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Organisation des ressources humaines
LโORL est une spรฉcialitรฉ en plein essor oรน la demande est grandissante. A ce titre, elle nรฉcessite un personnel qualifiรฉ et quantitativement non nรฉgligeable.
Un service dโORL nรฉcessite la prรฉsence de praticiens spรฉcialistes enseignants ou non, dโinfirmiers diplรดmรฉs, dโaides-soignants, dโun(e) assistant(e) social(e), dโagents de services hospitaliers.
De maniรจre gรฉnรฉrale, la gestion du personnel doit :
– Prรฉvoir pour chaque personnel le nombre minimum en dessous duquel la sรฉcuritรฉ des malades est mise en jeu ;
– Permettre le choix dโun personnel qualifiรฉ et de qualitรฉ ;
– Prรฉciser les besoins de formation initiale, la nรฉcessitรฉ de formation continue, dโune formation du personnel ร lโaccueil des malades et des familles, au choix des informations ร donner, au respect du malade
– Organiser la gestion des conflits, des absences, des accidents de travail et du taux de renouvellement des prestataires ;
– Etablir des suivis et รฉvaluations de lโactivitรฉ du service (questionnaires de satisfaction, รฉvaluation des compรฉtences et adaptation aux nouvelles technologies).
Un travail en ORL prรฉsente des contraintes physiques, psychologiques et รฉmotionnelles quโil faut prendre en compte. Ceci est un gage de stabilitรฉ des รฉquipes, de la qualitรฉ des soins et donc de la sรฉcuritรฉ des malades.
Le personnel mรฉdical doit assurer une organisation continue du service avec un planning rรฉgulier des demi-journรฉes de travail de la semaine, un planning de permanence et/ou de garde de la semaine, le weekend et les jours fรฉriรฉs. Faute de personnel dans les rรฉgions, il arrive que le spรฉcialiste ou lโaspirant en place soit seul ร cumuler toutes ces tรขches. Cette organisation peut varier dโun service ร un autre.
Aux aptitudes professionnelles doivent se greffer les qualitรฉs que sont : le sens de la responsabilitรฉ et du dรฉvouement diligent au travail, la capacitรฉ dโorganisation, dโรฉcoute et de discernement, la facultรฉ de porter un jugement objectif sur autrui et de rรฉsoudre les conflits, lโhumanitรฉ, la compassion ร lโรฉgard du malade et de sa famille.
Les infirmiers du service dโORL, en plus de leur formation initiale, doivent suivre des formations continues leur permettant de maรฎtriser les soins ; dโamรฉliorer leurs connaissances et compรฉtences mais surtout impliquer davantage leur responsabilitรฉ face au malade.
Les aides-soignants et les agents de service hospitalier en collaboration avec les infirmiers prennent en charge lโhygiรจne et le confort des malades ainsi que lโhygiรจne de lโenvironnement. Lโobligation de prรฉsence continue du personnel soignant auprรจs des malades hospitalisรฉs contraint chacun ร une activitรฉ nocturne rรฉguliรจre dรฉfinie par un calendrier sous la supervision des responsables en place.
Organisation des soins
Lโorganisation des soins peut รชtre dรฉfinie comme lโensemble des moyens et procรฉdures permettant la rรฉalisation des soins dโune qualitรฉ optimale. Le processus dโorganisation repose sur lโaction qui comporte un temps de description, dโanalyse, de dรฉfinition des objectifs, de planification, dโรฉvaluation et de rรฉajustement. La qualitรฉ des soins doit rรฉpondre ร divers critรจres qui sont :
– Efficacitรฉ : amรฉlioration rapide de la santรฉ, dextรฉritรฉ, pertinence des soins ;
– Efficience : soin de meilleure qualitรฉ au moindre coรปt en matรฉriel et en temps ;
– Ethique : respect des droits du malade ;
– Sรฉcuritรฉ : respect des rรจgles dโhygiรจne et dโasepsie ;
– Prรฉvention des complications : disponibilitรฉ des moyens et des soignants ;
– Confort du malade.
Organisation des tรขches
Il revient au staff mรฉdical, au spรฉcialiste ou ร lโaspirant en place (en rรฉgion surtout) de diriger la charge de travail. A ce titre, il doit planifier :
– Les consultations, ce qui signifie :
o dรฉfinir les journรฉes de consultations,
o consigner toutes les informations relatives aux patients dans des dossiers mรฉdicaux dรปment remplis,
o remplir les registres de consultation,
o diriger lโarchivage des dossiers de consultation ;
– Les activitรฉs du bloc opรฉratoire, c’est-ร -dire :
o organiser les journรฉes opรฉratoires,
o programmer les malades ร opรฉrer,
o remplir le registre ร charge de comptes rendus opรฉratoires,
o rapporter toute information relative ร la chirurgie dans les dossiers mรฉdicaux des patients,
o assurer le suivi post-opรฉratoire
– Lโhospitalisation, qui consiste ร :
o assurer assidรปment la visite des malades hospitalisรฉs,
o assurer la prescription des soins mรฉdicaux ร pourvoir et veiller ร leur exรฉcution ;
– Les soins :
o รฉtablir les soins ร pourvoir,
o superviser le rythme des soins ร pouvoir et veiller ร leur exรฉcution.
Service dโoto-rhino-laryngologie
Le service dโORL a รฉtรฉ crรฉรฉ en Aout 2016. Il ne dispose pas dโune structure qui lui est propre. Il comprend une salle de consultation logรฉe dans le box de mรฉdecine qui fait en mรชme temps office de salle de soins. En cas dโhospitalisation, les patients sont admis dans le service de chirurgie.
Il existe un bloc commun que le service partage avec la chirurgie gรฉnรฉrale, lโorthopรฉdie et lโurologie. Le bloc opรฉratoire dispose de trois salles principales dont deux fonctionnelles, dโune salle accessoire pour les urgences et la chirurgie septique. LโORL dispose de deux journรฉes opรฉratoires.
Personnel
Le personnel du service est constituรฉ :
– Dโun mรฉdecin DES ORL, chef de service
– Dโune infirmiรจre brevetรฉe
Organisation des activitรฉs de soins
Le mรฉdecin ORL assure les consultations, la prise en charge des patients ร opรฉrer, les visites des malades hospitalisรฉs et les urgences.
Les horaires de travail sont de 8h ร 17h et le mรฉdecin reste joignable pour tous cas dโurgence.
Les journรฉes de consultation sont le mardi et le mercredi. Les dossiers des malades sont manuscrits et rangรฉs dans le service.
Les journรฉes opรฉratoires attribuรฉes ร lโORL sont le lundi et le jeudi.
Le vendredi est destinรฉ aux tรขches administratives et ร lโaudiomรฉtrie
Matรฉriel
Lโessentiel du matรฉriel est rรฉparti entre la consultation et le bloc opรฉratoire. Nous avons pu rรฉpertorier :
๏ถ Matรฉriel non consommable
– Un fauteuil de consultation
– Abaisse- langue mรฉtallique
– Miroir frontal
– Miroir laryngรฉ
– Spรฉculum nasal ร manche
– Spรฉculum nasal de Vacher
– Pince de Politzer
– Spรฉculum auriculaire mรฉtallique et en plastique
– Pince de Lubet
– Canule dโaspiration auriculaire
– Porte coton
– Aspirateur
– Diapason
– Pince ร biopsie
– 4 boรฎtes dโadรฉnoรฏdectomie et dโamygdalectomie (Figure 3)
– 2 boรฎtes de chirurgie cervicale.
Traitement mรฉdical
La majeure partie des patients a bรฉnรฉficiรฉ dโune prise en charge mรฉdical au service.
Des examens complรฉmentaires ont รฉtรฉ rรฉalisรฉe notamment lโimagerie, des explorations fonctionnelles avec lโaudiomรฉtrie, des bilans sanguins.
75 patients avaient รฉtรฉ rรฉfรฉrรฉs au service dโORL du CHNU de Fann et dโHOGGY dont :
– 43 patients porteurs dโotite moyenne chronique pour explorations complรฉmentaires (TDM des rochers, prise en charge spรฉcialisรฉe des acouphรจnes, des vertiges et appareillage auditif) ;
– 7 patients prรฉsentant des malformations (3 fentes labiales et 4 laryngo-malacies) ;
– 16 patient prรฉsentant des tumeurs ORL avec : 7 tumeurs de lโhypopharynx, 2 amรฉloblastomes mandibulaires et 4 tumeurs du larynx;
– 3 patients porteurs de corps รฉtranger des voies respiratoires infรฉrieures
– 4 patients porteurs de corps รฉtrangers oesophagiens (2 arรชtes de poisson, 1 dentier et 1 piรจce de monnaie).
Traitement chirurgical
Lโamygdalectomie avait รฉtรฉ lโintervention la plus rรฉalisรฉe (159) suivie de lโadรฉno-amygdalectomie (114) et de la thyroรฏdectomie totale (51). (Figure 15)
MATERIEL ET METHODES
Type et durรฉe de lโรฉtude
Nous avons rรฉalisรฉ une รฉtude transversale et descriptive sur une pรฉriode de 13 mois, entre le 01 Aout 2016 et le 31 Aout 2017 dans le service dโORL du CHRASM de Louga.
Population de lโรฉtude
Nous avions inclus tous les patients reรงus en consultation et/ou opรฉrรฉs durant la pรฉriode.
Critรจres dโinclusion
Nous avions inclus tous les patients reรงus en consultation et les patients opรฉrรฉs durant la pรฉriode de lโรฉtude.
Critรจres de non inclusion
Etaient exclus de lโรฉtude les patients dont les dossiers รฉtaient inexploitables.
Variables รฉtudiรฉes
Les variables รฉtudiรฉes รฉtaient : Lโรขge, le sexe, la pรฉriode de travail, les pathologies, le traitement.
Collecte des donnรฉes
Les patients que nous recevions en consultation et ceux opรฉrรฉs รฉtaient enregistrรฉs de faรงon systรฉmatique dans un registre de consultation et un cahier de protocole opรฉratoire que nous avions prรฉvu ร cet effet.
Analyse statistique
Nous avions utilisรฉ le logiciel Microsoft Excel 2010 pour lโenregistrement et lโanalyse des donnรฉes.
Ressources mobilisรฉes
Ressources humaines
Lโรฉtude a nรฉcessitรฉ le concours du personnel de service dโORL, ร savoir lโinfirmier qui รฉtait chargรฉ du rangement et de lโenregistrement systรฉmatique de tous les dossiers de patients reรงus.
Ressources matรฉrielles
Pour lโรฉtude nous disposions de :
– Dossiers dรปment remplis de tous les patients reรงus durant la pรฉriode de lโรฉtude
– Registres de consultation et de comptes rendus opรฉratoires.
Pathologie
Au plan diagnostique, les affections infectieuses et inflammatoires รฉtaient les plus frรฉquentes (59,47%). Elles รฉtaient reprรฉsentรฉes par les rhinosinusites, les infections pharyngรฉes et les otites. Nos rรฉsultats corroborent ceux de NJIFOU et al. [17] au Cameroun, AMARA [2] en Cรดte dโIvoire, ATTIFI et al. [3] en Guinรฉe. Ce taux รฉlevรฉ des infections pourrait sโexpliquer par la mauvaise hygiรจne de vie et les conditions climatiques tropicales.
Les affections otologiques non infectieuses reprรฉsentaient 9,73% de notre sรฉrie. Ces rรฉsultats sont infรฉrieurs ร ceux de NJIFOU et al. [17] et de ATTIFI et al. [3] qui retrouvaient respectivement 19,24% et 19%. Ceci peut sโexpliquer par le fait que dans leurs รฉtudes, la majoritรฉ des patients รฉtaient constituรฉes dโadultes. Or, des donnรฉes de lโOMS, il ressort que les sujets adultes reprรฉsentent 91,11% des patients atteints de surditรฉ [18]. Le diagnostic de surditรฉ chez lโenfant est difficile car il ne sait pas sโexprimer ; les signes sont souvent tardifs, dominรฉs par un retard de langage, un retard scolaire [18]. Dโoรน la nรฉcessitรฉ dโun dรฉpistage prรฉcoce systรฉmatique de la surditรฉ chez les enfants. Le manque de plateau technique dโexploration audiomรฉtrique et dโoto-rhino-laryngologiste, dans notre contexte rendent difficile la rรฉalisation dโun dรฉpistage systรฉmatique. Par ailleurs, le manque de sensibilisation des populations sur la surditรฉ aggravรฉe par certaines croyances populaires retardant le diagnostic prรฉcoce.
Les allergies nasosinusiennes reprรฉsentaient 19,14% de nos consultations. Amara [2] et NJIFOU et al. [17] retrouvaient respectivement 13% et 15,79%.
Au plan topographique, les affections oro-pharyngo-laryngรฉes รฉtaient les plus frรฉquentes (47,28%). Les Pharyngites peptiques secondaires aux reflux gastro-oesophagiens reprรฉsentaient 65,99% de cette localisation. Nos rรฉsultats sont opposรฉs ร ceux de KISHVE et al. [12] qui retrouvaient une affection pharyngolaryngรฉe chez 27,4% dominรฉe par les angines. Notre rรฉsultat est aussi proche de celui retrouvรฉ par LAMARTI et al. [13] ร Louga avec 57,7% de la pathologie oropharyngรฉe dominรฉ par les pharyngites peptiques. La relation entre le RGO et ses manifestations pharyngรฉes est bien รฉtablie et constitue la pathologie la plus frรฉquente de notre sรฉrie avec 553 cas. Ceci peut sโexpliquer par les habitudes alimentaires et le mode de vie de la population de notre รฉtude.
Les affections rhinosinusiennes venaient en deuxiรจme position avec 26,94%. Nos rรฉsultats sont lรฉgรจrement infรฉrieur ร ceux de TALL et al.[23] avec 32,73% des cas, NJIFOU et al. [17] et ATTIFI et al. [3] qui retrouvaient respectivement 35,25% et 37,93%. Ceci peut sโexpliquer par le retard de consultation car la prise en charge initiale de ces affections constitue lโapanage des mรฉdecins gรฉnรฉralistes de la rรฉgion qui ne les rรฉfรจre ร lโORL que devant lโapparition des complications ou des rรฉsistances aux traitements.
En troisiรจme position venaient les affections otologiques qui reprรฉsentaient 16,16% des cas. Ces rรฉsultats sont proches de ceux de LAMARTI et al. [13] ร Louga avec 17,6% des cas. Ce rรฉsultat est infรฉrieur ร ceux de DIALLO et al. [4] ร Kolda avec 28,94%, de OUAHMANE et al. [19] ร Mbour et de EL YAAGOUBI et al. [8] ร Kolda qui retrouvaient respectivement 47 ,6%% et 26,08%. Dans notre sรฉrie, elles รฉtaient dominรฉes par les otites moyennes chroniques qui reprรฉsentaient 43,02%.
Traitement
Le traitement mรฉdical a dominรฉ nos interventions. Les rรฉsultats obtenus dans notre sรฉrie ainsi que ceux obtenus dans les รฉtudes de DIALLO et KOSSINDA [4], NIASS et al. [16], NDJOLO et al. [15], KEITA et al. [11], NJIFOU et al. et plusieurs autres vont tous dans ce sens.
Le traitement chirurgical รฉtait dominรฉ par la chirurgie des amygdales (amygdalectomie, adรฉno-amygdalectomie) et la chirurgie thyroรฏdienne. Lโamygdalectomie et lโadรฉnoรฏdectomie sont les interventions chirurgicales les plus rรฉalisรฉes en oto-rhino-laryngologie en milieu rural. Dans notre รฉtude, lโamygdalectomie รฉtait prรฉdominante avec 37,49% suivie de lโadรฉno-amygdalectomie avec 25,45% puis la chirurgie thyroรฏdienne avec 18,75%. On retrouve une prรฉdominance de la chirurgie amygdalienne dans les sรฉries dโESSONKONG et al. [9] et NIASS et al. [16] avec respectivement 26% et 47,62%. TALL et al [23] ร Kolda retrouvait des chiffres supรฉrieurs ร notre avec les amygdalectomies et les adรฉnoรฏdectomies qui constituaient 87,4% des interventions chirurgicales. Ceci pourrait sโexpliquer par la faite quโils sโagissent dโinterventions qui ne requiรจrent pas dโun plateau technique important.
RECOMMANDATIONS
Le problรจme majeur rencontrรฉ au cours de lโรฉtude a รฉtรฉ celui dโun plateau technique vรฉtuste et dรฉficitaire. Nous avons relevรฉ :
– Un dรฉficit du matรฉriel de consultation en gรฉnรฉral
– Une insuffisance du plateau chirurgical notamment le matรฉriel dโendoscopie et de microscope opรฉratoire ;
– Lโabsence de nasofibroscope outil dโaide au diagnostic dโune grande importance.
Bien que la direction de lโHรดpital de Louga ai effectuรฉe de multiples investissements dans le sens de relever le plateau technique du service dโORL sur un dรฉlai assez court, force est de constater, devant le nombre encore important de patients acheminรฉs vers la capital, quโil reste des efforts a faire.
En effet ,75 patients avaient รฉtรฉ rรฉfรฉrรฉs au service dโORL du CHNU de Fann et dโHOGGY pour des explorations complรฉmentaires et une prise en charge spรฉcialisรฉ
Au vu de tout ceci, nous formulons les recommandations suivantes :
๏ A l’endroit de l’administration de l’Hรดpital rรฉgional de Louga :
– Le renforcement du service d’ORL en ressources humaines ; mรฉdecins et infirmiers spรฉcialisรฉs en ORL.
– L’amรฉlioration du plateau technique dans toutes les subdivisions de lโORL.
– Raffermir les relations avec les partenaires et ONG qui permettrait de relever le plateau technique.
๏ A lโendroit des enseignants ORL de la facultรฉ de mรฉdecine de Dakar
– Augmenter la frรฉquence des missions ORL en rรฉgion.
– Encourager la formation auprรจs des jeunes รฉtudiants.
๏ A l’endroit du Ministรจre de la Santรฉ :
– Soutenir la formation d’un nombre suffisant de mรฉdecins spรฉcialistes en ORL
– Encourager les spรฉcialistes en particularitรฉ ร aller en rรฉgion ou le besoin est rรฉelle en mettant en place un systรจme de rรฉmunรฉration adaptรฉ.
– Apporter une aide supplรฉmentaire ร lโรฉquipement des structures hospitaliรจres.
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: RAPPELS
ORGANISATION GENERALE DโUN SERVICE DโORL
1. Structure
2. Organisation des ressources humaines
3. Organisation des soins
4. Organisation des tรขches
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
1. CADRE ET SOURCES DE LโETUDE
1.1. Prรฉsentation du CHRASML
1.1.1. Historique
1.1.2. Cadre institutionnel
1.1.3. Services Existants
1.2. Service dโoto-rhino-laryngologie
1.2.1. Personnel
1.2.2. Organisation des activitรฉs de soins
1.2.3. Matรฉriel
2. MATERIEL ET METHODES
2.1. Type et durรฉe de lโรฉtude
2.2. Population de lโรฉtude
2.3. Critรจres dโinclusion
2.4. Critรจres de non inclusion
2.5. Variables รฉtudiรฉes
2.6. Collecte des donnรฉes
2.7. Analyse statistique
2.8. Ressources mobilisรฉes
2.8.1. Ressources humaines
2.8.2. Ressources matรฉrielles
3. RESULTATS
3.1. Age
3.2. Sexe
3.3. Rรฉpartition des patients selon le mois
3.4. Pathologie
3.4.1. Principales affections
3.4.2. Regroupement topographique des affections
3.5. Traitement
3.5.1. Traitement mรฉdical
3.5.2. Traitement chirurgical
4. DISCUSSION
4.1. Age
4.2. Sexe
4.3. Pathologie
4.4. Traitement
5. RECOMMANDATIONS
CONCLUSION
REFERENCES
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