Soutenance mémoire
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Evolution de la vannerie
La vannerie est l’art les plus vieux du monde, elle est antérieure même à la poterie et au tissage. Dès que les hommes ont senti la nécessité d’utiliser des récipients, ils ont manipulé tous les matériaux naturels dont ils disposaient, les tordant et les tissant pour en faire toutes sortes de paniers. Selon la variété du climat et de la flore, les matières travaillées sont les oncs,j la paille, les racines et même les écorces d’arbre. La vannerie met au point des techniques permettant la réalisation d’objets utiles, dont il reste encore aujourd’hui des traces de l’ancien temps comme des vestiges d’ouvrages tressés datant d’environ 10 000 ans avant Jésus Christ au Moyen-Orient, et en Afrique, des fragments de porteries portant l’empreint d’un travail de vannerie vieux de plus de 8 000 ans. Les « Manuscrits de mer mort », datant d’environ 200 ans avant Jésus Christ, ont été retrouvés dans les paniers tressés. En fonction des matériaux disponibles, diférentes techniques de vannerie se sont développées parallèlement sur les différents continents. Les paniers tressés ou nattes et courus tels qu’ils étaient réalisés auMoyen- Orient étaient faits des roseaux fins et des racines, ou de la paille et des joncs.
La grande diversité des cultures et de l’environnement de l’humanité et le développement galopent des moyens de communication, ont donné naissance à de nombreux types de création et de perfectionnement de l’artisanat et de l’industrie. Ainsi par exemple, l’afflux important des immigrants de diverses origines vers l’Amérique du Nord au cours des deux derniers centenaires fut pour le pays une source d’enrichissement de son style et technique dans tout le domaine par le simple « brassage » de leur savoir-faire. Le vannerie serv ait à bien autre chose qu’au simple transport ou emballage. Ainsi, les maisons étaient construites en joncs, puis enduites de boue pour les rendre étanches. Avec le développement de l’industrie, les paniers ont fait leur apparition dans les mines, les moulins, les ateliers de tissage et sur bien d’autres lieux de travail. Dans certains cas, ils sont encore utilisés à nos jours.
A partir du milieu du XXéme siècle, le développement des matières plastiques, des métaux légers et du carton-pâte a permis l’essor des emballages bon marché jetables. Le livreur et son panier ont disparu peu à peu au profit du caddy de supermarché. Le marché de la vannerie a connu un rapide déclin et les vanniers ont peu à peu disparu, ne laissant que quelque traditionalistes ou un petit nombre d’amateurs passionnés.
Dans de nombreux pays, la vannerie occupait jadis une place importante dans les rituels et les croyances et le vannier était tenu en haute estime. Pour les Indiens d’Amérique qui réalisaient de superbes paniers, le statut de celui ou de celle qui les fabriquait témoignait de sa situation au sein de la tribu, et on avait coutume d’enterrer ou de brûler le vannier avec son plus bel ouvrage.
Autour de l’année 1950, en Grande Bretagne par exemple, la vannerie a été souvent considérée comme un état primitif, ou biencomme un plaisantin.
Depuis quelques années, poussé par la nécessité de préserver notre environnement la vannerie a repris un nouveau souffle et les vanniers redeviennent très sollicités.
L’art de la vannerie est redevenu une activité de relance économique et touristique. Les vielles entreprises qui ont survécu difficilement à la période du développent de nouvelles créations, ont poursuivi modestement une production traditionnelle, de manière à satisfaire une demande toujours plus large de paniers à provision face à la nacelle de ballon. Parallèlement les associations de vanniers sont florissantes : on y échange des informations à l’occasion de stages et on développe les contacts entre divers pays. Partout, un plus grand besoin d’information, d’apprentissage et d’inspiration se manifeste.
Caractéristiques du projet
Dans cette section, nous allons définir les éléments suivants :
la définition du projet ;
le but et les objectifs du projet ; les intérêts du projet ;
la typologie de l’entreprise ;
la différenciation du produit
l’environnement.
Définition du projet
Un projet c’est la mise en œuvre d’un e nsemble d’activités, d’opérations qui nécessitent des ressources telles que des monnaies locales ou devises, de la main d’œuvre, qui sont limitées et dont des individus,de s groupes,des collectivités attendent des revenus, et des avantages en nature.
Tout projet finance devrait contribuer de façon notable au développement du pays et être viable sur le plan économique, techniq ue et financier. Cette définition du projet nous conduit, d’une part à celle de la vannerie et de l’autre à l’étude de l’évolution de celle-ci.
But et objectif du projet
Tout d’abord, ce projet a pour but de créer une unité de fabrication des articles en vannerie dans le district de Vangaindrano.
Le choix de ce projet n’est pas arbitraire, ni fortuit mais il est relatif aux objectifs ci-après :
l’exploitation rationnelle des ressources disponibles dans la région ; le développement de la filière de fibres végétaleset ses dérivés ;
la création d’un label de marque pour les vanneries de fabrication locale ;
donner une bonne réputation à la qualité et au prix des vanniers de fabrication locale.
Intérêts
Ce projet vise le développement de la filière vannerie, laquelle constitue une source permanente de revenus pour les promoteurs et les habitants car elle favorise la création d’emplois et favorise le développement de l’économie de la région et en plus augmente les revenus de la population.
Création d’emplois
Le projet crée des l’emplois pour les habitants de la région, lieu d’implantation du projet. Il augmente le niveau de vie de la population et améliore leur condition de vie. Le projet nous présente beaucoup d’avantages parce qu’il résout le problème du chômage.
La création d’emplois renforce la sécurité dans la région parce qu’elle réduit la délinquance juvénile provoquée en partie par l’oisiveté des jeunes.
L’implantation de ce projet en créant de nouveaux marchés de l’emploi dans la région, favorise la stabilité économique, politique et sociale. En plus, il est clair que les familles touchées par ce projet auront une place dans la société, on espère aussi que le travail leur apporte une bonne moralité.
Développement de l’économie de la région
Le développent dépend de la situation économique, politique, sociale existant dans la région ; la création de projet ou réalisation de projet est une facteur de développement nécessaire à l’épanouissement individuel. Ce développement nécessaire se traduit par le développement économique, politique, humain et social.
Des importateurs demandent aux clients exportateurs des produits, qui satisfont pour leur exigence aussi bien pour la présentation que pour la qualité. L’exigence de la relation avec l’extérieur permet aussi de favoriser la performance de la vente.
Augmentation des revenus de la population
L’objectif du projet et d’augmenter les sources de revenu de la population locale. L’amélioration du niveau de vie de la population dépend du revenu de chaque famille ; ainsi le revenu augmentera grâce à la cré ation d’emplois. Ce projet apportera des revenus aux ménagers de la commune.
Typologie de l’entreprise
Ce projet est de type « petite et moyenne industrie ». L’investissement nécessaire est de l’ordre d’Ar 15 102 000. Il prévoit le recrutement de 17 salariés pour les cinq ans à venir.
Le projet adopte une organisation de travail bien définie.
Le chef de centre se détache de la fonction de production et responsabilise les employés dans ce sens pour pérenniser l’activité del’entreprise.
Le personnel est en grande partie, composé de salariés permanents.
La répartition des tâches est bien définie :
• le chef de centre ;
• le responsable technique ;
• le responsable financier ;
• le responsable commercial
• le responsable personnel ;
• les ouvriers ;
• le chauffeur ;
• le gardien
Différenciation du produit
C’est un ajustement pour différencier notre entreprise vis à vis des concurrents. Pour notre cas, cette différenciation est basée sur la qualité et les caractéristiques du produit. Notre production est basée sur l’utilisation des matériaux naturels et si vous examinez de près la vannerie, vous apprécierez la grande variété des objets utilisés. Certains sont cultivés et récoltés spécialement; d’autres sont des matériaux « sauvages », ramassés dans les haies, l es bois, les jardins et les étangs. Et notre effort d’atteindre un niveau de définition satisfaisant.
Nous avons parlé dans le chapitre premier de la présentation du projet c’est-à-dire l’historique de la vannerie, et de la caractéristique du projet.
Maintenant, nous allons voir dans le deuxième chapitre la présentation de la commune d’implantation du projet.
PRESENTATION DE LA COMMUNE
Présenter la commune c’est faire connaître l’historique et la localisation géographique, la ressource de la commune tant humaine que matériel.
Historique et localisation géographique de la commune
Historique
Selon l’historique, le peuplement de la région se faisait à partir du nord et du sud. Les Antesaka se sont installés dans la partie inférieure de la vallée du fleuve Mananara et de ses enfluants dont Itomampy et Ionaivo. Leur croissance a été favorisée par la transformation des marais en rizières. Vers le milieu du XIXème ils se sont éparpillés pour s’installer entre les groupes Bara, Tanala, les Lahanosy, Zafisoro et sur les Andrebakara de Farafangana. Les migrations remontent au XIXéme siècle et se sont particulièrement accentuée sous le régime colonial, mettant fin aux guerres locales et développant les communications, les villes et les plantations.
Origine de la commune1
Analambotaky est le nom d’origine de Vangaindrano car la localité est couverte de forêt dense. Au temps des petits royaum es, l’enlèvement des femmes ou d’hommes esclaves est une pratique courante. La protection des femmes qui cherchent de l’eau sur la rivière de Mananara, a donné le nom deVangaindrano qui signifie : « vanga aina ny fakàna rano » (l’eau s’a cquière dangereusement). Ce nom marque l’importance de l’eau pour la population: en terme de suivie car un nombre important des habitants vivent des ressources halieutiques, le riz est la principale production de la sous région. Cette eau présente aussi une menace permanente pour les habitants de la sous région car elle engendre souvent l’inondation qui occasionne des pertes de production, de vie humaine et des pertes matérielles chaque année.
Migration
Selon l’histoire, l’arrivée des premiers occupants de la zone était vers l’année 1125. Ce sont des rois déchus de la région Sakalava, qui sont à la recherche d’un territoire pour fonder un royaume. Ils ont passé à Sandravinany avant de remonter vers Vangaindrano. Trois frères ont fondé les rois dans Antesaka (Zafimananga, Zafimahavaly, Rabehava) tous descendants d’Andriamandresy, de la grande dynastie de Maroserasera (Nord de Mangoky) .Le cadet est le premier arrivé, suivi de ses deux aînés. Ils sont d’origines diverses (Sakalava, Sahafatra, Bara).
Après la colonisation, d’autres migrants arrivent dans la zone ; ce sont surtout des chinois, des originaires des hautes terres, pour y pratiquer quelque collecte et le commerce. Ils se sont implantés sur tout dans le chef lieu de la commune.
La population de la commune et de la sous zone est majoritairement Antesaka. La partie Nord de la sous région enregistre une évolution du brassage ethnique à cause de la facilite de communication et l’échange.
A l’intérieur de la commune, le phénomène de migration est observé aussi à cause de la forte concentration de population dans les zones d’occupations anciennes. Ce mouvement interne de la population est connu sous l’appellation « mikombo »ou conquête de nouveau terrain du cultur e .Trois foyer de nouvelles
implantations sont localisés au niveau de la commune : Vohitrakora dans le Nord Ouest, Vatovanda et Marorondry dans le sud. Les Antesaka sont réputés aussi pour leur migration hors de la région appelée « mamanga » ; environ, 500 personnes quittent la sous région par an. Ce phénomène est ralenti depuis les dix dernières années. La recherche du travail ou de terrain de production et la fuite aux pressions sociales obligent une partie de la population à émigrer. Après leur décès, les dépouilles sont toujours ramenées dans leur terre d’origine.
Localisation géographique
Situation géographique
Le district de Vangaindrano se trouve dans la région Atsimo Atsinanana, il est chef lieu du district de Vangaindrano. Elle est délimitée entre 51°94’26’’16 longitude Est et 30°71’543’’25 latitude Sud. La commune urbai ne comprend 28 communs ruraux et 231 fokotany.
Figure n°I : Carte de la sous région
Source : Plan communal de développement_ Vangaindrano
Limitrophe
Le district de Vangaindrano est délimité :
• Au Nord, par le district de Farafangana
• Au Nord Ouest, par le district de Vondrozo
• A l’Ouest, par le district de Nosifeno ou Midongy du Sud
• A l’Est, par l’Océan Indien
• Au Sud Ouest, par le district de Befotaka
• Au Sud, par la région Anosy
La commune de Vangaindrano est le portail du district de Midongy du Sud et de Befotaky. C’est un passage incontournable de l’ouverture de la région Atsimo Atsinanana vers la région d’Anosy.
Distance
La commune de Vangaindrano se trouve à 70 km au Sud du chef lieu de la région (Farafangana) sur la route nationale 12 (RN12). Elle est desservie par une route goudronnée de très bon état, qui favorise le développement du transport commun vers Farafangana.
Superficie
Le district de Vangaindrano a une superficie de 5 337 km² C’est à dire qu’il occupe les 29.05 % de la superficie totale de la région Atsimo Atsinanana. C ‘est la district la plus vaste de la région.
Ressources de la commune
Ressources humaines
Population
La population de Vangaindrano est constituée à 79 % de jeunes, allant 0 à 40 ans. Plus de 15 % de la population sont de sexe féminin. La commune de vangaindrano occupe le deuxième rang des communes à très forte densité de population par rapport aux autres districts, avec 2 9279 hab c’est à dire 31.59 % de la région Atsimo Atsinanana. Elle a 54.86 hab / km², ce qui démontre la supériorité en nombre de population.
A l’intérieur de la commune, la répartition spatiale est non homogène avec une forte concentration.
Etat civil
Le taux de croissance au niveau de Vangaindrano est inférieur à la moyenne de la région. Part contre, le taux de mortalité avoisine celui du district mais inférieur à celui de la région.
Ressources naturelles
Climat
Le régime climatique de Vangaindrano est typique de la région Atsimo Atsinanana avec un régime d’Alizé véhiculant un vent humide. Le pluviomètre annuel dépasse 1600mm. La saison chaude et humide s’étale du mois de novembre au mois de mai. Les mois de septembre et d’octobre les moins arrosés ont une précipitation mensuelle de 101mm, une valeur supérieure à celle de Farafangana (89 mm). La température varie de 18°Cà 36°C selon l a saison. Vangaindrano est une zone cyclonique ; de fortes pluies sont enregistrées pendant les mois de février et mars. En général, le climat de la sous région est uniforme.
Relief ou caractères physiques
La commune de Vangaindrano se trouve au niveau d’une altitude inférieure à 50m ; de territoire est à 65 % constitué d’une plaine marécageuse inondable. Le reste est occupé par des monticules entrecoupés par des vallées rizicoles. La commune dispose de 7km de cote avec des plages aménageables.
Vangaindrano forme un grand bassin versant avec les communes d’Ampasimalemy, Tsiatele et Tsianofana.
Hydrologie
Le territoire de Vangaindrano est traversé par le fleuve de Menagnara venant du Nord par Ampasimalemy et les rivières d’Ampanjokoatra et Manampanihy à l’est, qui se déversent vers Tsionofana et Bekaraoky.
Ressources des activités économiques
L’artisanat constitue la plus importante source de revenu pour les ménages au niveau de la commune de Vangaindrano et la sous- région. La sous- région produit des matières premières pour la vannerie et en approvisionne les tisseurs de Vohipeno.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : ETUDE DESCRIPTIVE DU PROJET
CHAPITRE I: PRESENTATION DU PROJET
Section I : Historique
§1 : Notion de la vannerie
§2 : Evolution de la vannerie
Section II : Caractéristiques du projet
§1 : Définition du projet
§2 : But et objectif du projet
§3 : Intérêts
A : Création d’emploie
B : Développement de l’économie de la région
C : Augmentation des revenus de la population
§4 : Typologie de l’entreprise
§5- Différenciation de produit
CHAPITRE II : PRESENTATION DE LA COMMUNE
Section I : Historique et localisation géographique
§1 : Historique
A : Origine de la commune
B : Migration
§2 : Localisation géographique
A : Situation géographique
B : Limitrophe
C : Distance
D : Superficie
Section II : Ressource de la commune
§1 : Ressource humaine
A : Population
B : Etat civil
§2 : Ressources naturelles
A : Climat
B : Relief ou caractères physiques
C : Hydrologie
§3 – Ressources des activités économiques
§4 : Ressources socioculturelles
A: Use et coutumes
a)Circoncision :
b) « Fafy »
c) « Sareky »
d) « Velatry »
e) « Soro » na « Hazolahy »
f) « Sandratra mpanjaka »
g) Funérailles
h) « Harana »
CHAPITRE III : ETUDE DE MARCHE
Section I : Définition et objet de l’étude de marché
§1 : Définition
A : Qu’est ce qu’un marché
B- composants du marché
§2- objet des études de marché
A : analyse de la demande conserne :
B : Analyse de l’offre complète les informations ci-dessus
C :Analyse de facteurs d’environnement
Section II : L’analyse de la demande et de l’offre
§1:Analyse de la demande
A : Identification du marché
a) Critère relatifs à la caractéristique des consommateurs
b) critères sur les réponses de consommateur
B : Etude du comportement des consommateurs
C : Sensibilisation des consommateurs
§2 : Analyse de l’offre
A : Marchés existants
B : Marchés ciblés
C : Prix des produits
D : Etude de la concurrence
a) lConcurrences directes :
b) Concurrents indirects
Section III : Analyse environnement du projet
§1 : L’environnement interne
A : Ressources humaines
B : Ressources financières
C : Ressources techniques
a) Domaine marketing
b) Domaine financier
c) Domaine de production
§2 : Environnement externe
A : Environnement démographiques
B : Environnement socioculturel
C : Environnement économique
D : Environnement technologique
E : Environnement politique
F : Environnement juridique et réglementaire
G : Environnement des relations internationales
Section IV : Part du marché visé
§1 : Marché réel
§2 : Marché potentiel
DEUXIEME PARTIE : ETUDE DE CONDUITE DE PROJET
CHAPITRE I : TECHNIQUE DE PRODUCTION
Section I- Identification des matériels de production
§1- Matières premières
A- Raphia
B- Jonc
a- « zozoro » et le « mahampy »
b- « harefo » et le « herana »
C- Ecorce de banane
D- « via »
E- « afotra »
§2- La main d’oeuvre
§3- Outillage
A- Outils pour le tressage
B- Outils pour la teinture
Section 2- Etude de la réalisation des produits
§1- Approvisionnement
A- Approvisionnement de matières premières
B- Consommation spécifique de matières par produit
§2- Mise en transformation
A- Processus de production
B- Choix des matières premières
§3-Commercialisation
A- Présentation des produits envisagés
B- Capacités des produis envisagés
a) capacités de production annuelle
b) Vente prévisionnelles de l’année N
c) Vente prévisionnel pour le cinq premières années
CHAPITRE II : ETUDE ORGANISATIONNELLE
Section 1- Organisation interne du centre
§1-Organigramme du centre
A- Définition
B- Utilisation des l’organigramme
a)Information
b) Gestion des hommes et des budgets
C- Présentation de l’organigramme
§2- Attributions et fonction
A- Rhef de centre
B- Responsable technique
C-Responsable commercial
D- Responsable financier
E- Responsable de personnel
F- Vanniers
G- Gardien
§3- Profil des postes
A- Expérience
B- Qualités humaines
Section2 : Organisation administration du centre
§1-Demarche administratif
§2- Organisation juridique du centre artisanal
TROISIEME PARTIE : ETUDE FINANCIERE DU PROJET
CHAPITRE I : POLITIQUE ASSOCIÊE A LA GESTION FINANCIERE DU PROJET
Section1 : Décision d’investissement
§1-Notion sur l’investissement
A- Définition
B- Nécessité de l’investissement
§2- Eléments des investissements sur immobilisation du projet
A-Frais d’établissement
B- Terrain
C-Matériaux de construction
D- Agencement, aménagement, installation (AAI)
E- Matériel et mobilier de bureau (MMB)
F- Matériel et outillage
G- Matériel et transport
H- Matériel informatique
I- Autre immobilisation corporelle
§3- Amortissements
A- Définition
B- Calcul d’amortissement
a)-Amortissement de frais d’établissement
b) Amortissement de matériel de construction
c)-Amortissement d’agencement, aménagement, installation
d) Amortissement de matériel et mobilier de bureau
e)-Amortissement de matériel et outillage
f)-Amortissement de matériel de transport
g)-Amortissement de matériel informatique
h)- Amortissement d’autre immobilisation
Section 2 : Décision de financement
§1- Financement proprement dit
A- Conditions d’octroi de crédit de la banque
a) critères subjectifs
b) Critère objectifs
B- Décision de financement du projet
§2- Mode de financement
A- Financement interne
a) Création du capital
b)Autofinancement
B- Financement externe
a)-financement par le fonds propres
b) Financement par des capitaux propres
C-Différents crédits bancaires
a) Crédit de fonctionnement
b) Crédit d’équipement
c)Crédit d’investissement
C- Détermination du montant de l’emprunt et remboursement de crédit
a)Emprunt à long et moyen terme
Section3 : Présentation analytique du bilan financier
§1- Fonds de roulement initial (FRI)
A- Achats de matières premières
B- charges de personnel
C- Service extérieur ou charge extérieur (en Ariary)
D- Autre service extérieur ou autre charge extérieur (en Ariary)
E- Impôt et taxe (en Ariary)
F- Fournitures de bureau (en Ariary)
G- Montant total du FRI (en Ariary)
Section 4 :Comptes de gestion
§1-Comptes des produits :
§2- Comptes des charges
A- Charges fixes
B- Charges variables
Chapitre II : PRESENTATION ET ANALYSE DES ETATS FINANCIERS DU PROJET
Section 1 : présentation des états financiers
§1 :Comptes de résultat prévisionnel
§2-Flux des trésorerie
§3-Bilans prévisionnels
§4-Capacité d’autofinancement
A- Modes de calcul de la capacité d’autofinancement (CAF)
a)Méthode soustractive
b) Méthode additive
Section 2 : Analyse des états financiers
§1 : Seuil de rentabilité
A- Définition
B- Charges fixes
C-Charges variables
§2- Ratios
A- Ratio de rentabilité des capitaux propres ( R1)
B- Ratio de financement ( R2 )
C- Ratio d’autofinancement (R3 )
Chapitre III- : EVALUATION ET POLITIQUE RECENTE POUR RENTABILISER LE PROJET
Section 1 : Evaluation du projet
§1 : Evaluation économique
§2 : Evaluation financière
A : Outils d’évaluation du projet
a) : Valeur actuelles nettes (VAN)
b): Délai de récupération du capital investi
c)-Indice de profitabilité
d)- Taux de rentabilité interne (TRI)
B : Critères d’évaluation
a)Pertinence du projet
b) :Efficacité du projet
c): Efficience du projet
d)- Durée de vie du projet
§3 : Evaluation sociale
Section 2 : Différentes étapes des mesures prise
CONCLUSION
BILIOGRAPHIE
ANNEXES
LISTE DES ILLUSTRATIONS
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