Relations entre situation familiale des enfants et leur scolarisation

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Ecole : Instrument de reproduction sociale :

Selon Pierre Bourdieu, l’école est un instrument de reproduction sociale au service des classes dominantes. De génération en génération, les individus ou les groupes d’individus cherchent à maintenir ou à améliorer leur position sociale. C’est le principe de la reproduction sociale.
Dans les sociétés traditionnelles, les stratégies matrimoniales permettaient d’assurer la reproduction sociale. Dans notre société, le diplôme est le passeport indispensable à l’obtention d’un emploi. Les stratégies de reproduction doivent alors évoluer d’où la mise en place d’une nouvelle stratégie de reproduction qui va passer par l’école.

L’inégalité des chances scolaires :

Selon Pierre Bourdieu, les performances et les parcours scolaires des élèves sont déterminés par les ressources culturelles que possèdent les diverses classes sociales, c’est-à-dire que la réussite scolaire des classes dominantes ne s’explique pas par leur talent mais par leur héritage culturel.
Les familles des classes dominantes transmettent à leurs enfants un capital culturel et de motivation qui favorise la réussite scolaire de leur progéniture alors que les enfants des classes populaires ont moins de capital culturel et plus de difficulté scolaire.
La théorie de reproduction a aussi montré que si les inégalités sociales persistent à l’école, ce n’est pas seulement parce que les élèves sont socialement inégaux, c’est aussi parce que l’école aurait pour fonction latente de reproduire ces inégalités. La culture scolaire ne serait ni neutre, ni objective, ni universelle, elle retiendrait les codes et les valeurs de la culture dominante, elle masquerait ainsi un « arbitraire culturel » favorable à la classe dominante et exerçant une « violence symbolique » sur les élèves les moins favorisés.

Approche psycho sociologique de l’éducation de John Dewey :

John Dewey a adopté une approche psycho-sociologique par action dans son estimation de l’éducation. Il pense que celle-ci doit commencer dès le plus jeune âge pendant lequel l’esprit de l’être humain éprouve une soif immense de réponse à la réalité où il se trouve.
Il associe l’enseignement à la morale. Selon Dewey, l’éducation doit se faire en toute liberté et volonté pour mieux produire. Cet auteur a rejeté l’éducation traditionnelle. Pour lui, cette dernière est « fondée sur la réceptivité passive, et qui place son centre de gravité partout, dans le maître, dans le manuel, partout où vous voudrez sauf dans l’enfant lui-même ». L’éducation n’est pas une corvée, l’enfant a une vie qu’il doit vivre pleinement à sa guise et c’est en vivant qu’on apprend, « apprendre par la vie et dans la vie ».
Dewey perçoit la pédagogie sous deux (2) aspects bien distincts. La première, celle « génétique », c’est-à-dire que l’enfant doit s’éduquer par rapport au contexte où il vit et non en dehors. Il doit se former selon sa propre perception des choses et non par la vision des autres. De ce fait, le but c’est qu’il apprend par lui-même et met en pratique dans sa vie ce qu’il a acquis. La deuxième « fonctionnelle », puisque l’enfant va se développer physiquement, psychologiquement, son éducation doit respecter ses changements. Etant donné que chaque âge respectif a sa vision des choses, ses désirs ainsi que ses intérêts. C’est alors que l’enseignant doit faire évoluer son système éducatif suivant la modification d’aspiration de l’enfant ; pour exploiter cette dernière en vue de préparer son avenir.

L’éducation de Michel de Montaigne :

En éducation, il importe de former des hommes, des êtres complets, qui puissent faire toutes choses et ne font que les bonnes, il impose l’enseignement des sciences à l’éducation morale. Par son approche par jugement de l’éducation, il prend cependant parti pour une éducation naturelle, et permet d’estimer la juste grandeur des choses.
En revanche, la dureté et la violence d’une éducation où tout mauvais pas passible de sanction, tant physique que morale, n’est en aucun cas bénéfique. Il ne faut pas considérer le cerveau de l’élève comme un récipient vide qu’il faut remplir. Il faut donner une certaine indépendance à la jeune pensée, et développer l’entendement raisonnable des choses.
Avant d’emprisonner notre vie dans une profession spéciale, il faut songer à devenir des hommes, c’est-à-dire des intelligences ouvertes, capables de tout comprendre, des cœurs sensibles sachant aimer tout ce qui est digne de l’être ; des consciences droites et des caractères fermes, que les hasards de l’existence ne surprendront pas.
Montaigne se contente d’un homme modérément instruit, mais dont le jugement reste solide. C’est déjà l’idéal selon lui. En conséquence « il avait été conseillé de (me) faire goûter la science et le devoir par la volonté non forcée et de (mon) propre désir, et d’élever (mon) âme en toute douceur et liberté, sans rigueur ni contrainte » ?

Cadrage conceptuel :

EDUCATION

Histoire de l’éducation à Madagascar

Epoque coloniale

Après la loi d’annexion du 6 Août 1896, l’institution scolaire a été réorganisée de façon à constituer un instrument de la domination coloniale française qui s’étendait à tous les secteurs d’activités politiques, économiques et socioculturelles. Pendant la période coloniale (1896-1958) l’institution scolaire était contrôlée par l’administration française dans le but de former des techniciens et des cadres moyens pour servir le système5. A ce propos, force est de souligner que le Général Gallieni a jeté les bases de l’enseignement colonial à Madagascar. Il a confirmé dans son ouvrage intitulé, « Neuf ans à Madagascar » que « la langue française doit devenir la base de l’enseignement dans toutes les écoles de l’île. Les programmes sont ramenés et établis d’une manière simple en relevant surtout un caractère professionnel aussitôt que possible des auxiliaires aux entreprises agricoles et industrielles de nos colons »6.
De plus, la mission était parallèle et poursuivie par les missions chrétiennes. Le contenu de l’enseignement colonial comportait deux pièces maîtresses à savoir la connaissance de la langue française et le caractère pratique et professionnel. A Madagascar les indigènes suivaient un type d’enseignement différent de celui dispensé pour les citoyens français. Il va sans dire que les Malgaches ont été souvent exclus des postes de commandement à cause de leur niveau intellectuel limité.

Après l’indépendance

L’indépendance acquise en 1960, d’une certaine façon, renforcé les séquelles d’une gestion des affaires orientées au profit d’une oligarchie internationale composée des dirigeants d’industriels et des commerçants. La politique scolaire était alors calquée sur celle de la métropole : programme français, personnel formé à la française.
En d’autres termes, durant la première république, et selon les accords de coopération signés avec l’ancienne métropole, s’agissant de l’éducation, il n’y a pas eu de changement notable par rapport à la situation antérieure car en vertu de la validité de plein droit, les programmes scolaires malgaches s’alignaient pratiquement sur le système français. Ce système élitiste a été totalement remis en question par les évènements du 1972. Cela était remarqué par le mouvement populaire ayant renversé le régime, et la révision de l’accord de coopération en 1973 a donné une nouvelle orientation de l’Education nationale. La réforme consiste en trois principes majeurs de l’enseignement :
 La démocratisation qui visait faire bénéficier l’éducation au peuple. En fait, c’est une politique de proximité par la création d’écoles d’éducation de base au niveau de chaque Fokontany.
 La décentralisation qui n’est qu’un aspect de la démocratisation, avec la création d’école appropriée à chaque subdivision administrative. Soit, installation d’une EPP par Fokontany, un CEG par Firaisana, un lycée par
Fivondronana et une Université ou Centre universitaire par Faritany.
 La malgachisation qui se traduit, d’une part, par l’adaptation du contenu de programme aux réalités locales, et, d’autre part, par l’utilisation de la langue malgache à tous les niveaux du système sans délaisser le français en tant que langue d’ouverture internationale.
En outre, la deuxième république, a été marquée par le service national (SN) obligatoire des jeunes bacheliers, et une malgachisation totale de l’enseignement pour une génération, issue en majorité de couches moyennes et pauvres. Les enfants des classes dirigeantes et privilégiées fréquentaient des écoles privées conventionnelles afin de poursuivre leurs études, après le baccalauréat, à l’extérieur.
Ensuite, pendant la troisième République, diverses approches pédagogiques par objectif (APO) ont été adoptées. Il s’agit de découper les programmes en micro-objectifs à atteindre à la fin de chaque matière. Et chaque enseignant fait de grands efforts en vue de finir le programme en fonction de cet objectif imposé par chaque matière.
Par la suite, on a adopté une nouvelle approche pour l’amélioration du mode d’apprentissage. A savoir, l’approche circulaire qui est une approche pédagogique tenant compte de la centration de l’apprenant avec prise en compte du curriculum. En fait ; ces approches consistent à renforcer les capacités ponctuelles des élèves sans les rendre compétents dans les différents types de systèmes. Afin d’éviter les faiblesses ressenties lors de ce changement de méthode, l’enseignement malgache actuel vient de connaitre des textes mis en vigueur. Soit, la loi 2004-004 du 26 juillet 2004, considérant les efforts effectués en 2003 par le Bureau international d’éducation et de formation (BIEF). Ce bureau composé des représentants étrangers, guidé par DE KETELE a conçu avec le MINESEB de l’époque. Actuellement, on applique l’Approche Par Compétence (APC) dans le but de réformer l’enseignement à Madagascar. En effet, l’APC est une pédagogie de réussite offrant pour tous une chance de réussite scolaire et professionnelle. Ainsi, c’est une pédagogie de l’intégration qui permet à l’enfant d’agir en situation, c’est-à-dire, le rendre plus apte dans la vie active avec un esprit de créativité et de responsabilité. Alors, l’APC est une pratique pédagogique dans le sens d’une intégration effective des acquis de l’élève et d’une participation active dans sa propre formation.

Définitions de l’éducation :

Quelques auteurs ont donné la définition de l’éducation :
Pour E. KANT, in l’introduction des Réflexions sur l’Education, l’éducation est un art. Et cet art doit être raisonné, s’il doit développer la nature humaine de telle sorte que celle-ci atteigne sa destination. Cet art s’organise selon quatre dimensions :
 « Etre discipliné », qui ne consiste qu’à dompter la sauvagerie de l’homme, car malgré une disposition primitive au bien, l’homme est mauvais par nature et celle-ci se révèle mieux dans l’état de civilisation.
 « Etre cultivé », c’est-à-dire, développer l’instruction et les divers enseignements, permet l’acquisition de l’habilité.
 La civilisation, qui permet à l’homme de s’adapter à la société humaine et de faire preuve de prudence, qui fait que l’on peut user de tous les hommes pour ses fins essentielles.
 La moralisation, dernier point s’inscrit logiquement dans la droite ligne de la pensée morale de Kant dans cette introduction : l’homme ne doit pas simplement être apte à toutes sortes de fins, mais il doit aussi acquérir une disposition à ne choisir que des fins bonnes.
Pour Gilles Ferréol, « l’éducation recouvre toute activité sociale visant à transmettre à des individus l’héritage collectif de la société où ils s’insèrent ». Dans les sociétés anciennes, c’est le groupe qui assure la transmission des connaissances et des règles de vie aux plus jeunes. Ce qui est important, c’est que les savoirs soient transmis d’une génération à l’autre, et que le groupe tout entier tire profit du savoir de chacun. L’apprentissage se fait sur le mode de l’imitation et par des rites d’initiation. Il repose essentiellement sur la parole, sur la tradition orale. La transmission des savoirs joue un rôle fondamental dans la cohésion du groupe.
Etymologiquement, l’éducation est l’action de « guider hors de » c’est-à-dire développer, faire produire. Il signifie maintenant plus couramment l’apprentissage et le développement des facultés physiques, psychiques et intellectuelles, les moyens et les résultats de cette activité de développement.
Elle vise à assurer à chaque individu le développement de toutes ses capacités (physiques, intellectuelles et morales). Ainsi, elle permettra à l’individu d’affronter sa vie personnelle, de la gérer en étant un citoyen responsable dans la société dans laquelle il évolue.
L’éducation est aussi considérée comme un élément important au développement des personnes, d’où le développement d’un droit à l’éducation.
Le problème, c’est qu’il est souvent facile de confondre enseignement et éducation. D’une part, l’éducation correspond à la formation globale d’un individu, à divers niveaux : religieux, moral, social, etc. D’autre part, le terme enseignement se réfère à une éducation bien précise, soit celle de la transmission des connaissances à l’aide des signes.
C’est à partir du mot enseignement qu’on obtient le verbe enseigner. Enseigner, selon le dictionnaire LAROUSSE, c’est transmettre un savoir-faire pratique à quelqu’un. D’une manière plus précise, enseigner c’est transmettre à la génération future un corpus de connaissances (exemple : le savoir et le savoir-faire) et de valeurs considérées comme faisant partie d’une culture commune
Section 3 : Problématisation et formulation des hypothèses :
En premier lieu, étant donné que la majorité de la population malgache sont des jeunes, la demande est largement supérieure à l’offre sur le marché du travail. De plus, environ 70% de ces jeunes sont des ouvriers non qualifiés (manque de connaissances, manque de formation et d’expérience).
En second lieu, Madagascar est un pays qui s’expose régulièrement à l’instabilité politique (les crises politiques de 2009 et 2002). De ce fait, les propriétaires des entreprises étrangères ferment leurs usines et quittent notre pays afin d’investir dans une autre localité pour trouver du profit. Les entreprises franches sont les plus touchées par ce problème. Ainsi, ces industries sont dans l’obligation de licencier les ouvriers (chômage technique) d’où l’accentuation du taux de chômage à Madagascar. Ce phénomène démontre l’instabilité de l’emploi dans notre pays.
En dernier lieu, l’agriculture est la principale activité génératrice de revenus des Malgaches, surtout dans les zones rurales. Cependant, travailler les champs est un travail pénible parce que les cultivateurs malgaches ne disposent pas de machines et leurs techniques de culture sont encore traditionnelles dans la majorité des cas. Ainsi, le rendement est faible, par conséquent le revenu reste insuffisant. De ce fait, les enfants migrent vers le centre-ville pour chercher du travail afin d’augmenter le revenu familial.
Le problème se pose : comment assurer le maintien et la réussite des enfants dans le domaine scolaire, au moins jusqu’à l’obtention du diplôme baccalauréat afin de pouvoir trouver un travail mieux rémunéré et répondant à leur qualification pour améliorer leur niveau de vie ?
Pour essayer de pallier ce problème, des hypothèses devront être annoncées. Mais les hypothèses ne sont que des solutions provisoires qui peuvent être valables ou non durant notre recherche.
Les hypothèses sont les suivantes :
 Si nous analysons le niveau de vie de la population dans la commune d’Imerintsiatosika, la coopération de l’Etat avec les écoles privées sur les dépenses scolaires telles que les écolages et les droits d’inscription peut s’avérer utile ;
 Dans cette localité, il semble que la scolarisation des enfants ne soit pas la priorité des parents à cause de leur occupation. La sensibilisation des parents sur l’importance de l’éducation scolaire de leurs enfants à travers les visites à domicile fréquentes effectuées par le personnel enseignant et les personnes influentes peut être indispensable ;
 Les infrastructures scolaires sont vieilles et insuffisantes. La réhabilitation ainsi que la construction de nouvelles infrastructures scolaires permettraient de faciliter l’accès à l’éducation.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
Première partie : CADRAGE CONTEXTUEL, CONCEPTUEL ET METHODOLOGIQUE
Chapitre I : Monographie de la commune rurale d’Imerintsiatosika
Section 1 : PRESENTATION GENERALE DU MILIEU
1-1 : Situation géographique
1-2 : Climatologie
1-3 : Historique de la commune rurale d’IMERINTSIATOSIKA
1-4 : Les fokontany existant à IMERINTSIATOSIKA
Section 2 : Les caractéristiques de la commune rurale d’Imerintsiatosika
2-1 : Structure de la commune
2-2 : La population
2-3 : Activités des habitants
Chapitre II : REPERES THEORICO-CONCEPTUELS
Section 1 : CADRAGE THEORIQUE
1-1 : La théorie de reproduction sur l’éducation selon Pierre BOURDIEU (1970)
1-2 : Approche psycho sociologique de l’éducation de John Dewey
1-3 : L’éducation de Michel de Montaigne
Section 2 : Cadrage conceptuel
2-1 : EDUCATION
Section 3 : Problématisation et formulation des hypothèses
Section 4 : Détermination des objectifs spécifiques
Chapitre III : Méthodologie de recherche
Section 1 : Méthodes
1-1 : Méthode déterministe
1-2 : Méthode analytique
1-3 : méthode qualitative
1-4 : Méthode statistique
Section 2 : Outils
Section 3 : Techniques
3-1 : Technique documentaire
3-2 : Techniques vivantes
3-3 : Test incluant les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC)
Deuxième partie : ETUDE DU TERRAIN ET ANALYSE DE LA SITUATION EXISTANTE
Chapitre IV : Relations entre situation familiale des enfants et leur scolarisation
Section 1 : Taille des ménages
1-1 : Impacts de la taille des ménages sur le résultat scolaire des enfants
Section 2 : Niveau d’instruction du chef de ménage
2-1 : Impacts du niveau d’instruction du chef de ménage sur l’éducation scolaire de leur progéniture
Section 3 : Activités génératrices de revenus des parents ou chefs de ménage
3-1 : Le revenu du chef de ménage
3-2 : Rapport entre revenu du chef de ménage et frais de scolarité des enfants
Chapitre V : Etude analytique des problèmes liés à l’éducation scolaire
Section 1 : Décrochage scolaire
1-1 : les causes du décrochage scolaire
Section 2 : Origines et effets du travail des enfants
2-1 : Les causes du travail des enfants
2-2 : Conséquences du travail des enfants
Chapitre VI: Autres problèmes liés à l’éducation scolaire
Section 1 : Au niveau des écoles
1-1 : Infrastructures scolaires
1-2 : Différence de niveau entre les écoles publiques et les écoles privées
1-3 : Critère de sélection pour accéder aux écoles publiques de niveau secondaire
Section 2 : Au niveau des enseignants
2-1 : Recrutement des enseignants FRAM dans les écoles publiques
2-2 : Baisse de la motivation des enseignants FRAM à cause de leur rémunération
2-3 : La qualité des enseignants
Section 3 : Au niveau de l’Etat
3-1 : Système éducatif ne correspondant pas aux besoins de la population rurale
3-2 : Peu de préparation pour le niveau secondaire
Section 4 : Au niveau des parents
4-1 : Négligence par les parents de l’éducation scolaire de leurs enfants
4-2 : Faible investissement des familles aisées sur l’éducation de leurs progénitures
Section 5 : Au niveau des élèves
5-1 : Filière à choisir après le Baccalauréat
5-2 : La puberté
Chapitre VII : Vérification des hypothèses
Troisième partie : APPROCHE PROSPECTIVE
Chapitre VIII : Les solutions externes pour maintenir les élèves à l’école
Section 1 : Solutions du Chef CISCO ; Chef ZAP ainsi que le DREN
Section 2 : Solution du Directeur de l’établissement et des enseignants
Section 3 : Solutions des parents
Section 4 : Solutions des élèves
Chapitre IX : Suggestions personnelles
Section 1 : Suggestions pour l’Etat
1-1 : Accélérer le recrutement des enseignants FRAM :
1-2 : Adapter le système scolaire aux besoins de la population
Section 2 : Suggestions pour les enseignants
2-1 : S’auto analyser sur sa compétence et ses méthodes à chaque année scolaire
2-2 : Prendre du plaisir
Section 3 : Suggestions pour les écoles privées
3-1 : Prendre conscience de la qualité de leur éducation
Section 4 : Suggestions pour les parents
Section 5 : Suggestions pour les élèves ou les enfants
Chapitre X : Les apports du stage
Section 1 : Expérience professionnelle
Section 2 : Acquisition de connaissances
Section 3 : Entreprendre de nouvelles relations
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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