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SITUATION DES INDUSTRIES MALAGASY

Les branches d’activités des industries malagasy

Le secteur secondaire à Madagascar regroupe les branches suivantes : l’agro-industrie, l’énergie, l’industrie extractive, l’industrie alimentaire, les industries de boisson, de tabac, l’industrie de corps gras, industrie pharmaceutique, industrie textile, industrie de cuir, industrie de bois, matériels de construction, industrie d’ouvrages métalliques, les appareillages électriques, les industries de papier, les zones franches industrielles.

Poids de l’industrie dans l’économie

Pour Madagascar, le secteur secondaire tient la plus faible part au Prix Intérieur Brut (PIB) national. Pourtant, elle est derrière la réussite des autres secteurs : « l’industrie exerce un effet d’entraînement puissant sur l’ensemble des activités économiques». Les rôles qu’elle joue sont si importants, tels que la création d’emploi, le ravitaillement du marché local (cas des industries textiles et agroalimentaire), Elle constitue un lieu de recherche innovante qui intéressent les investisseurs étrangers. En outre, l’industrie est une issue stratégique au niveau relationnel (investissement, partenariat,…) et commercial (ouverture sur le marché mondial, particulièrement l’AGOA et le COMESA. Pour les pays développés, c’est la force industrielle qui leur a permis d’atteindre la puissance économique mondiale. Source: (4

Les problèmes du secteur industriel à Madagascar

Nombreux sont les problèmes rencontrés par les industries locales. Ces difficultés sont d’origine interne et externe. Les problèmes suivants s’avèrent très répétitifs et importants :

Problèmes technique et technologique

En ce qui concerne les obstacles au développement des industries, beaucoup de responsables ont cité les problèmes directement liés à la production tels que la vieillesse des matériels, de la technique et de la technologie utilisées, l’insuffisance de l’énergie d’approvisionnement que ce soit en quantité ou en qualité. Egalement, ils notent l’absence de la technique adéquate et compatible à la fluctuation du marché.

Problème de qualité et de normes

Nombreux sont les investisseurs qui ont noté des problèmes de normalisation en termes de qualité au niveau des intrants et des produits. Les entreprises respectant la norme à Madagascar ne dépassent pas une vingtaine, selon les explications de Monsieur José RAKOTOMANJAKA, Directeur Général de la Quality Environnement Integrated Management (QEIM). « Ce ne sont que les entreprises exportatrices de produits agricoles, comme le litchi, qui procèdent à la mise aux normes de leurs produits », dit-il. Cela est à cause du manque d’information, mais aussi et surtout du problème de coût trop élevé du processus de mise aux normes : engager un cabinet qui, dans la plupart des cas, se trouve à l’étranger coûte entre 8 000 et 10 000 euros, exclus les frais divers comme le transport aérien et l’hébergement des membres de l’équipe du cabinet.

Problème de coût

La fluctuation du coût de l’énergie au niveau national et mondial a un impact grave tant sur l’assurance de continuité des activités industrielles que sur leur compétitivité au niveau du marché. En effet, le coût de l’énergie fait partie intégrante du coût de production, il représente 40% des charges de production. La crise politique locale influe beaucoup sur la situation énergétique locale, la dépréciation continuelle de l’Ariary entraîne une augmentation du prix des carburants qui accentuent les problèmes financiers et techniques de la JIro sy RAno Malagasy (JIRAMA)

Problème d’efficacité énergétique

Le problème d’efficacité énergétique fait partie des causes majeures de la déficience énergétique, tant au niveau de l’industrie qu’au niveau des ménages. 90% des industriels enquêtés n’ont aucune notion sur l’efficacité énergétique. D’autres la connaissent mais ne sont pas convaincus de son importance. L’absence de politique énergétique claire de l’Etat à l’égard des industries accentue le manque à gagner. Dans les pays développés, comme les Etats Unis, la France, le Japon,… l’Etat s’engage rigoureusement dans les mesures d’incitation, de surveillance, de contrôle et de pénalité et de financement.

Les atouts des industries malagasy

Ressources humaines

D’après l’enquête sur l’investissement direct étranger fait par l’INSTAT pour l’année 2011, 69,8% des dirigeants des entreprises confirment que le facteur spécifique qui encourage les investisseurs étrangers à Madagascar est le «coût de la main-d’œuvre», ensuite l’existence et la qualité de l’infrastructure de télécommunication (14,1%), et les caractéristiques du marché (4,0%).
Le coût constitue un atout pour le pays du fait qu’il le qualifie compétitif au niveau mondial en matière de ressources humaines. De plus, ce faible coût est un critère attrayant pour les investisseurs étrangers.
La population jeune et nombreuse (21 795 978 d’habitants en 2010) est également un atout pour Madagascar étant donné que 52% de celle-ci sont âgés de 15 à 64ans2.

VALEURS-ETHIQUES-CHARTES

Devant le rythme accéléré de la mondialisation, « Madagascar a perdu sa tradition et son identité culturelle. Pourtant, elle n’a pas encore réussi à assimiler les idéaux d’Occident qu’elle essaie d’imiter et de s’approprier »3. De ce fait, elle doit donc définir une stratégie selon ses propres besoins et sa propre optique.

Madagascar vis-à-vis de l’extérieur

Niveau économique

L’économie malagasy est principalement une économie de service (50,6%). L’activité industrielle à Madagascar se concentre essentiellement autour de trois branches: agroalimentaire (24%), industrie du bois (17,7%) et industrie textile (12,3%). L’industrie ne tient que 13,6 % du PIB, 37% qui est presque la moitié par rapport à la Chili, le pays à grande stabilité économique de l’Amérique Latine. L’expansion des industries textiles locales particulièrement les Zones Franches Industrielles dépend de l’Africa Growth and Opportunity Act (AGOA). La performance industrielle est encore faible. Selon le classement de l’Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel (ONUDI), l’indice de performance industriel est 0,087, soit 105ème sur 118 pays en 1998. Madagascar est un pays à économie agraire : 80% de sa population sont des paysans.

Position de Madagascar par rapport à la mondialisation

Le principe de la mondialisation, c’est l’adhésion des entreprises à un marché à dimension mondiale. La mondialisation se caractérise par un triple processus : l’internationalisation des échanges, l’internationalisation de la production (accroissement des flux d’investissement et multiplication des implantations à l’étranger) et le développement des mouvements de capitaux à l’échelle mondiale et la mise en place de réseaux mondiaux d’information.
Madagascar entrait dans la mondialisation vers 1987 mais son ouverture n’est appréciée que vers l’année 1990 du fait qu’elle n’avait pas eu de stratégies claires. Actuellement, malgré les efforts menés, elle n’en a toujours pas réussie (taux d’ouverture, toujours inférieur à la norme) sauf en 1994. Source : (10).

Difficulté de Madagascar face la mondialisation

Le niveau d’un pays par rapport à la mondialisation est évalué par son degré d’ouverture, calculé en fonction des variables structurelles telles que la superficie, la densité, le niveau de développement ou sa compétitivité (niveau intérieur du prix) et les quantités d’importation et d’exportation. Pour Madagascar, la structure de son relief qui n’est pas proportionnelle à la taille de sa population est une des causes de sa faible extraversion. De plus, son insularité limite ses possibilités d’échange (impossibilité au commerce transfrontalier par exemple).
En plus du niveau économique (PIB) qui est très faible, sa politique économique plutôt tournée vers l’intérieur aggrave la situation. Pourtant, la taille restreinte du marché intérieur (faible densité) doit l’inciter à adopter une politique d’ouverture vers l’extérieur. Aussi, le faible prix du marché intérieur lui offre un atout d’être plus compétitif au niveau mondial.

Relation diplomatique

D’après l’enquête de l’INSTAT, l’origine du capital des 95% des entreprises locales est purement nationale, c’est à dire n’ayant aucune participation étrangère. La majorité (80%) des entreprises locales est individuelle. Cette faible ouverture constitue un blocage important sur l’ouverture de l’économie du pays au niveau mondial. Les Malagasy ont besoin d’un changement et d’une amélioration du côté relationnel et partenarial.

Avantages et inconvénient de la mondialisation pour Madagascar :

Avantages Pour l’entreprise :

Premièrement, l’ouverture du pays à la mondialisation est non seulement un moyen d’inciter les investisseurs Investissement Direct Etranger (IDE), mais également une source de progrès et transfert technologique et relationnel (réseau international), donnant une accélération évidente au mouvement de libéralisation des marchés et le transfert de compétence.
Deuxièmement, l’expansion des moyens de communication et d’information (internet, réseau téléphonique, langue officielle,….) est une opportunité pour l’extension du marché au niveau mondial
Troisièmement, l’instauration d’un environnement plus concurrentiel au niveau international que national sert la meilleure articulation des différents secteurs.

Inconvénients Le niveau culturel.

L’uniformisation et l’internationalisation de la culture entraînent une perte des valeurs traditionnelles et d’identité culturelle du pays. La liberté d’expression des médias devient partielle. Le droit de parler s’arrête devant l’autorité des investisseurs.
Le niveau économique.
La mondialisation s’avère inéquitable : plus de trois quart du commerce mondial est réalisé par les pays développés. En 2001, l’Afrique, avec ses 800 millions d’habitants dont 12% de la population mondiale, n’opère que 2% du PIB mondial et moins de 1% de la valeur ajoutée industrielle mondiale. L’exportation de la part de l’Afrique au niveau mondial ne touche pas 2% des exportations des pays en développement. Au niveau des échanges internationaux, elle est marginalisée, car elle ne reçoit que moins de 5% des flux des IDE.

Valeurs

Généralités sur les valeurs

Quand on parle de valeur, beaucoup pensent directement au chiffre. Parmi les 20 jeunes Malagasy interviewés sur les valeurs de Madagascar, 95% ne donnent aucune réponse. Donc avant de les aborder, il s’avère essentiel de définir davantage ce mot.
Le dictionnaire définit le mot « valeur » comme « l’ensemble des qualités suscitant l’estime ». A partir de cette définition, les valeurs décrivent les côtés positifs d’une personne, d’une chose ou d’une société, c’est «par quoi on est digne d’estime sur le plan moral, intellectuel, physique, … » 4; elle ne doit pas être individuelle, elle est toujours à dimension sociale. Elle est souvent inséparable de la morale.
Dans le cadre professionnel, les valeurs morales s’appellent: la déontologie. Dans le dictionnaire encyclopédique de l’éducation, elle est définie comme: « une disposition à subordonner ses conduites à un ensemble de règles, de principes, ou de valeurs susceptibles d’être considérées comme s’imposant catégoriquement »5. La valeur morale, requiert donc deux sortes de compétences : la capacité de discernement (savoir distinguer le bien du mal) et la capacité d’auto contrôle (effort, courage et discipline).

Identification des valeurs ancestrales malgaches

La trilogie : Aina, Fanahy et Fihavanana constituent la base de la philosophie malagasy. Selon la tradition, l’Aina est conçu comme source de l’intégration sociale, le Fanahy comme superviseur du comportement et le Fihavanana pour le savoir-vivre. Il évoque principalement deux genres de liens:
Un lien de parenté: l’aina (la vie)
Un lien de solidarité: la relation sociale Source : (9)

Fihavanana dans l’Aina

Le Fihavanana est un mot intraduisible en français, « une valeur reposant sur l’esprit de paix et de solidarité, transmis de génération en génération » (9).
Dans la famille
Frères et sœurs
Les Malagasy pensent qu’étant frères et sœurs, on reçoit le même Aina. Pour eux, l’enfant d’un frère ou d’une sœur n’est pas considéré comme un neveu ni une nièce, mais comme son propre enfant, car son frère et sa sœur s’identifient à lui.
Parents –enfants
Les parents sont la source de l’Aina alors ils méritent un respect différenr. Le père de la famille est le premier transmetteur de l’Aina. « Devant son Père, le fils dira « Aikoity », Lui c’est moi ».Dans une famille, tout le monde s’unit par le même Aina. Et personne n’ose faire du mal à l’un ou l’autre : si un malheur ou un bonheur vient à l’un, il touche tous les membres de la famille car ils sont « un ».
Pour l’Homme, ce Fihavanana se présente en deux niveaux: la pluralité et l’unicité. Source : (9)
Dans l’administration
Pour les Malagasy, ceux qui gouvernent s’appellent « Raiamandreny» ou parents car ils transmettent des « choses analogues à l’Aina ». « Une certaine filiation se tisse entre le gouvernants-gouvernés grâce à cet Aina » C’est la raison pour laquelle il y existe une profonde confiance entre eux. « Les dits « enfants » respectent les parents. Et ces derniers s’efforcent à donner les meilleurs à leurs descendants et ne les font jamais du mal ». « Ny Ray aman-dreny tsy hanolo-bato mafana ny zanany», les parents ne feront jamais du mal à leurs enfants. Source : (9)

Fihavanana dans le terroir – Fihavanana des mpiara-monina

Les Malagasy s’intègrent dans l’univers environnant en l’identifiant à lui, ils ne perçoivent son moi qu’avec le tout où il vit ce moi : le village où ils habitent, les rizières, le pays où ils vivent sont déjà une part d’eux ». « Pour eux : l’environnement fait partie du moi de l’autre »6. Ils considèrent les mpiara-monina (communauté) comme une part d’eux.
« Pour les Malagasy, le « moi » ne reste plus la personne mais englobe les personnes qui participent au même Aina « aikoity » qui est contradictoire au « moi » occidental qui reste en la personne elle-même ». D’après ce Fihavanana du terroir, la communauté est pour les Malagasy une des premières exigences de la personne humaine.
Ces deux types de Fihavanana sont ressentis comme un besoin de l’humanité, mais l’un et l’autre portent des valeurs différentes : le premier réalise l’intensité de la communauté des Hommes et le second l’universalité de leur relation. Donc, pour porter au monde cette grande et spécifique valeur, il se doit de vivre les deux.
Les occidentaux recherchent la personnalité dans les qualités individuelles de la personne, mais les Malgaches, ils les fondent dans leurs relations avec les autres. Source : (9)

Le Fanahy moteur de l’éthique

Le Fanahy est la deuxième valeur traditionnelle malagasy, « c’est grâce à elle qu’on pourra vivre pleinement le Fihavanana. C’est lui le pilier de la sagesse malagasy ». Il n’y pas de terme français qui peut expliquer le Fanahy, le terme qui est à peu près son synonyme, c’est la « conscience ». Il agit sur la capacité de discernement d’une personne. L’Aina est commun à tout être du cosmos mais le Fanahy est spécifique à l’Homme: « ny Fanahy no olona ».

Origines de l’affaiblissement des valeurs ancestrales Malagasy

Pour Ronald Ingelhart, un politologue américain et professeur à l’Université du Michigan, le changement des valeurs est déterminé par deux facteurs : la sécurité physique et socioéconomique, et le type d’activité.

Mutations sociales Source : 

L’introduction des cultures étrangères, l’accroissement démographique, l’économie du marché ont dissimulé les valeurs ancestrales malagasy. Le moi malagasy tend petit à petit à disparaitre, l’individualisation progresse partout même au sein des couples, le moi singulier prend petit à petit ses racines dans la société malgache. La méfiance est partout: « l’autre n’est pas un ami potentiel mais un danger potentiel »7. A cause de l’influence de la mondialisation, notre environnement est devenu « une société de droit et d’image plutôt que de valeurs » ; il est dominé par la culture du chiffre. Tout est « marchandable »8, et même les Hommes. Le respect de la dignité humaine a disparu. Tout est payant. Ceux qui possèdent des codes de conduite sont jugés comme un vieux système déphasé et désuet.
Actuellement, la jeune génération s’accroche à l’étendue de la connaissance intellectuelle et à la richesse (l’argent). Le respect de l’Aina commun n’existe plus. Les injustices règnent partout où les Hommes sont à la fois acteurs et victimes. Les autorités villageoises n’existent plus pour raviver les cultures traditionnelles. Les parents n’arrivent plus à assumer les rôles des Zokiolona. Tout cela a changé la mentalité des Malagasy.

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Table des matières

REMERCIEMENTS
LISTE DES SYMBOLES ET ACRONYMES
LISTE DES FIGURES
LISTE DES TABLEAUX
PARTIE 1 : CONTEXTE GENERAL DE LA ZONE D’ETUDE.
CHAPITRE I. SITUATION ENERGETIQUE A MADAGASCAR
I.1. Généralité sur l’énergie
I.2. Electricité à Madagascar
I.3. Difficulté du secteur énergétique
CHAPITRE II. SITUATION DES INDUSTRIES MALAGASY
II.1. Les branches d’activités des industries malagasy
II.2. Poids de l’industrie dans l’économie
II.3. Caractéristiques des industries malagasy
II.4. Les problèmes du secteur industriel à Madagascar
II.5. Les atouts des industries malagasy
CHAPITRE III. VALEURS-ETHIQUES-CHARTES
III.1. Madagascar vis-à-vis de l’extérieur
III.2. Valeurs
III.3. Ethiques
III.4. Chartes
III.5. Réforme de l’entreprise
PARTIE 2: MATERIELS ET METHODES
CHAPITRE IV. METHODES ET MESURES D’EFFICACITE ENERGETIQUE
IV.1. Les mesures électriques
IV.2. L’optimisation du rendement énergétique :
IV.3. Surveillance et amélioration continue
PARTIE 3 : RÉSULTATS ET INTERPRÉTATION
CHAPITRE V. OPTIMISATION DE L’EXPLOITATION ÉNERGÉTIQUE
V.1. Description du contexte d’étude
V.2. Amélioration de la disponibilité de l’énergie du réseau
V.3. Gestion technique des bâtiments
V.4. Efficacité énergétique des moteurs électriques
V.5. Gestion de l’utilisation
V.6. Optimisation du coût de l’électricité
V.7. Énergie renouvelable
CHAPITRE VI. SURVEILLANCE ET CONTROLE
VI.1. Installation des dispositifs de mesure: compteurs d’énergie
VI.2. Bien gérer et respecter les maintenances préventives
CHAPITRE VII. SITE DE DIMENSIONNEMENT PROJET EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE
VII.1. Description du php
VII.2. Description du site
VII.3. Tableau récapitulatif des gains énergétiques
CHAPITRE VIII. ISO 50001 MANAGEMENT DE L’ENERGIE
CHAPITRE IX. EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE ET ENVIRONNEMENT
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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