REDRESSEMENT DE l’ÉLEVAGE AVICOLE ET PORCIN

Les facteurs qui influencent les productions avicoles

Bâtiments Concernant les bâtiments d’élevage des poules, ils en sont de toutes formes, de toutes dimensions suivant les besoins, l’usage auquel on les destine, il n’y a pas lieu d’imposer un modèle plutôt qu’un autre, il est cependant une loi qui s’impose à tous les modes de construction, c’est un large éclairage, une grande facilité d’aération, des dispositions intérieures assurant un nettoyage facile et rapide (LOUIS B, 1937). Dans les régions tropicales ou chaudes, où les températures à l’intérieur des locaux ne descendent jamais aux environs de 0°C, et où elles dépassent rarement 33°-34°C aux heures les plus chaudes, les poulaillers peuvent être construits de façon très simple et à peu de frais. Dans ces contrées, les volailles doivent être protégées de la pluie, du rayonnement intense du soleil, ainsi que des rapaces et des voleurs, mais non pas de la température externe. Le logement requis dans ces contrées consiste en un abri à parois légères faisant écran à travers lesquelles l’air et le soleil du matin et de l’après-midi peuvent pénétrer de tous côtés ; le bâtiment doit être facile à nettoyer. (Thomann W, 1969). Les poulaillers doivent être construits sur un endroit élevé et sec, afin de maintenir le bâtiment relativement frais.
Matériels d’élevage Le matériel avicole, en même temps qu’il maintient l’hygiène partout, doit être pratique pour nous faire gagner du temps (LOUIS B, 1937.).
Nids de ponte : un nid individuel pour 5 à 6 poules ; un nid collectif de 2 mètres de long pour 80 poules. En région chaude les nids individuels sont plus appropriés.
Abreuvoirs : 2 abreuvoirs simples de 10 litres chacun pour 100 poules ; ou un abreuvoir de type automatique, accessible des deux côtés, à raison de 1 mètre pour 100 poules ; ou, un abreuvoir non automatique, accessible des deux côtés, à raison de 1 mètre pour 30 à 40 poules.
Mangeoires : 6 à 7 mètres de mangeoire, accessible des deux côtés pour 100 volailles adultes ; ou une mangeoire circulaire suspendue, pouvant contenir 2,5 kilogrammes, pour 30 volailles adultes.
Races Les races « pondeuses » ou « chair » sont les résultats de longues sélections en croisement de diverses races pures de poules.
• Rhodes Island Red : C’est une grande race d’origine américaine caractérisée par : un corps large et long de forme rectangulaire arrondie ; un dos horizontal ; poitrine large et profonde ; des ailes moyennes, larges et bien serrées ; une tête moyenne munie d’une crête droite (moyenne pour le mâle et petite pour la femelle), des barbillons et des oreillons de taille moyens, un bec mi-long légèrement courbé de couleur rouge corne, des grands yeux proéminents et rouge ; des cuisses fortes, larges, de longueur moyenne. L’ensemble de plumage est rouge foncé et régulier avec riche reflet brillant. Les poids vifs sont de 3,4 à 4 kg pour les mâles et de 2,6 à 3 kg pour les femelles (www.wickipédia, 2008).
• Sussex : C’est une grande race d’origine anglaise. Avec un poids vif variant de 3 à 4kg pour le coq et de 2,5 à 3 kg pour la poule, la race présente des caractéristiques suivantes : un corps large, horizontal et plat ; poitrine large et profonde ; une tête petite assez fin avec une crête droite (petite pour les femelles, et a 4 à 5 dents à mi-hauteur pour les mâles) ; un bec assez fort légèrement courbé ; des barbillons à taille peu moyenne et des oreillons peu développés ; yeux grands rouge orangé ; des cuisses de longueur moyen (www.wickipédia, 2008).
• Leghorn : caractérisé par un corps long, profond ; une poitrine large et pleine ; un abdomen bien développé et mou ; une tête forte et allongée ; une crête fine ; des grands yeux rouge orangé ; des barbillons moyens et des oreillons en forme d’amande ; des cuisses fortes biens apparentes(www.wickipédia, 2008).
• Plymouth Rock : C’est une race facilement reconnaissable par son plumage. En effet, chaque plumage est barrée d’une alternance marquée de stries perpendiculaires claires et foncées aussi proche que possible du blanc et du noir. La couleur de la face et de la crête est rouge. Les poids des animaux vivants varient de 3 à 3,6 kg pour les mâles et 2,5 à 3 kg pour les femelles.
Gestion d’exploitation Une bonne gestion, dans un élevage comme dans n’importe quelle entreprise, oblige à une administration qui, en général, rebute l’éleveur. Mais un enregistrement régulier d’un certain nombre d’indicateurs ou de phénomènes est indispensable dans un élevage rationnel. Il existe différents types de fiche contrôle :
Fiche de prises de données : Les fiches de prises de données doivent permettre un enregistrement pratique du fonctionnement de l’élevage, puis une exploitation aisée des renseignements enregistrés. A titre d’exemple la fiche de ponte doit avoir l’identification des lots. En plus la fiche doit enregistrer le nombre d’œuf produit par jour en marquant la date. Il faut marquer aussi la variation du taux de ponte et des autres remarques.
Fiche de gestion : Ces fiches servent à préparer les calculs des indicateurs techniques et économiques. Elles permettent de ranger certains renseignements pris dans les fiches de prises de données et complétés par d’autres sources de renseignement, pour mettre en évidence par le calcul des éléments nécessaires à la gestion (I.E.M.V.T., 1983). Dans cette fiche de gestion on constate quelques éléments nécessaires :
– le prix de revient de la bande de poussin au premier jour,
– Consommation aliment au 1ère, 2ème âges
– Frais de traitement et vaccination
– Consommation en eau
– Amortissement mensuel du troupeau
Maîtrise pathologique D’une manière générale on peut affirmer que les maladies auxquelles sont sujettes les volailles sont dues à la négligence des éleveurs, soit que les locaux dans lesquels se réfugient les poules soient humides, mal tenus ou sujets aux courants d’air, soit que l’eau de boisson ne soit pas propre ou assez souvent renouvelée, soit en fin que la nourriture ait subi des altérations préjudiciables à la santé des volailles. Les petits oiseaux sont aussi des agents de dissémination de la diphtérie, du choléra et de la peste aviaire, ainsi que l’ont constaté de nombreux observateurs. Tous les animaux, l’homme y compris, sont les véhicules de la contagion par les souillures de leurs pattes, de leurs pieds, de leurs chaussures. En dehors de la contagion, la maladie a encore pour cause les matières en putréfaction qui s’introduisent, avec les aliments, dans le tube digestif et y déterminent l’éclosion de la terrible maladie. Le mauvais entretien de la basse-cour, des cadavres d’animaux jetés sur le fumier, des mares putrides. La poule picore d’un côté, boit de l’autre, et le fermier paient le prix de leur négligence un peu chèrement (LOUIS B, 1937.).
Alimentation La poule est omnivore, c’est à dire que toutes sortes de nourritures animales et végétales peuvent lui convenir. (LOUIS B, 1937.). Les volailles qui picorent dans les champs montrent une préférence naturelle pour les insectes, les vers, les graines et l’herbe. Lorsque ces aliments se trouvent en quantité réduite par exemple en fin de saison sèche ou encore lorsque les parcours sont limités, il faut donner un complément d’alimentation (Thomann W., 1969). Les aliments des volailles doivent apporter tous les éléments nutritifs nécessaires à assurer la production et doivent par conséquent être composés d’éléments variés.

Matériels d’élevage

a) Les mangeoires : Selon SERRES.H, 1989 La mangeoire devra recevoir beaucoup de soins, de manière à éviter tout gaspillage de la nourriture. En premier lieu, quel que soit le type de porcherie, elle doit être fixe. Une mangeoire mobile sera toujours renversée et les aliments sont souillés, piétinés et gaspillés. L’auge doit être facile à nettoyer, même si les porcs y contribuent pour une bonne part. La surface intérieure doit être lisse et sans angles vifs. La profondeur sera suffisante pour que l’aliment n’en occupe que le fond et ne soit pas projeté à l’extérieur. Enfin, l’auge ne doit pas servir de gisoir ; les porcs montrent une certaine délectation à s’allonger dans une mangeoire. La mangeoire peut être en bois fixé à une paroi par un système de pitons, tout en restant amovible. Mais dès que la mangeoire est destinée à plus de 2 animaux, il faut faire le sacrifice d’une mangeoire en ciment, qui présente toutes les qualités requises.
b) Les abreuvoirs : Selon SERRES.H, 1989 En climat chaud, un porc doit boire abondamment et plus encore les truies nourrices. L’eau doit être fournie sans limitation dans un abreuvoir spacieux, non renversable, et nous noterons qu’en cas de rationnement de la nourriture, l’auge peut servir d’abreuvoir entre les repas. Pour les porcheries importantes, où l’on dispose de l’eau courante, les abreuvoirs automatiques ne sont pas un luxe. Les abreuvoirs à bol voient leur contenu régulièrement souillé et les porcs arrivent souvent à les détériorer. Il faut préférer les abreuvoirs soit à tétine, soit à goulotte.

Circuit organisationnel de vente

a) Race locale
Poule : les volailles ont un circuit de vente complexe. Premièrement, au niveau des « Fokontany », il y a des éleveurs qui achètent les volailles pour augmenter leur cheptel et aussi des collecteurs pour avoir des produits à prix bas et en quantité énorme. Ces collecteurs achètent leurs volailles dans plusieurs « Fokontany ». Deuxièmement, les produits sont envoyés au niveau des marchés communaux ou directement au marché de Mahitsy. Jusqu’à ce stade les produits sont transportés à bicyclette ou à pied. Au marché communal, un autre collecteur ramasse les produits pour les transporter à Mahitsy ou à Antananarivo. A ce niveau là, les produits sont transportés en voiture.
Œuf : les produits sont vendus directement au marché du fokontany et aux marchés communaux. Ce phénomène est dû à l’insuffisance des produits. L’avenir de la majeure partie des œufs produits est la couvaison. Les acteurs intermédiaires ne contribuent pas dans le circuit de vente des œufs issus de la race locale.
b) Race améliorée
Œufs : les produits se dirigent directement chez les grands clients qui se trouvent en ville. Vu la quantité des œufs produits, les marchés du Fonkontany et de la commune ne peuvent plus absorber les produits. Les éleveurs vendent leurs produits au marché de Mahamasina ou dans les grands restaurants. Les producteurs utilisent leurs véhicules pour transporter leurs marchandises.
Poulets de chair : pour les poulets de chair, le circuit est conditionné par les clients potentiels. Après l’abattage, les produits vont directement à Antananarivo. Les boucheries de quartier, le grand marché d’Analakely et les restaurants sont les clients potentiels de ces poulets de chair.

Circuit organisationnel de vente

Race locale et race améliorée Le devenir des deux races suit le même circuit commercial. Les animaux sont transportés vivants jusqu’au marché communal. Arrivé au marché, le premier collecteur entre en action. Il achète les porcs et les transporte en voiture pour aller à Mahitsy ou dans le marché d’Antananarivo. Arrivé là bas, le 2ème collecteur achète les animaux déjà tués dans les tueries ou dans les aires d’abattage. Après l’abattage, les viandes sont livrées chez les bouchers et les restaurants à Antananarivo ou à Mahitsy.

Situation réelle

La filière aviaire Actuellement, cette filière a beaucoup de mal pour se développer. Les petits éleveurs n’ont pas toujours le moyen d’y investir. La maîtrise de l’aliment est très difficile pour les éleveurs. Autrement, l’élevage de poulet de race local ne peut pas être pratiqué par les éleveurs de façon professionnelle. Ainsi, l’élevage de la race locale est toujours qualifié comme un élevage d’accompagnement. Ensuite, le prix du produit au marché est toujours conditionné par les collecteurs. Leséleveurs subissent forcément l’évolution des prix qui est souvent au profit des collecteurs.
La filière porcine Actuellement, la filière porcine est au stade de redémarrage. Après le passage de la Peste Porcine Africaine, les éleveurs ne sont pas tout à fait d’accord pour relancer la filière porcine. Autrement, l’élevage de porc nécessite une bonne alimentation or l’achat des aliments composés revient très cher dans le coût d’exploitation. L’insécurité dans la zone incite les éleveurs à freiner la production. Le représentant de l’Etat au niveau de la sécurité publique n’arrive pas à sécuriser les éleveurs dans les zones enclavées.

Renforcement de capacité et du niveau intellectuel

                 Dans le monde rural, le taux de scolarisation est très bas. Les élèves quittent très tôt l’école. Souvent après la classe de 7ème, ils abandonnent l’école. En effet, le niveau intellectuel des enfants est médiocre. Ils n’ont plus confiance qu’à eux-mêmes. L’introduction de nouvelles habitudes reste très difficile. Le blocage intellectuel influe beaucoup au niveau de l’élevage des porcs et volailles. Dans le district d’Ambohidratrimo et d’Ankazobe, il y a des programmes qui ont pour objectif d’aider les paysans dans le renforcement de capacité. Les éleveurs bénéficient souvent des formations et ateliers pour améliorer leur qualité de service. En général, les paysans ne peuvent pas encore saisir les formations à cause de leur niveau intellectuel. Souvent ils acceptent ce qu’on leur enseigne mais ils n’exécutent pas.

Les responsables de la santé animale

             Les techniciens d’élevage doivent avoir un planning de travail en harmonie avec les coopératives. Leurs actions doivent être planifiées avec les coopératives. Il faut créer une campagne de vaccination pour les espèces porcines et aviaires. Les suivis et consultations doivent être effectués périodiquement afin de bien surveiller la santé des animaux. Le prix de consultation ainsi que les prix des médicaments doivent être délimités par la coopérative. Par contre, les coopératives doivent placer des dispositifs pour que les techniciens d’élevage puissent effectuer leur travail normalement. A titre d’exemple les petites glacières pour transporter les vaccins, un matériel de réfrigération pour stocker les médicaments, des bureaux pour travailler, des matériels roulants.

Après la production

                    L’organisation après la production doit être aussi assurée mutuellement. Les producteurs, les collecteurs, les distributeurs doivent créer un central d’achat. Ce central d’achat doit planifier le circuit commercial. Dans ce cas, les rôles de chaque acteur sont bien définis. Les éleveurs ne font que produire et transmettent leurs produits au central d’achat. Ensuite, le central reçoit les produits et les transforme en marchandises pour les distributeurs finaux. Ces distributeurs vendent les viandes aux consommateurs. L’abattage des animaux s’effectue au niveau de l’organisation du central d’achat. Ce choix est dû aux exigences des consommateurs. Les acheteurs veulent des viandes non salubres. En général, la contamination de la viande s’effectue au niveau de l’abattage des animaux. Donc, il faut un abattoir aux normes qui demandent beaucoup d’investissements. La création d’un abattoir aux normes n’est pas à la portée des producteurs ou des groupements de producteurs dans une commune. Seule une organisation à l’échelle des districts peut instaurer un abattoir aux normes. Le fait que l’abattage des animaux s’effectue dans un même lieu facilite le planning de distribution des produits. Le central d’achat stabilise le prix pour les consommateurs. L’existence d’un abattoir aux normes permet de stocker les produits pour équilibrer l’offre et la demande. Les distributeurs reçoivent des produits de même qualité pour leurs consommateurs. L’existence de ce central d’achat permet aux éleveurs de consacrer leurs temps à l’élevage mais pas à l’écoulement des produits en cherchant des clients dans les différents marchés communaux et autres.
a) Point de collecte : Chaque commune doit avoir un point de collecte qui travaille avec les éleveurs. Ce point de collecte achète les produits qu’il soit d’origine porcine ou d’origine aviaire. Après achat, les produits seront transportés dans l’abattoir. Toutes les communes doivent avoir leur propre planification pour gérer leur point de collecte. Les éleveurs touchent leurs argents en « cash » dans ces points de collecte.
b) Unité d’abattage et de transformation : Cette unité consiste à recevoir tous les produits venant des éleveurs. C’est là qu’on abatte les animaux. Le rôle des tueries reviendra à cette unité d’abattage. L’abattoir doit gérer les sous produits venant des deux espèces. En d’autres termes, la valorisation des sous produits sera assurée par l’unité d’abattage.
c) Unité de conservation : Les viandes produites dans cette unité ne se dirigent pas toutes directement au marché. Il y aura des parties qui seront conservées par voie de congélation. Donc, l’unité doit se doter d’un dispositif de congélation des viandes. Les dimensions de cette chambre froide devraient être réduites au strict minimum pour pouvoir gérer la distribution des produits aux bouchers.
d) Vente aux consommateurs : La vente sera assurée par des grossistes qui coopèrent avec les bouchers de chaque quartier. Ces derniers effectuent leur commande aux grossistes et prennent les marchandises tous les matins. Les produits vendus vont subir la conservation à froid afin de lutter contre la rigidité cadavérique.

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Table des matières

INTRODUCTION
I – ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
1 – LES FACTEURS QUI INFLUENCENT LES PRODUCTIONS AVICOLES
1.1 – Bâtiments
1.2 – Matériels d’élevage
1.3 – Races
1.4 – Gestion d’exploitation
1.5 – Maîtrise pathologique
1.6 – Alimentation
2 – LES FACTEURS QUI INFLUENCENT LES PRODUCTIONS PORCINES
2.1 – Bâtiments
2.2 – Matériels d’élevage
2.3 – Races
2.4 – Gestion de l’exploitation
2.5 – Maîtrise pathologique
2.6 – Alimentation
II – MATERIELS ET METHODES
1 – MATERIELS
1.1 – La zone d’étude
1.2 – Les ménages
1.3 – Fiche d’enquête
1.4 – Contacts administratifs
1.5 – Véhicule
2 – METHODES
2.1 – Choix des éleveurs à enquêter
2.2 – Traitement de données
2.3 – Enquêtes et discussions avec les responsables administratifs
III – RESULTATS
1 – POULES
1.1 – Typologie des élevages
1.2 – Productivité actuelle selon les races
1.3 – Besoins et sources d’alimentation
1.4 – Circuit organisationnel de vente
1.5 – Mise en évidence des différents acteurs
2 – PORCS
2.1 – Typologie des élevages
2.2 – Productivité des porcs selon leur race
2.3 – Besoins et sources en alimentation
2.4 – Circuit organisationnel de vente
2.5 – Mise en évidence des différents acteurs
IV – DISCUSSIONS ET ANALYSES
1 – SITUATION REELLE
1.1 – La filière aviaire
1.2 – La filière porcine
2 – MISE EN EVIDENCE DES DIFFERENTS PROBLEMES
2.1 – L’habitat des animaux
2.2 – La sécurité
2.3 – Le financement
2.4 – La santé des animaux
2.5 – Les problèmes causés par l’alimentation
2.6 – Race des animaux
2.7 – la vente des produits issus de l’élevage
2.8 – Renforcement de capacité et du niveau intellectuel
3 – DISCUSSIONS
3.1 – L’habitat des animaux
3.2 – Matériels d’élevage
3.3 – Matériel animal
3.4 – Gestion d’exploitation
3.5 – Maîtrise pathologique
V – PROPOSITIONS DE REDRESSEMENT
1 – CONDUITE D’ELEVAGE ADAPTEE A LA SITUATION ACTUELLE
1.1 – cas de la volaille
1.2– cas du porc
2 – REORGANISATION DE LA FILIERE AVICOLE ET DE LA FILIERE PORCINE DANS LES DEUX DISTRICTS
2.1 – Pendant la production
2.2 – Après la production
3 – SIMULATION DES BUSINESS PLANS POUR LA FILIERE AVICOLE ET LA FILIERE PORCINE
3.1 – Après la production
3.2– Cas de la filière porcine
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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