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Directeur Administratif et Financier
Le directeur financier et commercial assure l’exécution de la politique financière et commerciale au niveau du siège. Il est le garant de l’utilisation optimale des ressources financières, de la régularité et de sincérité des opérations comptables ainsi que la performance des activités commerciales du siège. Il assure également la réalisation des opérations d’importation et d’exportation du sucre.
Les Directeurs techniques : Usine et Culture
Les Directeurs techniques sont chargés d’une part, de l’appui, du conseil, de l’assistance au Président Directeur Général et auxétablissements sur tous les problèmes d’ordre technique tant industriel qu’agricole ; et d’autre part, le suivi et le contrôle des grands travaux d’entretien, d’installation et d’aménagement. Aussi, ils assurent l’élaboration de la partie technique des cahiers de charges relatifs aux investissements et aux intrants.
Au niveau d’établissements
Les établissements assurent la plantation de la canne à sucre et la transformation du celui-ci en divers produits que la SIRAMA commercialise.
Les établissements sont dotés d’une gestion autonome de leur exploitation respective mais l’audit et le contrôle reste sous l a responsabilité du siège.
Chaque établissement a un organigramme bien défini, et la stratification de tâche est imitée à celle du siège, il a le même système et structure que celle siège, il a le même système et structure que celle du siège.
Direction d’exploitation
Le Directeur d’exploitation est nommé à la tête de chaque établissement. Il est rattaché au Directeur Général et ses pouvoirs de décision se limitant à :
– L’application des politiques générales définies parla direction générale.
– La gestion de l’unité dans le cadre des orientations globales
Service santé
L’organigramme type d’établissements fait apparaître un service santé autonome. Cela explique l’éloignement des établissements par rapport au service d’organisation sanitaire inter-entreprise (OSIE). Les aspects sociaux de la SIRAMA sont très importants au niveau des établissements car le rendement du personnel dépendra des conditions de santé.
Contrôle de gestion
Ce service fournit au Directeur d’Exploitation les documents nécessaires pour une de décision pour l’exploitation. C’est en fonction des écarts constatés entre le budget et la réalisation de l’établissement que le Directeur d’Exploitation prend des mesures correctives sur l’exploitation.
La production de sucre
La récolte est faite soit à la main soit mécaniquement. Une fois mis en ballot, les cannes sont mises dans une carriole et parfois transférée dans un plus grand véhicule pour les transporter au moulin. La première étape de traitement est l’extractionLa. canne est écrasée, dans une série de larges moulins : similaire à une essoreuse à rouleau qui était utilisée pour presser l’eau en dehors des linges propres. Le jus sucré jaillit et la fibre de canne est gardée pour être utilisée dans les chaudières. L’usine peut nettoyerle jus assez facilement avec de la chaux éteinte (une sorte de craie) qui extrait beaucoup de saletés qui peuvent alors être renvoyées dans les champs. Ce procédé est connu sous le nom ed chaulage.
Le mélange de jus venant de l’extraction est préchauffé préalablement au chaulage pour une clarification optimale. Après le chaulage, le jus est épaissi en sirop par ébullition en utilisant la vapeur dans un processus appelé évaporation. Parfois le sirop est nettoyé de nouveau mais plus souvent il passe directement à l’étape de cristallisation sans aucun autre nettoyage. (Annexe 9 : photo 1)
Aux cours de la cristallisation, le sirop est placé dans une large cuve pour être bouilli lors de la dernière étape. Dans la cuve, une grande quantité d’eau est évaporée jusqu’à obtenir les bonnes conditions de formation des cristaux. Une fois les cristaux formés, le mélange résultant de cristaux et de liqueur mère est envoyé dans une centrifugeuse (voir annexe : photo) pour être séparé. Puis les cristauxsont séchés avec de l’air chaud avant d’être stocké, prêt à être expédiés. La liqueur mère contient encore du sucre utilisable donc la cristallisation est répétée plusieurs fois. De plus, parce qu’on ne peut pas obtenir tout le sucre présent dans le jus, il y a un sous produit formé la: mélasse. Elle est habituellement mise dans les aliments pour bétail ou envoyé dans des distilleries pour fabriquer de l’alcool.
Le sucre brut forme une montagne collante et marron dans les lieux de conditionnement, et ressemble plutôt à du sucre rou x trouvé dans les cuisines domestiques. Il peut être utilisé comme cela, mais habituellementl idevient sale dans les lieux de stockage et a un goût particulier que les gens n’apprécient pas. C’est donc pour cela qu’il est raffiné quand il va dans les pays où il sera utilisé.
La première étape de purification du sucre brut ste de le ramollir afin d’enlever la couche de liqueur mère autour des cristaux grâce au processus appelé « affinage ». Le sucre brut est mélangé avec un sirop concentré chaud etégèrementl plus purifié que la couche de sirop, donc cela ne dissous pas les cristaux, mais entour seulement la liqueur. Le mélange résultant « magma » est centrifugé pour séparer lescristaux du sirop, en enlevant la grande partie des impuretés du sucre. Cela laisse les cristaux prêts pour la dissolution avant le traitement suivant (carbonatation).
La première étape du procédé concernant la liqueur de sucre, a pour but d’enlever les solides qui rendent la liqueur turbide. En même temps quelques colorants sont aussi retirés. Un des deux procédés courant est connu sous le nom de carbonatation. La carbonatation est réalisée en ajoutant du lait de hauxc à la liqueur et des bulles de gaz carbonique dans le mélange. Le gaz réagit avec la hauxc pour former de fines particules de cristal de carbonate de calcium qui englobe les solides. Pour obtenir une floculation stable, les conditions de réaction sont très contrôlées. L’amasqui est formé collecte de nombreuses substances non sucrées, qui sont extraites du processus lorsque la craie est filtrée. Une fois cela réalisé, la liqueur de sucre est prête à la décoloration.
Dans le cadre de la décoloration, il existe deux méthodes classiques pour changer la couleur du sirop de sucre, les deux basée sur des techniques d’absorption, avec la liqueur qui est pompée à travers des colonnes de médian. Une des options offertes pour raffiner le sucre est du GAC (Granular Activated Carbon) ou charbon granuleux actif, qui enlève les couleurs. Le GAC est l’équivalent modern du « charbon d’os », fait à partir d’os d’animaux. Le carbone est régénéré dans un four chaud où les couleurs s’évaporent du carbone. L’autre option est d’utiliser une résine changeuseé d’ions qui retire moins de couleur que le GAC mais retire aussi les sels présents. La résine est régénérée chimiquement, ce qui donne une grande quantité d’effluents liquides peuagréables.
Le liquide clair et légèrement coloré est maintenant prêt pour la cristallisation excepté le fait qu’il soit un peu trop dilué pour al consommation d’énergie optimum en raffinerie. Il est donc préalablement remis dans la chaudière à cristallisation. Dans la chaudière, l’eau est portée à ébullition jusqu’à ceque les conditions soient bonnes pour la cristallisation du sucre. Quelques poussières de sucre sont ajoutées à la liqueur pour initier la formation de cristaux. Une fois les cristaux formés, le mélange résultant de cristaux et de liqueur mère est envoyé dans une centrifugeuse pourêtre séparer. Puis les cristaux sont séchés avec de l’air chaud avant d’être stockés, prêt reàêtexpédiés.
Namakia
Quels que soient les présidents de région, quelques soient les statuts de la SIRAMA, la situation semble empirer et d’éteindre sur la vie sociale de Namakia. Le salaire des employés n’ont pu être payé. L’inventaire de actifl’ de la société, l’audit des comptes sont en cours de finalisation. Celle des assainissements a été prévue pour le mois de Mars 2005. Entre autres, il a eu lieu un consortium franco-mauricien et un groupement sud-africain (pour la gérance). (Source : Le Quotidien 2004). Actuellement, l’établissement est en location gérance à la société Complant.
Brickaville
L’établissement de Brickaville est implanté à Maromamy à 250km à l’Est d’Antananarivo et 105Km Sud Ouest de Tamatave. La configuration générale de la région environnante de la SIRAMA Brickaville se compose d’une large cuvette entourée par des hautes terres de la falaise de Betsimisaraka. Il s’agit d’une zone propice aux cultures telles que: culture de rente (café – girofle – un peu de vanille au stade d’essai). On rencontre également d’autres spéculations comme celles de poivre, de gingembre, de litchi et tout ce qui a trait aux agrumes.
Toutefois, la principale spéculation réside à la culture des cannes à sucre partout présente et constituant l’essentiel de la source de revenu de la quasi-totalité de la population de toutes les communes du district et sa situation géographique offre plusieurs avantages.
Nosy-Be
Nosy-Be est une île côtière de Madagascar située dans le Canal du Mozambique, près des côtes nord-ouest de Madagascar . Le nom de l’île apparaît souvent écrit sous la graphie francisée deNossi-Béet est parfois nommée Ambariobe par les habitantsde la région. Ile volcanique a une superficie de 321 km²,elle s’étend sur environ 26 kilomètres du nord au sud sur 20 km d’est en ouest. Elle culmine au Mont lokobe à 455 mètres d’altitude et au Mont Passot à 329 mètres. Nosy Be se situe dans la grande baie d’Ampasindava, région d’Ambanja. Son chef-lieu est la bourgade d’Hell-Vile (nom malgache officiel, mais non usité : Andoany), où se trouve le port principal del’île, située sur la côte Sud.
Ainsi, la petite île devient une colonie agricole, recouverte de champs de cannes, d’indigo, de café, mais aussi de sésame, deriz, de maïs, de patates et de manioc. Elle récolte les fleurs d’ylang-ylangà partir des années 1920. C’est de cette activité que lui vient le surnom d’île aux parfums.
En 2010, il ne reste plus grand chose de l’ancienne activité agricole de Nosy-Be, les infrastructures sont laissées à l’abandon. En décembre 2007, la réhabilitation du site a été annoncée, grâce à des investisseurs étrangers,afin de retrouver la capacité de production historique, à savoir 16 000 tonnes de sucre et 11 0 00 hectolitres d’alcool pur par an.
Mais le projet n’a pas encore eu de réalisation oncrète. Les terres agricoles de la SIRAMA sont désormais progressivement cédées parcelle après parcelle, et transformées en hôtels ou habitations, hypothéquant définitivement la possibilité d’un redémarrage de l’exploitation agricole de ces terres, activité quia fait vivre plus de 3 000 personnes sur l’île dans le passé.
Situation de la trésorerie
Un flux de trésorerie, appelé aussi «cash flow » au sens original anglo-saxon est la différence des encaissements (recettes) et des décaissements (dépenses) engendrés par l’activité d’une organisation. La société SiramamyMalagasy a connu une difficulté de trésorerie depuis quelques années.
Actuellement, dans le cadre de l’encaissement, la société Siramamy Malagasy n’a pas de ressources régulières ou stables. Commeencaissement, elle n’effectue que la vente des ferrailles, des différents matériels ainsi quela recette sur bail des terrains (Nosy-Be) et la mise en occupation provisoire des terrains. Tandis qu’à travers de décaissement, la société n’a fait qu’optimiser les charges : on paye seulement les dépenses prioritaires comme les carburants, les fournitures diverses. Le décaissement dépend totalement de l’encaissement.
Situation de la comptabilité
La comptabilité est un système d’organisation del’information financière. Elle permet de saisir, classer, évaluer, enregistrer des données de base chiffrées ou non correspondant aux opérations de l’entité. Elle permet également de présenter des états financiers donnant une image fidèle de la situation financière, de la performance et des variations de la situation financière de l’entité à la date de clôture des comptes.
La comptabilité de la société SIRAMA n’est pas centralisée, chaque établissement possède une comptabilité autonome. Mais il y a un compte de liaison qui relie le compte des sites et du siège pour améliorer le uivis et le contrôle des opérations inter-établissement.
Gestion des ressources humaines et financière
Son rôle essentiel est de gérer l’ensemble des salariés depuis l’embauche jusqu’au départ de l’entreprise. Il est chargé du ecrutement, de la gestion des stagiaires, de la distribution des médailles du travail et des relations avec le comité d’entreprise. Il inclut généralement :
· le Service des Appointements et Salaires dont le rô le est de communiquer au Service de Comptabilité Générale la liste des virements à ffectuer au titre des salaires.
· le Service Formation.
· le Service HSE qui s’occupe des problèmes liés à l’hygiène, la sécurité et à l’environnement.
· le Service social gère les difficultés rencontréespar les membres du personnel, le logement et le transport collectif des salariés.
La finance d’entreprise a pour objet d’optimiser la rentabilité des apports des apporteurs de capitaux et assurer la solvabilité et la liquidité de la trésorerie de l’entreprise. Elle est donc amenée à gérer les outils financiers (emprunt, immobilisation financière, et autres outils d’engagement et d’actifs financiers).
La finance d’entreprise peut avoir pour objectif d’améliorer l’image de l’entreprise en termes d’endettement afin de réaliser des investissements nécessitant des apports extérieurs sur le court terme. La finance d’entreprise sera donc sensible à la modification de la structure juridique, des garanties offertes, de la taille de l’entreprise et sa rentabilité, ainsi que le montant des capitaux propres.
Contrôle et comptabilité
Elle gère les comptes et les ressources financières de l’entreprise tout en assurant l’interface avec les banques, l’Administra tion fiscale, les clients et fournisseurs.
· Le Service de comptabilité générale établit le bilan, le compte de résultat et l’annexe ainsi que toutes les déclarations obligatoires (TVA) et archive tous les documents comptables. Il calcule et analyse les frais généraux, comptabilise les charges et les produits, étudie les possibilités d’investissements, calcule les amortissements et prévoit les besoins de trésorerie.
· Le Service de comptabilité analytique, analyse les dépenses directement affectées aux produits fabriqués et calcule leurs prix de revienta posteriori.
· Le Service de comptabilité fournisseur vérifie et ègler les factures relatives aux achats.
· Le Service de comptabilité client établit et envoieles factures aux clients puis en vérifie les paiements.
· Le Contrôle de gestion, sur la base d’analyses ad h oc, des résultats de la comptabilité, et d’échanges avec les autres acteurs de l’entreprise, assure la cohérence des résultats financiers, des objectifs de performance, et de la stratégie de l’entreprise.
Infrastructure et sécurité
Bien qu’indirectement liées à la production, elles sont indispensables à la bonne marche de l’entreprise.
· Les services généraux surveillent ou assurent l’entretien des bâtiments, des véhicules et des réseaux (électricité, téléphone, transmissiode données, gaz, voies de circulation…) de l’établissement.
· Le Service Maintenance peut être rattaché à la production, surtout s’il n’est chargé que de l’installation et de l’entretien de l’outil de t ravail.
· Le Service Gardiennage et celui .
· Hygiène, sécurité et conditions de travail :
o Sécurité Incendie assure une surveillance permanent des installations.
o Les secouristes sauveteurs du travail (SST), ce sont des travailleurs formés aux premiers secours et qui assurent les premiers soins en cas d’accident ou de malaise.
o Le Service médical traite les urgences, identifie les postes de travail à risques en collaboration avec le Service EHS (Environnement, Hygiène et Sécurité), assure la prévention, participe à la formation des SST et traque les maladies professionnelles.
Systèmes d’information
Un système d’information (SI) est un ensemble organisé d’éléments qui permet de regrouper, de classifier, de traiter et de diffuser de l’information sur un phénomène donné.
L’utilisation de moyens informatiques, électroniques et la télécommunication permettent d’automatiser et de dématérialiser les pérations telles que les procédures d’entreprise. Ils sont aujourd’hui largement utilisés en lieu et place des moyens classiques tels que les formulaires sur papier et le téléphone et ettec transformation est à l’origine de la notion de système d´information. Le système d’information est le véhicule de la communication dans l’organisation. Sa structure est constituée de l’ensemble des ressources (les hommes, le matériel, les logiciels) organisées pour : collecter, stocker, traiter et communiquer les informations. Le système d’information doit donc être géré. Le système d’information coordonne ainsi grâce à l’information les activités de l’organisation et lui permet ainsi d’atteindre ses objectifs.
Baisse de la productivité
Les facteurs de production sont les ressources, matérielles ou non, utilisées dans le processus de production de biens et de services. Cf. tableau récapitulant la statistique de la production en cannes, en sucre, en alcool de 1985 à 2005.
La capacité des unités de production, de l’activité agricole jusqu’à l’activité de transformation, est tombée de 82,00% de la capaciténominale en 1990 à 13,00% en 2002. Cette situation est due à la vétusté des unités deproduction suite à l’affaiblissement considérable de l’effort d’investissement ; à l’ins uffisance généralisée de l’entretien des équipements industriels et agricoles ; et à l’état lamentable des champs de cannes qui n’arrivent plus à donner des rendements acceptables , c’est-à-dire le manque d’entretien (insuffisance d’eau, d’engrais, et de sarclage).
Diminution de la performance d’usine
La tendance nominale de la production annuelle de la société SIRAMA est de 118.000 tonnes de sucre et de 100.000 hectolitres d’alcool pur et 400 tonnes de levure pour les quatre complexes sucriers. L’activité de lévurerie ne fonctionne plus depuis 1988 pour non respect des normes de qualité. Ces établissements aisaientf partie de la SOSUMAV, qui a été nationalisée. Mais durant ces dix dernières années,il y a une grande diminution de production. L’usine ne peut plus atteindre cette capacité nominale de production. Cela est du l’insuffisance des entretiens de matériels, et le sous investissement.
Normalement, tous les engins utilisés dans le processus de production doivent être entretenus après chaque utilisation. Pourtant,durant ces dernières années, on arrive plus à acquérir des articles nécessaires pour l’entretien,comme les différentes pièces détachées, les huiles… car les ressources financières ne sont pas suffisantes pour réaliser ces opérations. Et puis, les personnels ne sont pas motivés à faire ces entretiens à cause de l’arriéré ainsi que le non paiement de leur salaire.
Vu l’insuffisance des ressources financières, on ne peut plus investir pour acheter une nouvelle machine. C’est pour cette raison que les machines de production à l’usine sont très anciennes, et on a besoin de les remplacer.
Vétusté des unités de production
Les engins sont considérés parmi le plus grand capital de l’entreprise car la production massive du sucre et d’alcool dépend de ces grands matériels. Ils sont restés opérationnels pendant plusieurs années et qui, parfaute de vétusté a causé la lenteur de production, raison pour laquelle la société n’arrive pas atteindre le tonnage de production espérée.
Une grande société de production doit être dotéed’engins de haute technologie afin d’augmenter d’une manière exponentielle sa production, alors que ce n’est le cas actuel de la SIRAMA. Donc, il est recommandé de renouvelerces engins.
Etat lamentable des champs
La SIRAMA possède aussi un capital terre destinéà des usages agricoles, telle que la plantation de la canne à sucre. Mais afin d’ obtenir une grande quantité de récolte, le terrain nécessite d’éventuels entretiens comme l’irigation d’eau, l’application du sarclage et de l’épandage d’engrais. Actuellement, par manque d’entretien permanent du terrain la quantité de récolte diminue.
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Table des matières
Partie I. PRESENTATION GENERALE DE LA RECHERCHE
Chapitre 1. PRESENTATION DE LA SOCIETE
Section 1. Historique de la société
Section 2. Statut juridique
Section 3. Structure organisationnelle
Section 4. Activités principales de la SIRAMA
Section 5. Situation actuelle de la SIRAMA
Chapitre II. APPROCHE THEORIQUE : FONCTIONNEMENT ET ORGANISATION DE L’ENTREPRISE
Section 1. Les grandes fonctions de l’entreprise
Section 2. Les grandes théories d’organisation
Partie II. DIFFICULTES ET CONTRAINTES RENCONTREES AUX COURS DES DIX DERNIERES ANNEES
Chapitre I. DIFFICULTES TECHNIQUES : MATERIELLES ET ORGANISATIONNELLLES
Section 1. Baisse de la productivité
Section 2. Etat lamentable des champs
Section 3. Difficultés organisationnelles
Chapitre II. DIFFICULTES FINANCIERES
Section 1. Déséquilibre financier
Section 2. Problème lié à la trésorerie
Section 3. L’augmentation et non paiement des dettes
Chapitre III. DIFFICULTES SOCIO-ECONOMIQUES
Section 1. Détérioration des relations sociales
Section 2. Autres problèmes socio-économiques
Section 3. Impacts sur l’économie nationale
Partie III. LES PROPOSITIONS DE SOLUTIONS
Chapitre 1. REDRESSEMENT PAR LES PROPRES MOYENS DE L’ENTREPRISE
Section 1. Les objectifs à atteindre : le redressement de la société
Section 2. Mesures à prendre pour le redressement de l’entreprise
Section 3. La stratégie à adopter
Section 4. Plan d’actions
Section 5. Projections sur cinq ans
Chapitre II. LA PRIVATISATION
Section 1. Conditions préalables à la privatisation
Section 2. Options de privatisation
Section 3. Propositions à retenir
Chapitre III. LES RESULTATS ATTENDUS ET LES RECOMMANDATIONS
Section 1. Résultat technique
Section 2. Résultat financier
Section 3. Résultat socio-économique
Section 4. Les recommandations de revitalisation
CONCUSION GENERALE
Bibliographie
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