Relation quantitative structure / activite

Lโ€™agriculture intensive actuelle emploie 90% des pesticides utilisรฉs, reposant sur une gamme de plus de 8000 produits commercialisรฉs ร  travers le monde. Faisant fi de lโ€™รฉquilibre des รฉcosystรจmes, le recours massif ร  des produits de synthรจse menace nos ressources naturelles et la santรฉ des populations [1]. En plus des consรฉquences agronomiques importantes (รฉrosion et baisse de la fertilitรฉ des sols, dรฉveloppement de rรฉsistances aux substances actives chez les insectes et parasites), les pesticides polluent durablement lโ€™environnement. Les pesticides sont retrouvรฉs dans 91 % des mesures faites dans les cours dโ€™eau et dans plus de la moitiรฉ des nappes souterraines. Entre 25 et 75 % des quantitรฉs de pesticides pulvรฉrisรฉs se dissรฉminent dans lโ€™atmosphรจre [1]. Sachant quโ€™un tiers de lโ€™alimentation humaine dรฉpendrait du succรจs de la pollinisation, la vigilance est impรฉrative. Lโ€™impact nรฉfaste des pesticides touche lโ€™ensemble de la biodiversitรฉ : chauve-souris, amphibiens, oiseaux etc. Par ailleurs le verdict scientifique est formel des dizaines dโ€™รฉtudes รฉpidรฉmiologiques montrent que nos corps sont contaminรฉs par les pesticides. Elles font le lien entre lโ€™exposition aux pesticides et certains cancers, affaiblissement du systรจme immunitaire, fragilitรฉ respiratoire et digestive, propension ร  dรฉvelopper des maladies neurodรฉgรฉnรฉratives de type Parkinson. Les agriculteurs et leurs familles sont les premiers touchรฉs par cette exposition. Elle serait ainsi source de baisse de la fertilitรฉ (27 fois plus de risque de problรจmes de fertilitรฉ pour les femmes ayant manipulรฉ un herbicide) [1]. Hรฉlas ! Jusqu’ร  maintenant rien n’est su sur la toxicitรฉ de plus de 100 000 produits chimiques jetรฉs dans l’environnement, dont de 1-5 % des donnรฉes de la toxicitรฉ sont disponibles et il est excessivement cher d’obtenir de telles informations expรฉrimentalement (en temps, animaux et coรปt) [2]. Par consรฉquent, les compagnies et les agences rรฉgulatrices tournent vers la prรฉdiction de la toxicitรฉ ร  travers l’usage des relations quantitatives structure / activitรฉ (QSAR) [2]. Les techniques les plus courantes pour รฉtablir des modรจles QSAR utilisent l’analyse de rรฉgression (rรฉgression multilinรฉaire : RLM ; les rรฉseaux neurones artificiels RNA ; rรฉgression par composantes principales (ACP) et la technique de rรฉgression par les moindres carrรฉs partiels (MCP ou PLS).

RELATION QUANTITATIVE STRUCTURE / ACTIVITEย 

Une relation quantitative structure / activitรฉ (en anglais : Quantitative structure-activity relationship ou QSAR, parfois dรฉsignรฉe sous le nom de relation quantitative structure / propriรฉtรฉ – en anglais : quantitative structure-property relationship ou QSPR) est le procรฉdรฉ par lequel une structure chimique est corrรฉlรฉe avec un effet bien dรฉterminรฉ comme l’activitรฉ biologique ou la rรฉactivitรฉ chimique. Ainsi par exemple l’activitรฉ biologique peut รชtre exprimรฉe de maniรจre quantitative, comme la concentration de substance nรฉcessaire pour obtenir une certaine rรฉponse biologique. De plus lorsque les propriรฉtรฉs ou structures physicochimiques sont exprimรฉes par des chiffres, on peut proposer une relation mathรฉmatique, ou relation quantitative structure / activitรฉ, entre les deux. L’expression mathรฉmatique obtenue peut alors รชtre utilisรฉe comme moyen prรฉdictif de la rรฉponse biologique pour des structures similaires. Construire un modรจle QSAR consiste ร  รฉtablir une relation mathรฉmatique entre une propriรฉtรฉ mesurable et la structure chimique qui peut-รชtre dรฉcrite par des variables chimiques la distribution รฉlectronique ou les propriรฉtรฉs stรฉriques. Ces relations mathรฉmatiques sont des fonctions des ยซ descripteurs ยป judicieusement choisis pour une propriรฉtรฉ donnรฉe. Ces relations sont construites ร  lโ€™aide de logiciels utilisant des mรฉthodes mathรฉmatiques plus ou moins sophistiquรฉes La QSAR la plus commune est de la forme : activitรฉ = f (propriรฉtรฉs physico-chimiques, biologiques, ou structurales) [3].

La RSA et paradoxe RSA

Le postulat de base pour les hypothรจses sur des objets chimiques est que des objets similaires ont des activitรฉs similaires. Ce principe est appelรฉ relation structure-activitรฉ (RSA, ou SAR pour structure-activity relationship en anglais). Le problรจme sous-jacent est donc la dรฉfinition d’une petite diffรฉrence sur un niveau molรฉculaire, chaque type d’activitรฉ, comme la rรฉaction chimique, la biotransformation, la solubilitรฉ, l’activitรฉ de cible et d’autres encore, peuvent dรฉpendre d’une autre diffรฉrence. Un exemple concret est donnรฉ par l’article de revue sur le bioisostรฉrisme [4]. En gรฉnรฉral, l’intรฉrรชt est plus de trouver de fortes tendances. Les hypothรจses avancรฉes reposent habituellement sur un nombre fini de donnรฉes chimiques. Ainsi, le principe d’induction devrait รชtre respectรฉ afin d’รฉviter les hypothรจses sur apprises et les interprรฉtations erronรฉes et inutiles sur les donnรฉes chimiques/structurales. Le paradoxe SAR est le fait que toutes les molรฉcules similaires ne montrent pas des activitรฉs similaires [4].

Applications en chimie

Une des premiรจres applications de la QSAR concernait la prรฉdiction des points d’รฉbullition. Il est bien connu par exemple que pour une famille de composรฉs chimiques, particuliรจrement en chimie organique, il existe une corrรฉlation forte entre la structure et les propriรฉtรฉs observรฉes. On peut citer comme exemple simple la relation entre le nombre de carbones dans les alcanes et leur point d’รฉbullition. Il existe une tendance nette ร  l’augmentation de la tempรฉrature d’รฉbullition avec le nombre d’atomes de carbone, ce qui sert de moyen prรฉdictif pour les points d’รฉbullition des alcanes les plus lourds [5].

Utilisation:
L’utilisation de modรจles QSAR pour la gestion du risque chimique s’accroissant rรฉguliรจrement et รฉtant aussi utilisรฉ pour des visรฉes rรฉglementaires (en Union europรฉenne : enregistrement, รฉvaluation et autorisation des produits chimiques), il est crucial d’รชtre capable d’affirmer la pertinence des prรฉdictions. L’espace des descripteurs chimiques engendrรฉ par un ensemble spรฉcifique de produits chimiques est appelรฉ domaine d’application, qui permet d’indiquer lorsqu’un composรฉ peut รชtre pertinemment ยซprรฉditยป [3].

LES PESTICIDE

Dรฉfinition

Sous le nom gรฉnรฉrique de pesticides se cachent de nombreux produits chimiques qui ont des rรดles bien dรฉfinis. Herbicides, insecticides, fongicides… Les pesticides que l’on appelle aussi ยซ produits phytosanitaires ยป dans l’agriculture sont des produits issus de l’industrie chimique reposant sur un principe actif d’origine naturelle ou synthรฉtique. Ils sont utilisรฉs en agriculture pour se dรฉbarrasser des nuisibles.

Lorsque les nuisibles sont des insectes ravageurs on utilise des insecticides : plusieurs familles sont commercialisรฉes ou ont รฉtรฉ commercialisรฉes. Lorsque les nuisibles sont des champignons pouvant causer des maladies on utilise des fongicides. Les agents actifs de synthรจse utilisรฉs aujourd’hui reposent selon les formulations sur les carbamates, les dรฉrivรฉs du benzรจne, les dรฉrivรฉs du phรฉnol, les quinones, les amines, les amides, les triazoles, etc.โ€ฆ Certains de ces produits sont considรฉrรฉs comme potentiellement cancรฉrigรจnes. Lorsque les nuisibles sont des herbes indรฉsirables concurrentes des cultures on utilise des herbicides : ces produits aussi appelรฉs communรฉment dรฉsherbants sont soit sรฉlectifs (ils ne tuent que les mauvaises herbes) soit de portรฉe plus radicale. De nombreuses familles d’herbicides sont sur le marchรฉ dont notamment les phรฉnols nitrรฉs,les amides, les benzonitriles, les urรฉes substituรฉes, les triazines, les sulfonurรฉes, les ammonium quaternaires… la liste est longue ! Certains de ces produits sont considรฉrรฉs รฉgalement comme potentiellement cancรฉrigรจnes. Lorsque les nuisibles ne sont pas des insectes, ni des champignons, ni des mauvaises herbes, on utilise des produits ciblรฉs comme les molluscicides contre les limaces, les rodenticides contre les rongeurs, les corvicides contre les corbeaux… lร  encore, la liste est trรจs longue[1] .

Les herbicides

Dรฉfinition

Un produit herbicide est un type de pesticide dรฉfini comme une substance active ou une prรฉparation ayant la propriรฉtรฉ de tuer les vรฉgรฉtaux . Le terme ยซ dรฉsherbant ยป est un synonyme d’herbicide. En protection des cultures, les herbicides sont employรฉs pour lutter contre les adventices, ou mauvaises herbes, destinรฉes ร  dรฉtruire ou ร  limiter la croissance des vรฉgรฉtaux, qu’ils soient herbacรฉs ou ligneux. Ils peuvent รชtre utilisรฉs, selon leur mode d’action, en prรฉ ou post-levรฉe. On distingue:
o Les dรฉsherbants sรฉlectifs, les plus nombreux.
o Les dรฉbroussaillants et dรฉsherbants totaux.
o Les dรฉfanants qui dรฉtruisent la partie aรฉrienne des vรฉgรฉtaux. Ils sont par exemple utilisรฉs pour la rรฉcolte mรฉcanique de la pomme de terre ou de la betterave.
o Les anti-germes, qui empรชchent le dรฉmarrage de la vรฉgรฉtation, par exemple, les oignons ou pommes de terre destinรฉs ร  l’alimentation [6].

Types d’herbicides

Herbicides synthรฉtiques :
โ– Sรฉlectifs : utilisรฉs pour tuer des variรฉtรฉs vรฉgรฉtales donnรฉes tout en laissant la rรฉcolte relativement intacte.
โ– Non sรฉlectifs : utilisรฉs pour dรฉgager des terrains vagues et tuer tous les vรฉgรฉtaux et les matรฉriaux avec lesquels ils entrent en contact.

Herbicides Naturels :
Certaines plantes produisent des herbicides organiques naturels, par exemple le Juglans noyer (genre de plante originaire des rรฉgions tempรฉrรฉes et chaude ; principalement de l’hรฉmisphรจre nord). Ces herbicides sont beaucoup moins efficaces et gรฉnรฉralement plus chers que les herbicides synthรฉtiques. Ils sont gรฉnรฉralement combinรฉs ร  des pratiques culturelles et mรฉcaniques de contrรดle des mauvaises herbes. Entre autres exemples mentionnons les รฉpices, le vinaigre, la vapeur et les flammes [7].

Les groupes d’herbicides

Il existe trois grands groupes d’herbicides : les herbicides de prรฉ-levรฉe, les herbicides de postlevรฉe et les herbicides totaux.

Les herbicides de prรฉ-levรฉe:
Ils ont รฉtรฉ les premiers diffusรฉs en zone tropicale, notamment sur les cultures de la rotation cotonniรจre et les cultures industrielles (canne ร  sucre). Ces produits sont faciles ร  vulgariser, car leur spectre d’efficacitรฉ est souvent assez large et ils s’appliquent ร  une pรฉriode bien dรฉfinie juste aprรจs le semis. Toutefois, ces herbicides sont trรจs dรฉpendants de l’รฉtat physique du sol : ils ne peuvent pas รชtre appliquรฉs sur un sol trop motteux ou couvert par un paillis รฉpais. Leur disponibilitรฉ dans la solution du sol dรฉpend de la texture. Le produit est adsorbรฉ par les feuillets d’argile ou les colloรฏdes de la matiรจre organique. Inversement, en sol sableux, les risques de phytotoxicitรฉ sont accrus. La pluie, avant ou aprรจs l’application, favorise gรฉnรฉralement la diffusion ร  la surface du sol de ces herbicides ร  pรฉnรฉtration racinaire ; cependant, une pluie รฉrosive qui survient aprรจs l’application risque d’entraรฎner le produit par ruissellement [8].

Les herbicides de post-levรฉe:
Frรฉquemment employรฉs en culture de riz ou de canne ร  sucre, ils sont choisis en fonction de la flore des mauvaises herbes prรฉsentes. Ces produits sont souvent spรฉcifiques : action antidicotylรฉdone (la suppression des dicotylรฉdones herbacรฉes et des mauvaises herbes) en culture de maรฏs, de riz ou de canne ร  sucre, action graminicide (un brรปlement chimique rapide des mauvaises herbes vivaces et la rรฉduction des parties aรฉriennes) en culture de cotonnier ou de lรฉgumineuses. Ils sont indรฉpendants du type de sol et de son รฉtat. La pluie diminue l’efficacitรฉ de ces herbicides ร  pรฉnรฉtration foliaire, รฉpandus sur le feuillage, par entraรฎnement du dรฉpรดt. Le dรฉlai nรฉcessaire entre la pulvรฉrisation et la pluie dรฉpend du produit et de lโ€™intensitรฉ de la pluie. Par ailleurs, la dรฉtermination de la date d’application est parfois difficile [8].

Les herbicides totaux:
Ce sont les plus rรฉpandus; ce sont des produits de post-levรฉe des mauvaises herbes. Ils peuvent รชtre employรฉs ร  diverses pรฉriodes du cycle cultural, en traitement en plein ou en localisรฉ si la culture n’est pas installรฉe, en traitement dirigรฉ en cours de culture. Le choix des produits dรฉpend des espรจces ร  dรฉtruire [8]:

*En cas d’infestation par des espรจces vivaces comme Cynodon dactylon(une espรจce de plantes herbacรฉes de la famille des Poaceae d’origine europรฉenne utilisรฉe pour la confection de gazon), Imperata cylindrica(une espรจce de plante herbacรฉe de la famille des Poaceae appelรฉe aussi paillote ou herbe sanglante, avec un feuillage persistant, vert acide ร  vert franc virant progressivement au rouge sang ร  rouge cramoisi de haut en bas, nervure mรฉdiane plus claire), ou par Cyperus esculentus (Cyperus est un genre de la famille des Cyperaceae. Il regroupe des plantes communรฉment appelรฉes papyrus ou souchets. Ce sont des plantes aquatiques, originaires des rรฉgions tropicales et subtropicales. Il compte 400 espรจces qui, pour la plupart, poussent en terrain marรฉcageux. Le plus connu est le cรฉlรจbre papyrus, plante importante pour les ร‰gyptiens, qui en faisaient des feuilles pour รฉcrire), ce sont des produits systรฉmiques comme le glyphosate ou le sulfosate qu’il faut employer [8].

*Si la flore n’est constituรฉe que d’espรจces annuelles comme Digitaria horizontalis (herbe annuelle, en touffe รฉtalรฉe, pouvant atteindre 70 cm, de couleur gris ver, poussant dans les jardins et au bord de routes), Tridax procumbens (type biologique annuelle, 30 cm de taille couleur blanc-jaune vif), etc…, les produits de contact, comme le paraquat ou le glufosinate ammonium seront suffisants [8].

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Table des matiรจres

INTRODUCTION GENERALE
CHAPITRE I : ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
I-1-RELATION QUANTITATIVE STRUCTURE / ACTIVITE
I-1-1 – La RSA et paradoxe RSA
I-1-2 – Applications en chimie
I-1-3 โ€“ Utilisation
I-2- LES PESTICIDES
1-2-1 -Dรฉfinition
1-2-2 -Les Herbicides
1-2-2-1 -Dรฉfinition
1-2-2-2 -Types d’herbicides
A- Herbicides synthรฉtiques
B- Herbicides Naturels
1-2-2-3 – Les groupes d’herbicides
A- Les herbicides de prรฉ-levรฉe
B- Les herbicides de post-levรฉe
C- Les herbicides totaux
1-2-2-4 -Modes d’action des herbicides
1-2-2-5 -Principales familles d’herbicides
A- Les herbicides minรฉraux
B- Les herbicides organiques
C- Les herbicides racinaires
D- Herbicides racinaires et foliaires
E- Herbicides foliaires
I-3 – LA DOSE LETALE
I-3-1 -Dรฉfinition
I-3-2- Dose lรฉtale 50
I-3-2-1 -Dรฉfinition
I-3-3 – Historique
I-3-4 – Choix de la dose lรฉtale 50
I-3-5 -Interprรฉtation et Classes de toxicitรฉ
I-3-6- Utilisation
I-3-6-1- Identification de la toxicitรฉ
I-3-6-2- Identification du pouvoir pathogรจne
I-3 -7 – Notions voisines
CHAPITRE II : PARTIE THEORIQUE
II-1 – COLLECTE DES DONNEES
II-2-OPTIMISATION DE LA GEOMETRIE MOLECULAIRE ET GENERATION DES DESCRIPTEURS MOLECULAIRES
II-3- SELECTION D’UN SOUS-ENSEMBLE DE DESCRIPTEURS SIGNIFICATIFS
II-3-1- Principe
II-3-2- Initialisation alรฉatoire du modรจle
II-3-3- Etape de croisement
II-3-4-Etape de mutation
II-3-5- Conditions dโ€™arrรชt
II – 4 : DEVELOPPEMENT DES MODELES
II – 4 -1- La rรฉgression linรฉaire multiple (MLR)
II – 4 – 2 -Les rรฉseaux de neurones
II-4 – 2 -1 – Le neurone artificiel
II- 4 – 2 โ€“ 2- Propriรฉtรฉs des rรฉseaux de neurones
II- 4 – 2 -3 – Les diffรฉrents types de rรฉseaux de neurones
A- Les rรฉseaux multicouches ou perceptron multicouches (PMC)
II-4 – 2 -4 – Apprentissage
A – Lโ€™apprentissage de Widrow-Hoff
B – Lโ€™apprentissage par rรฉtro propagation du gradient (Levenberg-Marquardt backpropagation)
II-4 – 2 -5 – Critรจres dโ€™arrรชt
II-4 – 2 โ€“ 6-Construction dโ€™un modรจle
A-Construction de la base de donnรฉes
B-Dรฉfinition de la structure du rรฉseau
C- Nombre de couches et de neurones cachรฉs
D- Prรฉsentation de l’environnement utilisรฉ
II-5 : PARAMETRES Dโ€™EVALUATION DE LA QUALITE DE Lโ€™AJUSTEMENT
II-5-1 -Robustesse du modรจle
II-5 -2- Dรฉtection des observations aberrantes
II -5 – 3 -Test de randomisation
II-5 – 4-Validation statistique externe
CHAPITRE III : PARTIE EXPERIMENTALE
III-1 – MODELE HYBRIDE ALGORITHME GENETIQUE / REGRESSION LINEAIRE MULTIPE
III -1 -1 – Calcul du modรจle
III -1- 2 -Analyse de rรฉgression
III-1-2-1 -Matrice de Correlation
III-1-3 – Rรฉsultats et discussion
III -1- 4 – Vรฉrification de la qualitรฉ de lโ€™ajustement
III-1-5 โ€“Validation statistique externe
III-2 – MODELE HYBRIDE ALGORITHME GENETIQUE / RESEAUX DE NEURONES ARTIFICIELS
III-2-1-Choix des paramรจtres statistiques
III-2-2- Choix de nombre de neurones dans la couche cachรฉe
III-2-3- Choix de nombre d’itรฉrations et de neurones dans la couche cachรฉe
III-2-4-Choix de la fonction de transfert
III-2-5- Choix des paramรจtres d’apprentissage
III-2-6- Rรฉsultats et discussion
III-2-6 -1- Evaluation de la qualitรฉ de l’ajustement
III-2-6 -2- Vรฉrification de la qualitรฉ de l’ajustement
III-2-6 -3- Diagramme de Williams
III-2-7- Validation statistique externe
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES

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