Selon quelle(s) modalité(s) s’opère la distinction dans les projets d’éco-quartiers ?

Modèle(s) d’éco-quartiers ou éco-quartiers modèles ?

   Lorsqu’on parle d’éco-quartier, la notion de « modèle » est très importante. Car sur le concept d’éco-quartier, la sémantique du mot est intéressante. Le premier sens qui peut lui être attribué est celui-ci : la multiplication des éco-quartiers et surtout les « leçons » que l’on tire de ces projets, tendent à créer le(s) modèle(s) d’éco-quartier. Il s’agit d’un modèle façonné par les « bonnes pratiques », que l’on peut définir comme les « préceptes » clés à l’origine du succès de « réalisations urbaines (jugées) exemplaires » et « dont il faut suivre les commandements » (Arab, 2007, p.34). Ce modèle transformerait à son tour le concept d’éco-quartier, suivant une boucle vertueuse, dans le sens où le modèle se rapproche petit à petit d’un modèle qu’on pourrait qualifier d’utopique. En quelque sorte, il « s’auto-construit ». Ce n’est pas le sens sur lequel nous nous sommes penchés plus précisément dans cette recherche, mais il est relié d’une certaine manière à l’étude de la circulation des modèles et aide à comprendre le lien entre tous les concepts. Le deuxième sens de « modèle », celui qu’on lui attribuera par la suite dans ce projet de recherche, est donné par la définition du Dictionnaire Français Larousse : se dit de quelque chose « qui est parfait en son genre, qu’il faut imiter ». En fait, c’est le fameux « c’est un modèle, prends le en exemple ! ». Et pour les éco-quartiers, les exemples sont ceux cités précédemment : BEDZed, Hammarby Sjöstad, Vesterbro, Vauban, Kronsberg etc. Dès lors, il est légitime de se demander pourquoi justement ce sont ces quartiers-ci qui sont cités à titre d’exemple, quels éléments « distinctifs » ont-ils intégré depuis leur conception jusqu’à leur réalisation et au-delà qui ont fait leur succès ? En fait, comment se construisent les modèles ? Il est assez difficile de répondre précisément à ces questions car de nombreux critères sont à prendre en considération. Une première approche repose sur la temporalité. L’apparition des éco-quartiers est relativement récente, et il est évident que les premiers à « sortir de terre », c’est encore plus vrai pour les projets de grandes ampleurs, ont bénéficié d’une couverture médiatique (presse spécialisée principalement) importante du fait de l’« effervescence » qui a entouré l’apparition de ce phénomène nouveau. Réduire le degré d’importance accordé à un éco-quartier à sa date d’apparition est cependant un peu trop simpliste, même si cela y participe grandement. Bien évidemment, il faut aussi tenir compte des solutions techniques mises en place dans les projets, de la communication qui est faite autour de ceux-ci etc. Au-delà de la presse, les visites organisées pour les professionnels (élus, techniciens etc.) sur ces sites « emblématiques » ont aussi contribué à construire la notion de modèle et d’exemple, et participent à leur transfert. Comme le détaille Nadia Arab, « différents modes d’usage de ces voyages et visites sont repérables et peuvent être regroupés en trois grandes logiques d’action : – découvrir ce qui existe ailleurs et « dénicher » des concepts originaux […] – valider ou invalider des hypothèses de programme […] – comprendre les modes de fonctionnement des équipements et évaluer leur faisabilité dans le contexte local » (Arab, 2007, p.41). Plus généralement, ces quartiers sont considérés comme des modèles, car ils se sont fixés des objectifs ambitieux, sur des thématiques aussi larges que les déchets, l’eau, l’énergie etc., et intègrent des caractéristiques innovantes (du moins au moment de leur conception/réalisation). Nous reviendrons sur la notion d’« innovation » un peu plus loin. La notion de modèle, on l’a vu, implique donc la notion d’exemple. Il ne faut cependant pas se tromper sur le terme ; Si on considère qu’un éco-quartier est un modèle et qu’il peut être pris en exemple, cela ne signifie pas pour autant qu’il est « reproductible ». Le fait d’être considéré comme un exemple n’implique évidemment pas sa reproductibilité, l’inverse n’est pas vrai non plus. La nuance se trouve ailleurs : il y a des modèles, on peut s’en inspirer. Des guides de « bonnes pratiques » en aménagement sont notamment faits pour ça.

Bonnes pratiques dans le développement urbain durable

   Avec l’apparition du développement durable et la prise en compte des enjeux environnementaux dans les politiques urbaines, une nouvelle manière de faire la ville est apparue. Comme le souligne Laurent Devisme, Marc Dumont et Elise Roy, les collectivités locales et plus généralement les structures chargées de cette mission sont à la recherche de « méthodes, techniques et recherches » (Devisme & al., 2007, p.15) pour parvenir à la remplir le plus facilement et le plus efficacement possible. Les guides de bonnes pratiques en font partie. Les bonnes pratiques travaillent comme des « guides de savoir-faire » (ibid. p.18) « qui constituent une sorte de chemin à suivre » (NavezBouchanine, 2007, p.102). Les bonnes pratiques sont donc « normalement » ce que l’on pourrait appeler des « outils » d’aménagement, dont l’emploi doit mener à la réalisation de projets exemplaires, ou du moins à la réalisation de « bons » projets car employant des pratiques jugées elles-mêmes « bonnes ». « Normalement » ? A l’origine, les bonnes pratiques ont effectivement la vocation d’être des outils d’aménagement, mais il y a progressivement un changement, une transformation dans l’utilisation qu’il en est fait. Il y a un glissement de l’outil « bonne pratique » à l’objectif « bonne pratique ». Les acteurs de l’aménagement (élus, architectes, urbanistes etc.) n’emploient plus uniquement ces bonnes pratiques comme des moyens pour créer, faire émerger leur projet, mais ils cherchent parfois à les atteindre. Elles peuvent devenir la  finalité de ces opérations. Les propos du maire de Limeil-Brévannes illustrent bien cela : « je connais un certain nombre d’opérations, pour autant je ne peux pas dire que je m’en suis inspiré. J’ai surtout repris les objectifs, pour regarder comment essayer de les atteindre. D’ailleurs quand je demandais aux promoteurs 140 watts par an, on partait de l’objectif et on ne leur donnait pas les moyens » . La confusion qui subsiste quant à la nature même des bonnes pratiques, fait qu’elles agissent « comme des systèmes de normalisation, voire de standardisation » (Devisme & al., 2007, p.18). Laurent Devisme le souligne d’ailleurs, « on préfère aujourd’hui volontiers, par coquetterie de langage, les termes de « bonnes pratiques », […], à ceux de méthode, démarche, recommandations, normes, expérimentation, expériences… » (ibid. p.17). On pourrait résumer cela de la manière suivante : « Ces guides de bonnes pratiques existent, et à vrai dire peu importe qu’elles soient des outils ou des objectifs tant qu’il est possible « a minima (de) s’(en) inspirer, […] (et) a maxima (de les) reproduire » (Arab, 2007, p.34) ». Les reproduire, comme on appliquerait une règle ou suivrait une méthode universelle. Ce constat soulève une autre question : la place de l’innovation dans les projets urbains. En effet, il paraît logique que si les bonnes pratiques deviennent des normes sur lesquelles il peut être intéressant de se baser pour construire ces projets, la place laissée à l’innovation semble quelque peu restreinte. Sur ce sujet, les spécialistes peinent à s’accorder ; deux points de vue s’opposent. Il y a ceux qui pensent que les bonnes pratiques peuvent être « un frein à l’innovation » (ibid. p.35). Nadia Arab s’interroge sur cette problématique. Elle relate par exemple les propos du président du Conseil national des centres commerciaux : « il y a un modèle qui marche bien, c’est le centre commercial avec un multiplexe cinéma, de la restauration et une galerie marchande. Pour le reste, il se dit tout et n’importe quoi sur les loisirs » (ibid. p.38), ce qui « signifie que pour les opérateurs et investisseurs privés, les meilleurs pratiques sont les pratiques dominantes et que la seule attitude viable est celle de la reproduction des modèles commerciaux classiques » (ibid. p.38). Nous nous trouvons dans une situation où l’expérimentation, l’innovation, n’ont pas leur place. Et donc « la rupture avec les bonnes pratiques peut […] être considérée comme une condition à l’innovation (puisqu’) […] innover équivaut à introduire une rupture avecles modèles connus » (ibid. p.39) ; ici les bonnes pratiques. Cela pose plusieurs questions. D’abord, au même titre qu’on distingue les « bonnes » des « mauvaises » pratiques, il y aurait aussi une distinction entre les bonnes pratiques elles-mêmes, certaines étant jugées « dominantes ». Ce rapport de hiérarchisation entre les opérations soulève des interrogations : quels critères permettent de qualifier une pratique de bonne ou mauvaise ? Et s’il est intéressant de rendre visible les bonnes pratiques, ne serait-il pas aussi important de communiquer sur les mauvaises pratiques, du moins les expériences ratées ? En effet, on dit souvent que « c’est en se trompant, en commettant des erreurs, qu’on apprend le mieux ». Ensuite, il semble évident qu’on ne peut pas évaluer une opération indépendamment du contexte dans lequel elle s’insère. Nous reviendrons sur ce point un peu plus loin. Et, au contraire, il y a ceux pour qui les bonnes pratiques « rende(nt) compte de phénomènes relativement innovants » (Devisme & al., 2007, p.17). Revenons-en aux contextes dans lesquels sont produites les bonnes pratiques. Laurent Devisme le souligne, « les bonnes pratiques ne peuvent pas être isolées de situations d’action desquelles elles tirent une part notable de leur légitimité, de leur opérationnalité » (ibid. p.23). Effectivement, une pratique jugée bonne sur une opération particulière, et donc dans un contexte précis, ne le serait pas obligatoirement sur une autre. L’exemple d’Hammarby Sjostäd au sud de Stockholm illustre parfaitement cette affirmation: la consommation énergétique des habitations (160 kWh/m²/an) est supérieure aux objectifs visés (60 kWh/m²/an). Selon les promoteurs, les comportements des habitants ne sont pas à la hauteur des ambitions assignées au quartier. Dans ce cas, c’est la dimension « habitant », le contexte socio-culturel, qui fait que la mise en place de cette bonne pratique n’a pas fonctionné. Il se peut que les habitants n’aient pas été assez sensibilisés à l’utilisation de leur logement, ou qu’ils ne fussent pas prêts à réduire aussi significativement leur consommation. Il parait alors indispensable que les personnes qui utilisent ces bonnes pratiques tiennent compte de tous les éléments de contexte, au dehors duquel elles perdent leur sens. En quelque sorte, il s’agit de voir si ces bonnes pratiques sont « adaptées »aux caractéristiques du projet envisagé, ou si elles sont « adaptables ». Comme nous l’avons vu précédemment, la notion de « bonne pratique » est assez vague. Elles peuvent désigner aussi bien des objectifs à atteindre comme lors d’expériences « liées aux démarches qualité (haute qualité environnementale ; procédures Qualitel, normes énergétiques RT2005/2010) » (ibid. p.17) ou dans la grille de l’appel à projets EcoQuartier, que la mise en place d’un Agenda 21, des solutions techniques « vertes » etc. Et « L’idée qu’il existe de bons modèles dont on pourrait tirer expérience ou qu’il est nécessaire ou possible de reproduire, ne fait pas l’unanimité » (Arab, 2007, p.34). Pour analyser ce phénomène et passer outre les débats stériles à coups d’arguments en faveur ou contre les bonnes pratiques reprenant les différents points évoqués auparavant,Nadia Arab préfère examiner « les transferts de modèles urbains » (ibid. p.34). Elle en arrive à la conclusion que « l’enjeu n’est pas tant celui de l’homogénéisation et de la reproduction que celui de l’apprentissage et de la connaissance » (ibid. p.34). En fait, la contextualisation des bonnes pratiques permet d’éviter de réduire la complexité de la réalité et l’hétérogénéité des démarches à de simples critères normatifs.

Organisation générale du quartier

   Le projet s’est monté avec les principes d’organisation suivant : présence du végétal, d’espaces verts et, dans l’esprit d’éviter l’étalement urbain, une forte densité compensée par une grande diversité de hauteurs et d’espaces extérieurs pour presque tous les logements. Le quartier vient s’organiser autour d’un jardin de 6000 m² à partir duquel partent différents cheminements piétonniers. Celui-ci comporte un bassin d’infiltration permettant de recueillir les eaux de pluie du quartier. Les voies périphériques permettent d’accéder aux bâtiments. L’intérieur est uniquement sur un système de cheminements piétons avec des fossés pour les eaux de pluies menant au jardin central. Deux grandes places commerciales viennent animer le quartier : la place ovale de 4800 m² proposant des commerces de proximité et un supermarché ; la place carrée de 2500 m² avec quelques commerces en pied d’immeubles. Le quartier des Temps Durables prévoit notamment d’accueillir : huit espaces résidentiels privatisés réunissant plusieurs bâtiments desservis par des voies privatives (traitement en parvis paysagers et jardins de ces espaces) ; 1000 logements pour 2300 habitants ; des espaces commerciaux construits à partir d’énergies renouvelables et sans émission de CO2 et l’école Jean-Louis Marqueze, à énergie positive, subventionnée par le Conseil Régional d’Ile-de-France et par l’ADEME.

Eco-quartiers : des projets exemplaires

   L’approche du concept d’éco-quartier semble différente pour les acteurs qui sont à l’origine du lancement de ces opérations ou qui y ont participé. C’est notamment le cas du maire de Limeil-Brévannes, Joseph Rossignol, et de Corinne Adragna (Directrice du service urbanisme à Limeil-Brévannes) et Simon Lhéritier (Chargé de mission AlterDéveloppement à la ville de Limeil-Brévannes). Le maire de Limeil-Brévannes veut que son éco-quartier soit un exemple et pas juste un « argument politique ». On a l’impression d’après son discours qu’il considère les écoquartiers comme un bon modèle de développement urbain. Son souhait était de sortir une opération « par le haut », c’est-à-dire de « sortir une opération d’une manière exemplaire ». D’ailleurs, avant la mise en route du projet des Temps Durables, le maire avait refusé une opération d’aménagement du quartier, basée uniquement sur la construction de bâtiments HQE, car il ne la considérait pas réellement comme une opération de développement durable. Et s’il choisit de faire ce type d’opération, c’est parce qu’il se dit « préoccupé par ce que doit être notre monde d’aujourd’hui, mais de demain aussi. « Penser global, agir local » : j’essaie d’agir localement ». Cette conviction, le maire essaie de la faire partager grâce à une sensibilisation des enfants et des parents par l’école à énergie positive réalisée sur la commune notamment. Et s’il se demande parfois « à quoi ça sert de faire toutes ces choses, alors que les habitants vont s’en rendre compte dans vingt ans ? », il semble cependant conforté dans sa position avec la diminution des factures de consommation d’eau dans la commune depuis la mise en œuvre des projets. Et la réalisation de ces projets n’est pas « intéressée » dans la mesure où il ne pense pas qu’ils soient un « argument électoral », du moins « pas encore ». Au-delà du « discours du maire », il apparait assez clairement qu’il ne conçoit pas l’éco-quartier comme un modèle de développement urbain « ordinaire » mais qu’il y adhère pleinement. La ville a notamment lancé des études pour la réalisation d’un nouvel éco-quartier, intégrant les enjeux du développement durable, sur un autre secteur. Corinne Adragna, confirme les propos du maire. Quand le projet des Temps Durables a été lancé, il s’agissait de l’une des toutes premières expériences en la matière, et l’idée était vraiment d’être novateur à cette époque-là. Elle souligne également que les exigences du maire sont très élevées en ce qui concerne la prise en compte du développement durable dans les projets d’aménagement, mais que mettre « la barre très haute […] est ce qui (les) fait avancer ». Cela laisse supposer, que selon le maire de Limeil-Brévannes, la condition pour arriver à un projet exemplaire est de se fixer des objectifs ambitieux, ceux propres aux éco-quartiers. En ce qui concerne l’EcoZac de Rungis, ce sont les habitants qui sont à l’origine du projet d’éco-quartier en tant que tel. En effet, selon Stéphanie Le Dantec, présidente de l’association les Amis de l’EcoZac, « lors de son lancement, le projet ressemblait à une opération d’aménagement tout ce qu’il y a de plus classique. Il a fallu convaincre les élus que d’autres pratiques étaient possibles ». C’est suite à cette mobilisation des associations, que l’opération est passée d’un projet de quartier à un projet d’éco-quartier. Les élus, dont Jérôme Coumet, maire du 13e , ont désormais intégré cette nouvelle approche dans les opérations urbaines en général, afin de créer des espaces « dans le respect de l’individu et de l’environnement »2 , et pour l’EcoZac de Rungis en particulier : « c’est un enjeu essentiel pour le 13e arrondissement de réussir ce quartier durable, dans Paris ». La Ville de Paris compte d’ailleurs faire du quartier un site pilote en termes d’environnement et de développement durable. On voit, à travers cette analyse, que l’éco-quartier semble bénéficier d’un certain crédit auprès des acteurs qui sont à la base de leur création. Il s’agit alors de voir si cette adhésion au concept est réelle ou bien si elle est orientée par des bénéfices que cela pourrait engendrer (« discours fabriqué »).

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Table des matières

Introduction
Partie 1 Contexte général de l’étude
1. Eco-quartiers : Quels rôles ? Quelles ambitions ? Quels constats ?
2. Modèle(s) d’éco-quartiers ou éco-quartiers modèles ?
3. Bonnes pratiques dans le développement urbain durable
Positionnement
Problématique
Hypothèse
Partie 2 Méthodologie : terrains d’étude et outil de recherche
1. Choix des terrains d’étude
a) Appel à projet EcoQuartier
b) Autres critères de choix
2. Zoom sur le ZAC de Rungis
a) Contexte
Environnement proche
Site
b) Montage du projet et jeu d’acteurs
c) Projet
Organisation générale du quartier
Objectifs de l’EcoZac
3. Zoom sur « Les Temps Durables »
a) Contexte
Environnement proche
Site
b) Montage du projet et jeu d’acteurs
Groupement partenarial
Financement des travaux d’aménagement
c) Projet
Organisation générale du quartier
Objectifs des Temps Durables
4. Entretiens et analyse qualitative
a) Acteurs rencontrés
Acteurs rencontrés pour le projet de la ZAC de Rungis
Acteurs rencontrés pour le projet de Limeil-Brévannes
b) Outil : entretien
c) Analyse qualitative des données
Partie 3 Mise en avant des acteurs par l’objet « éco-quartier »
1. Perception de l’éco-quartiers par les acteurs de l’aménagement
a) Eco-quartiers : des projets ordinaires
b) Eco-quartiers : des projets exemplaires
2. Eco-quartiers…vers un argument de marketing urbain ?
a) Distinction affichée plutôt que vécue
b) Eco-quartier : facteur de visibilité
Conclusion

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