Resistance bactérienne a l’action des antiseptiques

PROPRIETES ANTIMICROBIENNES 

Antiseptique 

Mécanisme d’action

Leur activité est due au pouvoir oxydant de l’acide hypochloreux qui devient les protéines structurales et enzymatiques des cellules des micro-organismes.
Théorie de l’action antimicrobienne des dérivés chlorés.
Le chlore et ses dérivés actifs sont hydrolysés en solution pour donner de l’acide hypochloreux. Ensuite, l’activité bactéricide peut être associée à laconcentration de molécules d’acide hypochloreux non dissociées. Les dérivés chlorés lorsqu’ils sont présents en solution peuvent se présenter sous trois formes : le chlore élémentaire (Cl 2), l’acide hypochloreux (HClO) et l’ion hypochlorite. Ces formes sont retrouvées dans l’eau à condition qu’il n’y ait pas d’ammoniaque ou d’autres composés nitrés susceptibles de former des chloramines et qu’il y ait une quantité suffisante de chlore permettant de suppléer la demande en chlore des matières inorganiques. Généralement, ce qui est dénommé chlore actif en solution aqueuse est formé par un mélange d’ion ClO, Cl2, HClO ainsi que d’autres dérivés actifs chlorés. Le mécanisme d’action au niveau de la cellule : il agirait sur la membrane cellulaire et les enzymes cytoplasmiques ; la rapidité de son action serait en faveur d’une oxydation (non ionisée). Celui-ci présent dans les solutions de chlore ou des dérivés est hydrolysé sous forme d’acide chloreux. L’activité bactéricide paraît associée à la concentration en molécules non dissociées d’acide hypochloreux.
L’acide hypochloreux est sous forme non dissociée à ph 5 (la dissociation augmente avec le pH.

Température

L’activité bactéricide était meilleure quand la température augmentait : à l’inverse la stabilité diminuait. Cet effet est plus important avec les composés organiques qu’avec les hypochlorites. Le coefficient température est de 2 quant on élève la température de 10°C (de 20 à 50°C) au cours des expériences de sporicidie.

Concentration

Ce facteur est moins important que le précédent. Cependant, en cas d’évaluation de la concentration en chlore actif, alors que le pH, température et taux de matières organiques sont constants, l’activité antimicrobienne est augmentée.
Le chlore est un antiseptique dont l’activité est peu modifiée par la dilution, l’exposant de concentration étant le 1 environ (0,5 – 1,5). Leshypochlorites, en particulier, les solutions diluées comme le soluté de Dakin,peuvent être influencées par des modifications de concentration alors que les chloramines le sont moins.

Matières organiques

Le chlore est fortement inactivé par les matières organiques même à l’état de traces comme sang, Sérum ou savons. Les chloramines sont les composés moins sensibles, ce qui explique leur utilisation pour la désinfectiondes eaux usées.
Certaines matières organiques ne réagissent cependant pas avec le chlore comme les hydrates de carbone (sauf le lévulose), les alcoolsméthyliques et éthyliques, le glycérol, l’amidon, les oléates, palmitate et acétate de sodium. Le chlore réagit avec les composées azotés qi ont plus ou moins d’affinité pour lui. Dans certains cas, des composés possèdent des groupements aminés forment des chloramines conservant ainsi une certaine activité bactéricide. Le chlore est également inactivé par les sulfites et thiosulfates ; les sels ferreux, les thiocyanates ; ces produits se trouvent parfois dans les effluents industriels. Par contre, la durée de l’eau ne modifie pas son action. Les rayonsultra-violets. Ils favorisent la formation des chlorates inactifs, ce qui implique de conserver ces produits dans des récipients fermés à l’abri de la lumière.

EMPLOIS

• Antiseptique peau, saine, muqueuse, plaies.
• Prévention de la transmission du virus HIV chez les personnels de santé (antisepsie des tissus vivants)
• Désinfection des matériels.

RECOMMANDATION

Hypochlorite de sodium à 1% de chlore actif pendant une minute deux fois de suite pour le rinçage des seringues après nettoyage à l’eau stérile.
Recommandations de l’OMS distinguent les surfaces souillées et les surfaces nettoyées.
Dans la situation des surfaces souillées d’une solution de 0,5% de chlore actif et dans la situation de surfaces nettoyées l’utilisation d’une solution de 0,05% de chlore actif.
Antisepsie des tissus vivants.
Pour l’antisepsie des tissus vivants après contact avec du sang ou des liquides biologiques contaminés, recommandation d’un lavage à l’eau et au savon, puis l’application d’eau de javel 0,1% de chlore actif ou d’alcool éthylique à 70%.
Il semble que les différentes solutions d’hypochlorite de sodium disponibles (eau de javel diluée, Dakin officinal fraîchement préparé, Dakin
Cooper stabilisé) peuvent être utilisées.

Matériels et méthodes

Matériels

Erlenmeyer de 150ml ou 200ml
Becher de100ml
Eprouvette de 50ml
Eprouvette de 10ml
Pipette de 5ml
Burette de 20ml
Fiole de 100ml
Fiole de 50ml;

Réactifs

Solution de Dakin
Iodure de potassium
Acide acétique cristallisable (concentré)
Solution de thiosulfate 0,1N à préparer
Empois d’amidon
Eau distillée

Méthodes

Mesure du pH

Le pH est mesuré au moyen d’un pH-mètre. Il est constitué d’un potentiomètre permettant de mesurer le potentiel entre deux électrodes plongeant dans une solution riche en ions H+. On constitue la pile suivante : Electrode de mesure Solution pH inconnu Electrode de référence Le pH-mètre mesure la différence de potentiel aux bornes de cette pile et convertit directement ce potentiel en unité pH.

Mesure de la température

La température est mesurée au moyen d’un thermomètre mural. Il est constitué d’un réservoir qui contient du mercure.
Pour lire la température, on regarde jusqu’à quelle graduation arrive le liquide coloré. Plus la température est élevée, plus le liquide coloré monte dans lethermomètre.

Dosage du chlore actif

Principe du dosage du chlore actif

En milieu acétique, les hypochlorites donnent naissance a du chlore qui, en présence d’un excès d’iodure de potassium, libère une quantité équivalente d’iode. L’iode ainsi libéré est dosé par une solution de thiosulfate de sodium. 2 KI + NaOCl + 2 CH 3COOH → NaCl + 2 CH 3COOK + H2 O + I2.

Mode opératoire

Dosage du chlore actif contenu dans le Soluté de Dakin

On introduit dans un erlenmeyer : 50 ml d’eau ; quelques cristaux d’iodure de potassium ;5 ml d’acide acétique cristallisé ;une prise d’essai de 10 ml de soluté de Dakin.
L’iode libéré est titré à l’aide d’une solution de thiosulfate de sodium 0,1N. Soit n le nombre de millilitres de solution de thiosulfate de sodium 0,1 N.

DISCUSSION

Le soluté de Dakin, connue aussi comme liqueur de Dakin, est devenu l’un des principaux antiseptiques sur le marché. Sa composition, en faisant appel à une base d’eau de javel diluée comme principe actif, en fait un liquide très performant dans la lutte contre la prolifération des bactéries ou autres infections virales [36, 37, 45]. L’eau de Dakin voit le jour au cours de la première guerre mondiale [24]. A cette époque, la recherche d’un puissant désinfectant est primordiale et permet de fortifier les troupes amoindries par larudesse des combats.
Le chirurgien français spécialiste du traitement des plaies de guerre Alexis Carrel, notamment prix Nobel de physiologie et de médecine en 1912 et resté célèbre pour son expérience du cœur de poulet battant in vitro, met ainsi au point cet antiseptique avec le chimiste britannique Henry Drysdale Dakin,qui donnera au désinfectant son nom, dans un hôpital militaire [24].L’eau de Dakin est composée d’eau de javel, ou hypochlorite de sodium à 1,5 degré chlorométrique, et d’autres espèces chimiques dont 0,238 mol.L-1 d’ions hydrogénocarbonate HCO3-. Ce mélange contient, pour le colorer et le stabiliser vis-à-vis de la lumière, 10mg.L-1 de permanganate de potassium qui lui donne sa coloration rosée. L’eau de javel est donc diluée et assure un lavage adéquat des plaies. Le stockage de l’eau de Dakin est une condition sine qua non de son efficacité. En effet, il est conseillé de conserver cette solution à l’abri de la lumière pour éviter une décomposition rapide du produit qui aura lieu en quelques jours.

pH des solutés de Dakin

Aucun échantillon n’a respecté la norme (tableau V et VI). En effet, alors que la norme est de 5 les valeurs moyennes trouvées pour nos échantillons sont 8,84 et 9,89 respectivement pour les solutés de Dakin officinal ou de valdafrique et le soluté Dakin Cooper.
Pour avoir une activité, le pH du soluté de Dakin ne doit pas être inférieur à 5. L’activité antimicrobienne de celui-ci est maximale à pH égale à 5, valeur à laquelle la dissociation de l’acide hypochloreux est minimale. En milieu acide, du chlore volatil se forme avec comme conséquence une perte d’activité du soluté de Dakin. A pH alcalin l’activité anti-microbienne est diminuée car l’acide hypochloreux passe à l’état d’hypochlorite plus stable mais moins actif.
L’activité antimicrobienne est plus forte pour la forme HCIO (acide hypochloreux) que pour la forme CIO- (hypochlorite). Plus le pH est élevé, plus la proportion d’acide hypochloreux et donc l’activité antimicrobienne diminuent. A l’inverse, plus le pH est bas, plus il y a risque de perte d’activité par décomposition d’acide hypochloreux en chlore gazeux qui s’échappe. Une des solutions permettant d’obtenir une bonne stabilité du produit lors de laconservation est d’ajouter de la soude pour maintenir un pH élevé.

Température du soluté de Dakin

La moyenne des valeurs de température des échantillons étudiés est de 26,19°C et 25,64°C respectivement le soluté officinal ou de Valdafrique et celui de Cooper (tableau V et VI). La stabilité du soluté de Dakin diminue quand la température augmente [23, 55]. Cependant, les dérivés chlorés sont plus actifs à 37° C qu’a 22°C.
La température moyenne trouvée pour nos échantillons est inférieure à la norme permettant d’obtenir une efficacité optimale du soluté de Dakin surles germes. Par conséquent, l’activité antiseptique de celui-ci pourrait être affectée par ces faibles températures.

Quantité de chlore actif dans les solutés de Dakin

En ce qui concerne les solutés Dakin Cooper, la moyenne de la quantité de chlore est de 5,15g/l, soit l’équivalent de 1,62° chlorométrique. Par conséquent, tous les échantillons étudiés sont conformes par rapport à la norme qui est de 5g/l, (tableau VIII) donc les échantillons et donc présententune bonne activité antiseptique.
La valeur moyenne est de 2 g/l pour les solutés de Dakin officinal ou de Valdafrique, soit 0,63° chlorométrique (tableau VII). Les résultats obtenus pour la plupart des échantillons analysés sont inférieurs à la norme. Seuls, deux échantillons sont conformes aux normes: les échantillons n°39 et 48 avec des doses respectives de 6,10g/l et 4,75 g/l de chlore actif.
La faible teneur en chlore actif pourrait s’expliquer par le non respect de la conservation à l’abri de la lumière pour certains échantillons.
Par ailleurs, il a été constaté l’utilisation de verre transparent pour conditionner certains échantillons de solutés de Dakin officinaux. Il faut signaler que les rayons UV solaires favorisent la formation de chlorates inactifs.
Pour préserver l’efficacité de cet antiseptique, il importe donc de conserver les produits à l’abri de la lumière et dans des récipients étanches [23, 55].
Le type d’eau utilisée peut jouer également un rôle non négligeable dans la qualité « microbiologique » du Dakin préparé. En effet, l’eau du robinet qui est souvent utilisée dans les officines de pharmacie pour préparer le soluté de Dakin peut être source de contamination de celui ci.

CONCLUSION

Les antiseptiques sont des produits couramment utilisés en milieu hospitalier. Leur rôle est primordial dans la lutte contre les infections nosocomiales. Ces dernières représentent la troisième cause de mortalité néonatale précoce et la première cause de morbidité postopératoire. Sur le plan économique ces infections nosocomiales en augmentant la durée d’hospitalisation, augmentent les dépenses occasionnées par les explorations biologiques et les traitements antibiotiques. Le soluté de Dakin est un antiseptique d’usage très courant en milieu hospitalier. Il est utilisé pour le lavage des plaies et des muqueuses, de couleur rose et a l’odeur d’eau de Javel.
Le soluté de Dakin a pour avantage de ne pas être colorant (contrairement à l’éosine, par exemple) et de ne pas produire de sensation d’irritation à l’usage (contrairement à la Bétadine par exemple). Il est également à noter que le soluté de Dakin n’est pas utilisé que pour le lavage des plaies. Beaucoup de praticiens utilisent aussi cette solution comme désinfectant pour nettoyer leurs instruments médicaux.
Il est à base d’hypochlorite de sodium (eau de Labarraque c’est-à-dire de l’eau de Javel diluée) additionnée de permanganate de potassium pour la stabiliser. Cependant, la solution doit être conservée à l’abri de la lumière pourralentir sa décomposition, qui est rapide (environ 7 jours après ouverture).
Comme les solutions d’hypochlorite sont basiques, la solution est tamponnée avec du dihydrogénophosphate de sodium par exemple.
Le soluté de Dakin est facile à préparer et présente un coût de production peu élevé.
Le stockage du soluté de Dakin est une condition sine qua non de son efficacité. En effet, il est conseillé de conserver cette solution à l’abri de la lumière pour éviter une décomposition rapide du produit qui aura lieu en quelques jours.
Cette étude prospective a porté sur l’évaluation de la qualité des solutions de Dakin utilisées à Dakar. Les échantillons étudiés ont été prélevésau niveau des officines de pharmacie.
En ce qui concerne les valeurs de pH, aucun échantillon n’était conforme.
En effet, alors que la norme est de 5 les valeurs moyennes trouvées pour nos échantillons sont 8,84 et 9,89 respectivement pour les solutés de Dakin officinal ou de valdafrique et le soluté Dakin Cooper. L’activité antimicrobienne du soluté de Dakin est maximale à pH égale à 5, valeur à laquelle la dissociationde l’acide hypochloreux est minimale.
La moyenne des valeurs de température des échantillons étudiés est de 26,19°C et 25,64°C respectivement le soluté officinal ou de Valdafrique et celui de Cooper. La stabilité du soluté de Dakin diminue quand la température augmente. Toutefois l’activité des antiseptiques à base de chlore est plus importante à des températures voisines de 37° C.
En ce qui concerne les teneurs en chlore des solutés de Dakin, la valeur moyenne de la quantité de chlore est de 5,15g/l pour le Dakin Cooper. Par conséquent, tous les échantillons étudiés sont conformes par rapport à lanorme qui est de 5g/l.
Pour les solutés de Dakin officinal ou de Valdafrique, la valeur moyenne est de 2 g/l. Les résultats obtenus pour la plupart des échantillons analysés sont inférieurs à la norme. Seuls, deux échantillons sont conformes aux normes. La faible teneur en chlore actif pourrait s’expliquer par le non respect de la conservation à l’abri de la lumière du soluté de Dakin et à l’utilisation de l’eau de robinet lors de la préparation de celui ci.
Par ailleurs, il a été constaté l’utilisation de verre transparent pour conditionner certains échantillons de solutés de Dakin officinaux. Il fautsignaler que les rayons UV solaires favorisent la formation de chlorates inactifs sur les germes. Pour préserver l’efficacité de cet antiseptique, il importe donc de conserver les produits a l’abri de la lumière et dans des récipients étanches.
Les résultats de cette étude montrent manifestement des problèmes de qualité de la plupart des échantillons de soluté de Dakin délivrés dans les officines de pharmacie avec notamment une faible teneur en chlore actif.
A l’issue de ce travail, quelques recommandations peuvent être formulées :
– Utiliser des flacons teintés pour stocker et transporter les solutés de Dakin
– Conditionner les solutés de Dakin dans des flacons opaques ;
– Conserver les solutés de Dakin à l’abri de la lumière et à une température ne dépassant pas 37°C ;
– Utiliser de l’eau bouillie préférentiellement à l’eau du robinet puisqu’elle permet de détruire d’éventuels microorganismes pouvant contaminer la préparation ;
– Mener une étude similaire sur les solutés de Dakin utilisés en milieu hospitalier.

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Table des matières
INTRODUCTION 
CHAPITRE I : GENERALITES 
I.1 – HISTORIQUE
I.2 – MODE D’ACTION DES ANTISEPTIQUES
I.2.1 ALTERATION DE LA MEMBRANE CYTOPLASMIQUE
I.2.2 ACTION SUR LE METABOLISME
I.2.3 OXYDATION ET DENATURATION DES PROTEINES
I.3 – CLASSIFICATION
I.3.1 OXYDANTS
1.3.1.1 Peroxyde d’hydrogène et Dérivés
I.3.1.2 Chlore et dérivés
I.3.1.3 Iode
I.3.2 – ALCOOLS
I.3.3 – METAUX LOURDS ET LEURS SELS
I.3.4 – AGENTS TENSIO-ACTIFS
I.3.4.1 – Tensio-actifs cationiques de charges positives
I.3.4.2 – Tensio-actifs anioniques de charges négatives
I.3.4.3 – Tensio-actif amphotère
I.3.5 – SAVONS
I.3.6 – PHENOLS
I.3.7 – CHLORHEXIDINE
I.3.8 – CARBANILIDES
I.3.9 – LES SALICYLANIDES
I.3.10 – HEXAMIDINE
I.3.11 – LES COLORANTS
I.3.12 – 8-HYDROXY QUINOLEINE
I.4 RESISTANCE BACTERIENNE A L’ACTION DES ANTISEPTIQUES
I.4.1 RESISTANCE NATURELLE OU INTRINSEQUE
I.4.2 RESISTANCE ACQUISE
I.5. EVALUATION DE L’ACTIVITE DES ANTISEPTIQUES
I.5.1 NORMES AFNORET EN
I.5.2 PHARMACOPEE FRANÇAISE
CHAPITRE II : LE SOLUTE DE DAKIN
II.1. PREPARATION
II.2. PROPRIETES ANTIMICROBIENNES
II.2.1. ANTISEPTIQUE
II.2.1.1. Mécanisme d’action
II.2.1.2. Facteurs influençant l’activité ph
II.2.1.2.1. Température
II.2.1.2.2. Concentration
II.2.1.2.3. Matières organiques
II.3 EMPLOIS
II.4 CONTRÔLE DE QUALITE DU DAKIN
II.4.1 METHODE PHYSICO –CHIMIQUE
CHAPITRE III: TRAVAIL PERSONNEL 
III .1. OBJECTIF
III.2. CADRE D’ETUDE
III.3. MATERIEL ET METHODES
III .3.1. ECHANTILLONNAGE
III.3.1.1. Prélèvement
III.3.1.1.1 Soluté de Dakin de préparation officinale ou de Valdafrique
III.3.1.1.2 Soluté de Dakin Cooper
III.3.2. Matériels et méthodes
III.3.2.1. Matériels
III.3.3.2.2. Réactifs
III.3.2.3. Méthodes
III.3.2.3.1. Mesure du pH
III 3.2.3.2. Mesure de la température
III.3.2.3.3. Dosage du chlore actif
IV. RESULTATS
V. DISCUSSION
V.1.PHDES SOLUTES DE DAKIN
V.2. TEMPERATURE DU SOLUTE DE DAKIN
V.3. QUANTITE DE CHLORE ACTIF DANS LES SOLUTES DE DAKIN
CONCLUSION 
REFERENCES BIOBLIOGRAPHIQUES 

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