Réservoirs de Parasites
Cette coccidiose a tout d’abord été reconnue comme étant une zoonose qui atteint surtout les animaux jeunes : le veau et le chevreau étant particulièrement sensibles.
Il s’agit selon les espèces de Cryptosporidium de l’homme et des animaux domestiques ou sauvages jeunes : veaux, agneaux, chevreaux, chiens, chats.
En raison de la grande résistance des oocystes et de la possibilité de contamination des réserves naturelles d’eau, on a observé des épidémies de cryptosporidiose pouvant toucher plusieurs milliers de personnes (400000 cas à Milwaukee aux USA en 1993). Plusieurs épidémies ont été observées en France ces dernières années, dues à une contamination fécale des réseaux de distribution de l’eau potable. Les oocystes sont des formes de résistance et de dissémination, ils ne sont pas détruits par les désinfectants habituellement utilisés pour le traitement de l’eau destinée à la consommation humaine.
Cycle évolutif
Cryptosporidium spest un parasite monoxène. Le cycle se déroule chez un seul et même hôte à l’intérieur des cellules du tractus digestif et respira toire. Le cycle se déroule en deux phases, asexuée ou schizogonie, sexuée ou gamogonie. Le parasite est éliminé dans les selles sous forme d’oocystes sporulés, contenant quatre sporozoïtes et un corps résiduel et donc immédiatement infectants.
Les différents stades de développement du parasite sont intracellulaires mais extra cytoplasmiques, inclus dans une vacuole parasitophore. Le parasite forme une zone de liaison caractéristique, la membrane de Tyzzer, avec la cellule hôte.
Schizogonie
L’homme s’infecte par ingestion des oocystes souillant les aliments ou l’eau.
Les oocystes, à paroi épaisse contenant quatre sporozoïtes nus, se désenkystent grâce à l’action combinée des enzymes et des sels biliaires et libèrent les sporozoïtes dans la lumière digestive du nouvel hôte. Les sporozoïtes se transforment rapidement en trophozoïtes. Ces derniers pénètrent par invagination dans la cellule hôte et donnent naissance à leur tour des schizontes de première génération à 8 mérozoïtes, qui formeront soit de nouveaux schizontes à 8 mérozoïtes soit des schizontes de deuxième génération à 4 mérozoïtes.
Gamogonie
C’est à partir de ces derniers schizontes que certains mérozoïtes vont évoluer, soit vers le stade de microgamétocyte qui donne les microgamètes mâles, soit vers le stade de macrogamétocyte qui donne les macrogamètes femelles.
La fécondation donnera naissance à un zygote qui se transformera en un oocyste contenant 4 sporozoïtes. Le stade de sporocyste n’a pas été retrouvé chez le genre Cryptosporidium.
Deux types d’oocystesont été décrits: les uns à parois fine (20% des oocystes) retrouvés dans l’intestin responsables de l’endo -auto-infestation, d’autres à paroi épaisse (80% des oocystes), éliminés dans les selles assurant la transmission de la parasitose.
Clinique
Les premiers cas de Cryptosporidiose ont été décrits en 1976, probablement chez des patients atteints d’immunodépression acquise ou congénitale avant la reconnaissance du SIDA. Ce n’est qu’en 1982 que le caractère « opportuniste » du parasite est apparu. Il est responsable de la diarrhée rebelle, un des symptômes dominant le tableau clinique chez les patients sidéens.
La multiplication des parasites dans les entérocytes entraîne des perturbations hydro-électrolytiques et une malabsorption.
Chez les sujets immunocompétents
La durée de l’incubation est courte, 4 à 14 jours (en moyenne 10 jours). La cryptosporidiose peut être asymptomatique ou responsable d’une gastroentérite dominée par un syndrome diarrhéique consistant en 3 à 10 selles par jour, liquides ou molles et non sanglantes. Cette diarrhée s’associe à des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements, une fièvre modérée (38-38.5°C inconstante). Ces symptômes sont spontanément résolutifs en une dizaine de jours sans traitement. Cependant, la durée des symptômes est très variable. Des infections peuvent persister pendant des périodes très longues à cause de la possibilité d’auto-réinfestation à partir des sporozoïtes contenus dans les oocytes à paroi mince. Cette réinfestation serait favorisée par l’immunodépression.
Toutefois un patient apparemment guéri peut continuer à excréter des oocystes de Cryptosporidium sppendant plusieurs semaines.
Chez les enfants et les personnes âgées, on peut observer des formes diarrhéiques plus prolongées. Chez les enfants surtout malnutris, la diarrhée peut provoquer une perte de poids importante, un retard de développement et parfoisune déshydratation nécessitant une réhydratation parentérale.
Chez les patients immunodéprimés
La cryptosporidiose est responsable d’une diarrhée prolongée devenant chronique avec un aspect cholériforme et s’associant à une forte malabsorption.
Elle peut être directement ou indirectement responsable de décès (65 décès ont été observés lors de l’épidémie de Milwaukee). Les principaux sujets touchés sont les patients infectés par le V.I.H. dont le taux de CD4 est < 100/mm3. Le Cryptosporidium sp est responsable sur ce terrain de 40% des diarrhées . Des formes sévères sont également observées chez d’autres patients immunodéprimés présentant un déficit de l’immunité cellulaire.
Une atteinte des voies biliaires est fréquente chez les patients immunodéprimés du fait d’une colonisation de l’épithélium des voies biliaires. Cette localisation contribue très probablement à l’entretien de la parasitose digestive.
Des pneumopathies interstitielles (toux, dyspnée d’effort, cyanose au stade évolué) sont exceptionnellement décrites avec présence d’oocystes dans le liquide de lavage bronchiolo-alvéolaire. Toutefois, il existe la plupart du temps un pathogène associé dont le traitement assure la guérison. La pathogénicité de la Cryptosporidiose dans cette localisation reste donc discutée [39].
Depuis quelques années, en France, on observe une forte diminution du nombre de cas de cryptosporidiose chez les patients infectés par le VIH, grâce à la reconstitution immunitaire induite par les traitements antirétroviraux [55].
Diagnostic biologique
Les premiers cas ont été diagnostiqués sur biopsie intestinale. Actuellement, c’est en règle générale, sur les prélèvements de selles. Il est possible de détecter le parasite dans le liquide de lavage bronchiolo-alvéolaire, l’expectoration, l’aspiration jéjunale.
Diagnostic parasitologique
Prélèvement de selles
En raison de la fragilité de nombreux parasites intestinaux et de la nécessité de ne pas modifier leur morphologie pour pouvoir les identifier avec certitude, on ne pourra poser un diagnostic microscopique fiable que si les selles sont correctement recueillies.
Donner au malade le matériel suivant :
– Une boite en carton paraffiné avec couvercle emboité ou une boite en plastique avec couvercle bien ajusté, et – 2 bâtonnets applicateurs.
Si on ne dispose pas de boîte paraffinée ni de boite en plastique, on peut utiliser des pots en verre.
Dans les programmes de lutte, il suffit souvent d’utiliser un seul prélèvement, mais pour les malades il en faut en général trois, recueillis à trois jours d’intervalle, afin de déceler toutes les infestations parasitaires.
A noter que diverses substances comme les laxatifs, les antiacides, les produits de contraste ingérés et certains antibiotiques peuvent gêner la recherche de parasites.
Demander au malade de déféquer directement dans le récipient ou sur un morceau de papier et de mettre ensuite la selle dans le récipient au moyen des bâtonnets applicateurs.
Le récipient contenant la selle doit être étiqueté lisiblement et porter les mentions suivantes :
– Les nom et prénom ou le numéro du malade en cas d’hospitalisation.
– La date et l’heure (la demander au malade) d’émission de la selle.
Le prélèvement doit être suffisamment important pour permettre une analyse satisfaisante. Il doit être au minimum de la taille d’un œuf de pigeon. Il ne doit être ni souillé ni mélangé à de l’urine, qui gênent l’examen.
Garder le carton contenant l’échantillon dans un réfrigérateur ou, si c’est impossible dans l’endroit le plus frais et le plus ombragé du laboratoire.
Ne pas garder au chaud ni le laisser au soleil.
Chez les immunocompétents
Ce diagnostic présente des difficultés. Pour les cryptosporidies, l’émission apparait 3 jours après contamination et persistent pendant 2 à 3 semaines.
Chez les immunodéprimés
Chez les sujets immunodéprimés, la persistance des oocystes de ce parasite peut être permanente avec des fluctuations dans leur émission, correspondant à des périodes d’aggravation de la diarrhée. L’émission des oocystes étant discontinue, il faut donc répéter les examens à quelques jours d’intervalle.
Recherche des oocystes dans les selles
Le parasite mis en évidence est sous forme d’oocystes pour Cryptosporidium sp.
Examen direct
L’examen direct des selles est recommandé bien qu’il soit peu sensible et n’apporte pas d’aide au diagnostic. L’avantage c’est qu’il permet la mise en évidence des oocystes d’autres parasites présents dans les selles.Toutefois, en contraste de phase, ils sont plus nettement visibles.
Concentration
Les techniques classiques de concentration sont utilisées dans la recherche d’oocystes.
Cette concentration permettra aussi de mettre en évidence les œufs de vers, les larves et les kystes de protozoaires, mais pas les formes végétatives de protozoaires car ils sont en général détruits au cours du processus de concentration.
Technique de Ritchie (Méthode de Formol-Ether ou formol-Acétate d’éthyle) : cf. seconde partie
La méthode d’Anderson
C’est une technique de flottaison qui consiste à diluer les selles dans un réactif de densité convenable et surtout utilisée pour Cryptosporidium.
Cette méthode est employée uniquement sur les matières fécales et ne met en évidence que les oocystes. La technique d’Anderson utilise une solutionconcentrée de saccharose.
Procédure
– Mélanger 1 à 5 g de selles dans 10 à 15 ml d’eau et bien agiter.
– Filtrer à travers un morceau de gaze.
– Centrifuger le filtrat 10 minutes à 2.500 tours / mn.
– Récupérer le culot, y ajouter 10 ml de solution de saccharose (solution de Sheather) dont la composition est la suivante :
Saccharose : 1500 g
Phénol : 19,5 g
Eau distillé : 1 litre
– Centrifuger 10 minutes à 2500 tours/mn
– Prélever du liquide à la surface du ménisque avec une anse de platine et le déposer entre lame et lamelle.
– Observer au microscope à l’immersion.
Cette technique permet d’obtenir des parasites mieux débarrassés des débris fécaux.
La technique des concentrations combinées de Junod.
Elle associe une concentration à l’éther à la flottaison afin d’éliminer le maximum de résidus alimentaires. Elle a, de plus, l’avantage de traiter un échantillon fécal plus important.
Ce qui en fait une technique de choix pour la recherche de coccidies.
Examen histopathologique
En microscopie optique, les prélèvements d’estomac, de duodénum, de jéjunum, du colon et du rectum, colorés montrent des villosités peu modifiées. Mais toute fois une réaction inflammatoire non spécifique est notée. Les Cryptosporidies apparaissent comme des éléments sphériques de 3 à 5 µm de diamètre, denses hétérogènes, plaqués contre la bordure en brosse des entérocytes dans les cryptes etsurtout dans les villosités.
L’étude au microscope électronique a montré des parasites toujours superficiels mais situés entre la membrane cellulaire et le cytoplasme de l’entérocyte.
L’examen histopathologique de biopsies de la muqueuse intestinale était nécessaire jusqu’en 1992 pour faire le diagnostic de la Cryptosporidiose, mais actuellement les techniques coprologiques l’ont supplanté et permettent de faire le diagnostic de cette maladie et se révèlent moins traumatisantes pour le malade.
Traitement
Aucun traitement n’est totalement efficace que ce soit chez les patients immunocompétents ou immunodéprimés. Deux médicaments ont une activité partielle sur la cryptosporidiose digestive en réduisant la durée des symptômes mais sans permettre une éradication des parasites. Il s’agit de la nitazoxanide (Alinia®, Cryptaz®) à raison de 1 à 2 g par jour per os. Un antibiotique de la classe des rifamycines, la rifaximine (Xifaxan®), semble plus efficace. Pour cette parasitose, l’absence de traitement curatif sans conséquence sur les sujets immunocompétents souligne l’importance du traitement symptomatique en vue de la réhydratation et de la nutrition parentérale chez les patients immunodéprimés.
L’utilisation du lopéramide (Imodium®) réduit de façon significativela diarrhée mais ne tarit pas l’excrétion des oocystes de Cryptosporidium.
Prophylaxie
L’épidémiologie de la Cryptosporidiose en fait une anthropozoonose à transmission fécale. Là, les mesures d’hygiène habituelles concernant le péril fécal doivent être respectées par les sujets en contact avec les jeunes animaux diarrhéiques (vétérinaires, éleveurs), par le personnel médical en contact les malades et par le personnel des laboratoires en évitant l’ingestion d’eau ou d’aliments pouvant être souillés par des matières fécales.
Il faut noter la sensibilité particulière des sujets immunodéprimés à cette parasitose. Chez les sujets immunodéprimés la restauration de l’immunité par le traitement antirétroviral permet d’éviter la survenue de la c ryptosporidiose. Il n’existe aucun vaccin humain ou animal pour la cryptosporidiose et les oocystes de Cryptosporidium spsont résistants aux antiseptiques usuels (crésyl, dérivés iodés, dérivés du benzylkonium). Seules les solutions formolées à 10% et l’ammoniaque à 5% détruisent le pouvoir infectant des oocystes ; ce qui peut aussi être obtenu par action de la chaleur (plus de 60°C pendant 30 minutes) ou du froid (-70°).
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : RAPPELS BIBLIOGRAPHIQUES
I. LA CRYPTOSPORIDIOSE
I.1. Définition
I.2. Historique
I.3. Epidémiologie
I.3.1. Classification
I.3.2. Morphologie
I.3.3. Mode de contamination
I.3.4. Réservoirs de Parasites
I.3.5. Cycle évolutif
a) Schizogonie
b) Gamogonie
I.3.6. Facteurs favorisants
a) D’ordre individuel
b) D’ordre général
I.3.7. Répartition Géographique
I.4. Physiopathologie
I.5. Clinique
I.5.1. Chez les sujets immunocompétents
I.5.2. Chez les patients immunodéprimés
I.6. Diagnostic biologique
I.6.1. Diagnostic parasitologique
I.6.1.1. Prélèvement de selles
a) Chez les immunocompétents
b) Chez les immunodéprimés
I.6.1.2. Recherche des oocystes dans les selles
a) Examen direct
b) Concentration
c) Coloration
I.6.1.3. Recherche des oocystes dans les autres prélèvements
I.6.2. Examen histopathologique
I.6.3. Inoculation aux souriceaux nouveau-nés
I.6.4. Diagnostic immunologique
I.7. Traitement
I.8. Prophylaxie
II. L’ISOSPOROSE
II.1. Définition
II.2. Historique
II.3. Epidémiologie
II.3.1. Classification
II.3.2. Cycle évolutif
a) Phase asexuée ou schizogonie
b) Phase sexuée ou gamogonie
II.3.3. Répartition géographique
II.4. Clinique
II.5. Diagnostic
II.6. Traitement
II.7. Prophylaxie
III. LA SARCOCYSTOSE
III.1. Définition
III.2. Epidémiologie
III.2.1. Classification
III.2.2. cycle évolutif
a) La schizogonie
b) La gamogonie
III.2.3.Répartition géographique
III.3. Clinique
III.4. Diagnostic biologique
III.5. Traitement
III.6. Prophylaxie
IV. LA BLASTOCYSTOSE
IV.1. Définition
IV.2. Historique
IV.3. Epidémiologie
IV.4. Clinique
IV.5. Diagnostic biologique
IV.6. Traitement
V. Les autres parasites et parasitoses intestinales rencontrés
V.1. Protozooses intestinales rencontrées
V.2. Nématodes observés
V.3. Trématodes et Cestodes
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
I. CADRE D’ETUDE
I.1. En milieu rural
I.2. En zone urbaine
II. TYPE D’ETUDE
III. POPULATION D’ETUDEET METHODES
III.1. Les malades
III.1.1. En zone urbaine
III.1.2. En zone rurale
III.2. Les méthodes
III.2.1. Examen parasitologique des selles
III.2.2. Etude analytique
I. Résultats
IV.1. Caractéristiques de la population d’étude
IV.1.1. Répartition de la population en fonction de l’origine géographique
IV.1.2. Répartition de la population d’étude en fonction de l’âge
IV.1.3. Répartition de la population en fonction du sexe
IV.1.4. Répartition de la population d’étude en fonction du statut
IV.2. Signes cliniques
IV.2. Résultats de l’examen direct de selles (KAOP)
IV.2.1. Résultats globaux de l’examen direct de selles (KAOP)
V.2.2. Résultats des examens de selles en fonction de la répartition géographique
IV.2.3. Résultats de l’examen de selles (KAOP) en fonction des espèces parasitaires
IV.2.4. Résultats de l’examen des selles de selles (KAOP) en fonction de l’âge
V.2.5. Résultats de l’examen direct (KAOP) de selles en fonction du sexe
V.2.6. Résultats de l’examen de selles (KAOP) en fonction des signes cliniques
V.3. Résultats de la recherche de Cryptosporidium sppar la méthode de Ziehl Neelsen modifiée
V.3.1. Résultat global de la recherche de Cryptosporidium sppar la méthode de Ziehl Neelsen Modifiée
V.3.2. Résultats de la recherche de Cryptosporidium sp par la méthode Ziehl Neelsen en fonction de l’âge
V.3.3. Résultat de la recherche de Cryptosporidium sppar la méthode de Ziehl Neelsen modifiée en fonction du sexe
V.3.4. Résultat de la recherche de Cryptosporidium sppar la méthode de Ziehl Neelsen modifiée en fonction l’origine géographique
V.3.5. Résultat de la recherche de Cryptosporidium sppar la méthode de Ziehl Neelsen en fonction du statut des patients
V.3.6. Résultat de la recherche de Cryptosporidium sppar la méthode de Ziehl Neelsen modifiée en fonction des signes cliniques
V.4. Association Cryptosporidium sp + Autres parasites
V.5. Résultats de la recherche de Cryptosporidium sppar la méthode ELISA
V.5.1. Résultat global de la recherche de Cryptosporidium sp par la méthode ELISA
V.5.2. Résultats de la recherche de Cryptosporidium sppar la méthode ELISA en fonction de l’âge
V.5.3. Résultats de la recherche de Cryptosporidium sppar la méthode ELISA en fonction du sexe
V.5.4. Résultats de la recherche de Cryptosporidium sppar la méthode ELISA en fonction de l’origine géographique
V.5.5. Résultats de la recherche de Cryptosporidium sppar la méthode ELISA en fonction du statut des patients
V.5.6. Résultats de la recherche de Cryptosporidium sppar la méthode ELISA en fonction des signes cliniques
V.6. Résultats de corrélation des deux méthodes utilisées
VI. DISCUSSION
VI.1. Prévalence de la cryptosporidiose
VI.2. Variation de la prévalence de la cryptosporidiose
VI.2.1. En fonction de l’âge
VI.2.2. En fonction du sexe
VI.2.3. En fonction de la répartition géographique
VI.2.4. En fonction des signes cliniques
VI.3. La prévalence des autres parasites rencontrés
VI.4. L’association Cryptosporidium sp+ autres parasites
VI.5. Limites de la méthodologie
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES