Segmentation ou stratification sociale sous-jacente

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Echantillonnage :

Pour réaliser notre enquête sur terrain, notre échantillon ainsi constitué aléatoirement est donc formé de 20 étudiants et de 15 étudiants sortants d’un établissement supérieur privé situé dans le 3ème Arrondissement. Les étudiants sortants sont diplômés en BTS et en licence (Bâtiment et travaux publics, informatique, tertiaire)

Mobilité sociale des individus, des ménages et au sein de groupes

Au niveau individuel, la mobilité sociale concerne soit le changement ou l’ensemble des changements, de statut social des individus (personnes) au cours du temps, soit la différence entre le statut social des individus et celui de leurs parents ou enfants. C’est aussi le degré au quel ces changements ont lieu.
Appliqué au niveau du ménage, le concept de mobilité sociale est utilisé le plus souvent pour l’étude des changements dans le revenu des ménages individuels au cours du temps.
Au niveau du groupe social, la mobilité sociale est l’ensemble des changements de statut social des membres d’un, plusieurs ou de l’ensemble des groupes sociaux au cours du temps ou le degré auquel ces changements ont lieu. Examinant l’ensemble des changements affectant chacun les membres des groupes sociaux, l’étude de la mobilité sociale se distingue des autres études de l’évolution des groupes sociaux. Par exemple, l’étude de la mobilité des salaires étudiera et synthétisera les changements dans le salaire de chaque salarié et non la simple variation su salaire moyen ou les changements dans la distribution des salaires.

Mobilité intergénérationnelle et mobilité intergénérationnelle

La désigne de changement de position sociale d’une personne par rapport à celle de ses parents (mobilité sociale intergénérationnelle) ou au cours de sa vie (intergénérationnelle)
On distingue deux types de mobilités sociales selon qu’elles concernent une seule génération ou des générations successives.
 La mobilité intergénérationnelle (aussi appelée, mais plus rarement mobilité sociale biographique ou mobilité biographique) concerne les changements de statut social d’un individu au cours du temps (ensemble de sa vie, période particulière) ou d’un ensemble d’individus pour une même génération. Par exemple, si la segmentation sociale considérée ne concerne que l’emploi, on parlera de trajectoires professionnelles ou de carrières.
 La mobilité intergénérationnelle concerne le degré de différence entre le statut social des parents et celui de leurs enfants.
Elle peut être vue dans une optique de « destinée » : que sont devenus les enfants d’agriculteurs ? Combien sont eux- mêmes agriculteurs(ou agricultrices) ?
Combien sont cadres supérieurs ? La fille d’ouvrier est-elle « condamnée » à rester ouvrière ? L’éducation, la richesse, se transmettent-elles de parents à parents ? …etc.
La mobilité sociale intergénérationnelle peut aussi être vue dans l’optique « origine » : que faisaient les parents des agriculteurs et agricultrices d’aujourd’hui ? Combien de cadres sont fils ou filles de cadres ? Combien sont fils ou filles d’ouvriers ?
La mobilité sociale intergénérationnelle peut être vue en termes d’héritage ou même d’hérédité. Si la distinction entre hérédité génétique et hérédité sociale reste valide dans les domaines de la biologie et de la santé (maladie génétique), elle a été fortement discréditée dans les autres domaines sociaux (si on peut être docteur de père en fils, on n’est pas génétiquement docteur de père ne fils) et reste très contestée dans certaines domaines (quotient intellectuel). En raison de ses connotations idéologiques, le terme « hérédité sociale » est de moins en moins utilisé.
En dehors des études sur la mobilité du niveau d’éducation, la plupart des études de mobilité sociale intergénérationnelle dans les sociétés modernes contemporaines concernent les relations entre le statut social des hommes et social des hommes et celui de leurs fils (ou des hommes et de leurs pères). La justification usuelle en est que l’influence indépendante du salut social de la mère sur ses fils (indépendamment de celui du père) y est en général beaucoup moins déterminante et que les relations entre le statut social des parents et celui de leurs filles est beaucoup plus complexe.
En effet, plus encore que celui des hommes, le statut des femmes notamment professionnel reste encore plus dépendant de leur statut matrimonial, du statut de leurs compagnons ou maris, et de la naissance d’enfants. Par contre, le statut éducationnel de la mère sur celui de ses enfants peut être plus important que celui du père, notamment dans les pays en développement.
On peut étendre le concept de mobilité intergénérationnelle à la transmission du statut social des beaux-parents. Il n’est pas rare, par exemple, que le beau-fils d’un entrepreneur reprenne l’affaire de son beau-père. Plus généralement, en France, les deux tiers des indépendants en activité ont un père ou un beau-père indépendant. Avoir une belle-mère indépendante accroît également la probabilité d’avoir de statut d’indépendant.

Types de mobilité sociale (principaux domaines sociaux concernés)

A priori, la mobilité sociale peut s’appliquer à n’importe quel domaine social qui permet une stratification des individus en groupes des statuts sociaux différents.
Les domaines les plus souvent concernés sont :
 Les caractéristiques de l’emploi : inclusion ou exclusion dans la population active, statut dans l’emploi (par exemple, salarié ou indépendant), secteur d’activité (agriculture, élevage, pêche, industrie, commerce, etc.), profession et/ou type de métier, position dans la hiérarchie de l’entreprise, qualification associées, ou combinaisons diverses des caractéristiques liées à l’emploi comme, en France, les Professions et catégories socioprofessionnelles (PCS) – anciennement catégories socioprofessionnelles (CSP)
 Le revenu individuel (salaire brut ou net pour les salariés) ou le revenu du ménage
 Le patrimoine ou la richesse des individus au cours du temps ou la situation comparée des parents et des enfants.
 Pour la mobilité intergénérationnelle, le niveau d’éducation formelle (le passage des individus d’un niveau scolaire à l’autre est rarement considéré comme une mobilité sociale intergénérationnelle)
 Les divisions héréditaires de certaines société : noblesse, castes, distinction entre ruraux et urbains en République populaire de Chine (système du hukou), burakumin et hininau Japon, etc.
 Le prestige, beaucoup plus difficile à traduire en termes opérationnels.
On peut trouver, mais beaucoup plus rarement, le terme « mobilité sociale »appliqué à d’autres domaines sociaux. Par exemple :
– La transmission des valeurs, attitudes, opinions politiques, croyances et religions des parents aux enfants, ou l’évolution de ces valeurs, opinions et croyances au cours de la vie des individus, mais on s’éloigne là du concept de changement de statut social : si la transmission de l’intérêt (ou du désintérêt) pour les études et des attitudes des parents à leurs enfants peut être un facteur explicatif de la transmission du niveau d’éducation, il parait abusif de la qualifier de mobilité de mobilité sociale.
– L’étude de la probabilité pour quelqu’un d’être emprisonné selon que l’un de ses parents (ou les deux) l’a été, ou de divorcer quand ses parents ont ou non divorcé, etc.
Les plus souvent, les notions de « statut social » et de « mouvement dans une hiérarchie sociale » deviennent alors ténues ou disparaissent, et l’utilisation du concept de mobilité sociale semble inapproprié.

Mobilité de l’emploi (mobilité professionnelle)

La mobilité professionnelle étudie les changements de situation dans l’emploi entre deux dates ou deux périodes pour les mêmes individus ou les différences et similarités de situation dans l’emploi entre l’individus et leurs parents ou enfants.

Mobilité économique (mobilité des revenus)

La mobilité économique concerne le changement de statut économique. Si ce statut ne prend en compte que le niveau de revenu, le degré de mobilité économique intergénérationnelle pourra être mesuré par les mouvements des individus ou des ménages entre quantiles (déciles, quartiles, etc.) de revenu. Dans ce cas, les analystes préfèrent souvent utiliser le revenu disponible brut à prix constants pour les individus, et le revenu disponible brut à prix constants par adulte-équivalent pour les ménages, qui reflètent mieux le niveau de vie.

Mobilité du niveau d’éducation

Le terme « mobilisation sociale » n’est pas utilisé pour décrire la progression des élèves et étudiants dans les établissements d’enseignement, celle des apprentis ou les bénéficiaires de la formation continue. Il ne concerne presqu’exclusivement que la mobilité intergénérationnelle.
IL est relativement simple de mesurer le niveau d’éducation des parents quand l’enfant a toujours vécu dans une famille monoparentale. Dans le cas de deux parents, ou de divers types de familles recomposées, plusieurs possibilités sont ouvertes – par exemple de prendre le niveau d’étude le plus élevé des parents ou d’examiner toutes les relations entre le niveau d’éducation de l’enfant et les niveaux de chaque parent.

Enjeux de la mobilité sociale

Ce concept permet de mesurer l’effet de lignée, c’est-à-dire la reproduction de mode de vie d’un groupe d’individu. Comme tout effet dû à une segmentation, il peut être la conséquence de la sélection de la classe sociale analysée (certaines sont plus ou moins pertinentes), mais montre clairement l’influence de la famille sur l’individu ou le groupe. La segmentation ne prend pas en compte l’idée que se fait l’individu de sa progression ou de sa régression ( qui est une notion subjective), par conséquent la notion de mobilité sociale doit être prise dans un sens purement technique sous peine de créer un concept non objectif.
Parler de la reproduction sociale et de la mobilité sociale est nécessaire pour la suite de la contribution à cette étude. La reproduction et mobilité sociale sont présentes dans la vie courante. Elles nous amènent à réflexions concernant la réalité. L’environnement où nous vivions détermine fortement en effet notre avenir.

Fonction instrumentale de l’éducation

Pour CHERKAOUI M. « …en dehors du marché du travail et de la famille, nulle autre institution n’exerce un empire aussi démesuré sur le destin des hommes que le système d’enseignement où ils passent plus du tiers de leur vie ». En effet, former des individus autonomes et capables d’assurer une pluralité de fonctions au sein d’une société sans cesse plus différenciée est un des principaux buts de la socialisation scolaire. La socialisation scolaire est faut il le rappeler, un moyen de diffuser auprès de tous les élèves l’éducation républicaine, véritable religion de la patrie selon Jules Ferry. L’école doit assurer l’unité culturelle de la nation.
Une autre question retient l’attention des sociologues de l’éducation : question qui se porte sur la manière dont l’école s’articule avec les inégalités sociales et plus largement avec la stratification sociale. Plusieurs facteurs jouent dans le cadre de l’enseignement supérieur.

logique d’intégration

Notons que chez certains étudiants enquêtés, il y avait un lapse de temps entre l’année de l’obtention du bac et l’intégration dans l’enseignement supérieur. Ceci s’explique par le manque de ressource familiale pour continuer immédiatement les études. Le besoin de s’amuser et profiter un peu de la vie avant d’entamer une vie estudiantine plus sérieuse en est aussi la cause.
Les étudiants viennent des quatre coins de l’île et rencontre même étrangers notamment les comoriens et les africains.
Faire des études supérieures pour réussir dans la vie et pour avoir une bonne image telle était leur motivation.
Certains sont forcés par leurs parents de continuer les études et parce que les autres en font et il faut aussi en faire. Cela peut s’expliquer par l’absence encore d’une autonomie chez ces jeunes que ce soit les simples étudiants ou les étudiants sortants.

logique de subjectivation et stratégique

Certains ont déjà fréquenté un établissement différent du sien actuel. Certains ont raté des examens dans l’établissement supérieur de l’Etat et qui n’avaient plus le droit d’étudier là-bas. Certains appartenaient à d’autres instituts privés et ont choisis de changer d’établissement en raison de la qualité de l’enseignement. En effet, « seule l’ancienneté dans la carrière semble exercer un certain effet sur l’efficacité enseignante ». Autre raison, c’est le frais scolaire. Certains quittaient un institut pour un autre là où on paie moins cher.
L’influence de la camaraderie joue aussi un grand rôle : les uns vont où vont les autres seulement pour ne pas se séparer des amis même s’ils ont différent intérêt. Une réponse pas très étonnante venant d’une jeune femme est de changer d’établissement pour suivre un jeune homme.
Les familles élaborent donc des stratégies scolaires en fonction de leurs intérêts, de leur connaissance du système scolaire, de l’état du marché d’emploi, et de la valeur sociale accordée dans leur milieu à tel type de diplôme. Leur capacité d’anticipation suppose une information sur les diverses étapes de la scolarité, les possibilités de choix entre les sections ou les filières, les facteurs qui entrent en jeu dans les parcours scolaires. Certains parents connaissent non seulement la valeur des sections ou filières et hiérarchisation, mais aussi la réputation des établissements, et à l’intérieur de ceux-ci les classes d’effectifs homogènes de fort ou de faible niveau.
La prolifération des institutions privées supérieures laisse un multiple de choix et c’est ce qui nous a amené à parler de marchandisation du savoir. Dans les chaînes télévisées nous voyons de multiples publicités concernant de multiples instituts privés dans le cadre l’enseignement supérieur. Chaque individu, chaque famille ont leur propre intérêt, d’où l’existence de différentes orientations. L’influence de ces publicités a des impacts dans le choix des personnes. En effet, celles-ci jouent un rôle sur la psychologie de tout un chacun.
En général, dans les pays en voie de développement comme Madagascar, tous les domaines sont sujets de marchandisation et là encore, nous pouvons revenir à nos précédents qu’il y a une marchandisation du savoir. Comme tout produit, ce dernier peut être un bon ou un mauvais produit frais ou un produit périssable ; produit qui s’achète. Nous sommes maintenant dans une situation d’existence de supermarché pour savoir ; il y a les bas et les hauts de gammes. Tout établissement met en exergue leur soit disant « qualité » ou leurs « points forts » sur leur emballage social pour attirer la clientèle. L’acquisition et la validité des diplômés dépendent étroitement de cette logique de subjectivation et stratégique.
Tout rapporter à soi-même, dans son propre intérêt peut être à la base de toute motivation de faire quelque chose, de faire des études supérieures. C’est purement une simple question de préférence. L’individu agit alors en fonction de ses besoins et normalement il devrait y avoir une cohérence entre but et finalité. En effet, une vision sans action n’est autre qu’un rêve, une action sans une vision fait seulement perdre du temps mais, une vision avec action peut changer le monde et faire la différence.

Professionnalisation des études

La professionnalisation s’est ainsi progressivement installée, à toutes les étapes de l’enseignement supérieur. De ce fait, le système universitaire est aujourd’hui organisé en deux filières distinctes : d’une part, celles qui sont centrées sur l’apprentissage d’un métier ou d’une technique, sur la préparation à l’exercice d’une fonction de responsabilité et d’encadrement. D’autre part, une filière d’études de type classique orientée vers l’enseignement ou la recherche. Les diplômes à but professionnel précis apparaissent ainsi de plus en plus comme une voie sélective, ce qui entraîne une dévalorisation des diplômes d’enseignement général. La demande accrue des familles pour ces formations à profil professionnel précis est à rapprocher de la valorisation des diplômes sur le marché du travail.
Précisons que les instituts privés supérieurs en prolifération sont majoritairement dans la première filière (bâtiment et travaux publics par exemple). C’est cette professionnalisation des études qui est à la base de la logique de subjectivation et stratégique. La professionnalisation des études est un pont qui relie l’enseignement et l’intégration dans le monde du travail. La facilitation dans l’entrée dans le monde du travail en est la principale fonction de cette professionnalisation. La question est de savoir si cette dernière assure cette fonction ou bien assure une fonction en contradiction avec celle voulue.
Nous pouvons dire que la professionnalisation des études va diriger la logique de subjectivation et stratégique d’où elle laisse place à diverses orientations. Si nous suivons la simple logique, un individu qui décide de faire des études supérieures devrait normalement ne pas avoir beaucoup de difficultés à avoir accès au travail compatibles à sa formation.

Politique éducative

Les nouveaux instituts privés supérieurs sont caractéristiques de la classe moyenne. En effet, les  pauvres ne peuvent pas se permettre de faire des études supérieures (même pas des études secondaires) et les riches choisissent des universités dites prestigieuses ou vont tout simplement aller à l’étranger.
Les parents paient encore les études de ces jeunes, d’autres paient eux-mêmes leurs études en travaillant, ou en s’endettant.
Depuis l’Antiquité, l’éducation dans toutes ses formes n’a cessé de changer et d’évoluer. Pour améliorer le système éducatif à Madagascar, l’Etat malgache fait partie de ceux qui adoptent leur propre politique éducative.
A partir de l’année universitaire 2012-2013, toutes les formations doivent fonctionner dans le système LMD. Toutes les institutions d’enseignement supérieur Publiques ou privées doivent soumettre leur dossier de demande d’habilitation au moins six mois avant la mise en place de l’offre de formation (article 15 n°04.151/ 201-MeSupRes de l’arrêté sur le régime d’habilitation du 4/03/2010). A Madagascar, il y a 21 institutions privées dont les formations ont reçu l’homologation du ministère chargé de l’enseignement supérieur, les diplômes délivrés correspondant aux spécialités et niveaux indiqués sont reconnus par l’Etat jusqu’en 2012. Au-delà de cette date, ils ne le seront plus si les établissements n’ont pas obtenu l’habilitation.
Il y a 110 institutions supérieures privées dont les diplômes délivrés ne sont pas reconnus par le Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique tant que ces institutions ne sont habilitées. Ceci concerne les institutions supérieures privées ayant reçu l’autorisation d’ouverture du ministère chargé de l’enseignement supérieur et les institutions supérieures privées ayant déposé des dossiers de demande d’habilitation. Toutefois, il y a 5 institutions supérieures qui ont reçu l’habilitation du MeSupRes.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
Motifs du choix du thème et du terrain
Problématique
Objectifs
Hypothèses
METHODOLOGIE
La pré-enquête
Echantillonnage
Techniques vivantes
PARTIE I : Approches théoriques
Chapitre I : Vers où orienter nos réflexions ?
I/La reproduction sociale
II/Mobilité sociale
II.1/Définition
II.2/Mobilité sociale des individus, des ménages et au sein des groupes
II.3/Mobilités intragénérationnelle et intergénérationnelle
II.4/Types de mobilité sociale (
II.4.1/Mobilité de l’emploi (mobilité professionnelle)
II.4.2/Mobilité économique
II.4.3/Mobilité du niveau d’éducation
III/Enjeux de la mobilité sociale
PARTIE II : Marchandisation du savoir
Chapitre II : Socialisation scolaire
I/Fonction instrumentale de l’éducation
I.1/Logique d’intégration
I.2/Logique de subjectivation et stratégique
I.3/Professionnalisation des études
II/Politique éducative
Chapitre III : Mirage de la réussite
I/Phénomène du sous-emploi et du chômage
II/L’insertion professionnelle
III/Vision des recruteurs
IV/Les effets pervers de la prolifération des instituts privés
IV.1/Définition
IV.2/Causes
PARTIE III : EN QUETE DE L’ASCENSION SOCIALE
Chapitre IV : analyses et réflexions
I/ Réflexions sur la stratification sociale
II/Segmentation ou stratification sociale sous-jacentes
III/La sélection sociale proprement dite
IV/Pouvoir des capitaux
IV.1/Charge ou richesse culturelles
IV.2 /L’importance accordée aux conditions matérielles
IV.3/Le prix des relations
CONCLUSION GENERALE
TABLE DES MATIERES
Liste des tableaux
Annexes

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