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GENERALITE SUR L’ENSEIGNEMENT DE BASE DANS LE CISCO DE SOANIERANA-IVONGO
Situation de l’enseignement
Indicateur de performance et de la politique Educative pour le Premier Cycle de l’Enseignement de Base (EPCEB)
Sur le plan éducatif, le taux de scolarisation des enfants pendant l’année scolaire 2005-2007 est de 67 %. On peut dire que le niveau de fréquentation scolaire des jeunes dans cette région est relativement faible 32% filles et 35 % celle de garçon pour le niveau primaire.
Pour l’année scolaire 2007-2008 le taux de scolarisation est égal à 84% des enfants scolarisables dans cette région. Il est logique face à la multiplication de la création et de la réhabilitation des écoles de proximités financéesarpl’Etat actuel. Mais on constate que le 50% des élèves entrants seulement peuvent terminer le niveau primaire et le taux d’achèvement de niveau supérieur diminue au fur età mesure que ce niveau augmente.
Effectif des analphabètes
D’après notre enquête dans cette région, le taux d’analphabétisme tourne autour de 29% de la population en 2008. Ce taux est gonflé par la forte proportion des analphabètes à la campagne et la mauvaise habitude des parents qui n’envoient pas leurs enfants à l’école surtout les filles car ces dernières s’occupent de leurs cadets ou cadettes d’où le retard de scolarisation des enfants. L e tableau suivant montrent l’effectif par commune des analphabètes dans cette région.
Taux de rendement interne
Il se caractérise par des taux d’abandon élevé celaest dû à l’augmentation du taux de redoublement pour chaque classe à chaque niveau.
Tableau IX: Indicateur d’efficacité et d’encadrement pour l’éducation Fondamental du Premier cycle par commune pour l’année 2008
Dans l’ensemble, les pourcentages de redoublants est forte 39,92 % en 2007-2008. Ce % pourcentage élevé s’explique par l’insuffisance d’enseignants avec ration Elève-Maitre égale 80, et faute d’encadrement pédagogique dans le primaire. Ce pourcentage de redoublants se fait remarquer surtout dans les communes de Fotsialanana (42, 95 %) et à Manompana (42,43%). Il est fixé à 35,04 % dans la commune d’Andapafito du fait que celle –ci se contente de recevoir tant d’élèves sans se sourierde leur qualité, sans exigence de moyenne de notes des élèves en fin d’année scolaire.
Le pourcentage des écoles à cycle complet reste fixé à 62,65% en 2003-2004 Concernant les Examens, le taux de réussite au CEPEa atteint 45,84% en générales, moins de 50%des élèves. Le résultatsscolairesest un indicateur de l’efficacité interne de l’enseignement. L’analyse de ce résultat permet d’en savoir plus la rentabilité scolaire au niveau de la région.
Le taux de réussite pour tous les niveaux d’examens dépasse rarement les 50%. Le faible taux de réussite est dû essentiellement à la precauté des infrastructures et aux difficultés rencontrées par les filles pour rejoindre l’école. Et en plus le cout de l’éducation est insupportable à cause de la faiblesse du pouvoir d’ achat de la population locale. Enfin, la mauvaise qualité de l’enseignement dispensé essentiellement au niveau du lycée et CEG car les enseignements sont souvent les plus démotivésdans leur fonction.
Le FRAM (Fikambanan’ny Ray Aman-dRenin’ny Mpianatra ) est obligé de prendre en chargé le paiement du salaire des enseignants suppléants. C’est pour cette raison que le résultat de l’examen est souvent mauvais surtout dans les communes dans les zones enclavé.
Des nombreux problèmes socio-culturels freinent le développement du système éducatif dans la dite région.Par exemple le JIROMENA constitue la distraction la plus courante des jeunes en milieu rural surtout pendant les campagnes de collectes de produits agricole (girofle, letchis, riz). C’est une sorte de parasite pour le développement du secteur éducatif car quelques communes utilisent les établissements scolaires comme salle de la soirée pour le JIROMENA. En plus, cela peut provoquer des dégâts matériels dans la salle de classe et dégâts moraux aux élèves ce qui conduit aux résultsa médiocres de l’année scolaire.
Situation du personnel enseignant
Evolutions des effectifs des enseignants
Faisant partie des ressources humaines, le personnel enseignant joue un rôle moteur sur l’efficacité du système. Ainsi que leur répartition, leur qualification et leur encadrement ne doivent pas être négligés pour le bon fonctionnemendu système.
Le tableau ci-dessous détermine l’effectif du personnel enseignant par commune de la CISCO de 2005-2006 à 2007-2008.
L’effectif d’enseignant tend toujours à augmenter s oit un taux d’accroissement relatif égal à 14,17% et 21,28%. Une telle augmentation est due au recrutement des enseignants dans les écoles primaires au redéploiement des personnels administratifs vers les écoles primaires publiques et l’ouverture des écoles communautaires dont les suppléants sont payés par FRAM. Malgré cette augmentation la CISCO rencontre une insuffisance en enseignants surtout au niveau primaire public parce que le ratio élèves/Maitres est tres élevé, il atteint jusqu’à 80 eleves par enseignant en moyenne pour le CISCO. Le tableau suivant nous montre cette information.
Tableau XI: Répartition et évolution des enseignants au niveau primaire pour l’année 2007/2008
La qualification des enseignants
La compétence des enseignants, pour transmettre leur savoir, influe sur les résultats scolaires et l’efficacité du système éducatif celle-ci dépend de leur niveau de qualification (diplôme académique et/ou professionnel) et leur encadrement. Le niveau académique et la formation initiale des enseignants sont en majorité très bas dans le district de Soanierana-Ivongo. La proportion des enseignants sortant de l’Ecole Normale est très faible, inferieur à 10%. La majorité des enseignants ont reçu une formation initiale courte, voire, dans le cas des enseignants FRAM ou Communautaire ; aucune formation initiale. En outre 40% des enseignants de la CISCO sont des femmes.
De prime abord, le salaire et très bas, cette situation influe sur la motivation et ils s’adonnent alors à des activités plus rémunératrices pour compenser le manque à gagner du point de vue salarial. Et il importe de savoir ce qu’il en est de leur encadrement pédagogique ce qu’on remarque aussi c’est que les enseignants q ualifies sont rares dans les zones enclavées.
Si on veut développer le secteur éducatif dans cett région, les autorités régionales et le gouvernement doivent prendre des mesures pour résoudre le problème du paiement des enseignants par les parents d’élèves ou FRAM, car al salaire est actuellement trop dérisoire. On dit cela, parce que dans la District de Soanierana-Ivongo nous avons 342 enseignants au niveau primaire public pour l’année scolaire 2007-2008, 210 enseignants d’entre eux sont payés par le FRAM cela tourne autour de 561% des enseignants total dans ce région (sont non fonctionnaire) seulement le 134 sont titulaire.
Cette région a encore de besoin en enseignant plus de 100 pour assurer l’encadrement pédagogique du District.
Situation en infrastructure
La disponibilité et la qualité des bâtiments et équipements scolaires sont essentiels au développement du système éducatif.
• Disponibilité en bâtiment scolaire
Le tableau ci-dessous nous permet de voir l’évolution du nombre de salle et des établissements par ZAP dans la CISCO de Soanierana-Ivongo.
Depuis 2005, le nombre de salle et des établissements scolaires de niveau I dans la CISCO n’ont cessé par d’augmenter. Le nombre des établissements en 2008 s’élève de 24 points par rapport à 2005. Quant aux salles, elles ont évolué de 78 points dans 2 ans mais cela n’est pas suffisants on remontre toujours des problèmes de salle et d’établissement.
Concernant l’état des salles et des établissements,il est lié à la fois à la qualité des matériaux de construction utilisés et aux conditions climatiques. La majeur partie des établissements scolaires a été construite avec desmatériaux locaux tel que : le bambou, le falafa, le bois .Ils sont facilement détériores par la pluie ou dévastés par les cyclones .
Actuellement le nombre de salles utilisées dans la CISCO est de 347 dont le 35 sont provisoires. Ces salles provisoires indiquent qu’il y a besoin de nouvelles constructions ou bien d’extension pour chaque établissement concerné. Plusieurs écoles sont fermées à cause des cyclones ou manque d’enseignant.
L e ratio élève- salle de la CISCO atteint jusqu’‘à 83. Cette situation montée par le tableau suivant.
• Disponibilité en équipement scolaire
Celle-ci sera analyse à partir des dépendances scolaires, des manuels et places assise des élèves. Leur disponibilité constitue des appuis pédagogiques au développement intellectuel des élèves.
Les dépendances scolaires concernent les éléments laquelleà l’école ne peut s’en passer tel que les salles spécialisées, les points d’eau,les latrines, cantine, ….La CISCO n’a aucune salle spécialisée, elle est aussi déficitaire en point d’eau. Elle ne dispose pas de salle pour les enseignants. On y rencontre d’insuffisance de WC, on peut dire que la CISCO souffre d’une insuffisance de dépendance scolaires concernant les manuels scolaires on y rencontre aussi d’une manque en livre, en table. Tout cela diminue l’heure de travail personnel des élèves ; car très peu d’élèves possèdent de livre personnelde chaque matière pour leur permettre de réviser ou de faire des devoirs à la maison.
Apres avoir vu la situation de l’enseignement du secteur éducatif dans la dite CISCO on va décrire maintenant les problèmes liés au secteur éducatif.
DESCRIPTION DES PROBLEMES LIES AU SECTEUR EDUCATIF
Problemes lies à l’enseignement
Madagascar est un pays à vocation agricole. Or actu ellement, le prix des produits agricoles dégringole de plus en plus. Dans ce cas le secteur éducatif est menacé pour les raisons que nous allons évoqués ci-après :
Les parents d’élèves sont presque incapables de payer les frais généraux de leurs enfants parce que la rentrée de revenu de la population decette région est basée essentiellement sur la campagne de production agricole. Mais leurs prix diminuent sans cesse. C’est pour cette raison que les enfants en âge scolaire veulent che rcher de l’argent qui est un facteur qui menace l’éducation des enfants. On peut dire que le cout de l’éducation est insupportable pour le pouvoir d’achat de la population en milieu rural . Cela entraine un taux d’abandon élevé dans la région et taux de redoublement 29,22 % sur 39,22 %, faible taux de réussite aux examens à cause des absences fréquente et prolongéedes enseignants et des écoles surtout dans les zones enclavées.
Les couts de l’éducation
Nous savons bien que l’éducation des enfants ont des couts mais dans les pays envoie de développement comme ici chez nous, le ministèren’a pas de crédit suffisant pour assurer les dépenses en éducation. Ces dépenses sont reparties en deux parties bien déterminées qui sont le cout direct et le cout indirect
• Les couts Directs (L’importance des couts directs)
Ces couts sont différents dans les pays développét esous développé car dans le pays en développements, la population conscients que l’éducation est la clé du développement et la majorité de la population sont presque éduqués, pour cela les couts de l’éducation présent très lourd sur le revenu pour ces raisons. Mais par contre le pays sous développé la part de crédit alloué à l’éducation est strictement faible pour des raisons claires : c’est le manque de conscientisation des parents à l’éducation qui est une cause qui peut bloquer l’avenir du secteur éducatif.
D’une manière générale, le cout direct de l’éducation comprend à la fois des dépenses en capital, disons des investissements en capital matériel ou l’amortissement du capital investi antérieurement et les dépense de fonctionnement comme dépense du personnel, dépense d’entretien des locaux, dépense de déplacement, dépense de déplacement, dépenses en matériels didactique et pédagogique.
• Les couts indirects de l’éducation
Le cout de l’enseignement ne se limite pas seulement au niveau du fonctionnement et de la fonction de formation des maitrises en locaux (logement et en matériel didactique) mais il faut considérer aussi le temps dépensé par les élèves sacrifiants leurs temps pour terminer leurs études est relativement faible au niveau du milieu rural. Cette faible proportion est due à l’effet secondaire de l’argent et faible niveau d es élèves et enseignants. Quant aux élèves qui abandonnent l l’école au niveau primaire. Ils ont une lacune et ils souffrent d’un manque à gagner au niveau du salaire lorsqu’ils entrent dans le monde du travail.
• L’abandon scolaire
C’est un problème majeur dans tous les pays en économie sous-développée, comme Madagascar. Souvent l’abandon scolaire frappe davantage les filles que les garçons. Cela peut aggraver l’inégalité en matière de possibilité d’accès et de réussite scolaire entre fille et garçons.
D’une part, d’innombrables études ont recensé les causes de l’abandon scolaire comme par exemple :
– Le problème de santé
– L’absentéisme
– Le travail des enfants
– Le cout de la scolarité
– Les grossesses précoces des jeunes filles.
D’autre part, le redoublement est un facteur essentiel de l’abandon scolaire dans la mesure où il provoque l’échec. Le taux de redoublement à tendance à être plus élevée au début et à la fin du cycle de l’enseignement primaire. D’ailleurs la rentrée tardive des élèves
à l’école, l’insuffisance des écoles privées et disparité des écoles surtout dans les zones enclavées la qualité de service éducatif sont desrincipaux cause de l’inefficacité du système éducatifs dans la région. La déséquilibre entre l’offre et la demande d’éducation est une des sources de ce problème, car l’accroissement de l’effectif des élèves n’est pas proportionnel à celle de l’enseignants et celui des salles de classe, le pouvoir d’achat des ménages et la mauvaise condition d’apprentissage et enfin le milieu social et économique de l’enfant qui lui pousse à éviter l’école et qui bloque son épanouissement en matière d’éducation.
Problemes liés aux enseignants
Les enseignants constituent le pilier de développement de l’enseignement, une négligence de leur part remettra en cause les résultats scolaires.
Rémunération du personnel
Le salaire des enseignants ne permet pas d’assurer le minimum vital de la famille. Ils s’adonnent alors à des activités parallèles rémunératrices afin de combler le manque à gagner et délaissent ainsi leur fonction principale.
A part la médiocrité de leur salaires, la plupart esd enseignants sont obliges de faire le long déplacement à pied, voire jusqu’à 150 km à pie d, pour pouvoir toucher leur solde. Cette situation entraine une absence prolongée des enseignants qui perturbe l’enseignement mais accentue aussi leur démotivation.
Au niveau des encadrements, malgré leur ancienneté,la plupart des enseignants n’ont pas encore obtenu leur avancement d’échelon ou de classe. Cette situation ne fait qu’accroitre la démotivation des enseignants se répercutant inéluctablement sur le rendement du système éducatif. En ce qui concerne les suppléants, les parents n’arrivent pas à payer les salaires prévus dans les contrats d’embauche. Ces enseignants se senties lésés et ne sont pas motivés
Pour faire leur travail ; ils se contentent seulement de terminer le mois. De ce fait, les résultats sont insatisfaisants et les élèves veulent abandonner leurs études.
Insuffisance en nombres des enseignants et en qualification
Les enseignants dans ladite CISCO sont confrontés à des problèmes comme l’insuffisance de qualification, la mauvaise répartition, l’insuffisance en enseignants. Pour la qualification, il n’y a pas de formation et de recyclage. Pourtant le mode de recrutement actuel exige le diplôme Baccalauréat et le CAP en minimum pou l’EPP, Licence +CAP pour le CEG et Maitrise le Lycée. Or les nombres de personnes qui ont cette qualification ne sont pas nombreux.
Plusieurs EPP sont tenue par des enseignants suppléants ce qui conduit a un faible niveau académique et pédagogique des enseignants car seulement le 10% sont formés dans les écoles Normales.
Promotions des élèves maitres
La stratégie de promotion des élèves maitres est unmoyen pour réduire le nombre des chômeurs éduqués. Le gouvernement actuel essai de récupérer des jeunes diplômés pour sauvegarder leur qualification qui sont nécessairespour développer notre région.
En plus, cette politique vise à rajeunir les enseignants âgés qui n’arrivent pas à accomplir leurs taches et qui ne sont plus aptes à aller en brousse Mais le problème ce que ces jeunes n’ont pas assez de temps pour la formation (et l’étude) mais la nouvelle formation obtenue par les jeunes actuels est adaptée à la qualification nécessaire au développement de notre région, et aussi pour diminue le ratio élèvemaitre dans ce région.
Les problemes lies aux infrastructures et aux supports pedagogique
L’insuffisance en infrastructures
En ce qui concerne les infrastructures et équipements scolaires les problèmes constituent à la dégradation aussi bien de l’état de salle de classe que celui des bâtiments scolaires et l’insuffisance des tables bancs. Le passage fréquent des cyclones dans cette région provoque la destruction des salles de classe et de plus l’insuffisance ou le manque d’entretien. Les ratios élèves –salle dépasse de 80 à cause de construction de salle non proportionnelles avec l’effectif des élèves.
En suite l’insuffisance des bâtiments scolaires en traine le surnombre d’élèves dans la salle de classe. Cela peut à son tour entrainer la réduction de la durée d’enseignement de chaque classe. Par exemple une classe, au lieu d’avoir des cours complets tout au long de la journée est obligé d’être réduite à une demi-journée. Mais pourtant les constructions actuelles où les ONG de développement finance, améliorent lasituation pas à pas (lentement comme celles du FID, CARE, BADEA, etc.…Le tableau ci-dess ous nous montre cette situation en 1986-2008.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : THEORIE DE L’EDUCATION DANS LE DEVELOPPEMENT
CHAPITRE I : PRESENTATION GÉNERALE DU DISTRICT DE SOANIERANA –IVONGO ET GENERALITE SUR L’ECONOMIE DE L’ÉDUCATION
Section I : DESCRIPTION DU DISTRICT DE SOANIERANA-IVONGO
1.1.1 Situation géographique et administrative
1.1.1.1 Situation géographique
1.1.1.2 Situation Administrative
1.1.2. Situation socio-economique
1.1.2.1 Infrastructures socioculturelles
1.1.2.2 Environnement économique
1.1.3. Population et identité culturelle
1.1.3.1 Démographie
1.1.3.2. Identité culturelle
Section II : GENERALITE SUR L’ENSEIGNEMENT DE BASE DANS LE CISCO DE SOANIERANAIVONGO
1.2.1. Situation de l’enseignement
1.2.1.1. Indicateur de performance et de la politique Educative pour le Premier Cycle de l’Enseignement de Base (EPCEB)
1.2.1.2. Effectif des analphabètes
1.2.1.3 Taux de rendement interne
1.2.2 Situation du personnel enseignant
1.2.2.1 Evolutions des effectifs des enseignants
1.2.2.2 La qualification des enseignants
1.2.3. Situation en infrastructure
Section III : DESCRIPTION DES PROBLEMES LIES AU SECTEUR EDUCATIF
1.3.1. Problemes lies à l’enseignement
1.3.1.1. Les couts de l’éducation
1.3.2 Problemes liés aux enseignants
1.3.2.1 Rémunération du personnel
1.3.2.2 Insuffisance en nombres des enseignants et en qualification
1.3.3 Les problemes lies aux infrastructures et aux supports pedagogique
1.3.3.1- L’insuffisance en infrastructures
1.3.3.2- L’insuffisance en support pédagogique
CHAPITRE II: ECONOMIE DE L’EDUCATION
Section I: DEFINITION ET HISTORIQUE DE L’EDUCATION
1.1.1 Définition
1.1.1.1 Types d’acquisition des connaissances et les grands domaines éducatifs
1.1.1.2 Les grands domaines éducatifs
1.1.2. Historique de l’education
1.1.2.1. Alphabétisation
1.1.2.2 Caracteristiques de l’alphabétisation
1.1.2.3 Les objectifs fondamentaux de l’alphabétisation
1.1.2.4 Les différents types de l’alphabétisation
Section II : ROLE DE L’EDUCATION SELON L’ANALYSE MICRO-ECONOMIQUE
2.2.1. Education et salaire
2.2.1.1 Model de Mincer
2.2.1.2. Modele de G. Becker
2.2.2. Education et revenu de l’activite independante.
2.2.2.1 Le taux de rendement du système scolaire.
2.2.2.2. Le passage de rentabilité privée à la rentabilité sociale.
Section III : ROLE DE L‘EDUCATION SELON L’ANALYSE MACRO-ECONOMIQUE
2.3.1 La contribution de l’education a la croissance
2.3.1.1. Les analyses basées sur la modélisation
2.3.1.2 Critiques du modèle : Trois importants problèmes apparaissent
2.3.2. Selon l’analyse néo-classique
2.3.2.1. L’assimilation de l’éducation au « facteur résiduel » qui faisait apparaitre les fonctions de production à deux substituables le travail et le capital
2.3.2.2 Le coefficient du capital dans la planification du développement.
2.3.2.3 La dissociation entre main d’oeuvre qualifiée et main d’oeuvre non qualifiée
DEUXIEME PARTIE : ANALYSE DES IMPACTS DE L’EDUCATION DANS LE DEVELOPPEMENT SOCIO-ECONOMIQUE
CHAPITRE I : IMPACTS DE L’EDUCATION SUR L’ECONOMIE ET LA VIE SOCIALE
Section I : APPORTS DE L’EDUCATION SUR LE DEVELOPPEMENT SOCIO-ECONOMIQUE DU
DISTRICT DE SOANIERANA IVONGO
1.1.1. Effet qualitatif de l’education
1.1.1.1. Effet de l’éducation sur les motivations et les comportements
1.1.1.2 L’éducation améliore l’origine sociale des enfants
1.1.1.3. L’éducation améliore la qualité de l’individu
1.1.1.4 Effet de l’éducation sur la répartition des revenus
1.1.1.5. Effet de l’éducation sur d’autres types de la structure sociale.
1.1.2. Effet quantitatif de l’education dans le developpement economique et sociale
1.1.2.1 –L’éducation agit sur« l’offre biologique de l’enfant »
1.1.2.2. Effet de l’éducation sur la croissance démographique
1.1.2.3. Effet de l’éducation sur le taux de scolarisation
1.1.3. Education des differentes generations
1.1.3.1. L’éducation des femmes, des filles et taille de la famille
1.1.3.2. L’éducation des adultes et des jeunes
1.1.3.3 L’éducation un facteur dégluant la fécondité
Section II : CONTRIBUTION DE L’EDUCATION DANS LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE.
1.2.1. Amelioration de l’emploi et le revenu des menages
1.2.1.1. L’éducation et le chômage
1.2.2. Réduction des dépenses en matière de santé
1.2.2.1. Effet de l’éducation et l’espérance de vie.
1.2.2.2 Lutte contre l’IST et le SIDA
1.2.3 Impacts de l’éducation sur la vie de la femme.
Section III : LIMITE DE L’EDUCATION
1.3.1. L’exode rurale et fuite de cerveau
1.3.1.1. L’exode rural
1.3.1.2 L’exode de cerveau (Brain-drain) ou fuite de cerveau
1.3.2 La surexploitation de la connaissance et le travail des femmes
1.3.2.1 La surexploitation de la connaissance
1.3.2.2 Les problèmes des femmes en travail
CHAPITRE II : PERSPECTIVES D’AVENIR DU SECTEUR EDUCATIF DANS LE DISTRICT DE SOANIERANA-IVONGO
Section I : LES POLITIQUES ACTUELLES POUR L’AMELIORATION DU SECTEUR EDUCATIF
2.1.1. Les initiatives pour la reforme et le developpement du secteur educatif « education pour tous»
2.1.1.1. Amélioration des résultats de l’apprentissage
2.1.1.2-Ressources et partenaires aux fins de l’éducation pour tous
2.1.1.3 Création des capacités pour mettre en oeuvre l’éducation fondamentale.
2.1.1.4. Répondre aux besoins éducatifs fondamentaux de tous
2.1.2. L’education face aux defis du MAP
2.1.2.1. Les défis du MAP relatifs à l’amélioration de l’éducation à Madagascar
2.1.2.2. Recommandations de politique et d’action pour l’education à Madagascar
Section II : L’EDUCATION FACE A LA MONDIALISATION ET LA GLOBALISATION
2.2.1. Les avantages de la mondialisation
2.2.1.1. Sur le plan éducatif
2.2.1.2. Sur le plan commercial
2.2.1.3. Sur le plan de la communication et de l’information
2.2.2 L’inconvénient de la mondialisation
2.2.2.1 Effet de la mondialisation sur l’homme au travail
2.2.2.2. Effet de la mondialisation sur l’homme sans et en recherche de travail
Section III. L’AVENIR DE L’ENSEIGNEMENT DANS LE DISTRICT DE SOANIERANA – IVONGO
2.3.1 L’avenir de l’education selon le role joue par la population locale et de l’etat
2.3.1.1 Le rôle joué par la population locale
2.3.1.2. Le rôle joué par l’Etat
2.3.2. Perspective d’amelioration
2.3.2.1 Aux élèves
2.3.2.2 Les enseignants
2.3.2.3 Les parents
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
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