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PATIENTS ET METHODES
Type et Période d’étude
Il s’agissait d’une étude bibliométrique rétrospective et descriptive portant sur les mémoires des étudiants inscrits en 4ème année du Diplôme d’Etudes spécialisées (DES) en Pédiatrie entre l’année universitaire 2006-2007 et l’année universitaire 2017-2018. Ceci fait que notre étude s’est étalée de 2004 à 2018 (vu que certains avaient soutenus leur thèse qui leur a servi de mémoire bien avant qu’ils ne commencent leurs études spécialisées en Pédiatrie).
Population d’étude
Durant la période d’étude, 149 étudiants étaient inscrits en 4ème année du DES en pédiatrie. Lors du recensement de leurs mémoires ou de leurs thèses mémoires, 47 n’étaient pas retrouvés.
Parmi ces 102 étudiants restants :
– 58 avaient fait une thèse mémoire. Ces thèses mémoires étaient soutenues le plus souvent bien avant le début ou avant la fin des études spécialisées en pédiatrie.
– 44 avaient fait un mémoire dont 42 réalisés au Sénégal et 02 réalisés hors du Sénégal (01 au Cameroun et un autre au Mali). Ces mémoires étaient soutenus à la fin des études spécialisés et concernaient :
o Les étudiants étrangers ;
o Les étudiants sénégalais dont le sujet ne portait pas sur la pédiatrie ; o Les médecins militaires.
Critères d’inclusion
Etaient inclus tous les mémoires et thèses mémoires des étudiants soutenus en pédiatrie et durant la période d’étude.
Critères d’exclusion
Etaient exclus de cette étude :
– Tous les mémoires ou thèses mémoires qui n’ont pas été retrouvés
– Tous les mémoires réalisés dans les autres spécialités
– Toutes les thèses ne faisant pas à la fois objet de mémoire en Pédiatrie.
Taille de l’échantillon
La taille de l’échantillon était de 102 mémoires.
Collecte des données
Tout d’abord, nous avions essayé de lister les étudiants et leur mémoire comptabilisés au bureau du 3ème cycle de la Faculté de Médecine de l’UCAD de Dakar.
La recherche des mémoires ainsi que des thèses mémoires avait été poursuivie dans la base de données de la bibliothèque numérique de l’UCAD de Dakar dans les archives des services universitaires de la faculté de médecine de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, des bases de données (Pubmed, Medline) pour les articles et de l’interview des directeurs de thèses et mémoires.
La collecte des données était faite à l’aide d’une fiche d’enquête établie à cet effet comportant :
– d’une part des données dans le mémoire ou la thèse mémoire à savoir :
o le lieu de l’étude ;
o le type d’étude (prospective, rétrospective, transversal) ;
o l’année de soutenance du mémoire ; o le domaine de recherche.
– d’autre part :
o Le nombre d’articles tirés des mémoires présentés
o Les journaux de publication répartis selon la classification du CAMES en journaux locaux, locorégionaux et internationaux
o L’indexation du journal de publication
En outre, le devenir du mémoire avait été étudié à travers une recherche documentaire dans la base de donnée « Medline» ainsi qu’à l’aide du moteur de recherche scientifique « Scholar Google». Une requête combinant le titre du mémoire ainsi que les noms des auteurs potentiels de la publication (directeur et/ou co-directeur de la dissertation) avait permis de vérifier l’éventuelle publication issue du mémoire ou de la thèse mémoire.
Le devenir des thèses et mémoires correspondait à l’article qui en était tiré. Il était évalué uniquement pour ceux réalisés entre les années 2004 et 2015 ; les thèses et mémoires des années postérieures étant toujours susceptibles d’être publiées. Le délai moyen souhaité pour la publication d’un résultat de recherche est de 04 ans. Au-delà de ce délai, le résultat pourrait ne plus être d’actualité.
Définitions opérationnelles
Disposant de la répartition des enseignants en fonction de la sous spécialité, nous avons calculé des indicateurs afin d’évaluer la productivité des différentes sous spécialités en termes de mémoires ou thèses mémoires et de publications qui en sont issues.
– Ratio enseignants de RANG A/enseignants de Rang B évalué de 2012 à 2018 o RANG A correspondait aux professeurs (titulaires et assimilés)
o Rang B correspondait aux Maîtres de conférences titulaires et Maîtres de conférences assimilés
– Ratio mémoire-enseignant : c’est le nombre de mémoires réalisés au sein d’une sous spécialité donnée, pendant la durée d’étude, rapporté au nombre moyen d’enseignants qui appartenaient à cette sous spécialité.
– L’indice de devenir des mémoires: c’est le produit du nombre d’articles publiés issus de mémoires et le ratio mémoire-enseignant de la même sous spécialité pendant toute la période de l’étude.
– Indice de productivité correspondait au produit du nombre d’articles publiés issus des mémoires par l’indice mémoire-enseignants.
Analyse statistique
Les données ont été saisies et analysées avec le logiciel SPSS. L’étude descriptive était réalisée par le calcul de pourcentages. Les données quantitatives ont été présentées sous forme de moyenne avec un écart-type ou de médiane avec un minimum et un maximum.
Devenir des mémoires
Entre 2004 et 2015, nous avions recensé 65 mémoires. Parmi ces productions scientifiques, 13 (20%) avaient fait l’objet de publication.
Comparé à une étude faite récemment sur les productions scientifiques en Pédiatrie entre 2012 et 2018, Thiam N. avait recensé 118 thèses parmis lesquelles 26 (soit 35,60%) ont été publiées [25]. Le taux de mémoires publiés correspond presque à la moitié des thèses publiées. Ceci à cause du fait du nombre restreint de DES en Pédiatrie expliquant le faible taux de mémoires soutenus.
Dans les 172 thèses recencées par Fabre A en 2003, 48 avaient été publiées, soit 27,9 % [12]. De même que dans l’étude portant sur l’analyse des thèses en Turquie sur une période de 15 ans, 27,1 % avaient fait l’objet de publication [7]. Ces résultats sont nettement inférieurs à ceux de Niang M. qui a rapportée dans une étude bibliométrique de toutes les thèses de chirurgie dentaire soutenues au service d’orthopédie dento-faciale de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Sénégal) entre 1991 et 2008, un taux de publication de 35,7% [18]. Pour ceux de Brest, 37,5% des thèses pédiatrie ont été publiées entre 2001 et 2005 [4, 6, 9].
Comparé à ces résultats, notre taux de publication est faible mais superposable aux travaux réalisés à Lille où la proportion de thèses de pédiatrie publiée entre 2001 et2007 était de 14% [4]. Selon Chassagnon G, la pédiatrie occupe 29% des thèses publiées [8]. Au niveau international, le taux de publication varie de 5,8 % à 30% avec une moyenne de 20% [1, 3, 10, 14, 19, 21, 26]. Ces comparaisons montrent que le taux de publications des travaux au service universitaire de pédiatrie de Dakar est satisfaisant.
Dans notre étude Le pic de production scientifique annuelle était noté en 2015 et en 2018. Le ratio rang B/rang A était plus élevé à partir de 2013 avec une nette progression comparée au ratio des enseignants de rang A. Cela nous renseigne qu’il y avait une forte production croissante des enseignants du rang B sur ceux du rang A à partir de l’année 2013.
L’indice mémoire-enseignants était plus élevé en 2015 et 2018 avec une moyenne de 0,52 durant les sept années d’étude soit un ratio mémoire-enseignant annuel de 0,07 mémoire/enseignant annuel. Comparée aux études réalisées sur les thèses par Thiam N, la ratio thèse-enseignant annuel était de 0,2 thèse/enseignant/an correspondant presque au triple des travaux réalisés sur les mémoires.
Dans une étude portant sur le profil bibliométrique et le devenir des thèses soutenues à la faculté de médecine de Monastir en Tunisie de 2001 à 2007, la pédiatrie avait un ratio thèse-enseignant de 4,43 soit 0,88 thèse/enseignant annuel [3]. Ce qui est supérieur à nos résultats.
Comparé aux thèses, le taux de publication des mémoires est très faible et ceci pourrait être amélioré par une meilleure qualité des travaux scientifiques à travers un bon choix des sujets de mémoires, et une bonne vulgarisation de la méthodologie de la recherche.
Type d’étude
Dans notre série, tous les travaux avaient porté sur des études observationnelles parmi lesquelles les études descriptives étaient plus marquées notamment celles rétrospectives.
Nos résultats sont superposables à Chassagnon G. et al qui avaient eu 76% d’études rétrospectives [8].
Dans une étude évaluant les thèses dans le domaine de la médecine familiale, Yaman et al ont montré que 67,1% d’entre eux étaient d’observation, 7,9% étaient expérimentaux et 25% étaient rétrospectifs [27]. Dans la même étude, 59,3% des études d’observation étaient descriptives et 70% transversales [5].
Les résultats de Cevik E. et al [7] ont montré que la plupart des thèses étaient également des études observationnelles compatibles avec Yaman et al [27]
Ben Salem K. et al [3] avaient noté dans leur étude que les études d’ordre clinique et épidémiologique étaient les plus fréquentes, au détriment des études portant sur des sciences fondamentales. Cette constatation a été rapportée dans de nombreuses études [22,24].
En effet, la faible fréquence des études portant sur des sciences fondamentales peut s’expliquer par le fait que ces études nécessitent parfois la réalisation d’examens paracliniques très spécialisés et onéreux.
La fréquence des études rétrospectives s’explique par leur facilité de réalisation, leur coût plus faible en ressources humaines et financières. L’interview des encadreurs révèle aussi que la propension aux études rétrospectives pourrait être expliquée par les lacunes en méthodologie de la recherche chez les chercheurs en début de carrière.
Domaine d’étude
Globalement les trois thèmes principaux des thèses de pédiatrie étaient la néonatologie, l’infectiologie et la cardiologie. Cette prédominance de la néonatologie était aussi soulignée par Fabre A en 2003 [12].
La mortalité néonatale est un problème majeur de santé publique dans le monde. Sur les 130 millions d’enfants qui naissent chaque année dans le monde, environ 4 millions décèdent avant leur 28e jour dont 2 millions dans la première semaine de vie [20]. La mortalité néonatale représente 40 % des décès de moins de 5 ans [20, 27]. Ce qui implique que les efforts déployés pour atteindre l’objectif de développement durable (ODD) de l’OMS doivent être concentrés sur la mortalité néonatale dans les pays à fort pourcentage de décès néonatal.
Dans une étude portant sur le taux de publication des thèses de santé publique dans des revues internationales et nationales au comité de lecture en Turquie en 2009, les domaines de recherche les plus courants étaient la médecine du travail, la santé de la reproduction, les maladies infectieuses et la vaccination [26].
Par contre dans les résultats de Balva H. les recherches traitaient en premier lieu de la santé publique, de la médecine d’urgence, de la pneumologie [2].
Revues de publication
Dans notre étude, 20% des productions scientifiques avaient servi de support à des publications. Près de la moitié (46,15%) avait été publiée dans des revues indexées.
Comparée aux travaux de Thiam. N, plus d’un tiers des productions scientifiques pédiatriques (36,9%) avaient servi de support à des publications. Près de la moitié (47,4%) avait été publiée dans des revues indexées [25]. Foucheyrand [12] avait noté dans son travail que 30,3% de thèses avait servi de support pour des publications. Cependant parmi les articles publiés, seuls 8,9% l’étaient dans des revues indexées. Ce faible taux de publication dans les revues indexées est inférieur au nôtre.
A Lomé (Togo), 22,5% (54) articles issus des thèses soutenues à la faculté de médecine avaient été publiées dans des revues indexées [20].
Balva H. et al avaient eu un taux de publication indexée dans Medline de 6,3% entre 1997 et 1999 contre 14% entre 2007 et 2009. Ceci correspond aux résultats de l’étude de Moreau [16] qui, dans la même ville sur la période de 2004 à 2008, avait retrouvé un taux de publications indexées des thèses de 11% [16].
Cevik E. et al avaient eu un taux de publication de 14,9% des thèses dans des revues indexées [6].
Dans une étude réalisée au Pérou 482 thèses avait été enregistré entre 2000 et 2003, dont 85 avaient été publiées dans les revues biomédicales indexées soit 17%. [1].
Ces faibles proportions de thèses publiées étaient rapportées par Ben Salem K. et al qui avaient étudié 616 thèses dont seules 88 (14,3 %) avaient fait l’objet de publications indexées dans les bases consultées, soit une thèse sur sept.
Selon Chassagnon G. et al, sur les 224 thèses de médecine qui avaient été rédigées par des résidents français en radiologie en 2009 et 2010, 79 avaient été transformées en articles publiés dans des revues indexées par Medline soit 35,3% [7].
Niang M. avaient rapporté un taux de publication de 35,7% dans des revues indexées.
Dans notre étude, presque tous les travaux étaient publiés dans des revues régionales
Une étude réalisée en 2009 portant sur le taux de publication des thèses de santé publique dans des revues internationales et nationales au comité de lecture en Turquie a montré un taux de publication global dans les revues nationales turques de 18% et un taux de publication global dans les revues internationales de 11,9% [24].
Yaman et Atay ont analysé 227 thèses en sciences du sport turques et ont rapporté un taux de publication de 1,7% dans des revues internationales [25].
Frkovic et al ont rapporté que 34% des 634 thèses soutenues dans les deux principales facultés de médecine croates (Rijeka et Zagreb) entre 1990 et 1999 ont donné lieu à des publications internationales [13]. Salmi et al. analysé le taux de publication d’un échantillon de thèses en français présentées dans les 36 universités de médecine de 1993 à 1997 et a révélé que 17% avaient donné lieu à une publication internationale [23].
CONCLUSION
La recherche médicale constitue un objectif majeur pour la vie professionnelle des praticiens. Les thèses et mémoires signent la fin des études médicales, mais permettent également l’occasion d’un travail scientifique.
Cependant en Afrique, et au Sénégal en particulier, la recherche est confrontée à l’insuffisance de son financement et de sa reconnaissance internationale. Malgré ces facteurs de blocage une intense activité de production scientifique est menée dans le service universitaire pédiatrique de Dakar depuis des décennies. Dans cette perspective, il nous a paru opportun d’effectuer ce travail dont l’objectif était de faire une analyse descriptive , des mémoires publiés en pédiatrie et de formuler des recommandations.
Il s’agissait d’une étude rétrospective descriptive menée aux CHU de Dakar. Elle avait porté sur les travaux scientifiques réalisés dans le service universitaire de pédiatrie sur une période de 14 ans allant du 01 janvier 2004 au 31 décembre 2018. Nous avions inclus les mémoires soutenus durant la période d’étude. Le devenir de ces travaux de recherche était évalué uniquement pour ceux réalisés de 2004 à 2015. Ainsi, nous avions procédé à une revue à partir de la bibliothèque numérique de l’UCAD, à partir des bibliothèques des services universitaires, pour les mémoires, une revue des bases de données (Pubmed Medline), des sommaires des revues locales et sous régionales pour les articles parus dans les journaux non indexés.
Nous avions étudié les paramètres suivants:
– L’année de soutenance du mémoire ou de la thèse mémoire
– Le type d’étude
– Le domaine de recherche
– La population cible de l’étude
– Le site d’étude
– La proportion de publication des travaux
– La revue de publication
– L’indexation de la revue de publication
– Ratio enseignants de rang A/enseignants de rang B
– Indice thèses – enseignants correspondait au nombre de thèses-mémoires rapporté au nombre d’enseignants
– Indice de productivité correspondait au produit du nombre d’articles publiés issus des thèses par l’indice thèses-enseignants.
Les données obtenues ont été analysé grâce au logiciel SPSS.
Au terme de cette étude, les résultats suivants ont été obtenus:
– Cent deux (102) mémoires avaient été recensés dont 58 thèse-mémoires et 44 mémoires ;
– Entre 2004 et 2015 sur 65 mémoires, 13 ont été publiés soit 20% des cas.
– L’indice mémoires-enseignants était en moyenne de 0,52 soit un ratio mémoire-enseignant annuel de 0,07 mémoire/enseignant annuel.
– Concernant la répartition des productions scientifiques en fonction des services hospitaliers pédiatriques : 98% (n=100) des travaux ont été réalisés au Sénégal et 2% (n=2) hors du Sénégal. Parmi les travaux réalisés au Sénégal 85,29 % (n=87) l’ont été dans les CHU et 4,9% (n=5) en milieu rural et 0,9% (n=1) dans le privé. Dans les CHU, les recherches étaient réalisées au Centre Hospitalier d’Enfants Albert Royer dans 50,98% (n=52) des cas, à Abass Ndao dans 12,7 % (n=13), à Dantec 8,82% (n=9), à l’hôpital Principal dans 3,92% (n=4), à Diamniadio dans 3,92% (n=4), à l’hôpital de Pikine dans 3,92% (n=4).
– Le pic de production scientifique des enseignants de Rang A était noté en 2006 avec un ratio Rang A/Rang B à 3,6.
– Parmi les mémoires 72,5% (n=74) étaient rétrospectives, 11,7% (n=12) étaient prospectives, 15,68 % (n=16) étaient transversales La répartition selon la sous-spécialité pédiatrique concernée montrait que la néonatologie venait en tête avec 24,5% (n=25) suivie des maladies infectieuses avec 13,7 % (n=14), cardiologie 10,8 % (n=11).
– Les 13 articles tirés des mémoires avaient été publiés dans 08 revues de publication différentes.
– La plupart de ces revues de publication était des revues régionales.
– Parmi ces revues, Archive de pédiatrie représentait 23,07% (n=3), Médecine d’Afrique noire représentait 15,38% (n=2), Journal de Pédiatrie
15,38% (n=2), Medecine tropicale 15,38% (n=2), Panafrican medical journal 7,6% (n=1) Dakar Médical 7,6% (n=1), Medecine et maladies infectieuses 7,6% (n=1) et Journal de la SAGO 7,6% (n=1).
La publication dans les revues non indexées était de 76,9% (n=10) et 23,07 % (n=3) dans les revues indexées.
A la lumière de ces résultats, nous formulons les recommandations suivantes :
– A l’endroit des autorités du Ministère de l’enseignement supérieur de la Recherche et de l’innovation:
o Appuyer les structures de recherche universitaires à travers le fond national de la recherche, en particulier les services des centres hospitalo-universitaires
– A l’endroit de la faculté de médecine de pharmacie et d’odonto-stomatologie :
o Accompagner d’avantage les enseignants chercheurs pour une activité de production scientifique soutenue
– A l’endroit de la chaire de pédiatrie :
o Renforcer les connaissances en méthodologie de la recherche des enseignants chercheurs, des médecins en spécialisation et des étudiants pour améliorer la qualité des travaux scientifiques et faciliter leurs publications dans les revues indexées ;
o Améliorer les compétences des enseignants chercheurs en méthodologie de la rédaction médicale par l’organisation d’ateliers d’écriture.
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Table des matières
INTRODUCTION
NOTRE ETUDE
1. CADRE D’ÉTUDE
2. PATIENTS ET METHODES
2.1. Type et Période d’étude
2.2. Population d’étude
2.3. Critères d’inclusion
2.4. Critères d’exclusion
2.5. Taille de l’échantillon
2.6. Collecte des données
2.7. Définitions opérationnelles
2.8. Analyse statistique
3. RESULTATS
3.1. Fréquence
3.2. Répartition des mémoires en fonction des années
3.3. Répartition des productions scientifiques selon le nombre d’enseignants
3.4. Evolution des Ratios Rang A/Rang B en fonction de l’année
3.5. Indice mémoires-enseignants en fonction des années de production
3.6. Indice de productivité en fonction des années de production
3.7. Répartition des mémoires en fonction du lieu d’étude
3.8. Répartition des mémoires en fonction du type d’étude
3.9. Répartition des mémoires en fonction du domaine de recherche
3.10. Répartition des mémoires en fonction des publications
3.11. Répartition des publications en fonction du lieu d’étude
3.12. Répartition des publications en fonction des années
3.13. Répartition des publications en fonction du domaine d’étude
3.14. Répartition des publications en fonction de la revue de publication
3.15. Répartition des revues selon les critères du Cames
3.16. Répartition des publications en fonction du type d’étude
4. DISCUSSION
4.1. Devenir des mémoires
4.2. Type d’étude
4.3. Domaine d’étude
4.4. Revues de publication
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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