Le tokharien
Le tokharien est une langue indo-européenne, constituant une sous-famille linguistique d’Asie Centrale, connue sous la forme de deux langues, le tokharien A et le tokharien B (notés maintenant A et B), attestées dans des manuscrits et des inscriptions épigraphiques allant de la fin du IVe jusqu’au Xe siècle de notre ère, dont la plus grande partie date des VIIe -VIIIe siècles. Ces langues sont notées dans une écriture indienne appelée Brāhmī du Nord-Turkestan. La question du statut réciproque des deux langues est assez débattu ; on a longtemps cru que le tokharien A, qui ne présente pas de variantes orthographiques ni de différents stades linguistiques (contrairement au tokharien B, dont on a identifié trois stades, archaïque, classique et tardif ) était une langue figée, qui ne servait à noter que des textes religieux (contrairement au tokharien B, qui note également des textes économiques et profanes). Cependant, on a découvert récemment des fragments de textes profanes en tokharien A, qui prouvent que cette langue pouvait bien être parlée (du moins écrite) . L’hypothèse proposée maintenant est que le tokharien A, dont les manuscrits ont été découverts dans un faible nombre de sites, localisés sur une zone géographique peu étendue , était en fait une langue parlée par une famille régnante du côté d’Agni, qui conservait son particularisme linguistique de manière peut-être un peu artificielle. Il est fort probable que les locuteurs de tokharien A parlaient également le tokharien B (lui attesté sur une zone bien plus vaste). L’état des langues, au moment où elles sont attestées, ne permet pas l’intercompréhension des locuteurs (on postule cinq siècles d’évolution distincte entre le tokharien A et le tokharien B à partir du tokharien commun au moment où l’on en a les premières attestations).
Les langues tokhariennes étaient parlées par un peuple installé le long de la « Route des Oasis du Nord », c’est-à-dire la route de la Soie (reliant le monde indo-iranien au monde extrême-oriental) passant au nord du désert du Taklamakan. Cette région appartient maintenant à la Chine, et s’appelle la Région autonome ouïghoure du Xinjiang. On l’appelle également le « Turkestan chinois » ; dès le VIIIe siècle en effet, les Ouïghours envahirent la région, et ce sont eux qui mirent un terme à la domination tokharienne dans la région.
Le tokharien ne nous est connu qu’à un stade assez avancé de son histoire, qui est très liée à celle de l’expansion du Bouddhisme vers l’extrême orient. Le Bouddhisme apparut en Inde entre le VIe et le IVe siècle avant J.-C. ; il arriva en Chine au Ier ou IIe siècle de notre ère, via la route de la Soie. On imagine que c’est au début de notre ère que les premières « missions » atteignirent le territoire tokharien par la route du Nord ; le tokharien ne nous est connu qu’à un stade où la culture et la langue sont profondément indianisées, en premier lieu dans l’écriture, puisqu’on ne connaît pas (aujourd’hui) de texte tokharien noté dans une autre écriture qu’indienne.
Mais qui sont les tokhariens ? Plusieurs hypothèses s’affrontent, surtout du fait de la polémique concernant l’ethnonyme « tokharien », qui désigne chez Strabon un peuple iranien, et qu’un savant allemand, Friedrich W. K. Müller, crut reconnaître en 1907 dans un colophon ouïghour d’un texte en tokharien A (Maitreyasamiti-Nāṭaka). À l’époque, la langue n’était pas encore déchiffrée, il ne s’agissait que d’identifier une nouvelle langue de la région. Il semble toutefois que ce terme (οἱ Τόχαροι en grec, Tochari en latin, Tukhārāḥ en sanskrit, Tu-huo-lo en chinois) réfère dans les textes à un peuple de Bactriane, qui a mis fin à la domination hellénistique sur la région ; ainsi ce peuple peut être assimilé aux Yuezhi, qui ont fondé l’empire Kouchan qui domina l’Asie Centrale du Ier au IIIe siècle. Ces mêmes Yuezhi se divisent en deux groupes, les grands Yuezhi (qui pourraient être les Kouchans) et les petits Yuezhi, qui pourraient correspondre à nos Tokhariens. Sans entrer dans ces considérations historiques fort complexes , on retiendra qu’une langue d’Asie Centrale fut découverte au début du XXe siècle, qu’il fallut nommer ; les Tokharien mentionnés dans cette région par les Anciens n’étant pas encore identifiés, on leur adjoignit cette langue nouvellement découverte.
État de la question : place du génitif dans le système casuel du tokharien
Le système flexionnel nominal du tokharien présente une grande singularité au sein de la famille des langues indo-européennes. Il existe deux formations différentes pour les cas qui constituent la flexion nominale en tokharien : le nominatif, vocatif (seulement en tokharien B), oblique (= accusatif) et génitif sont appelés « cas primaires » et comportent, comme dans les autres langues indoeuropéennes, des désinences synthétiques, qui portent simultanément la marque du nombre et du cas, et éventuellement du genre. Les « cas secondaires », en tout au nombre de sept, sont quant à eux formés sur l’oblique (et non sur le thème), auquel sont ajoutées des affixes casuels indifférents au genre et au nombre, et qui possèdent une certaine autonomie. Ces cas secondaires sont les suivants, dans la terminologie devenue traditionnelle en tokharologie : le perlatif, l’instrumental (pour le tokharien A seulement), le comitatif, l’allatif, l’ablatif, le locatif et le causal (pour le tokharien B seulement) ; l’absence de datif est remarquable, par comparaison avec les autres langues indo-européennes. Ces sept cas secondaires servent à exprimer les notions couvertes dans d’autres langues indo-européennes par les cas dits « concrets ». Cependant, ils ne les continuent en aucune manière, ni sur le plan morphologique, ni sur le plan syntaxique, (puisqu’il n’y a pas de correspondance fonctionnelle exacte entre tel cas tokharien et tel cas d’une autre langue qui porte la même dénomination). Le tokharien commun s’est doté d’un système nouveau. On ne peut pas imaginer qu’un instrumental hérité se serait scindé dans les cas qui en tokharien semblent en relever plus ou moins, tels le perlatif, l’instrumental, le comitatif et le causal. Il s’est produit une disparition quasi totale du système ancien des cas, et une restructuration, dont les étapes et les facteurs restent pour le moment problématiques. Parmi ces facteurs, on peut évoquer l’usure formelle de plusieurs désinences, en raison des évolutions phonétiques qui ont affecté les syllabes finales, et le recours par compensation à des postpositions, par la suite adjointe à l’oblique pour ne former qu’un seul mot phonologique. Par ailleurs, il est probable que le tokharien, qui se situe à l’extrême est de l’aire linguistique indo-européenne a subi l’influence de langues voisines, de type agglutinant, en particulier les langues altaïques. Des évolutions comparables du système des cas s’observent aussi en moyen-indien et en moyen-iranien. Au bout de la chaîne, le système casuel du tokharien présente une certaine ressemblance avec celui de l’ossète, une langue d’origine iranienne fortement influencée par les langues caucasiques. La dimension aréale ne doit pas être négligée dans l’explication de cette restructuration, qui dépasse cependant le cadre de la présente recherche.
Le génitif du tokharien est donc traditionnellement classé parmi les cas primaires, parce que son morphème casuel ne peut fonctionner de manière autonome. Mais c’est un cas à la frontière entre les deux types, car il participe également du fonctionnement des cas secondaires. Il peut en effet connaître le phénomène de la «flexion de groupe » (Gruppenflexion), corollaire de l’addition des affixes casuels à la forme d’oblique et non pas au thème du nom : ces affixes, fonctionnant comme des postpositions, peuvent ne figurer qu’une seule fois à la fin du syntagme à l’oblique . Par conséquent, un syntagme [adjectif + substantif] au génitif peut se trouver sous la forme [adjectif OBL. + substantif GÉN.], aussi bien que sous la forme [adjectif GÉN. + substantif GÉN.] . Ce phénomène résulte certainement d’une extension au génitif du procédé connu pour les affixes casuels, rendue possible par une analyse en synchronie de la désinence de génitif (aussi bien au singulier qu’au pluriel) comme un affixe casuel adjoint à la forme d’oblique et non au thème, qui, sous l’influence des flexions à nasale et des démonstratifs, se confondent. Parallèlement, les deux langues présentent des finales de génitif qui sont en fait devenues indifférentes au nombre. Un autre fait doit être signalé : les pronoms personnels suffixés (1, 2 et 3sg., avec une seule forme pour les trois personnes du pluriel), qui sont placés après le verbe, possèdent une seule forme qui exprime à la fois les valeurs de l’accusatif (= oblique) et du génitif.
Aspect comparatif de l’étude : le génitif du tokharien comparé à celui des autres langues indoeuropéennes
Morphologie
Les désinences du génitif en tokharien sont diverses : les unes sont héritées, et souvent d’extension limitée, et d’autres, qui sont apparues dans la préhistoire du tokharien, sont devenues vivantes. On trouve par exemple au singulier B -e, A -ø, désinences régulièrement issues, selon le traitement phonétique propre aux deux langues, par l’intermédiaire de proto-tokharien *-æ, issu de l’indo-européen *-os dans les thèmes en *-e/ont-. La désinence B -ntse, A -s en revanche, bien qu’elle ait toujours en partie pour origine la désinence indo-européenne *-os/-s, provient de la recaractérisation d’une finale de thème en nasale, qui opposait un génitif singulier protérokinétique *-én-s à un génitif singulier du collectif correspondant hystérokinétique *-n-ós : en proto-tokharien, le premier a été refait d’après le second en *-ens-os > *-änsœ et étendu à tous les thèmes en nasale puis à tous les thèmes en consonne à la suite de la réduction des syllabes finales ; le nominatif singulier n’ayant plus de désinence, la nasale du génitif des thèmes en nasale est analysée comme faisant partie de la désinence . Il existe également en tokharien A et B une désinence de génitif singulier -i dans les noms de parenté, les pronoms personnels, les démonstratifs et certains anthroponymes empruntés au sanskrit. On a été tenté de la rapprocher de la problématique désinence *-ī de l’italique et du celtique, ce qui implique de poser une origine indo-européenne *-i-h1 (car *-i-h2 ou *-i-h3 auraient donné *-yā en proto-tokharien) ; ici, l’apport du tokharien dans la recherche de l’origine de la désinence des langues italiques et celtiques serait significatif, puisqu’il permettrait, par ses lois phonétiques propres, d’éliminer deux des trois possibilités de reconstruction. Toutefois, on peut d’une part douter de la pertinence de poser une finale d’instrumental à l’origine d’une désinence de génitif, et d’autre part, il faut opposer la distribution de la désinence *-i du tokharien commun à celle de la désinence *-ī des langues italiques et celtiques : alors que dans ces dernières elle est liée de façon privilégiée aux noms thématiques, ce n’est pas du tout le cas en tokharien. Sur le plan strictement formel, cette désinence *-i du tokharien commun pourrait remonter à la désinence indo-européenne *-ei de datif singulier athématique, aussi bien qu’à la finale *-ei-s de génitif singulier des thèmes en *-i- (protérokinétiques). Les deux solutions ont été proposées. La question ne doit pas se limiter à l’évaluation de ces possibilités formelles. Il faut se demander si le tokharien n’a pas connu un syncrétisme casuel : le génitif tokharien serait la continuation aussi bien du datif que du génitif. Pour tester cette hypothèse, il faut d’abord étudier les valeurs du génitif tokharien. Notre étude se concentrera donc sur l’aspect syntaxique.
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Table des matières
Table des matières
Remerciements
Introduction
Introduction générale
I. Génitif de procès
A. Génitif désubjectif
1. Noms d’action en -r
a. Sur intransitifs
B kekamor « la venue, l’arrivée »
B tatākar « l’existence »
B sätkor « la dispersion »
B tsror « la séparation »
b. Sur transitifs
AB kärsor « le savoir »
B yāmor « l’action, l’acte »
B yaitkor « l’ordre »
B weweñor « le discours »
B kätkor « le passage »
2. Abstraits déverbatifs en B -lñe A -lune
a. Sur intransitifs
A kātklune « le surgissement »
B knelñe A knalune « l’accomplissement »
B krämpālñe A krämpālune « le trouble »
B klāyalñe A klālune « la chute »
B kselñe A ksalune « l’extinction »
A cämplune « la capacité, le pouvoir »
B cmelñe / cmelläññe A cmalune / cmolune « la naissance »
B trikalyñe « la confusion »
B triśalñe A triślune « l’erreur »
B nkelñe A nkalune « la disparition »
B nesalyñe A naslune « l’existence, l’essence, l’être »
B nautalñe « la disparition »
B pärkālñe « le lever, la manifestation »
A potlune « l’hommage »
B pkelñe A pukalune / pukalune « la maturation »
A pyāṣtlune « l’accroissement »
B prutkālñe A prutkālune « la cessation »
A muskālune « la disparition »
B mrauskalñe A mrosklune « l’aversion [pour le monde] »
B yātalñe A yātlune « le pouvoir »
B yärṣalñe / yirṣalñe A yärṣlune « l’hommage »
A yutkālune « l’inquiétude »
B lälñe A läñclune « le départ »
B laitalñe A litālune / letlune « la chute »
A wāsklune « le mouvement »
B wikālñe A wikālune « la disparition »
A wlalune « la mort »
B śänmalñe / śinmalñe / śmalñe A śämlune « l’arrivée »
A sätkālune « la diffusion »
B silñe A siñlune « l’affliction »
B soylñe « la satiété »
B stamalñe A ṣtmālune « l’établissement »
B spārttalñe A spārtwlune « le comportement, le fait de tourner »
B spärkālñe A spärkālune / spräkālune « la disparition »
B srukalñe « la mort »
B tsaṅkalñe « l’avènement »
B tsmālñe A tsmālune « l’accroissement »
B tsrelñe (I) / tsrālñe (II) A śralune (I) / tsrālune (II) « la séparation »
b. Sur transitifs
B aklyilñe A ākälyune « l’apprentissage »
B karsalñe A kärsālune « le savoir, la compréhension »
B (keś) tättālñe / tättālñe « la réflexion »
B träṅkalyñe « la lamentation »
B palskalñe A pälskālune « la pensée »
B paṣṣalñe A pāṣlune « l’obéissance »
B pälyśalñe / pilycalñe A pläślune / pälyślune / pälślune « l’ascèse »
B pkwalñe « la foi, la croyance »
B yamalñe A yāmlune « l’action »
B lkālñe A lkālune « la vision »
B warpalñe A wärpālune « jouissance, expérience »
B wätkāṣṣälyñe (I) / watkäṣlñe (II) « l’ordre »
B welñe A weñlune « la parole »
B spārtṣlñe A spārtwäṣlune « le fait de faire tourner »
B swāsäṣṣälñe(ṣṣe) « le fait de faire pleuvoir »
3. La question des abstraits non déverbatifs
B. Génitif déobjectif
1. Construction régulière du complément déobjectif : l’oblique
a. Noms d’action en -r
B āklor « l’apprentissage »
AB kälpor « l’obtention »
B kekesor « l’extinction »
B ceccalor « le fait de lever »
B papālar « la célébration, la vénération »
b. Abstraits déverbatifs en B -lñe A -lune
B arālñe « l’abandon »
B ailñe A elune « le fait de donner »
B kāwalyñe / kāwälñe A kolune « le fait de tuer, le meurtre »
B takälñe A tkālune « le toucher »
A tlālune « le fait de lever »
B palkalñe A pälkālune « la vision »
B pālalñe A pāllune « la vénération »
B paikalñe A peklune « l’écriture »
B plyäñcalñe « la vente »
B lakäṣñe « la démonstration »
B lyucalyñe « le fait de répandre »
A wālune « la conduite »
B waräṣṣälñe A wrāṣlune « la pratique ».
B wināṣṣälñe A wināṣlune « l’hommage, la vénération »
B ṣärpalñe A ṣärpāṣlune « l’explication, la révélation »
A sälpāṣlune « le fait de faire briller »
A sumālune « la privation »
2. Construction irrégulière du complément déobjectif : le génitif
a. Noms d’action en -r
B yāmor « l’action, l’acte »
B āyor « le don »
b. Abstraits déverbatifs en B -lñe A -lune
B akṣalñe / ākṣalñe A ākṣiñlune « la proclamation »
B eṅkalñe A eṃtsālune / eṃtsālne « l’attachement, la capture »
B källālñe A kälpālune « l’obtention »
A klisāṣlune « l’endormissement, le somnifère »
B klyauṣalñe A klyoṣlune « l’écoute, l’entente »
B ārt(t)e tarkalñe « le mépris »
B muṣṣalyñe « la diminution »
B yamalñe A yāmlune « l’action »
B yneś yamalyñe A yneś yāmlune « la réalisation »
B yänmalyñe A yomnālune « l’obtention »
B ṣparkäṣälñe A ṣparkāṣlune « la destruction »
B stamäṣṣalñe A ṣtmāṣlune « le placement »
c. Possibilité d’une coexistence de la diathèse intransitive pour les déverbatifs sur transitifs ?
B kätkālñe / katkalñe A kätkālune « le passage » (intr.) « la transgression, le
franchissement » (tr.)
B kärstalyñe A kärṣtālune « la destruction »
B kraupalñe A kroplune « la réunion, l’accumulation »
A tärkālune « le relâchement » (et A tärkor « la permission »)
B putkalñe A putkālune « la distinction »
B rassalñe « le fait de tirer »
3. Bilan de la commutation du génitif de procès avec l’adjectif dérivé
Conclusion sur le génitif de procès
II. Génitif d’appartenance
A. Aperçu des relations sémantiques unissant le génitif d’appartenance à la tête de syntagme
1. Génitif sur animé
a. Génitif possessif
b. Génitif de la possession inaliénable
B kektseñe A kapśañi « le corps »
A akmal « le visage »
B arañce A āriñc « le cœur »
B koyn (obl.) (A koyäṣ (abl.), koyaṃ) « la bouche »
B paiyye A pe « le pied »
B ṣar A tsar « la main »
B ñem A ñom « le nom »
B śaul A śol « la vie »
c. Génitif de parenté (et génitif exprimant les relations entre deux animés ; nomina relativa)
B tkācer A ckācar « la fille »
B pācer A pācar « le père »
B procer A pracar « le frère »
B mācer A mācar « la mère »
B śana A śäṃ « l’épouse »
B ṣer A ṣar « la sœur »
B soy A se « le fils »
B akalṣälle A ākälṣäl « l’élève »
A yäṣlu « l’ennemi »
B waṣamo « l’ami »
B spaktanīke A spaktānik « le serviteur »
d. Génitif d’auteur
e. Génitif de la personne pourvue d’une qualité
f. Diverses relations syntaxiques entre le complément au génitif d’appartenance et la tête de
syntagme
2. Génitif sur inanimé
a. Génitif de la possession inaliénable
b. Génitif de l’objet pourvu d’une qualité
c. Diverses relations syntaxiques entre le complément au génitif d’appartenance et la tête de
syntagme
B. Étude d’une catégorie grammaticale en fonction de complément du nom : les pronoms
personnels
1. Inventaire des pronoms personnels
2. Emplois du réfléchi possessif B ṣañ A ṣñi
a. Référence du réfléchi possessif B ṣañ A ṣñi
b. Valeurs du réfléchi possessif B ṣañ A ṣñi
Conclusion générale
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