle base, c’est cette nouvelle base sera une base de données spatiales.
Une fois que la base de données est créé e, il apparait des extensions postGIS dans l’onglet « extension » ; aussi il y a « spatial ref sys » dans l’onglet « table » et enfin création de l’onglet « vue » avec ses composants.

Importation des fichiers de formes dans QGIS

Paramètre de connexion

Une visualisation sur le logiciel QGIS que l’on va définir plus tard nous permet de tester la connexion entre le serveur et le client en utilisant les données spatiales offerts par PostGis.
Aussi, l’utilisation du script PHP offre la possibilité de faire une liaison entre l’utilisateur et le serveur Postgres pour la mise à jour ou l’insertion d’autres données à l’aide d’un formulaire.

Import des fichiers « shapefile »

Il suffit de charger les données numérisées à partir du PostGIS
Tous les fichiers sont à importer un à un dans la base et le logiciel conserve la forme géométrique et les tables attributaires. Et en même temps il crée les paramètres correspondant de la table en question.
Il faut exécuter régulièrement le menu vacuum sur une base de données PostgreSQL, car il permet de récupérer l’espace libre à la mise à jour ou la suppression d’enregistrement, il met à jour aussi les statistiques utilisées par l’optimiseur de requêtes et la plus important il parvient la perte d’anciennes données par la rotation des identifiants de transaction.

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Table des matières

PARTIE I : GENERALITES
CHAPITRE I : CONTEXTE DU PROJET
I. Contexte
II. Présentation du projet
III. Objectifs du sujet
CHAPITRE II : PRESENTATION DE LA ZONE D’ETUDE
I. Situation géographique et historique
II. Population dans la commune d’Ambohimangakely
III. Infrastructures
IV. Équipements sanitaires publics
V. Sante
VI. Education
VII. Équipements sportifs
VIII. Industries
CHAPITRE III: SYSTEME SANTE A MADAGASCAR
I. Organisation de système de santé
II. Les maladies le plus affectés à la population
III. Situation sanitaire à Madagascar
IV. Situation sanitaire dans la commune rurale d’Ambohimangakely
PARTIE II : METHODOLOGIE DE LA REALISATION
CHAPITRE IV: APPROCHE GLOBAL DE L’ETUDE
I. Objectifs du sujet
II. Les critères demandés à la construction
CHAPITRE V: ETAPES DE LA REALISATION
CHAPITRE VI: METHODE DE TRAITEMENT
CHAPITRE VII: OUTILS ET DONNEES
I. OUTILS
II. DONNEES
CHAPITRE VIII: MATERIELS
PARTIE III : RESULTATS ET ANALYSE
CHAPITRE IX: VISUALISATION SUR QGIS
I. Création du dictionnaire de données sur Access
II. Spatialisation
CHAPITRE X: ANALYSE SPATIAL SUR ARCGIS
I. Méthode Zone Tampon
II. Méthode PENTE (SLOP)
CHAPITRE XI : COUT DU PROJET
CHAPITRE XII: PROPOSITION
I. Principe général
II. Architecture client-serveur
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE ET WEBOGRAPHIE
ANNEXES

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